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I swear to god I never fall in love-Amy

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Brianna Norris
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I swear to god I never fall in love-Amy - Page 3 50a7eb0a5e5866c6fdfc22a19592d95fc3eb936a

• âge : 25
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• quartier : Westwood pour l’instant, en recherche de mon chez moi
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Brianna Norris
I swear to god I never fall in love-Amy
Mar 6 Juil - 19:50
I swear to god I never fall in love-Amy - Page 3 111402504
C'était cool qu'Amy me fasse confiance pour que j'arrive à trouver un équilibre parce que moi je ne me faisais pas confiance du tout pour ça. J'en étais venue à penser que j'étais un boulet relationnel, et à mon avis c'était vrai. Fille unique, seule fille au milieu de nombreux cousins j'avais toujours été à part. Puis le foot était arrivée, toute ma famille avait fait de son mieux pour que j'y arrive, donc toute ma vie je n'avais eu à penser qu'à moi. Selon les critères d'Amy j'étais un enfant gâté et c'était le cas mais quand on arrive à l'âge adulte c'est plutôt un handicap. Une force pour le foot, un handicap pour tout le reste. Je savais d'instinct qu'Amy m'aiderait mais c'était à moi de faire le plus gros du chemin. Maintenant j'avais une vraie motivation pour le faire et c'était la jeune femme que j'embrassais longuement en guise de réponse à sa phrase. Pour elle je voulais faire des efforts et j'y arriverais.

Pour elle je cédais plus vite que dans mes habitudes. Sur le plan intime on pouvait dire qu'on était deux opposées, pour moi le sexe c'était au mieux un défouloir, au pire un long moment à passer. Clairement ce n'est pas mon activité préférée, j'en connais d'autres qui me donnent beaucoup plus de sensations. En parlant avec des amies leur réponse était toujours la même : "Bri t'y accorde trop d'importance, lâche toi ou démerde toi pour trouver la personne que tu désireras vraiment." Sympa les potes hein? genre comme si c'est deux conseils étaient faciles à suivre. J'avais commencé à me poser des questions en pensant à Amy dans des lieux où normalement je pense pas à mes amies, genre la douche par exemple. Et là sur elle son regard posé sur moi je sais que je me lâcher, que je ne serais pas jugée, enfin je l'espère. Mon haut vole, j'avais hésité avec enlever ma lingerie mais finalement je préférais faire durer le plaisir, je restais tout le temps une peste même dans ce moment là. J'hésitais à provoquer Amy par une pique de mon cru mais je décidais de ne pas le faire, je restais bien le dos bien droit face à elle. Je rigolais en constatant à quelle vitesse elle avait viré mon soutien gorge là je ne pouvais plus m'en empêcher. "J'admire l'effet de l'expérience" Car le matin j'avais un peu galéré à le mettre. Je n'étais pas gênée d'être à demie nue devant elle car ce n'était pas la première fois et je savais que j'étais bien foutue , par contre je découvrais à quel point un regard pouvait me donner chaud et me donnait des pensées toutes sauf chastes.

Je voulais moi aussi la voir, la toucher mais j'y allais plus lentement, j'avais juste relevé son tshirt mais mes mains étaient montées bien plus haut. Je frissonne en sentant qu'elle passe sur la louve, par reflexe je bombe un peu le torse. J'aborde un air similaire à l'animal, hautain et provoquant. Tu me veux? vas y je suis là toute à toi mais attention aux conséquences. Voila ce que cette louve signifie en partie. Par contre j'arrive pas à garder cet air sérieux car je me tortille en rigolant pour échapper aux chatouilles. Je suis très sensible, et je pense que là je viens de dévoiler une faiblesse à Amy. Je la connais elle en profitera si c'est pas maintenant ça sera plus tard.

J'ai encore mon sourire accroché à mes lèvres quand je me retrouve allongée sur le canapé, je ne loupe pas une miette des vêtements d'Amy qui disparaissent un par un. J'ai envie de la toucher, mais j'en ai pas le temps, elle s'allonge sur moi et la sensation de nos deux corps enfin en contact est géniale...ouais bon le mot est bateau mais là mon cerveau ne fonctionne plus correctement. Je cherche ses lèvres et sa langue pour un nouveau baiser, cette fois je le rend plus sauvage mordant sa lèvre en le coupant. Pendant ce baiser mes mains sont allées caresser son dos et sont descendues pour se poser sur ses fesses par dessus son jean. J'écarte mes jambes pour qu'elle puisse se caler entres elles.

Je laisse Amy prendre la direction avec plaisir, elle prend son temps et ça me rend dingue mais je ne le montre pas, mais je veux plus, je veux sentir ses mains et ses lèvres sur mon corps, sur tout mon corps. Mon souhait est enfin exaucé. Mon corps réagit à chaque caresse, à chaque baiser, Je me cambre gémissant doucement de plaisir quand mon sein se retrouve dans sa bouche. J'ai besoin de sentir sa peau sous mes mains, j'en enlève une de sur le jean pour la passer sous le pantalon, alors que l'autre remonte le long de sa colonne vertébrale effleurant sa peau. Je la regarde s'amuser avec ma poitrine, je ne sais pas quel regard je dois avoir en cet instant mais il est surement plein de désir pour Amy.
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I swear to god I never fall in love-Amy
Mer 14 Juil - 22:17
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On y est. L’heure a sonné. Nous v’là lancé dans notre première fois. Notre première fois ensemble j’précise. J’suis plus vierge d’puis un moment. J’ai des années d’pratique au compteur. J’sais pas combien j’ai eu d’amantes. Un paquet pour sûr. Un paquet mais seul’ment deux avec qui j’ai fait l’amour. Hazel évidemment. Et Bri désormais. Toutes les autres, j’ai juste baisé. J’ai mis aucun sentiment dans l’acte. Ça veut pas dire qu’c’était pourri. J’ai vécu d’puissants orgasmes. Ça veut pas dire non plus qu’j’fais ça sal’ement dans une ruelle sombre et malodorante. C’simpl’ment des coups sans lend’main là pour évacuer une envie charnelle. Y en a qu’j’r’vu. Des bons coups. Jamais d’trop non plus. J’ai toujours arrêté avant qu’l’attach’ment naisse. Bri est différente. C’te meuf est pas une conquête ordinaire. J’lui offre pas qu’mon corps en l’instant, j’lui file un morceau d’mon cœur. J’l’aime putain. Mais j’suis incapable d’le formuler. Alors j’lui montre. J’lui montre l’étendue d’mon amour d’sa personne. J’lui montre via ma façon d’dorloter ses seins. Elle m’découvre d’nouveaux talents d’tatoueuse. Ni outil ni encre ici, juste ma langue et mes doigts. J’m’applique au maximum. J’r’tiens rien. Pas même sa pique. Si elle savait. J’ai plus tendance à arracher les soutifs qu’les détacher. J’suis souvent sauvage, enragée, indomptable dans l’sexe. Sauf qu’là, c’t’elle en face. Et c’pas c’que j’veux être. J’veux être la Amy attentionnée. Celle qui s’planque derrière ma grande gueule et mes airs d’rebelle. J’suis plus sensible qu’j’y parais. J’reste une femme malgré tout. Une emmerdeuse d’femme mais une femme avant tout.

J’me régale d’sa poitrine. Pas très grosse, elle réagit superb’ment bien à mes actions. J’la sens prendre du volume. Ses dômes débordent presque d’mes mains à présent. J’leur accorde une pause. Bri en profite pour m’embrasser. Paradoxal’ment, c’t’elle qui s’montre brutale. Enfin, y rien d’violent non plus. J’lui en veux pas d’m’avoir mordue ma lèvre. Au contraire, ça m’excite. J’lui souris pour lui témoigner avoir appréciée. C’qu’elle est belle bordel. J’manque d’objectivité mais quand même. J’la laisse m’caresser sans broncher. J’suis ravie d’ses initiatives. C’pas une étoile d’mer qu’attend qu’ça s’passe. Tant mieux. Y a rien d’pire. J’glisse sur sa louve. Après mon index, c’ma langue qui r’dessine ses contours. J’suis imprécise, r’muant et gémissant sous ses caresses. Sa tendresse m’électrise. Nos peau à peau m’enflamme. Un brasier m’consume d’l’intérieur. J’ai rar’ment eu aussi chaud. J’ai tant envie d’elle. J’la dévore d’partout. Chaque pore reçoit mes papilles. Plus qu’affamée, j’suis un ogre. Et elle semble guère plus rassasiée. Elle faufile une main sous mon pantalon. Elle en veut plus. J’le lis dans son r’gard. Ça tombe bien, moi aussi. Après l’apéro et l’entrée, j’ai b’soin du plat d’résistance. Ou carrément du dessert. J’capture sa bouche d’un baiser langoureux. J’joue pas avec mes dents. Par contre à sa rupture, un fin filet d’bave nous r’lie. En silence, j’me r’dresse. Ag’nouillée entre ses cuisses, j’attrape l’bouton d’son futal. Fixant ses prunelles, j’le défais. J’admire l’aperçu d’sa culotte. J’viens déposer un baiser sur son ventre, au niveau d’son nombril.

J’reprends son effeuillage. J’lui vire ses pompes une à une, les balançant par terre. Son froc suit. J’y vais molo. J’lui ôte jambe par jambe, effleurant ses cuisses, ses mollets d’mes doigts au passage. J’suis étrang’ment sensuelle. C’rare. Mais Bri est pas une conquête banale. J’veux pas baiser avec elle. J’veux faire l’amour. R’tiré, ses chaussettes suivent dans la foulée. Il lui reste plus qu’sa culotte pour être à poil. C’l’ultime rempart à son intimité. Mes yeux pétillants plongés dans les siens, mes pulpes coulissent sur la surface du tissu. J’joue avec ses nerfs. C’pas gentil mais c’de bonne guerre. Et encore, moi, j’suis encore à moitié habillée. Enfin, mon tour viendra. Si c’pas elle qui m’désape, j’le f’rai. Mais pas maint’nant. Là, c’moi qui profite d’elle. La vue est sublime. Elle est gaulée comme une déesse. Y a pas un pet d’graisse sur ses formes. Elle est pas maigrichonne non plus. J’ai quoi m’agripper. En attendant, c’les anses d’sa ling’rie qu’j’agrippe. J’tire douc’ment d’ssus, la faisant glisser sur ses compas. Arrivée à ses ch’villes, j’remonte ses segments et j’la vire. J’la lance au sol sans considération. La v’là en t’nue d’Eve. C’pas la première fois qu’la voie comme ça. A Vegas, dans la salle d’bain, j’ai déjà pu la mater nue. Ça m’fait pas l’même effet. J’suis pas la première non plus à la voir comme ça. Ses cooquipières pour sûr. Après, j’suis pas certaine que quelqu’un l’ait d’jà maté avec un r’gard aussi ardent. Y a les flammes d’mes sentiments dans mes pupilles. Et elles brûlent pour elle.
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Brianna Norris
I swear to god I never fall in love-Amy
Lun 19 Juil - 19:20
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Je sais que là je ne peux plus reculer, mais je n'en ai pas envie. J'ai réussis à mettre mon cerveau partiellement en pause pour me lâcher. Je suis très surprise par la douceur d'Amy car les rares fois qu'on a parlé sexe, elle m'avait expliqué être du genre intense mais là elle est sensuelle, et ça me donne encore plus envie d'elle.  La plus grande différence entre  nous c'est que contrairement à Amy, je ne suis pas super à l'aise dans l'intimité. J'ai pas honte de mon corps, et je ne suis pas non plus une étoile de mer mais j'ai besoin d'avoir confiance, de me sentir safe. Ce sentiment a empiré au fur et à mesure que ma carrière a décollé. Je suis jugée en permanence sur mes performances sur un terrain que j'en suis venue à penser que j'étais aussi jugée dans ce domaine là. Avec la rousse je suis bien, presque à l'aise ça viendra avec le temps si elle est patiente avec moi. Seule Amy sait que la joueuse dure et provoquante n'est pas la totale réalité de qui je suis, que j'ai des peurs, des doutes.

Et en cet instant je n'ai pas peur, j'adore le regard quelle porte sur mon corps, ça me donne envie de jouer, de résister pour la provoquer. Après tout elle a fait une attaque chatouille ce qui est complètement déloyal dans un moment pareil. Mon baiser est un peu plus violent que ce que je pensais au départ mais je me suis laissée aller, et je vois à son sourire que ça ne lui a pas déplu. Les premières fois sont toujours bizarre, l'impression de marcher sur des yeux à observer ce que l'autre aime, n'aime pas. J'ai besoin de contact de sentir sa peau contre la mienne, la présence de son pantalon me contrarie fortement mais je ne suis pas en position de prendre les choses en main. C'est même plutôt l'inverse, Amy me domine, là aussi c'est un truc qu'elle saura, j'accepte de me laisser faire, chose rare en toute autre occasion. Le baiser qu'elle me donne est beaucoup plus calme que le mien mais je le prolonge le plus possible, ma langue jouant avec celle d'Amy, alors que mes mains posées sur ses fesses poussent pour rapprocher son bassin sur mien. Il y a encore des vêtements entre nous mais rien à cirer, je veux la sentir contre moi.

Mes yeux se posent sur son corps alors qu'elle se redresse. J'en profite pour me redresser moi aussi avec une idée précise de ce que je veux faire. Ok j'ai laissé Amy le dessus mais moi aussi je peux la découvrir non? Je pourrais attendre mais je ne suis pas patiente. Ayant enlevé mes mains de sous son pantalon, j'en profite pour faire le contour de ses seins, de son tatouage qui me rappelle un truc de chez moi mais c'est pas le moment d'en parler. Ma langue vient remplacer mes mains, à mon tour de gouter sa peau, je prends tout mon temps. J'avais dis que je voulais jouer, alors jouons, même si je savais que j'avais perdu d'avance face à Amy. Je n'ai pas le temps  de profiter longtemps de sa poitrine qu'elle s'écarte pour enlever le reste de mes vêtements. Je la regarde faire avec un regard avide de plus mais aussi un certaine tendresse. C'est encore un peu le bordel dans ma tête car je ne sais pas ce que toute cette nuit va impliquer pour la suite.

Franchement on peut pas dire que j'avais fais un effort pour la lingerie, bah déjà franchement je n'avais rien anticipé de tout ce qui se passait donc j'avais mis un ensemble plus confortable que sexy. Bien sur c'était de la marque mais plutôt typé sportif que femme fatale. Au moins Amy m'avait telle que j'étais vraiment, pas d'artifice pour paraitre plus désirable avec une certaine déception au réveil. Je remarque qu'elle prend son temps et je laisse faire, mais c'est très difficile, je lutte contre l'envie de finir moi même de me déshabiller pour que ça aille plus vite. J'ai pas vraiment souvenir d'avoir eu autant envie de quelqu'un , autant de lui faire l'amour qu'elle me fasse l'amour elle.  

Une fois nue devant Amy,  je retiens un premier reflexe de me cacher, mais elle m'a déjà vu nue et le regard qu'elle pose sur moi , me rassure. Je me redresse pour venir poser mes lèvres doucement sur les siennes. Mes mains remontent le long de son dos pour arriver dans sa crinière rousse. Nos poitrines sont collées l'une sur l'autre et je m'allonge à nouveau attirant Amy avec moi, sans couper ce baiser. Je me découvre plus entreprenante que normalement et surtout vraiment tendre. Je coupe notre baiser pour que mes lèvres partent à la découverte de son cou, son épaule. J'adore le gout de sa peau et j'ai hâte de pouvoir en découvrir encore plus. Je veux découvrir tous ses tatouages.
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I swear to god I never fall in love-Amy
Sam 24 Juil - 15:32
I swear to god I never fall in love-Amy - Page 3 111402504

J’ai appris sur l’tard à faire l’amour. Il a fallu qu’Hazel fasse un cauch’mar sur son passé et m’réveille en pleine nuit pour découvrir c’te pratique. Ça a été l’remède employé pour l’apaiser. C’était si grisant. On l’a r’fait souvent par la suite. Évidemment, on a baisé aussi. On a pas chassé notre naturel. J’ai quand même pris goût à c’moment. J’vois pas mieux pour notre première fois entre Bri et moi. J’ai pas envie d’la considérer comme une conquête sans lend’main. Elle est tout sauf ça. Et même si d’main ça pète entre nous, j’aurai toujours b’soin d’elle à mes côtés. J’en suis convaincue. La situation semble pas la déranger. J’me fous d’me montrer sensible d’vant elle. J’ai rien à lui cacher. J’ai pas peur d’être moi-même en sa compagnie. J’le suis pas en temps normal d’toute façon. Disons qu’j’crains pas son jug’ment. Elle sait comment j’suis. Mes qualités et mes défauts ont plus d’secrets pour elle. J’crois même qu’mon enragée en savait pas autant sur moi. La sensualité est l’une d’mes facettes. Ça lui déplait pas à la miss même si j’sens qu’son impatience bouillonne. J’veux pas m’presser. On a trente minutes à écouler. C’long. En vrai, les lasagnes sont l’cadet d’mes soucis. J’y pense même plus malgré l’agréable odeur qui provient d’ma cuisine. Mon unique centre d’intérêt, c’t’elle. C’la seule chose qui compte en l’instant. L’toit d’mon appart pourrait tomber qu’j’en aurai rien à foutre. J’la protég’rai d’mon corps. J’f’rai tout pour elle. Sa vie avant la mienne. Elle a un objectif à réaliser Un superbe rêve. Mon existence est plus banale. Si faut choisir entre nous deux, c’lair’ment elle qu’j’sauv’rai.

Il peut pas en être autr’ment. Encore moins quand j’l’admire nue. Elle est si belle. Mon appétit grandit. Ça s’ressent dans mes baisers. Ils s’ont plus voraces en restant doux. Nos poitrines s’saluent via nos tétons. Les frictions les érigent. Bientôt j’aurai deux tours dressées pointées d’excitation. Bri s’attaque à mon cou. Ses lèvres m’dévorent avec tendresse. Elle aussi cache bien son jeu. Derrière ses airs d’rebelle, elle est délicate dans l’intimité. J’ronronne sous ses baisers. Des frissons hérissent les poils d’mes bras. Ses lèvres dégustent ma peau tatouée. Les miennes émettent des sons d’plaisir. J’ai perdu la main. C’pas bien grave. C’même sans importance. Elle peut m’faire c’qu’elle veut. J’ai pas d’veto à émettre pour l’instant. J’dois pas en avoir tout court dans l’sexe. Tant qu’ça part dans des délires chelous j’accepte tout. Tant qu’elle jouera d’sa langue sur mon corps, j’vais pas la stopper. Elle m’rend folle. J’en veux plus. Mais j’veux pas m’précipiter. Lent’ment, j’commence à remuer mes jambes. J’frotte délicat’ment mon genou contre son entrejambe. Y a pas qu’moi qui dois gémir. J’adore tant sa voix. J’tiens à la découvrir pendant l’orgasme. C’pas pour tout d’suite. L’explosion ultime est pas pour les prochaines s’condes. J’amuse juste avec ses nerfs et sa libido. J’reste une peste. Une gentille peste mais une peste quand même. D’un coup, ça vibre dans mon futal. C’son portable dans ma poche. Ça m’emmerde à fond. J’arrive plus à m’concentrer. J’me r’dresse, obligeant sa bouche à quitter mes dessins d’encre. J’le sors d’mon futal. J’mate pas qui l’a appelée. J’m’en bats les ovaires. J’le balance direct sur mon fauteuil. Mait’nant il peut vibrer, il m’emmerd’ra plus.

J’profite d’ma position pour virer l’mien. L’souci réglé, j’ai plus qu’à r’tourner la déguster. Une idée traverse mon esprit. Ag’nouillée entre ses cuisses, j’fixe ses yeux pendant qu’j’déboutonne mon froc. J’lui dévoile un aperçu d’ma culotte. C’pas ouf, c’juste une culotte blanche ordinaire. J’sortirai la ling’rie sexy plus tard. Elle m’verra dans mon ensemble rouge en dentelle à moitié transparente. J’l’ai ach’té pour Hazel. J’ai pas eu l’temps d’le porter avant sa mort. Bri s’ra la première. J’espère qu’elle l’aim’ra. J’abaisse mon bas sur mes cuisses. Puis j’me lève afin d’le faire coulisser jusqu’à mes ch’villes. Me v’là d’bout en culotte d’vant Bri. Elle peut mater mes tatouages au niveau d’ma taille. Et encore, un est camouflé par l’tissu. Malicieus’ment, j’l’écarte pour l’afficher. La footeuse à tout l’loisir d’voir c’te lotus noir au-d’ssus d’mon aine. En soi, elle l’a déjà vue. J’ôte rapid’ment c’te pièce d’tissu inutile mouillé. En t’nue d’Eve, j’reviens vers Bri. J’attrape sa main et la passe sur ma fleur imprimée. Après, j’m’allonge sur elle. C’coup-ci, y a plus rien pour empêcher l’contact direct d’nos peaux brûlantes. Des flammes naissent à ma surface et dans l’creux d’mes reins. J’me faufile dans son cou. Mes incisives la grignotent amoureus’ment jusqu’à mordiller l’lobe d’son oreille. Mes mains r’prennent leur balade. Ma droite serpente sur son ventre, descendant jusqu’à l’entrée d’son antre charnelle.
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Brianna Norris
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Jeu 29 Juil - 19:17
Amy a raison quand elle dit que je suis accroc à mon portable, normalement quand il sonne je réponds de suite ou lis le message. Entre mes jeux et insta, je passe énormément de temps sur mon tel pourtant là quand il sonne , enfin vibre ça me dérange car le corps d'Amy s'éloigne de mes lèvres et ça me contrarie. Si elle l'avait pas envoyé voler c'est moi qui l'aurais fais. Dans certaines situations j'aime quand mon tel reste silencieux. L'interruption du téléphone aura eu un effet sympa, celui de voir Amy se déshabiller sous mes yeux. J'en profite autant que je peux, la vue est magnifique. Comme moi elle ne portait pas de la lingerie sexy et franchement je m'en fous royal. J'étais peut être bizarre mais j'accordais assez peu d'importance à la lingerie de mes partenaires. Et encore moins quand j'avais des sentiments pour la personne en face moi. Je la trouvais sexy via son attitude, ce qu'elle dégageait, ce qu'elle était et pas ce qu'elle portait.

Mon regard fut attiré par les tatouages, la dernière fois que je les avaient vus on peut pas dire que j'étais en super état physique. Je retenais ma main de se poser sur sa peau pour les toucher, son lotus était aussi caché que mon phœnix en temps normal là les deux étaient à la vue de l'autre. Je sais que parfois les gens ne voulaient pas parler de leurs tatouages mais à mon avis on avait passé le stade de simples connaissances et puis savoir pourquoi elle avait tel ou tel motif me permettait d'encore mieux la connaitre. Quand elle est enfin nue mon regard pétille de malice et de désir et aussi à croire qu'elle lit dans mes pensées en posant ma main sur son tatouage. Si vraiment elle lit dans mes pensées, elle doit savoir tout ce que j'aimerais faire avec elle pendant les prochaines minutes. Je ne pensais pas plus loin car il me fallait encore du temps pour tout bien accepter. Mes doigts effleurèrent le tatouage, cherchant à lui provoquer des frissons, j'aimais beaucoup voir sa peau réagir sous mes doigts.

Sentir son corps entier nu contre le mien est enivrant, je resserre mon étreinte sur elle, la douceur domine ce moment et c'est parfait pour moi. Mon assurance grandit peu à peu, bien aidée par les baisers et caresses d'Amy, mon corps bougeant sous le sien, cherchant encore plus de contact. Je pousse un petit cri de surprise à la légère morsure puis je rigole. Il me semble entendre encore mon téléphone vibrer mais je pense que je rêve ça doit être ma circulation sanguine qui tape à mes oreilles parce qu'elle s'est accélérée. Circulation qui s'accélère encore plus alors que la main d'Amy atteins mon intimité. Nouvelle étape de confiance que je dois franchir. Je réalise un peu durement qu'en fait j'ai rarement été à l'aise dans l'intimité, souvent j'étais un peu alcoolisé, juste ce qu'il faut pour lâcher prise.

Je fermais les yeux un instant, quand je les ouvrais à ouvris à nouveau c'était pour plonger mon regard dans celui d'Amy. Je ne sais pas trop ce que j'y cherchais, mes lèvres fondirent sur les siennes pour un baiser intense, ma langue venant chercher la sienne pour jouer, se caresser. Mon bassin bougea aussi cherchant encore plus le contact de la main d'Amy. A nouveau c'était elle qui avait repris le dessus et c'était très bien. Je lâchais ses lèvres à regret pour reprendre mon souffle et la regarder tendrement. Je ne contrôlais pas certaines réactions, être douce et tendre avec elle me venait naturellement, je ne cherchais pas à prouver que je valais mieux que la réalité. Je savais que je serais en dessous de beaucoup de ses conquêtes mais je savais aussi que j'allais m'améliorer et vite.

Je n'allais pas laisser mes mains sans rien faire, toujours sans la lâcher du regard et avec un sourire en coin sur mes lèvres, mes mains descendirent le long de sa colonne vertébrale, arrivant dans ses reins. Je les faisais trainer et arriver petit à petit sur ses fesses, ses formes allaient parfaitement avec mes mains et je découvris la douceur de sa peau. Ce n'était pas facile de rester un brin provoquante alors que la main d'Amy était en train de me rendre folle d'impatience.
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I swear to god I never fall in love-Amy
Jeu 5 Aoû - 19:40
I swear to god I never fall in love-Amy - Page 3 111402504  I swear to god I never fall in love-Amy - Page 3 111402504  I swear to god I never fall in love-Amy - Page 3 111402504

J’compare jamais mes amantes. Chacune est différente. J’vis pas les mêmes sensations lorsqu’j’m’envoie en l’air. J’les vis pas non plus pareilles avec la même part’naire. Chaque moment intime apporte son lot d’émotions. En c’sens, j’compar’rai pas Bri et Hazel. J’irai pas jugé les performances sexuelles d’la rousse vis-à-vis d’la blonde. J’l’aime. J’me fous d’son niveau. Si on peut parler d’niveau. J’lui d’mande rien hormis être elle-même et d’prendre du plaisir. J’veux surtout pas qu’elle prenne l’acte comme une contrainte. J’tiens à c’que ça soit un reflet d’notre complicité. J’irai pas contre ses envies. J’respect’rai ses choix. J’lui apprendrai sûr’ment des trucs aussi. J’explor’rai son corps en long, en large et en travers. J’cherch’rai c’qui la fait la plus vibrer, c’qui lui f’ra s’casser sa voix tant elle gémira fort. J’ai d’jà des brides d’infos d’puis nos rencontres. J’sais qu’elle aime quand mes mains parcourent ses flancs. S’faire dévorer semble pas trop la déranger non plus tant elle s’frictionne contre moi. J’me délecte d’sa peau et d’ses sons. J’pourrai l’écouter des heures gémir. C’bien loin d’nos piques habituelles. C’pas pour m’déplaire. J’adore entendre ses notes gémissantes. Ça prouve qu’elle prend son pied. Sauf si elle simule mais j’en doute. C’pas l’genre d’la maison. Puis ma main sur son intimité prouve qu’elle est sincère. La moiteur d’la zone ment pas. Elle est excitée. L’savoir amplifie ma propre excitation. Mon envie d’elle grandit davantage. Et c’pas ses mains sur mes fesses qui vont modérer la chose. Elle découvre une d’mes faiblesses avec ses caresses. J’kiffe quand on s’occupe d’mes fesses. C’t’un endroit d’mon anatomie très érogène. Manqu’rait plus qu’elle les gifle un peu où les griffe avec ses ongles pour rendre folle. Enfin, j’veux dire plus folle que j’le suis d’jà.

J’me garde bien d’lui dire. C’t’a elle d’me tester. J’ignore si c’son délire égal’ment. Elle a l’droit d’préférer rester tendre. J’irai pas m’plaindre. Tout m’convient tant qu’elle m’délaisse pas. Elle parait pas prête à l’faire. Elle r’pêche ma langue dans un baiser langoureux. Elle est pas passive, c’t’appréciable. Elle a perdu non plus son air d’peste. Son sourire est empli d’malice. Elle fait la maligne. J’écarte mes lèvres en l’observant. Elle peut lire l’vice sur mon visage. Et en bonne vicieuse, j’retourne capturer sa bouche. J’lui roffre une valse langoureuse. Sauf qu’c’t’une distraction. Pendant que nos papilles s’amusent, j’coulisse mon index dans son antre. L’humidité rend l’intrusion facile. J’commence de lents va-et-vient. J’visite la cavité en quête d’points sensibles. Et si vous vous dites qu’elle peut pas exprimer son plaisir, c’faux. J’suis apte à entendre ses complaintes s’étouffer dans l’fond d’ma gorge. Puis y a l’langage corporel. Suivant ses mouv’ments, ses tortill’ments, j’saurai si j’suis efficace. Désirant gagné en efficacité just’ment, j’joins mon majeur à la fête. Mon duo digital glisse en elle. A la rupture du baiser, mes prunelles ardentes détaillent son visage. J’admire ses traits grimaçants sous l’action d’mes amis digitaux. Elle est encore plus belle malgré la déformation d’sa bouille. Une mèche d’ma tignasse tombe sur sa joue. J’tente d’la chatouiller avec avant d’la dégager d’ma main d’libre. Continuant la danse d’mes doigts, j’fonds sur son cou. J’m’en délecte délicat’ment. J’diversifie les stimulations pour la faire grimper dans les cieux. Mon but ultime est d’la faire jouir. J’ai envie d’la voir terrassée sous la joie orgasmique, lâchant complét’ment prise.  

J’me d’mande si elle s’ra du genre bruyante. Ça f’rait marrer qu’elle gueule et agace ma voisine. C’p’t-être moi qui s’mont’ra vocale. J’doute qu’Bri en reste là. Elle m’parait pas être soumise. Et encore moins égoïste. Elle oubliera pas mon plaisir. Bien qu’j’prends énormément à lui en donner, j’présume qu’elle voudra m’rendre la pareille. En attendant, c’moi qui la savoure. En gourmande qu’j’suis, j’en veux plus. J’vire mes doigts trempés d’son intimité. J’entame ma descente sur son corps. J’parsème d’baisers sa peau. J’me régale d’la douceur d’son épiderme. Elle est si délicieuse qu’elle f’rait passer la bière pour d’la piquette. J’finis par avoir ma tête au-dessus d’son intimité. J’plante mes iris dans ses opales. Les flammes qui s’y trouvent témoignent de mes intentions. Elle les a probabl’ment d’vinées. J’embrasse son pubis. J’humecte son odeur. Elle sent terribl’ment bon. Mais c’qui m’intéresse, c’son goût. Alors j’dégaine ma langue et j’fonce sur son bourgeon. J’le titille d’la pointe d’mon morceau d’chair. Puis j’lui assène des léchouilles plus appuyées. J’enroule un bras autour d’sa cuisse. Hors d’question qu’elle s’échappe. J’poursuis mon œuvre, m’activant délicat’ment sur cet appendice gonflé. C’qu’il est délicieux. Bien meilleur qu’des lasagnes ou qu’un banana split. Y a pas meilleur r’pas qu’c’lui formé d’la personne qu’on aime. Et Dieu sait qu’j’l’aime même si j’suis athée mon amour d’footeuse. Mon amour d’démon.
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Brianna Norris
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Brianna Norris
I swear to god I never fall in love-Amy
Ven 13 Aoû - 15:55
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Je me rendais compte que c'était très différent de coucher avec quelqu'un et de faire l'amour. Le deuxième mêlait les sentiments c'est comme si dans cette situation le cerveau et le cœur ne s'arrêtaient pas de fonctionner et parfois devenaient une part importante des sensations ressenties. Coucher pour coucher pour moi c'était comme aller à l'entrainement, seul mon corps travaillait, le reste était totalement éteins. Là c'était comme disputer une finale et être à égalité à 5minutes de la fin du match, tout était décuplé. Je n'avais jamais ressenti ça, je ne contrôlais plus rien. Chaque baiser, chaque caresse j'avais l'impression de tout redécouvrir.

On se découvrait mutuellement et j'avais l'impression d'être comme un livre ouvert pour Amy, je ne cachais rien par contre j'essayais quand même de la provoquer, de jouer un peu. Je n'étais à l'aise que comme ça, seulement à chaque baiser que je voulais joueur elle me répondait aussi et je m'y perdais. J'avais l'impression d'être une fille normale, qui était tombée amoureuse d'une fille géniale et qui se rendait compte dans ce moment que la femme qui lui donnait autant de plaisir était devenue plus importante que le foot. Sa langue et la mienne ne se fuient pas, finis de jouer. Ce baiser est délicieux et son but fonctionne parfaitement car mon attention est ailleurs quand je sens son doigt en moi , un léger gémissement s'échappe de mes lèvres pour mourir dans sa gorge. J'ai un rapide moment de gène mais qui se barre loin avec toutes ses sensations de plaisir.

Je bouge sur le canapé, mon bassin accompagnant ses doigts , je change ainsi légèrement l'inclinaison de mon bassin pour lui faciliter la tâche, seulement je commence à trouver le canapé trop étroit et ça m'énerve. Je n'ai pas trop le temps d'y penser, je préfère relever légèrement ma tête pour venir à nouveau capture les lèvres d'Amy dans un nouveau long baiser. Enfin que j'aurais cru long mais je me gourais, Amy avait apparemment décidé autre chose. Je la regarder embrasser mon corps et descendre toujours plus bas. Dire que j'étais excitée de ce qu'elle allait faire était encore loin de la vérité. Merde j'avais vraiment rarement autant désiré quelqu'un.

Le regard qu'on s'échange est, bah en fait j'ai pas de mots pour le qualifier puis bon les mots c'est pas mon fort. On y laisse passer tout le désir, l'envie de l'autre. Mais si j'avais pensé garder quand même genre un chouilla de contrôle sur moi même et le volume de mes gémissements je m'étais lourdement plantée. Sa langue était une peste pire que sa propriétaire car je décollais rapidement et si je voulais bouger je ne pouvais pas Amy m'avait bien bloqué. Mes gémissements emplissaient la pièce, mes mains cherchaient à quoi s'accrocher et ma victime fut le tissus du canapé. Heureusement que je n'avais pas des ongles longs car je l'aurais bien abimé. J'avais perdu pied, Amy avait réussit à renverser la pro du contrôle que j'étais mais comment je pouvais résister à la personne que j'aime quand elle me fait prendre un pied d'enfer? Je ne voulais pas que ça s'arrête, je pense que tout le voisinage pouvait savoir quelle était notre activité, enfin au moins les plus proches.

Je commençais à avoir un peu mal à la gorge, ma température corporelle battait des recors, mes mains avaient abandonné le canapé-qui me remerciât- pour se poser sur ma poitrine. L'orgasme arrivait, même si ça faisait longtemps je me rappelais encore à quoi ça ressemblait. Pendant quelques instant je ne sentis plus mon corps mais en même temps j'étais consciente de tout mon corps, curieuse sensation. Je me reposais sur le canapé quelques secondes après ce tsunami intense et puis me libérait des bras d'Amy pour me lever du canapé.

Je restais imprévisible, je la pris dans mes bras pour la soulever du canapé et la porter dans le lit. Et oui j'étais costaud et la porter ne demandait pas d'effort pour moi. Le canapé était trop étroit, je voulais avoir de la place. Je l'allongeais et m'allongeais sur elle venant l'embrasser. Ce baiser était à nouveau intense et un peu perturbant pour moi car je percevais mon gout sur ses lèvres. Je me redressais pour la regarder nue offerte à moi, elle était magnifique. Je laissais mon index parcourir les lignes de son tatouage au dessus de sa poitrine. Ma langue vint suivre mon index sur son dessin encré. J'allais prendre mon temps pour la découvrir, savoir ce qu'elle aimait, n'aimait pas, l'entendre gémir et surtout lui montrer à quel point elle comptait pour moi.
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Ven 20 Aoû - 18:38
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Bri la ramène moins d’un coup. Ou plutôt, elle la ramène plus mais différemment. Elle braille plus ses piques provocantes. Les seuls sons qui sortent d’sa bouche expriment son plaisir. J’l’aurai pas crue aussi expressive. J’vais pas m’en plaindre. J’dirai même qu’j’adore ça. J’me régale à entendre sa voix gémissante voire hurlante sous mes assauts linguaux. A c’niveau, y a plus d’querelle sur nos goûts musicaux. J’lui d’mande pas car j’suis occupée mais j’suis certaine qu’elle s’rait d’accord sur l’fait qu’elle fr’donne la plus belle musique du monde. Y a pas meilleure chanson qu’la mélodie d’une femme qui prend son pied. J’poursuis mes assauts sans r’lache. J’suis bien décidée à lui offrir une extinction d’voix. Si ça arrive vraiment, j’me muerai en son infirmière personnelle. J’ai l’remède idéal pour guérir c’problème. Il faut embrasser la malade langoureus’ment. Comment ça c’pas prouvé scientifiqu’ment ? C’pas important. J’sais qu’ça marche d’ma propre expérience. Mais j’en suis pas encore là. Bri est encore bien bruyante. Son corps s’tortille sous mes coups d’langue. Ses mains cherchent un point d’accroche. J’envisage un instant qu’elle va s’perdre dans ma crinière. Mauvaise pioche. Mon canapé fait les frais d’ses ongles. Elle m’rend folle à être féline comme ça. J’accentue ma prise autour d’ses jambes. J’libère ma fougue à son paroxysme. J’m’arrête à son orgasme. C’qu’elle est belle tremblotante, l’visage grimaçant par sa jouissance, l’corps en sueur. Mon r’gard est plus amoureux en l’admirant. Elle a plus rien d’superficielle. C’la Bri naturelle, sans artifice, sans masque. Vulnérable.  

Sur l’point d’r’monter embrasser ses lèvres, elle s’dégage et s’lève. J’arque un sourcil interrogateur. J’comprends pas là. J’ai pas l’temps d’prononcer l’moindre mot qu’elle m’kidnappe. Ma v’là porter telle une princesse. J’en souris tant ça m’amuse. En théorie, c’moi qui d’vait la porter d’cette façon. J’me d’mande c’qu’elle compte faire. Pour sûr, elle va pas m’trimballer comme ça longtemps. J’ai pas sa silhouette d’sportive. Sans être obèse, j’ai l’poids des bières et des pizzas englouties régulièr’ment dans mes hanches et mon bide. J’suis d’ailleurs surprise qu’elle ait réussie à m’soul’ver si facil’ment. C’t’à croire qu’l’amour déculpe les forces. Elle prend la direction d’ma chambre. Elle a du bol, j’l’ai rangée hier. J’avais pas l’choix. J’arrivais plus à faire un pas sans marcher sur un vêtement. J’me r’trouve allongée sur mon lit. Bri joue les couvertures humaines, rendant ma peau plus brûlante qu’elle l’était d’jà. Elle capture ma bouche. Un nouveau ballet est dansé par nos papilles. A sa rupture, elle s’amuse avec ma poitrine d’son index. C’contact m’donne des frissons. Elle est si douce. Mes seins gagnent en volume. Leurs pointes s’érigent telles deux buildings d’cinquante étages. Un ronronn’ment quittent mes lèvres. Mes dômes sont une zone sensible. La fourbe r’dessine mon tatouage. C’cad’nas qui a tant d’signification. J’ai verrouillé mon cœur. Hazel l’a rouvert. Et maint’nant, c’t’elle qui réalise c’t’exploit. Elle l’ignore. Elle connait pas ma vie sentimentale hormis mon passé avec mon enragée. On a tell’ment à s’confier.

Ça attendra d’main. Ou après-d’main. J’ai mieux à faire. Comme savourer ma dégustation. Car elle a viré son doigt pour l’remplacer par sa langue. J’ai mis deux s’condes à inonder ma piaule d’gémiss’ments. C’rare qu’je fasse dévorer. J’suis plus la prédatrice qu’la proie dans mes rapports. C’te meuf fout en l’air tous mes principes. Elle est en train d’me r’tourner l’cerveau. Est-ce si grave ? Y a pas d’règles dans l’sexe. Si c’n’est d’prendre du plaisir. Et là, c’carrément l’cas. J’suis telle une marionnette au service d’un marionnettiste. J’me laisse faire sans broncher. Ses talents sont indéniables. Ma tête bascule arrière. Mes griffes serrent mes draps. J’tire d’ssus pour ralentir mon décollage. J’veux profiter un maximum d’ses compétences. Mon corps s’cambre sous ses actions. Mon bassin bouge sensuell’ment. J’cherche à m’frotter contre elle, à multiplier les contacts. J’suis en ébullition. J’ai certain’ment les joues rougies par l’échauff‘ment d’mon être. J’en veux plus bordel. C’pendant, j’veux pas la brusquer. Ma main droite s’décroche des draps. Elle file s’perde dans sa chev’lure soyeuse. Plutôt poisseuse en l’état. D’ma frêle prise, j’exerce une légère pression sur l’arrière d’son crâne. J’dirige sa bouche sur un d’mes tétons dressé d’excitation. C’ma manière d’lui dire qu’j’désire qu’elle l’mange. J’souhaite vibrer pour elle. Moi aussi j’veux casser les oreilles d’ma voisine. J’veux crier à quel point j’l’aime. Pas en prononçant les trois mots magiques par contre. J’en suis pas encore capable. Ça viendra un jour. J’en suis persuadée. Elle m’libér’ra d’mes démons internes. Et elle aura l’exclusivité d’ma face démoniaque.
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Brianna Norris
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Brianna Norris
I swear to god I never fall in love-Amy
Dim 29 Aoû - 21:16
I swear to god I never fall in love-Amy - Page 3 111402504 I swear to god I never fall in love-Amy - Page 3 327847847 I swear to god I never fall in love-Amy - Page 3 111402504

Je suis du genre directive dans ma vie car dans le milieu du sport professionnel si on ne sait pas se faire attendre on est foutus. Combien de bonnes joueuses j'ai vu arrêter car elles ne sont pas arrivées à se faire remarquer? Dans la vie il faut savoir ce qu'on veut et ne rien lâcher qu'importe ce que les gens peuvent nous dire. Ou faire contre nous. Je venais aussi de découvrir que je savais aussi ce que je voulais dans le sexe, enfin non c'était pas vraiment ça...rohh et puis merde, c'était pas simple de raisonner normalement dans un tel moment. Là je savais parfaitement ce que je voulais, je voulais la faire décoller, craquer un peu son armure. Lui faire perdre le contrôle, mais aussi découvrir son corps à mon rythme et à ma manière.

Ca commençait par la découverte de ce tatouage, peut être qu'un jour je lui demanderais la signification mais ce n'était pas sûr. Pour l'instant je découvrais la douceur de sa peau, je m'amusais à voir les frissons parcourir son épiderme. Mais c'était encore mieux de gouter sa peau avec ma langue, de jouer avec les lignes du dessin et d'observer les réactions de son corps. Je souris en coin de la voir apprécier. Je voulais vraiment prendre mon temps car Amy était importante pour moi, je voulais vraiment observer chaque réaction de son corps. Déjà j'avais compris que jouer un peu avec elle était une piste car je la voyais se tortiller dans le lit et torturer ces pauvres draps. Je la laissais aussi me montrer ce qu'elle voulait que je fasse, ce qu'elle aimait. Elle ne s'en doutait pas à cet instant car elle ne pouvait pas le savoir mais que je fasse quelque chose pour quelqu'un était un signe à quel point elle comptait pour moi surtout dans un moment intime.

Et puis comment dire non quand une belle femme voulait que je m'occupe de sa poitrine? Oh j'en aurais été capable mais pas pour Amy. Je pense qu'elle pouvait me demander ce qu'elle voulait et rien que de réaliser ça me faisait peur, mais je chassais ces pensées. Mon naturel de peste n'était quand même pas parti complètement, je restais donc allongée sur elle ma tête posée sur son ventre affichant un sourire en coin. Est ce que j'allais faire ce qu'elle voulait ou pas? Mes doigts effleurèrent ses seins, mémorisant leurs formes, puis je daignais me relever un peu, j'avais assez joué.

Ma langue vint titiller son mamelon offert devant mes yeux. Je voulais moi aussi l'entendre gémir mais aussi la rendre dingue. Je sais que je risquais de payer cher ce choix mais j'aimais jouer avec le feu. Je prenais vraiment mon temps...j'aurais été à la place d'Amy j'aurais dégoupillé. Mais jouer c'était cool un moment seulement, je posais mes lèvres sur un sein , ma main se posant sur le deuxième. Hors de question d'en laisser un à l'abandon. Je dévorais ce mont de chair offert, je pris délicatement son téton entres mes dents et tirait dessus. Mes lèvres abandonnèrent un sein pour aller vers l'autre, j'adorais le gout de sa peau, la forme de sa poitrine que ma langue parcourait sans relâche.

Je finis quand même par les abandonner avec regret, mais j'en voulais plus. Je voulais plus l'entendre gémir, j'embrassais son ventre, descendant lentement vers son intimité. Je n'y allais pas directement, mes lèvres allèrent découvrir la peau douce de l'intérieur de ses cuisses. J'étais à présent allongée sur le lit entre les jambes d'Amy. Je dégageais mes cheveux sur un côté, remontait mes mains à plat sur son ventre pour les poser sur ses seins, que j'attrapais pas très doucement. Au même moment ma langue vint découvrir cette partie du corps d'Amy que j'avais hâte de découvrir. Elle était à ma mercie et je trouvais ça très excitant. Ma langue explorait son intimité, je scrutais aussi ses réactions. Le niveau de ses vocalises était un bonne info et je la sentais bouger sous mes mains qui continuaient à caresser sa poitrine, sauf que comme ça elle n'allait pas décoller.

J'enlevais mes mains de sa poitrine pour en poser une sur son bassin la bloquant dans ses mouvements. Mon majeur qui normalement me sert à exprimer d'autres types de sentiments envers les gens, cette fois fut utiliser pour des choses bien plus agréables, il vint aider ma langue à faire décoller ma rousse. Je découvrais avec Amy ce que voulait dire faire l'amour et j'adorais ça, j'adorais l'entendre gémir, j'adorais son gout, son corps.
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Dim 12 Sep - 10:03
I swear to god I never fall in love-Amy - Page 3 111402504

Y a plus d’barrière là. J’me mets à nue d’vant Bri. Et j’dis pas ça car j’suis à poil. J’suis vulnérable, à sa merci, livrée à son bon vouloir. J’m’offre à elle. Plus qu’mon corps qu’elle explore, j’lui ai donné mon âme. C’t’un sacré cadeau. J’espère qu’elle a conscience d’son côté exceptionnel. Elle m’a ouvert le cœur. C’déjà un exploit en soi. Mais elle a fait mieux qu’ça la fourbe. Elle s’est implantée à l’intérieur. Elle y a posé ses valises et a emménagé. Et j’peux plus la déloger. J’en ai pas envie. Au contraire. J’f’rai tout pour la garder à c’te place. J’suis pas attentionnée par hasard. J’suis une Rise. C’qui implique qu’j’sais pas montrer mes sentiments. Par contre, j’sais gémir. Et la footeuse m’arrache des gémiss’ments. Elle dorlote ma poitrine. Non sans m’frustrer au passage. C’en est qu’meilleur. Qu’elle m’nargue pendant qu’elle l’peut. J’me veng’rai. J’lui montr’rai qui est la plus peste d’nous deux. J’me laiss’rai pas battre par une jeune merdeuse. En attendant, c’t’elle qui gagne l‘combat. J’suis agitée et bruyante. Mes seins grossissent sous ses attentions. Elle parait si expérimentée. Elle cachait bien son jeu la fausse prude. Ou elle est juste douée. Sa langue est habile en tous cas. J’frissonne à ses passages. Les fins poil d’ma peau s’hérissent sous ses papilles. J’inonde mes draps d’mon nectar charnel. J’suis tout simpl’ment en train d’prendre mon pied. C’grisant d’faire l’amour. On a pas encore fini qu’j’ai déjà envie d’recommencer.

Bri découvre une Amy vulnérable. J’ai plus aucune défense. L’cad’nas tatoué a sauté. J’suis à elle. Elle en profite et m’explore. Mes dômes sont délaissés pour la source de l’inondation. J’sers fort mes draps quand elle l’effleure d’sa langue. J’me cambre à m’en briser l’dos. « Putain ! » L’juron est sorti tout seul. Les yeux fermés, j’me régale des sensations qu’elle m’procure. Elle les multiplie, rev’nant sur mes monts d’chair proche d’l’explosion. La douceur d’ses paumes contraste avec la fureur d’sa langue. Elle s’donne à fond. J’gravis les cieux à une vitesse folle. L’septième est proche. J’aperçois la porte. Dans mon esprit, j’tends ma main pour saisir la poignée. J’ai l’bras trop court. Faut qu’elle m’aide. Comme si elle était télépathe, elle accède à ma requête. Elle glisse un doigt dans mon antre. Ses va-et-vient décuplent mes forces et mes vocalises. J’en arrive à toucher du bout des doigts la poignée. Et lors d’une pénétration profonde, elle appuie sur mon point G. J’réunis mes forces d’un coup et défonce l’battant d’un coup d’latte puissant. Mes jambes tremblotantes, la décharge orgasmique parcourt mon être. J’ai pas l’souv’nir d’avoir connu aussi violente jouissance. Pas même avec Hazel. J’prends d’longues s’condes à récupérer. Allongée sur l’dos, ma respiration est hal’tante. J’finis par r’dresser ma tête. Un large sourire illumine mon visage. J’attrape l’bras d’ma part’naire démoniaque. J’la fais r’monter à ma hauteur afin d’l’embrasser langoureus’ment tendr’ment.

Puis j’la fais pivoter sur l’côté. J’me positionne sur l’flanc, l’coude planté dans l’mat’las, ma main servant d’appui-tête, l’autre qui ch’mine sa poitrine avec mon index. « T’es belle… » C’niais à souhait. L’euphorie ça fait dire d’sacrées conn’ries. A c’rythme-là, j’vais lui sortir qu’j’l’aime. Heureus’ment qu’j’me contrôle encore un minimum. J’remonte sur sa joue. J’caresse sa pommette avec mon pouce. La sonn’rie d’mon four vient rompre c’t’instant affectueux. J’la maudis sur l’coup alors qu’elle sonne par ma faute. C’moi qui l’ai programmé. J’voulais pas raté l’heure et foirer les lasagnes. C’pendant là, j’ai clair’ment pas envie d’lever mes fesses. J’ai en rien à foutre qu’elles crament. On s’command’ra à bouffer. J’enlace passionnément mon amante. « Si t’as faim, tu vas d’voir m’passer sur l’corps. », qu’j’souffle chaud’ment à son oreille. Un rictus orne mon visage. J’la sais addict à la nourriture. Elle était pas loin d’s’engloutir l’plat pendant sa préparation. J’serre douc’ment mon étreinte. J’utilise mon corps pour la bloquer. J’mitraille son cou d’baisers. J’fais tout pour qu’elle reste avec moi et lui faire oublier sa gourmandise. « J’te propose une douche et on mange. », murmure-je à son tympan même on a déjà mangé l'dessert. Après l’effort, une bonne douche nous f’rait du bien. Elle m’a fait transpirer la diablesse. J’ruisselle d’sueur. C’pas très glamour. Puis prendre une douche en duo est un bon moyen d’développer notre complicité. J’vais lui montrer comment j’sais frotter l’dos… Oui, c’possible qu’j’aie encore faim d’elle. C’qu’elle est addictive la donzelle. Un poison fort agréable qui coule désormais dans mes veines. Un poison nommé amour.
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Brianna Norris
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Ven 17 Sep - 16:07
L'entendre gémir est ma récompense mais je pense que je préfère encore quand je la sens se cambrer avec le plaisir. J'affiche un sourire satisfait en l'entendant jurer, niark niark je l'ai eu et je suis fière de moi. C'est peut être la première fois de ma vie que je prends mon pied à donner du plaisir, comme quoi tout ce qu'on m'a dit sur les sentiments était vrai, ça changeait tout. Mais toutes les bonnes choses ont un fin, enfin là dans ce cas là précis dans ma tête c'est juste une pause, je comptais bien faire la deuxième mi temps, je n'allais pas me laisser d'elle aussi vite. Je remontais et répondis à son baiser. Amy avait changé, je la trouvais ..bah je sais pas en fait car je trouvais pas mes mots pis là en plus comment dire que mon neurone survivant était hors service.

Ce qui changeait le plus pour moi ce n'était pas vraiment l'acte en lui même, même si là j'avais découvert de nouvelles sensations mais c'était ce moment après de calme, et d'intimité. Je ne dis qu'en général je faisais comme les mecs à m'endormir mais je filais de suite me doucher, pour me rhabiller et me casser de là où j'étais. Je n'étais pas à l'aise à rester nue devant quelqu'un quand l'acte était passé et j'appréciais encore moins ces débilités d'après. La douceur ça n'avait jamais été mon créneau pourtant avec Amy tout était remis en question. Je me comportais différemment et ça ne me dérangeais pas, pour moi c'était naturel. Je rigolais doucement à son compliment et répondis seulement "Je sais". Fallait quand même vraiment pas croire que j'allais devenir mielleuse à renvoyer les compliments, je restais moi et puis elle avait raison non? donc autant lui confirmer ça. J'affichais quand même un air très fière de ma répartie. Je passais mon index sur son tatouage de cadenas. "Tu sais que ton tatouage de cadenas me fait penser à un symbole important en Irlande, mais je sais plus ce que ma mère m'a dit à ce sujet, je crois qu'à la place du cadenas y'a un cœur."

J'étais pas la meilleure pour la mémoire mais je me rappelais bien de ça, que ça avait de l'importance pour là bas et je crois même l'avoir en bague quelque part dans ma chambre. J'entendis aussi le bip du four et je relevais la tête d'un air intéressé. Ben hein après l'effort le réconfort non? c'était mon créneau et puis là je réalisais que cette bonne odeur envahissait l'appartement. "C'est un défi?" Même si vraiment j'étais trop bien dans ses bras pour vouloir bouger, rien que l'idée du défi allait me motiver à m'échapper. Et puis avec grand plaisir de lui passer sur le corps, ce n'était pas une menace qui faisait peur bien au contraire. Là je suis dans une position délicate, partagée entre l'envie de rester là surtout avec autant de baisers et de caresses mais aussi l'envie de ne pas faire ce qu'on me dit et donc aller voir où en étaient ces lasagnes.

"La dernière fois qu'on a pris une douche toutes les deux ça s'est terminé avec une salle de bain inondée et nous par terre, tu veux re tenter le coup? " Vegas était le voyage le plus fou que j'ai fais et pourtant je pars tous les ans à Miami entres amis. Je ne sais même plus pourquoi on s'était retrouvé dans une douche mais je me rappelle bien de la suite. Je pose mes lèvres chastement sur les siennes et arrive à m'échapper de son étreinte pour sortir du lit. Je lui tends la main pour l'inciter à me rejoindre. Je ne suis plus du tout gênée d'être nue devant elle, en attendant qu'elle me rejoindre, je vois mon reflet dans un miroir et je vois ce tatouage de louve. Je n'aurais jamais cru qu'Amy serait la personne qui arriverait à m'apprivoiser et pourtant fallait reconnaitre que c'était le cas.

Depuis que je la connaissais j'étais une meilleure personne mais sans perdre qui j'étais. Elle était mon repère dans cette ville et vie de fous que j'avais. Quand elle me rejoignit je la pris dans mes bras pour l'embrasser tendrement et longuement, mes mains caressant son dos. Ce n'était pas une incitation à plus, juste de la tendresse. Mon ventre décida de casser ce moment romantique en grognant et j'éclatais de rire. "J'en connais un qui entre toi et les lasagnes a déjà choisit son camp." Franchement j'avais vraiment faim en fait et sentir cette délicieuse odeur commençait à devenir une torture en fait. Je pense que j'allais vite prendre la douche, je serais même capable de faire sauter cette étape, être transpirante était un état que je connaissais parfaitement avec le sport donc ça me dérangeais pas plus que ça.

J'allais quand même en direction de la douche, l'attirant avec moi. Je m'amusais à mettre l'eau froide sur nous, est ce que je venais de signer mon arrêt de mort? sûrement mais là franchement ça avait été trop tentant. J'avais aussi besoin de calmer un peu le jeu entre nous car je savais que je n'allais pas rester sage dans cette douche, mais je voulais un moment tendre. Bien que là à mon avis j'avais réveillé le dragon Amy et j'allais me faire manger.
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I swear to god I never fall in love-Amy
Ven 1 Oct - 20:19
L’euphorie orgasmique lui enlève pas sa répartie. Tant mieux. J’ai pas envie d’avoir une pouffe sucrée après chaque fois qu’on s’enverra en l’air. C’pas elle. C’pas nous. J’dis pas qu’j’suis pas capable d’romantisme. Disons qu’c’pas ma qualité première. Et a Bri non plus. On laisse ça aux autres. Les chichis, très peu pour nous. Mais ces trois mots sont comme un équivalent d’un j’t’aime sorti d’ma bouche. J’avais b’soin d’lui exprimer. Tant pis si j’ai eu l’air conne et si elle s’fout d’ma gueule. J’prends sa réplique comme un compliment. Elle non plus n’est pas à l’aise avec les sentiments. On forme un couple d’bras cassés à c’niveau. Merde, j’ai parlé d’couple. J’deviens vraiment niaise. Après, c’la vérité. J’assume. C’t’à son tour d’parcourir ma peau avec ses doigts. Mon tatouage sur ma poitrine l’intrigue. C’mon plus imposant. Et l’symbole est clair. C’cad’nas signifie qu’mon cœur est verrouillé. Enfin, il était verrouillé. Bri l’a ouvert. « T’vois, à force d’foutre des coups d’tête dans un ballon, tu détruis tes neurones et perds la mémoire. » Attaque facile j’vous l’accorde. D’un côté, les footeux sont pas réputés pour être des lumières. J’suis tombée sur l’interview du capitaine d’l’équipe nationale d’soccer un jour à la télé. Mon dieu l’niveau d’vocabulaire. Et j’parle pas d’la syntaxe. Bri est au moins capable d’formuler des phrases compréhensibles. Elle s’ra parfaite pour les conférences d’presse. Et j’l’imagine tout aussi bien motiver ses coéquipières. Elle a l’âme d’une leader.

Moi aussi. Ça risque d’poser problème par moment. Nos égos vont s’confronter. Ça f’ra des étincelles voire d’la casse. J’me bless’rai pas par contre. J’lui en fais la promesse. L’ton mont’ra sûrement. C’même sûr. On va attendre un peu avant d’envisager d’vivre ensemble. D’toute, j’me sens pas prête. Mon appart est trop p’tit pour deux et j’ai clair’ment pas envie d’le quitter. C’mon premier chez moi. J’y suis attachée. J’ai mon salon juste en d’ssus en plus. C’possible qu’j’règle les soucis à coups d’baisers. Elle semble apprécier la sportive. J’en arrive à lui faire oublier la bouffe. C’t’un exploit tant c’t’un ventre sur pattes. J’lui souris en guise d’réponse et j’augmente mon emprise. J’continue d’l’embrasser. Et dans un moment d’faiblesse, elle s’faufile hors d’mon étreinte. J’affiche une moue boudeuse. J’pensais réell’ment valoir plus qu’de la nourriture. Ok, l’appel d’la douche est la prio. « La dernière fois, c’était pas prévu qu’on prenne une douche toutes les deux. » Y avait rien d’prévu à Vegas tout court. J’y suis allée sans la prév’nir. Et j’ai vécu la meilleure soirée d’ma vie malgré l’engueulade et l’séjour à l’hôpital. J’oublierai jamais c’jour. Il est c’lui qui nous a fait basculer dans une autre dimension. Notre amour est né là-bas. En tous cas pour moi. A mon r’tour à L.A., elle était plus qu’ma bff.

J’lève ma carcasse d’mon lit pour la r’joindre. J’saisis sa main tendue. Et la v’là qui s’montre câline. Ça m’fait bizarre mais j’apprécie. Chaque contact m’électrise. Si elle insiste trop, j’vais la balancer sur mes draps et r’mettre l’couvert. Faut pas qu’elle m’chauffe trop. Proche d’craquer, son bide tue l’instant d’un puissant gargouillis. L’mien l’imite dans la foulée et mon rire s’joint au sien. « Il patient’ra bien dix minutes supplémentaires. » Dix ou plus. Tout dépendra d’c’qui s’pass’ra dans ma salle d’bain. Si on prend juste une douche, en dix minutes l’affaire est pliée. Sinon, on aura b’soin d’temps additionnel. Bri m’entraine dans ma salle d’bain. J’suis étonnée qu’elle sache où elle est. Elle est pas v’nue souvent ici. Après, y a pas masse pièce dans mon domicile. J’affiche un rictus en observant ma cabine. C’qu’elle est p’tite. On va être serrée à deux. C’dommage hein ? Ou pas. J’mate la silhouette d’ma copine pendant qu’elle ouvre l’robinet. Elle a un fessier d’enfer. J’présume qu’elle doit faire tourner des têtes dans l’vestiaire. J’note mental’ment d’jamais aller la voir après un match direct’ment dans l’vestaire. C’t’un coup à partir en vrille. D’jà là, j’sais pas comment j’fais pour résister à l’envie d’v’nir lui palper son mignon p’tit cul. J’suis pourtant pas en manque d’énergie. Au pire, c’te vision m’en r’donne suffisamment pour un s’cond round.

J’approche d’elle en douceur. Une fois à sa hauteur, la fourbe m’arrose. L’eau est glacée. « Putain !!!! » D’nouveau c’juron mais les circonstances sont pas les mêmes. Bri s’amuse d’la situation. Rira bien qui rira la dernière. Un rictus malicieux accroché à mes lèvres, j’la pousse dans ma cabine. Son dos épouse la cloison. J’joue d’mon corps pour la bloquer. J’lui arrache l’pommeau des mains. Et pas d’pitié, j’lui mets l’jet froid en plein sur l’visage. J’suis morte d’rire en la trempant. Elle tente d’se débattre. Elle essaye d’se protéger avec ses mains. Jeu d’mains, jeu d’vilains ! Owi j’suis vilaine. Très vilaine même. Elle tomb’ra p’t-être malade par ma faute. Ma foi, j’endoss’rai l’rôle d’son infirmière personnelle. A force d’gesticuler, l’objet fini par m’échapper. Il tombe par terre. J’me baisse pas pour l’ramasser. J’amplifie la pression sur ma proie. J’dégage une mèche d’cheveux d’son front pour libérer ses yeux. Dans un sourire amoureux, j’capture sa bouche. Ma langue file r’trouver sa jumelle pour un ballet sensuel. A sa rupture, j’pose mon front contre l’sien. Mes prunelles plongées dans ses opales, un souffle chaud caresse ses commissures. Et d’un un moment d’folie, j’prononce une phrase. « J’t’aime. » Mon cœur s’emballe. Il fait la fête. J’entends battre fort. Il a sorti les confettis et les paillettes. J’me suis livrée. Elle a définitiv’ment fait sauter la serrure d’mon cad’nas. Et si ça fait flipper sur l’papier, j’en suis ravie. Car d’puis la mort d’Hazel, j’ai compris qu’j’disais pas assez souvent aux gens qu’j’aime qu’j’les aime. J’f’rai pas cette erreur avec mon démon.
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Brianna Norris
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Brianna Norris
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Sam 9 Oct - 18:49
Ah punaise ce tacle là je ne l'avais pas vu venir. Amy 1 Brianna 1. Je lui souris amusée, je ne prenais jamais mal de me faire tacler, du moins quand c'était par elle. Quand ça venait d'autres personnes j'avais tendance à répondre et pas très gentiment. Pourtant venant d'Amy je me souvenais pas avoir pris une remarque mal, quoi que si peut être à Vegas, mais je ne savais même plus pourquoi j'avais pété une pile. "Bah tu crois pas si bien dire, parait que les joueurs ou joueuses faisant trop de jeu de tête sont plus cons que la moyenne et le pire? c'est que c'est vrai. Je déteste utiliser ma tête pour taper dans un ballon, ça fait mal en plus, faut être tarée..." Le jeu de tête était ma plus grande faiblesse en tant que joueuse et je ne comptais vraiment pas m'améliorer dans ce domaine. Mais ce symbole était important en Irlande, seulement j'étais pas mon père à me passionner pour l'Histoire d'un pays, d'une culture.

Si j'y pense je regarderais sur mon téléphone tout à l'heure, je déteste rester avec des questions. Et puis en plus je venais de me rappeler que ce machin avait vibré comme un fou tout à l'heure. Genre je réponds pas à un appel et limite c'est la fin du monde pour certains, pourtant zapper des appels était mon activité préférée. Je lui souris à nouveau, "Rien n'était prévu à Vegas, franchement c'était vraiment un super moment, je ne m'étais pas autant amusée depuis super longtemps." Quand j'y repensais, on avait fait du saut à l'élastique avec quelques grammes d'alcool dans le sang. Je n'avais pas profité d'un moment aussi bien depuis longtemps, juste du fun et ne penser à rien, ne rien planifier, juste se laisser porter. Avec Amy, je peux être juste moi, une jeune femme normale, je n'ai plus le poids de ma carrière, des attentes des gens envers moi.

En fait quand je suis avec Amy, je suis une personne que je ne reconnais pas. Je me surprend à faire des choses dont je me pensais incapable. Comme là, la prendre dans mes bras pour un simple câlin. Elle me permettait de mieux me connaitre, de remonter l'estime dont je pouvais manquer me concernant. Je m'étais convaincue de ne pas être faite pour les gestes tendres, mais finalement c'était juste parce que je n'avais pas rencontré la bonne personne. "10 minutes? mais chuuut parle moins fort, s'il t'entends il va encore grogner." J'en rajoutais juste un petit peu et puis j'avais déjà en tête ma prochaine bêtise.

Je me demande encore comment Amy a fait pour ne pas voir venir la connerie...pourtant moi dans une douche avec un pommeau dans les mains...c'était évident qu'elle avait face à elle une situation à risques. J'avais explosé de rire tellement son "putain" était sorti du fond du cœur. J'avais réussis mon coup tordu. Par contre je ne pus pas trop célébrer ma victoire car sur une erreur de jugement j'avais lâché l'arme du crime et Amy s'en était emparée. J'en pris plein la tronche, je tentais de mettre mes mains pour me protéger , ou de tourner la tête mais que dalle, Je suis bloquée dans le fond de la douche, mon corps coincé entre la cabine et celui d'Amy. Si y'avait pas l'eau en pleine tronche, j'aurais fais durer ce moment très longtemps.

Je répondis à son baiser en douceur, mes bras s'étaient refermés sur son corps pour la garder le plus proche de moi possible. Par contre ce qui suivit me fit perdre toute mon assurance en une fraction de seconde. Je revenais au point de départ, je ne savais plus quoi faire et encore moins quoi dire, je ne pouvais pas lui dire ces trois mots, je les ressentais au plus profond de moi mais je ne pouvais pas les dire, j'y arrivais pas, c'était trop rapide et je savais que j'allais merder tôt ou tard. Je la gardais dans mes bras mais je ne répondis rien, je me contentais d'attraper le gel douche, d'en mettre dans ma main et de laver son dos.

Je venais de casser quelque chose, enfin j'en étais pas sûre sûre mais en tout cas je l'aurais parié. J'étais mal car c'étais quand même facile de dire 3 putain de mots mais pas ceux là. Je savais ce que je ressentais pour elle, mais tout était tellement trop intense que dans ma tête c'était le bronx. J'avais vu assez de sériés ou films pour savoir que quand on ne pouvait pas dire ces mots là, il valait encore mieux ne rien dire. Je ramassais le pommeau, mis de l'eau chaude et je rinçais le dos d'Amy. Les mots que je pouvais pas dire, je pouvais les prouver par les gestes.
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Dim 24 Oct - 16:56
Les Rise et les sentiments, c’t’une grande histoire silencieuse. Jamais j’ai prononcé ces trois mots à l’encontre d’mes parents. Pourtant j’les aime. Et c’réciproque. Un souci et chacun répond présent pour l’autre. J’ai vécu ainsi sans m’poser d’question. J’trouve con les gens qui déballent leurs émotions. J’me fous d’leur gueule. Avec Hazel, on a tant ri d’vant un couple qui s’tenait la main en public. Au final, c’moi la conne. Faut pas garder pour soi ses r’ssentis. Faut les partager. Tant pis si ça casse mon image. J’ai l’droit d’être sensible. J’ai l’droit d’être faible par moment. J’suis pas un robot. J’suis une femme. Et j’suis amoureuse d’c’te meuf. Évidemment qu’des paroles restent des mots. Elle aura b’soin d’gestes comme preuves. Elle en aura. La préparation des lasagnes en est une. C’pas pour tout l’monde qu’passe derrière les fourneaux. Mais j’le f’rai pas tous les jours non plus. Elle a pas intérêt à trop s’y habituer la miss. Mon annonce l’a déstabilisée. Ça m’fait sourire. J’comprends son trouble. Y a encore peu, j’aurai réagi d’la même façon. J’crois même qu’j’me s’rai enfuie en courant. Là, la question s’pose pas vue qu’j’la bloque. Enfin, si elle voulait s’échapper, elle l’aurait fait. Elle encaisse l’coup dans l’mutisme. J’suis pas déçue. J’m’attendais pas à une réciproque. J’ai vidé mon cœur par nécessité. J’suis en paix avec moi-même. J’remets pas en cause notre relation. Ses yeux m’donnent la plus belle des réponses. Ils sont si beaux quand ils brillent d’la sorte. C’bateau mais tellement vrai. Son r’gard est magnifique. J’m’y noierai sans chercher à r’monter à la surface.

La footeuse décide d’me laver par la suite. Tendre instant d’partage qu’j’savoure. Elle s’montre délicate. Y a plus d’fourb’ries là. Ses gestes sont emplis d’sensualité. Une fois propre, j’prends la r’lève. A mon tour, j’m’occupe d’la nettoyer. Ma main fait office d’gant. J’passe sur chaque pore d’sa peau. J’insiste par malice au niveau d’sa poitrine et d’ses fesses sans excès. Juste assez pour profiter d’ses formes. Après son corps, j’la fais s’retourner. J’m’attarde sur sa crinière cuivrée. J’la shampouine en douceur. Mes doigts massent son cuir chev’lu. J’suis très attentionnée. J’évite d’baisser ma tête. La vision sur sa chute d'reins m'déconcent’rait. J’rince sa tignasse. Mon labeur terminé, j’dépose un baiser sur sa nuque. J’attrape ses doigts et nous sors d’la cabine d’douche. J’sors une serviette propre d’un meuble. J’essuie Bri. J’commence par ses bras puis son buste. Mes paumes r’dessine une nouvelle fois la rondeur d’ses seins. Un rictus amusé orne mes lèvres dans ma manœuvre. C’guère mieux quand vient l’tour d’son postérieur. Son cul musclé est une incitation au vice. Mais j’craque pas. Notre ébat précédent m’a bien vidée d’mon énergie. Et moi aussi j’ai la dalle. On finit par quitter ma salle d’bain. Main dans la main j’la dirige vers mon salon. J’dandine mon derrière dans ma démarche. S’il est moins ferme qu’le sien, il reste attractif. En tous cas, mes amantes m’l’ont toujours dit. « Reste pas trop près d’la f’nêtre. Ma voisine est capable d’app’ler les flics pour attentat à la pudeur. » Un franc rire s’échappe d’mes poumons.

J’ris mais c’la vérité. Elle m’a déjà fait l’coup la greluche. Alors qu’c’t’ouverture donne sur sa buand’rie. Si elle m’a vue à poil, elle l’a fait exprès. J’imagine pas c’qu’il s’pass’rait si elle voyait deux femmes nues. Et j’ose encore moins imaginer si elle m’surprend en pleine partie d’jambes en l’air. P’t-être qu’elle f’rait une crise cardiaque ? J’m’en fous en fait. « Sois sage, j’vais chercher notre repas. » J’délaisse la sportive pour ma cuisine. J’extrais deux assiettes et deux verres d’un placard. Des couverts d’un tiroir et j’pose l’tout sur mon plan d’travail. J’choppe un torchon et ouvre mon four. J’découvre l’drame. L’dessus d’mon plat est noir. J’l’ai laissée trop longtemps. Bouillant, j’manque d’peu d’me brûler en l’plaçant sur ma gazinière. J’reviens dans mon salon, une moue attristée sur ma visage. « Y a un problème, les lasagnes sont cramées… » La déception merde ! J’y ai mis, pardon, on y a mis tout notre cœur. Mais là, c’clair’ment immangeable. J’approche d’la donzelle. J’enlace dans mes bras. Nos dômes d’chair s’escriment via nos tétons. J’lui vole un baiser furtif. « On s’commande des pizzas ?! », que j’demande tout sourire. Faut bien qu’on mange. A priori, ça va lui conv’nir. Surtout si elle s’rappelle des délicieuses pizza d’chez Pablo. Après, si elle préfère direct’ment passer au dessert, j’suis pas contre non plus. Oui, mes envies r’viennent progressiv’ment. J’crois qu’c’dû à un truc étrange. Un truc qu’on appelle l’amour. Mais chut, c’t’un secret.
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Brianna Norris
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Brianna Norris
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Mar 2 Nov - 19:56
Amy ne semble pas mal le prendre que je ne lui retourne pas ces foutus trois mots. Un jour je le ferais. Le moment à se laver mutuellement nous rapproche encore. Jamais encore je n'avais fais ça avec quelqu'un. Ce qui était normal car en général je trouvais toujours un prétexte pour me casser sitôt l'acte fait. Selon ma meilleure amie j'étais pire qu'un mec quand je lui racontais ce que je faisais. Bref là je ne voulais pas partir, je voulais rester avec Amy. Je jetais un coup d'œil par la fenêtre. "Dommage elle pourrait apprendre des trucs..." J'avais moi aussi une voisine chiante qu'Amy avait déjà rencontré. J'avais tellement hâte de trouver mon chez moi pour pouvoir mettre la musique aussi fort que je le voulais lors de mes cessions d'entrainement physique ou pouvoir bronzer topless si j'en avais envie.

Bon par contre j'avais un peu froid, un fois que l'excitation du moment retombait et en dehors de la chaleur de la douche je me pelais. "Sage c'est mon deuxième prénom." Je lui souris et la laissais aller voir les lasagnes. De mon côté j'allais dans le salon me chercher de quoi me couvrir. J'étais texane, je détestais avoir froid. Si ma famille irlandaise et écossaise m'entendait ça râlerait surement. Mais bon les origines ça réglait pas le thermostat intérieur. J'entends un bruit dépité venant de la cuisine qui me coupe dans mon élan de chercher mon haut. Je lève la tête me demandant ce qu'il se passe mais je m'approche pas. J'ai appris à me tenir loin d'une cuisine tant que j'avais pas le feu vert de la cuisinière pour venir. On dirait pas comme ça mais ça pas du bien un coup de cuillère en bois et ma mère ainsi que ma grand mère en ont fait des armes de précision.

Je vois revenir Amy avec un air un peu penaud sur le visage m'annonçant la grande nouvelle catastrophique. Ouais alors là ...oui mais non en fait. "Elles sont totalement cramées? on peut rien récupérer?" J'avais des doutes car je n'avais pas senti d'odeur de cramé trop forte. Je me laisse enlacer en lui souriant. "Si tu me gardes encore dans tes bras, c'est toi que je vais manger encore et encore.." Mon regard posé sur elle est intense. Non mais là depuis quand j'avais autant envie de quelqu'un juste après l'avoir eu à moi? C'était donc un des effets super géniallissime d'avoir des sentiments pour quelqu'un? désirer cette personne en permanence? Hum je pense que je pourrais m'y faire sans problèmes.

Je me dégageais doucement d'elle avec une lueur joueuse dans les yeux. J'embrassais chacun de ses seins doucement puis je filais dans la cuisine, ne lui laissant pas le temps de réagir. Elle croyait vraiment que j'allais abandonner des lasagnes cramées? Je regardais le plat d'un œil expert en fails culinaires. "Oh mais c'est juste le dessus...rien de grave." Je prenais un couteau pour découper doucement le plat. "De très jeune je partais plusieurs jours ou semaines de la maison pour des stages de foot et là bas on devait cuisiner pour nous donc j'ai beaucoup foiré de plat et j'ai appris à juger du degré de foirage et de récupérable." Alors que j'expliquais ça j'enlevais la couche de cramé avec précaution pour garder le bon. Une pizza c'était tentant mais des lasagnes c'était mieux, surtout au saumon.

Finalement après avoir opéré le plat de lasagne il en restait assez pour deux mais juste pour un repas. Je montrais le plat en étant fière de moi. "Tadaaaaa et voila les lasagnes." J'étais un chouilla têtue et là bon comme j'avais décidé que je voulais absolument des lasagnes j'avais tout fait pour en avoir. Amy savait déjà que j'étais têtue donc pas besoin de le cacher. Bon par contre j'avais toujours froid donc je repartis vers le canapé pour trouver mon tshirt dans tout le bordel de fringues qu'on avait créé. Je le trouvais enfin et en le mettant je vis la dite voisine choquée à sa fenêtre. Je lui fis un signe du majeur. Elle prit un air outré et partit. "Bon...je crois que j'ai pas arrangé tes relations de voisinage."

J'en avais un peu beaucoup rien à foutre en plus. Par moments mon côté diva revenait. Je réalisais qu'en fait je n'avais pas mis mon tshirt mais celui d'Amy. Oh il m'allait bien aussi. Je revins dans la cuisine et me plaçant dans le dos d'Amy pour la gêner le plus possible dans ce qu'elle était en train de faire et l'embrasser dans le cou posant mes mains sur ses seins pour les caresser. J'étais un démon mais avec elle ça dépassait tout ce que j'avais été. "Les lasagnes sont cramées mais si tu n'enfiles pas un vêtement rapidement on va les manger froides...". J'avais encore envie d'elle mais mon peu d'expérience me disait qu'il fallait aussi avoir des moments sans sexe, enfin je crois, c'était pas comme si j'étais une pro des relations. Etre tendre tout en étant joueuse c'était ma manière à moi de lui montrer que je l'aimais.
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