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Vague à l'âme. ( Ziago

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Iago Romano
Iago Romano
Iago Romano
Vague à l'âme. ( Ziago  - Page 2 Tumblr_o48huhYmMQ1uu8iaio5_250

• âge : 35
• pronom : il.
• côté ♥ : C'est compliqué. Officiellement célibataire, il prétend être le plus hétéro des hommes. Il a conscience du dégout que son homosexualité peut représenter dans son milieu. Il enchaine les conquêtes féminines pour camoufler les apparences. Son cœur est partagé entre deux hommes : son meilleur ami, celui avec qui il a tout expérimenté et celui qui lui a sauvé la vie sur le champ de combat.
• orientation : Hétérosexuel en apparence, homosexuel en réalité.
• occupation : Ancien sergent dans l'armée de terre. Il a quitté les rangs de l'armée à la suite d'un attentant en milieu hostile. Il y a perdu sa jambe gauche. Aujourd'hui, il a une prothèse bionique qu'il camouffle sous ses jeans. Il est apprenti tatoueur dans un salon, ce qui lui permet de se maintenir loin des affaires de la famille, mais pour encore combien de temps ?
• avatar : Andre Hamann
• crédits : @Eilyam
• messages : 233
• date de naissance : 25/11/1988
Iago Romano
Vague à l'âme. ( Ziago
Lun 17 Mai - 20:30

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Vague à l'âme.
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Vague à l'âme. ( Ziago  - Page 2 111402504

Je sais mon Iago… J’en ai pris toute la mesure quand tu m’as fais tien. Il n’y a aucune crainte dans le regard de l’asiatique. Ses paroles semblent accepter cette réalité qui par le passé l’aurait assurément fait fuir. Le ton est posé, mais ému alors qu’il sent la silhouette de son amant le basculer sous son corps ferme et chaud. Sa silhouette suit le mouvement initie par son amant tandis que leurs membres se retrouvent pour de nouvelles caresses. Leurs phalanges retrouvent la route de la chair de l’autre, s’attarde sur cette dernière pour dévoiler toute l’étendue du désir qui les envahit au contact de l’autre. Leurs lèvres se déposent avec délicatesse sur la peau offerte alors que l’ambition de Zephyr se fait évidente. Elle ne manque pas de se faire connaitre dans un murmure. Une demande qui sonne comme une supplique, un besoin qui s’est ancré en lui et dont il ne peut se défaire. Cette même faim qui l’a tourmenté durant ces nombreux mois et qui le rendait si insatisfait. Il y avait ce manque de lui, de sa chaleur et de son odeur qui manquait de le rendre fou. Plusieurs fois, il a fondu en larmes devant Alessandro car le silence était en train de le tuer. Il avait besoin d’un souffle qu’on lui avait volé et que seul Alessandro parvenait à amoindrir par sa présence et son amour, mais le manque était persistant, impossible à effacer et son amant en avait pleinement conscience. C’est pour cela qu’Alessandro l’a laissé quitter New York pour retrouver Los Angeles et que Iago s’est lancé dans cette expédition dans l’espoir de le retrouver. Ce besoin était devenu vital et absolument rien n’aurait pu l’arrêter de partir à la recherche de cet être qui lui manquait bien trop. Cet être dont il goute de nouveau à ses caresses, ses baisers et à l’odeur ambrée de son épiderme avec un bonheur non feint. Ce bonheur, il souhaite que son amant le partage à son tour, qu’il parvienne à étancher cette soif qui l’a taraudé au cours de son absence. Il se soumet à sa volonté dans un silence consentant alors que ses lèvres repartent à la conquête de leurs comparses dans un baiser lent et langoureux. Ses phalanges retrouvent son dos, y laissent leur marque avant de rejoindre sa chute pour honorer ses globes de chairs de ses caresses. « Aime-moi, Mio passerotto. » Un murmure qui dévoile une envie qu’il ne tait pas. Il veut s’offrir à lui comme il vient de le faire. Il veut qu’il puisse reprendre ses repères, se lier à lui de la plus intime des manières pour se sentir de nouveau vivant. Il veut qu’il prenne conscience que ses sentiments à son égard n’ont point changer. Il demeure son oxygène, ce feu incandescent qui rend son âme ivre d’une liberté qu’il n’avait jamais eu avant de le rencontrer. « Rappelle-moi ce que ça fait de t’appartenir, mio passerotto. » Il ajoute alors que son souffle haché, mais brulant vient se perdre contre sa mâchoire. Il embrasse cette peau offerte alors que ses phalanges glissent contre son torse et son dos dans le début d’une danse luxuriante où ils se retrouveront toujours dans une union parfaite. Sa menotte glisse entre les cuisses de son amant pour s’emparer de cette protubérance qu’il honore de ses caresses aériennes. Il se laisse gagner par le plaisir de retrouver sa texture, nullement rassasié des échanges précédents. Il y a la sensation qu’il a tout à rapprendre de ce corps qu’il connaissait par cœur par le passé. Son nez se plonge dans son cou, s’enivrant de son odeur masculine, bien différente de celle qu’il lui connaissait auparavant. Il entend son rythme cardiaque battre en harmonie avec le sien. A cet instant, ils pourraient fusionner que cela lui conviendrait totalement. A l’image de ces étreintes avec Alessandro, devenu indissociable à son équilibre. Parfois, il se questionne sur la légitimité de ses émotions et puis lorsque ses prunelles se plongent dans l’un de leur regard, l’évidence est inaliénable. Il est fou amoureux des deux et ce sans concession. Il veut juste les chérir et être aimé par eux. Le monde peut bien s’arrêter de tourner tant qu’ils lui appartiennent, plus rien n’a d’importance. « Prends-moi. » Il lui ordonne dans une voix plus rauque alors qu’il sent son corps se tendre d’impatience de retrouver la puissance de ses coups de reins. Il veut qu’il le marque pour que son corps prenne conscience qu’il n’est pas qu’un mirage, mais bel et bien là, en chair et os, à lui.

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Zéphyr Ucello
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• âge : 33
• pronom : Il
• côté ♥ : Perdu entre un coeur auquel il se sait déjà attaché et un coeur qui va lui falloir apprivoiser.
• orientation : Il aime les hommes comme les femmes, l'essentiel c'est le plaisir éprouvé et donné. Bi sexuel assumé.
• occupation : Strett artist mais pour vivre obligé de faire plein de petits boulots
• quartier : Pas de domicile fixe, dort à la belle étoile quand le temps le permet. Ne supportant pas d'être enfermé.
• avatar : Ho-seok Lee (Wonho)
• crédits : thepsthings (avatar) vmicorum. (sign)
• messages : 329
• date de naissance : 15/12/1990
Zéphyr Ucello
Vague à l'âme. ( Ziago
Lun 24 Mai - 10:47
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ft Iago
début 2019 repère secret

Vague à l'âme. ( Ziago  - Page 2 111402504

Les mots envolent ton cœur.
Tu es conscient de la puissance des sentiments qui vous unissent. Toi l'épris de liberté, là tu as juste envie d'être enchaîné à jamais à ton Iago. Tu ne veux plus le perdre. Tu ne veux plus ressentir ce manque effrayant. Tu en as trop souffert. Alors plus question qu'il t'échappe. Plus question de fuir. Et même si tu n'avoues pas cet amour que toi aussi tu lui portes, amour que tu as posé sur tes lettres, celles que tu n'as jamais envoyé. Tu le laisses t'envelopper à cet instant, sans aucune crainte, tu en as besoin de toute manière. Il efface toute les peines, toute les souffrances éprouvées. Il fait juste frapper ton cœur plus fort. Tellement fort que les battements emplissent ta poitrine d'une douce musique qui te berce et t'apaise.
Qu'il est doux de l'aimer.
Qu'il est doux d'être aimé
.

Les mots envolent ton cœur.
Et réveillent d'autres envies profondes. Alors tu inverses les rôles et tu deviens le dominant du jeu. Tu ne veux que le plaisir de vos retrouvailles pour le moment. Tu veux oublier les larmes amères et les nuits ou le sommeil fuyaient tes yeux. Ou il n'y avait que des perles humides qui ornaient tes pupilles. Tu le veux LUI. Et le reste ne compte plus. Tu veux juste t'abandonner et couler. Te glisser dans ses yeux et te lier à son âme. A jamais. Alors vos doigts arrachent des frissons à vos peaux encore frémissantes de la première joute. Et vos lèvres gorgées d'impatience se livrent d'avantage à chaque baiser. Tu as trop de vide à combler et tu dévores Iago de baisers passionnés et de caresses sensuelles. Voulant apprivoiser à nouveau chaque espace de sa peau. Chaque creux et chaque courbe de son corps.
Il est à toi. Tu es à lui.

Tu laisses parler ton cœur, n'ayant aucune honte, aucune crainte à avouer tes désirs. Ce que tu as refréné durant ces mois passés. Ce que tu as apaisé comme tu le pouvais au travers d'autres corps, sans vraiment être complètement rassasié. Il n'y a que ton Iago qui peut te rendre entier. Et il n'y a qu'au prés de lui que tu te sens si libre tout en étant attaché à son cœur. Alors tu te fais plus gourmand, tu ancres ton envie dans la chair de ton amant. Tu marques son épiderme au fer rouge du tien. Aiguisant son désir tout en distillant le tien. Les mains se font moins sages et tu frissonnes sous le contact indécent des doigts de ton Iago. Ses mots t'envoûtent et t'enivrent. Et toi aussi tu viens retrouver cette terre que tu veux tienne. Jouant de douceur appréciant cet instant. Tu le retrouves pleinement. Il s'abandonne et cet abandon efface le vide qui s'était dessiné durant son absence.
« J'aime te sentir brûlant et offert de cette manière. »
Vos mains retrouvent l'objet de votre désir et les caresses se font plus insolentes et provocantes. Tu soupires d'aise au contact, tu retrouves ses lèvres avec avidité. Puis tu glisses et ton épée prend place au creux de ses reins. Tu y vas avec douceur, savourant cette chaleur intense qui s'enroule à ta chair tendue. Vos bassins se collent et se heurtent s'enchaînant dans une danse qui se fait torride. Ton regard perdu dans le sien, tes mains accrochées à sa peau, tes lèvres s'abreuvant aux siennes ...
Tu l'aimes.
Et le temps s'éternisent une nouvelle fois
.
Et vos corps ne deviennent qu'un. Le sentiment de liberté se fait plus fort. Le sentiment d'appartenance se lit dans chaque parcelle de ton âme. Sur chaque courbe de ta peau.
« Il n'y a que toi mon Iago qui me rende aussi gourmand. Il n'y a que toi qui fait battre mon cœur de cette façon. »
Et tu te laisses emporter par cette valse d'émotions. Par le parfum de sa peau. Par cet amour puissant qui transparaît au fond de tes pupilles.
Et qui danse comme une flamme intense.

Et tu marques son corps de ta présence, dans un soupir, dans un râle. Des larmes viennent même courir sur tes joues. Tes larmes de bonheur. Et quand la vague de la jouissance vous emporte et explose, tu te colles à lui, serrant un peu plus son corps. Et sous le flot vorace des émotions tu t'écroules contre lui, cachant ton visage au creux de son épaule alors que tes larmes se font plus visibles. Tu lâches prise. Et tu trembles comme un enfant.
« Serres moi fort. »
Tu veux immortaliser ce moment dans chaque pore de ta peau. Tu restes contre lui, le cœur battant comme si tu avais peur que d'un coup tout disparaisse. Que Iago disparaisse. Tu le gardes contre toi pour être certain que tu n'as pas rêvé. Que vos corps à corps étaient bien teinté de vérité.
« Ce n'est pas un rêve mon Iago. Parce que si s'en est un je ne veux pas me réveiller. Jamais. »
Et tu restes là, humant sa peau, mêlant vos essences, liant un peu plus vos âmes et vos palpitants. Puis tu relèves ton visage pour plonger tes yeux dans les siens. Un sourire s'étire alors que tes joues sont marqués du plaisir ressenti.
« Tu es toujours aussi beau après l'amour. »
Et tes doigts passent avec légèreté sur ses traits, alors que vos corps soudés se séparent dans un souffle.
« Je crois que je pourrais recommencer encore et encore sans jamais m'en lasser. J'aime tellement quand on fait l'amour. »
Nouvel aveu. Nouvelle preuve. Tu te livres un peu. L'absence a été marquante et ces retrouvailles le sont tout autant. Et tu te laisses aller à tes ressentis. Parce que oui ton Iago t'a manqué. Parce qu'il est l'unique et le seul a te faire éprouver cette valse de sentiments puissants, déroutant, bousculant, excitant, enivrant.
Parce qu'il est le seul que tu aimes.
« Tu ne partiras plus promis. »
Tu as besoin de l'entendre encore. Voix d'enfant craintif, tu as tellement peur de le perdre à nouveau.
Tu sais que tu n'y survivrais pas.

vmicorum.
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Iago Romano
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• orientation : Hétérosexuel en apparence, homosexuel en réalité.
• occupation : Ancien sergent dans l'armée de terre. Il a quitté les rangs de l'armée à la suite d'un attentant en milieu hostile. Il y a perdu sa jambe gauche. Aujourd'hui, il a une prothèse bionique qu'il camouffle sous ses jeans. Il est apprenti tatoueur dans un salon, ce qui lui permet de se maintenir loin des affaires de la famille, mais pour encore combien de temps ?
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Iago Romano
Vague à l'âme. ( Ziago
Sam 5 Juin - 23:03

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Vague à l'âme.
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Vague à l'âme. ( Ziago  - Page 2 111402504

Il n’y a que toi mon Iago qui me rende aussi gourmand. Il n’y a que toi qui fait battre mon cœur de cette façon. Une vérité dont il doute absolument pas de sa véracité. Il prend conscience que le manque engendré par sa disparition a ébranlé l’âme de cet homme qui s’ouvre comme jamais il ne l’a fait. Il sent qu’il a cru l’avoir définitivement perdu et que son âme a saigné à cette possibilité tant elle lui a été cruelle et insupportable. Cette pensée a ébranlé toutes les barrières derrière lesquelles il s’était camouflé depuis le jour de leur rencontre au point de le laisser nu face à ses émotions qu’il ne parvient plus à contenir. Son âme est à fleur de peau et Iago souhaite vraiment amoindrir son agitation émotionnelle pour qu’il puisse se reconstruire. Il n’a jamais douté de la puissance de son amour. Zephyr ne lui avait jamais avoué, mais Iago le savait sans qu’il n’ait besoin de le dire. Il l’a toujours su. C’est sans doute pour cette raison qu’il a pris la décision de quitter Los Angeles pour New York. Parce que lui le savait, mais aspirait à une relation, à laquelle cette âme libre ne pourrait que se sentir emprisonner. On ne peut pas enfermer un oiseau dans une cage sans peine de lui arracher son bonheur. Iago a toujours voulu le bonheur de Zephyr et il s’est effacé pour lui permettre de vivre pleinement en liberté, sans jugement de sa part sans que cet amour ne s’effrite face à des dissolutions que son jeune âge n’aurait pas pu lui épargner. A son tour, il rend les armes pour prouver à cet homme qu’il est bel et bien là. Il n’est pas une chimère qui va s’évanouir à la lueur du jour. Sa bouche contre la sienne est aussi réelle que le contact enivrant de ses reins autour de sa virilité gorgée de désir. D’un désir pour lui, que Zephyr n’a pas eu étancher durant près d’un an et demi. Leurs gémissements se mêlent à la perfection tandis que leurs corps s’emboitent de manière passionnée dans un enchevêtrement de membres qui n’a début, ni fin. Ils s’autorisent à s’aimer, a combler ce manque, a reprendre leurs marques dans cette relation amoureuse à laquelle ils n’ont jamais donné de nom. Elle est celle qu’ils désirent, s’accordant en silence sur l’intensité et la signification de celle-ci. Tantôt ils sont amis, partenaires d’art, amants ou amoureux maudits. Chaque rencontre a une saveur différente qu’ils ont fini par gérer sans la considérer comme une fatalité pour leur relation. Aujourd’hui, ils sont amoureux. Ils s’aiment comme ils l’auraient auparavant, mais prononcent des paroles comme pour ancrer cette vérité dans l’échine de l’autre. Ils ne sont plus des mirages dans l’excitante de l’autre. Ils sont ancrés dans le présent et le monde semble de nouveau tourner convenablement, leur permettant de retrouver cet air qui leur a tant manqué. Le plaisir se distille dans ses veines avec aisance. Ces gémissements et plaintes lascives répondent à celles de son Passerotto. Lorsque l’orgasme lui arrache un dernier râle, il se sent de nouveau vivant, à sa place sans l’être totalement. Il manque la présence d’Alessandro, malgré la satisfaction qui inonde sa poitrine. Ses bras entourent naturellement le corps fébrile de Zephyr dont la fébrilité l’atteint en plein cœur. Ses lèvres déposent de doux baisers contre sa clavicule. Il lui offre naturellement sa tendresse en cajolant de manière paresseuse son épiderme brûlant et humide contre sa chair. Je suis là, Zephyr. Je suis là. A-t-il envie de lui murmurer pour que cette vérité s’ancre en lui, mais l’émotion est trop vive et les mots se perdent dans sa gorge. Il l’écoute attentivement énoncer ces vérités qui étaient auparavant secrètes. Il lui ait difficile de rester insensible face à de telles confidences. Il s’applique également à caresser ses traits, un sourire paresseux et tendre sur ses commissures. « Je ne bouge plus, Zephyr. Je reste à Los Angeles. Je ne te quitterai plus sauf si tu le désires désormais. » Il lui indique dans une voix ferme alors qu’il ne le quitte pas des yeux.  « Je compte refaire ma vie, ici. Tu verras tu finiras par en avoir marre de m’avoir dans tes pattes. » Il lui indique dans un sourire complice, juste pour s’assurer de lui arracher un sourire. Il glisse sa main dans sa nuque pour lui voler un baiser. Il n’a pas la passion des précédents. Il est doux et voluptueux, aussi paresseux que ses caresses qui se perdent dans son dos, ses fesses. Il s’autorise à profiter de cet instant, de ce bonheur simple qu’il retrouve après des mois compliqués où il s’est senti au bord de l’étouffement tant le manque était profond. A partir d’aujourd’hui, une nouvelle page s’ouvre dans cette histoire sans fin qu’il partage avec cet homme. Mais ça lui convient, car il n’est pas certain de pouvoir accepter qu’elle ait une conclusion. Zephyr est l’une des âmes qu’il désire avoir dans son existence aussi longtemps que possible. Pour toujours si possible.

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Zéphyr Ucello
Vague à l'âme. ( Ziago
Mer 9 Juin - 8:49
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début 2019 repère secret


Et tes mots s'envolent.
En même temps que tes émotions. L'instant est puissant, et tout explose comme une évidence si longtemps retenu. Sans vraiment lui dire tu ressens ce besoin impatient de lui faire comprendre combien tu tiens à LUI. Combien son absence a marqué ton être tout entier de sombres pensées. Mais tout est terminé, à présent il est là entre tes bras. Vos corps ne font plus qu'un et vos âmes se lient au delà de la réalité de l'instant. Tu te laisses aller décrochant totalement de cette carapace que tu t'es forcé. Tu deviens le vent libre et épris de cet être qui te rend meilleur. Qui te rend plus fort.
Ton Iago.

Et tes mots s'envolent.
Et avec eux des larmes de joie, des étoiles d'âme que tu poses au creux de l'épaule de ton amant. Cadeau précieux que tu déverses sans te cacher, sans en avoir honte contre sa peau emprunt de ton odeur. Tu retrouves cet ailleurs que vous avez créé au fil des années. Cet ailleurs bien à vous et qui renferme tous vos secrets, tous vos états d'âmes, tout votre amour. Divin instant qui te redonne la force pour affronter cette vie que tu as choisi.
Une vie de liberté.
Et pourtant Iago est venu s'accrocher à ton palpitant avec une facilité qui te désarme souvent. Même si tu ne l'avoues pas, à cet instant d'abandon tout le crie en toi. Et tu ne cherches pas à lutter, tu sais que le militaire ne te jugera pas. Qu'il ne fermera pas la porte de la cage dans laquelle tu aimes venir te poser. Et c'est aussi ce que tu aimes en lui. Il t'accepte tel que tu es. Il prend ce que tu lui donnes et en retour tout obtient bien plus qu'une liberté. Tu obtiens l'amour.
Le pur, le vrai.

Et l'instant est passionné, passionnel. Exquis nectar de vie qui s'écoule dans vos êtres, vous embarquant vers un horizon ou tout est permis. Il n'y a pas de limite, juste un ciel bleu à perte de vue. Et cette chaleur sublime qui se déverse comme le feu ardant des sensations et des sentiments trop longtemps retenus. Plaisirs intenses qui vous caressent, bousculant vos peaux de frissons.
Tout est beau et surtout tout est vrai.
Ce n'est nullement un rêve comme parfois tes yeux fermés en ont fait. Bien sur l'absence ne sera pas rattrapé, mais le présent est à vous et personne ne viendra vous l'enlever. Tout se reconstruit et reprend sa place. Alors que vous chavirez dans une intensité qui dépasse tout ce que tu as éprouvé, tout ce que tu espérais.
Vos baisers se font plus doux, vos gestes plus tendres. Ton corps contre le corps de ton Iago, tu entends son cœur qui répond au tien. Délicieuse mélodie qui apaise tes peurs et qui te fait sourire. Tu frissonnes sous son toucher délicat. Sous ses attentions qui te bercent comme une chanson que vous écririez.
Ensemble et à jamais.
Tu le sais, tu as douté parfois de cette vérité quand tes nuits criaient son absence. Mais là tout disparaît, tout s'efface. Ne reste que vos êtres enlacés, vos âmes liées et vos cœurs accrochés. Les promesses d'une suite se gravent sur vos peaux moites. Se glissent dans vos regards embrumés. Se posent sur vos lèvres qui ne cessent de s'embrasser. Et tu lis ses mots dans ses yeux alors qu'ils capturent les tiens. Il est là.
Il sera toujours là.
Et le plus beau des sourires se dessine sur tes lèvres gorgées du plaisir que vous venez de partager. Tes mots laissent échapper tes émotions mais c'est au plus fidèle et au plus doux des gardiens que tu les dis. Tu n'as aucune crainte à avoir. Tu sais que l'oiseau que tu es ne seras jamais entravé. Que ses ailes ne seront jamais coupées. Tu pourras continuer à souffler comme le zéphyr mais ce souffle ne sera que pour l'homme contre lequel tu es couché.
Pour lui seul.
Parce que ton cœur et ton âme sont à lui. Et même si un parfum de liberté caressera toujours ton être. L'essence même de ce parfum vient d'être déposé au creux du cœur de ton Iago.
C'est lui et juste lui.
Pour toujours et à jamais.


L'épuisement effleure ton être, un épuisement délicieux dans lequel tu te laisses tomber. Tu n'as plus envie de bouger, tu resterais bien contre Iago pour l'éternité. Te gorgeant à chaque seconde de son être. As tu besoin de plus au final ? Non car c'est au prés de lui que tu te sens entier. Que tu te sens vivant. Que tu te sens libre.
« Moi désirer que tu partes. Tu es fou. Jamais mon Iago. Jamais. »
Et tu plonges tes yeux dans les siens.
« On est lié à tout jamais et tu le sais. Même la mort ne pourra briser ce qui nous unit. »
Parce que tu le retrouveras au delà de cette vie. Tu le sais et c'est écrit jusqu'au plus profond de tes entrailles. Vous êtes liés au delà de la vie, tu ne saurais expliqué cette sensation. Mais pour le moment vous êtes en vie, alors pourquoi vouloir expliquer ce ressenti.
« C'est parfait ici pour refaire sa vie. »
La tienne avait réellement commencé en arrivant à L.A. Et tu éclates de rire à la suite de ses mots.
« Ou c'est toi qui aura marre du petit courant d'air que je suis. Surtout si je viens chez toi tous les jours jouer aux alizés ou à la brise d'été. »
Tu n'aimes pas être enfermé, mais tu vas certainement apprécier de venir te poser chez Iago bien plus souvent qu'avant. Avec ce besoin viscéral de le toucher, de l'embrasser, de l'aimer. D'être juste avec lui à le regarder vivre. Il t'a trop manqué.
« On va pouvoir peindre plein de mur. J'ai déjà des tas d'idées. Ce moment à réveiller mon imagination. »
Et tu regardes autour de toi, les murs sont déjà bien marqué de ton art. Notamment avec les yeux de Iago qui veillent jalousement sur toi.
« Je vais peut être ajouter ta bouche. »
Tu viens la frôler du bout de tes doigts avant de la dessiner dans l'espace.
« Comme ça je pourrais l'embrasser quand j'en aurais envie. »
Puis tu te laisses glisser sur le côté sans perdre le contact avec son corps que tu viens d'aimer. Et tes doigts s'égarent sur ses courbes.
« Je pourrais même dessiner ton corps nu pour fantasmer dans les moments ou tu ne seras pas avec moi. »
Et tu souris.
« Même si t'avoir en vrai tous les jours entre mes bras est le meilleur des fantasmes car c'est le plus vrai. »
Et tu restes contre Iago, fermant tes yeux. Soupirant d'aise, tu es le plus heureux des hommes à cet instant. Et le plus libre aussi.
« Je suis fatigué d'un coup. Et je n'ai pas envie de bouger. Je suis trop bien là. Tu restes le temps que je me pose. »
Ta respiration se fait plus calme, la tête sur l'épaule de ton amant, ton bras autour de sa taille, ta jambe emprisonnant les siennes, tu tes sens partir dans le monde de Morphée. Épuisé par les émotions éprouvées.
« Je vais rêver de toi mon Iago, et te faire l'amour encore et encore. »
Et un sourire d'ange étire tes lèvres. Tu es juste bien et surtout en sécurité. Rassuré.
Jamais plus vous ne serez séparés.

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