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Quand on ne peut revenir en arrière, on ne doit se préoccuper que de la meilleure façon d’aller de l’avant.(björben01)

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Ruben Leeroy
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Quand on ne peut revenir en arrière, on ne doit se préoccuper que de la meilleure façon d’aller de l’avant.(björben01) Original

• âge : 30
• pronom : il.
• côté ♥ : Célibataire, une relation plus intime semble se tisser avec un de ses protégés. Il ne cherche pas à cataloguer cette relation. Il vit l'instant présent sans se poser de questions et prendre les évènements tels qu'ils viennent. La seule chose qu'il sait est que cette relation lui fait du bien, chasse peu à peu le fantôme de Wilfried de son coeur et qu'il se redécouvre homme et désirable à côté d'un autre.
• orientation : homosexuel. Il l'a toujours su, mais comme d'autres, il a tenté de rentrer dans la norme avant d'embraser sa véritable naturel. il ne se cache pas. Il aime les muscles fins et robustes des hommes, même s'il reconnait la beauté des femmes.
• occupation : Producteur et propriétaire de son propre label de musique. ancien pianiste de renommé. son talent était reconnu dans son domaine et il s'est fait connaitre du grand public en innovant son art.
• quartier : Beverly Hills, dans une maison qui ressemble plus à l'homme qu'il est aujourd'hui. De plein pied, il en a fait son cocoon dans lequel il aime bien passer du temps pour écrire et composer.
• avatar : Eduard Linares
• crédits : @mary
• messages : 1529
• date de naissance : 01/04/1994
Ruben Leeroy
Quand on ne peut revenir en arrière, on ne doit se préoccuper que de la meilleure façon d’aller de l’avant.(björben01)
Ven 27 Mar - 19:17

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Quand on ne peut revenir en arrière,
on ne doit se préoccuper que de la meilleure façon d’aller de l’avant.

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Prendre la voiture relève d’un parcours de combattant pour le jeune homme. Par le passé, il était si facile de s’immiscer dans l’habitacle de son véhicule. Désormais, il doit prendre sur lui-même et se promettre que tout va bien se passer. Sans doute qu’il est trop tôt, mais Ruben ne veut pas que la peur l’empêche de l’avancer et il ne désire pas devenir un poids pour ses proches. Il vaut mieux affronter ses démons avant que ceux-ci nous dévorent et nous laissent aucune échappatoire. Sans doute qu’il aurait pu juste faire l’aller-retour de chez Yaël à l’hôpital, mais il a conscience que sa mère est inquiète. Elle ne l’exprime pas en face de lui, mais il sait bien qu’elle vit cette situation aussi mal que lui. Il veut la rassurer et pour cela, il se doit d’aller la voir, lui prouver qu’il parvient à reprendre le rythme de sa vie à un détail près. Les mains tremblantes, il s’efforce de surpasser ce stress post-traumatique qui l’habite. Quand on ne peut revenir en arrière, on ne doit se préoccuper que de la meilleure façon d’aller de l’avant.  C’est la réalité alors autant l’accepter même si c’est plus facile à dire qu’à faire. Surtout lorsque tout son corps crie de douleur et que sa main gauche se crispe dans un mouvement qu’il peine à détendre. La route lui semble interminable jusqu’à chez lui. Son cœur bat la chamade à chaque freinage intempestif des véhicules qui l’entourent. Il s’efforce de ne pas réfléchir, d’être concentré sur ses actions au volant et non à toutes ces crispations qui rend l’ensemble de son corps tendu par une crainte incommensurable. Lorsqu’il parvient à trouver une place devant chez lui, c’est comme une libération. Son corps se met à trembler alors que des sanglots muets viennent obstruer sa gorge. Il se donne du temps pour se remettre de ses émotions, de laisser son corps reprendre le contrôle et amoindrit ses tremblements. Il se concentre sur le massage de sa cuisse gauche, sentant la cicatrise sous le tissu du jean qu’il porte. Il s’efforce de détendre le muscle, mais il sait qu’une dose de vicodin est nécessaire. Alors il vient ouvrir sa sacoche pour attraper le tube de pilule dont il glisse un cachet au creux de sa menotte pour la énième fois de la journée. Il s’assure de ne pas dépasser la quantité maximale, ce qui explique ses nuits si pénibles depuis son départ de l’hôpital. Il l’avale avec une gorgée d’eau avant de ranger le tout. Il essuie ses sueurs froides avec son avant-bras avant de puiser la force de s’extirper hors de cette voiture de location. Il finit par retrouver le perron de la résidence, se hisse sur les différentes marches avant d’ouvrir la porte. « Maman. C’est Ruben ! » Il déclare en venant s’immiscer dans l’entrebâillement de la porte. Il masque une grimace de douleur qui l’élance le long de tout son corps. « Oh Babe ! » Il l’entend exprimer avec émotion alors qu’elle semble se lever du canapé de leur salon. Très rapidement, il se prépare à recevoir cette boule de douceur dans ses bras et il la réceptionne sans perdre son équilibre. Du moins, il se maintient au meuble de l’entrée pour éviter de basculer alors que sa mère l’ausculte sous toutes ses coutures. Il sourit avec douceur, appréciant les caresses de ces menottes sur son visage et ses lèvres contre sa tempe. Il se laisse transcender par cette bulle de douceur, le regard plongé sur la femme de sa vie qui semble émue, malgré ses airs fiers. Pourtant son attention est détournée à l’instant même où il sent une présence. Il n’a pas besoin de lever son regard pour savoir qui est présent : Björn. Il reconnait l’odeur subtile de son parfum, la manière qu’ont ses pas sur le parquet de l’entrée. Quand il était plus jeune, il attendait avec impatience ces instants où il pourrait entendre ses pas et descendre dans les escaliers pour l’accueillir. Ses prunelles retrouvent donc cette silhouette familière. Un sourire sincère se fixe sur ses commissures alors que sa mère le relâche pour lui permettre de saluer dignement cet ami proche de la famille. Il n’hésite pas. Dans une démarche maladroite, révélant son boitement plus qu’il ne le voudrait puisque la position debout lui est pénible, il vient l’étreinte avec douceur. « Salut... » Il souffle contre son oreille dans une voix émue. Il s’enivre subtilement de son parfum, de son corps forme contre le sien qui lui fait toujours de l’effet malgré les effluves de l’adolescence passée. « Je suis content de te voir. Cela fait un bail. » Il tapote quelques instants son épaule avant de s’éloigner de son corps. « Je vais te chercher à boire Babe. Vas t’asseoir. » Lui déclare sa mère en prenant la direction de la cuisine alors que le téléphone fixe de la maison raisonne. « Combien de temps tu paris pour que j’ai mon verre ? » Il déclare à ce vieil ami alors qu’il se dirige vers le salon, la démarche difficile. Il évite le regard de cet homme, ne voulant pas y lire de la pitié ou tout sentiment de ce genre. C’est ce qui le flingue le plus. Le regard des autres, le sien sur ce corps qui ne sera plus jamais celui qu’ils ont et qu’il a connu. Peut-être finira-t-il par l’accepter, mais pour l’instant ce n’est pas le cas. « Comment vas-tu après tout ce temps ? » Il indique en venant s’asseoir en tendant légèrement sa jambe pour la soulager. Il évite de mentionner leur dernière rencontre, située peu de temps avant son accident. Il ne veut pas y penser, juste discuter de la pluie et du beau temps, comme par le passé.
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Quand on ne peut revenir en arrière, on ne doit se préoccuper que de la meilleure façon d’aller de l’avant.(björben01)
Jeu 9 Avr - 5:02
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Quand on ne peut revenir en arrière, on ne doit se préoccuper que de la meilleure façon d’aller de l’avant.
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[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] ☾ Installé au volant de ta Ford Mustang de 1967, tu observes en silence cette demeure qui t'était familière et dont les années n'avaient pas entachée une seule brique. Tu ne sais pas vraiment ce qui ta poussé à revenir en ce lieu, surtout au bout de six mois d'absence. L'envie de les revoir sans doute. Enfin, malgré cette absence, tu n'avais pas joué au fantôme pour autant. À dire vrai, tu donnais régulièrement des nouvelles à Camber, par téléphone et/ou SMS. Tu en profitais aussi pour t'assurer que celle-ci ne manque pas d'argent, qu'elle aille bien. Si la madre allait pour le mieux, tes pensées eurent vite fais de ce tourner vers son fils. Ruben. Est ce que tout allait bien pour lui ? Est ce qu'il continuait à jouer du piano ? Un doux sourire vient à étirer tes lippes tandis qu'une main se glissait sur le veston de ton costume trois pièce. Depuis le temps que vous ne vous étiez revu, tu comptais bien entendu te rattraper et quoi de mieux pour ce faire que de l'invité à un concert “philharmonique” ? Cela pouvait paraître vieux jeux et pourtant, c'était le genre de musique qui avait le don de parler, d'exprimer bien plus de sentiment et d'émotions que ne le pourraient faire de simple mot. Tu espérais que cela lui plaise, auquel cas, tu trouverai autre chose, tu n'étais pas inquiet. Soufflant doucement comme pour te donner contenance, tu finis par quitter ton véhicule, veillant à verrouiller celui-ci pour glisser ensuite les clefs dans la poche intérieur de ta veste hors de prix. La tenue n'était pas des plus indiquée pour une simple visite de courtoisie, mais étant donné que tu sortais d'un shooting, tu n'avais guère pris la peine de te changer. Traversant la rue, tu te tiens à présent sous le porche. Une pointe d'excitation te parcours l'échine. Tel un enfant à la veille de noël, c'est avec un sourire aux lèvres que tu viens à frapper, attendant là quelques minutes. Déboutonnant les premiers boutons de ta chemise, tu avises le ciel chargé en nuage. J'espère que cela ne va pas tourner à l'orage.. Non pas que rouler sous la pluie te dérangeait, mais tu préférais jouer la carte de la prudence. Le regard perdu au loin en un léger froncement de sourcil, c'est le bruit du verrou qui vient à attirer ton attention. Tes prunelles rencontrant celles de ce visage familier et amicale qui t'avais manqué. Après une étreinte chaleureuse et quelques mots, tu finis par entrer. Habitué de la maison, tu te diriges tout naturellement vers le salon. Là, tu en profites pour retirer ta veste, la laissant reposer à cheval sur l'un des accoudoirs du fauteuil dans lequel tu pris place. Vous aviez beaucoup de choses à vous dire, à un tel point que le temps t'échappas. Le soleil couchant avait laissé place à sa voisine la nuit, celle-ci ayant étendu ses ailes sombres sur la ville. L'idée de partir t'avait traversé l'esprit jusqu'à ce qu'une voix ne retentisse dans l'autre pièce. Ton cœur eut vite fait de se mettre en branle, tout comme ton corps à vrai dire. Il est là. Ton fessier quitte le fauteuil tandis que tes pas te mènent jusqu'à l'entrée. C'est un étrange flot d'émotions qui te submerge, le revoir après tout ce temps. Certes, cela faisait tout juste six mois, mais c'était étrangement beaucoup trop long à ton goût. Légèrement en retrait le temps de laisser opérer les retrouvailles entre une mère et son fils, tu avises le jeune homme sans un mot. Avec un sourire ravit, tu ouvres en douceur les bras, prêt à accueillir contre toi sa silhouette. Tu remarques alors qu'il claudique, sa démarche étant loin d'être sûre. Néanmoins, tu ne l'assaillirai pas de questions, pas maintenant ; tu n'avais pas le cœur et encore moins l'esprit à ça. Tes bras viennent encercler son cadre, le blottissant ainsi contre le tiens en une accolade chaleureuse. Ta voix se fait murmure non loin de son oreille, chaude, bienveillante. ❝ Salut Ruben.. ❞ Le relâchant en douceur, tes mains retrouvent ses épaules afin de le tenir un bref instant là. Tes globes détaillent son faciès, redécouvrant agréablement la finesses de ses traits. ❝ Oui ça fait longtemps.. Beaucoup trop à vrai dire. ❞ Tu finis par le relâcher, un petit rire secouant brièvement tes épaules. ❝ J'irai te le chercher s'il le faut. Allons nous asseoir en attendant.. On a pas mal de choses à se raconter, tu ne crois pas ? ❞ Tu le suis calmement et en silence, prenant note de la difficulté que celui-ci éprouve à se déplacer. Bien entendu et par respect pour lui, tes iris ne restent pas à fixer son handicap. Fixer les gens avec pitié ne faisait pas parti de ton caractère, encore moins envers des proches. Cela n'amenait rien de bon hormis un sentiment de faiblesse, ce qui en l’occurrence, n'était pas recherché. Prenant à nouveau place dans le fauteuil que tu occupais juste avant, tu viens avec aisance croiser les jambes ; une main reposant sur le sommet de tes genoux alors que l'autre avait prit place sur l'accoudoir. ❝ Bien, je suis toujours autant débordé par le travail. ❞ Un sourire glisse sur tes lippes. ❝ Mon manager peut s'avérer être un vrai connard quand il le veut.. ❞ Démêlant en douceur tes cannes, tu te penches à peine afin de récupérer le verre de vin que t'avait précédemment servit Camber. Faisant tournoyer en douceur le liquide, tu portes le verres à tes commissures afin d'en déguster une gorgée. Levant légèrement le contenant vers ton interlocuteur, tu l'interroges du regard ; invitation silencieuse à partager ta boisson. ❝ C'est d'ailleurs pour cela que j'ai eu du mal à me libérer ses derniers temps, sinon je serai passé plus tôt. ❞ Il est vrai que ton planning était sujet à de nombreuses modifications, il n'était pas toujours évident pour toi de trouver du temps libre. Il faudra d'ailleurs voir se détails avec ton manager. ❝ Et toi, que me racontes tu de beau ? Ah ! Pendant que j'y pense.. ❞ Le verre de vin rejoignant la table basse, tu le pousses en douceur vers Ruben –au cas ou– puis pivotes à demi sur l'assise moelleuse afin d'attraper ton manteau et ainsi fouiller la poche intérieur de celui-ci. ❝ Je ne suis pas venu les mains vides. Tu te doutes bien qu'après tout ce temps manqué en la compagnie de l'un et l'autre, il fallait qu'on se rattrape. ❞ Le ton tout comme ton sourire se fait taquin. Tu finis par extirper en douceur une enveloppe que tu viens à lui tendre. Tu n'en dis pas plus, laissant le mystère planer.
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• côté ♥ : Célibataire, une relation plus intime semble se tisser avec un de ses protégés. Il ne cherche pas à cataloguer cette relation. Il vit l'instant présent sans se poser de questions et prendre les évènements tels qu'ils viennent. La seule chose qu'il sait est que cette relation lui fait du bien, chasse peu à peu le fantôme de Wilfried de son coeur et qu'il se redécouvre homme et désirable à côté d'un autre.
• orientation : homosexuel. Il l'a toujours su, mais comme d'autres, il a tenté de rentrer dans la norme avant d'embraser sa véritable naturel. il ne se cache pas. Il aime les muscles fins et robustes des hommes, même s'il reconnait la beauté des femmes.
• occupation : Producteur et propriétaire de son propre label de musique. ancien pianiste de renommé. son talent était reconnu dans son domaine et il s'est fait connaitre du grand public en innovant son art.
• quartier : Beverly Hills, dans une maison qui ressemble plus à l'homme qu'il est aujourd'hui. De plein pied, il en a fait son cocoon dans lequel il aime bien passer du temps pour écrire et composer.
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Quand on ne peut revenir en arrière, on ne doit se préoccuper que de la meilleure façon d’aller de l’avant.(björben01)
Jeu 9 Avr - 23:02

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La présence du vieil ami de la famille est une surprise agréable qui l’enchante. Depuis son adolescence, Ruben est sensible au charme si distingué de cet homme qui a toujours arpenté le parquet de la demeure de sa mère. Même aujourd’hui, la finesse de ses gestes, les traits carrés et masculins de son échine affriole aisément ses sens. Il n’a jamais pris le risque de laisser son intérêt se révéler aux yeux du blond au point de devenir maître dans l’art de la dissimulation de ses sentiments. Pourtant la manière qu’ont les prunelles du blond de l’observer avec cette intensité si définissable à sa personnalité accentue son trouble naturel à son égard. Un sourire ravi s’épanche sur ses lèvres lorsque son esprit comprend qu’il a potentiellement manqué à cet ami de la famille. « Je n’en doute pas de ton côté. De mon côté, je crains que cela soit prometteur. » Il déclare en venant rejoindre le salon en titubant sur sa jambe fragilisée par l’accident dont il a été victime et qui l’a conduit à frôler la mort. Il évite soigneusement le regard de cet homme vis-à-vis des séquelles de son accident qui ont significativement marqués son corps comme sa personnalité. Il prend rapidement sur le canapé en prenant ses aises pour soulager la pression dans sa jambe gauche pour qu’elle tienne suffisamment pour lui permettre de marcher jusqu’à la fin de journée. Son attention est rapidement captivée par les mouvements de cet homme, qui à une prestance qui l’attire comme un aimant. Ses prunelles s’abreuvent de chaque mouvement réalisé. Le croisement de ses jambes, le positionnement de sa main sur ses cuisses alors qu’il savoure son verre de vin. Cette homme est un fantasme sur pattes. Il se fait de nouveau la remarque comme à chaque fois qu’il l’observe se mouvoir et ce depuis qu’il a pris conscience de son intérêt pour les hommes bien en muscles tels que Björn. « Tu devrais lui demander de t’octroyer un peu de temps pour que tu puisses t’occuper de toi. » Il déclare avec douceur en venant décliner d’un mouvement de tête son invitation à boire dans son verre. Ruben doit éviter tout alcool pour ne pas prendre de risques inconsidérés. Du moins plus qu’il n’en prend en venant consommer de manière intensive d’analgésique pour contenir la douleur qui oppresse sa jambe. « C’est important de penser à soi, mais je sais que tu es autant un bourreau de travail que moi. » Il indique en venant prendre appui sur son bras droit sur l’accoudoir tandis que sa main atrophiée gît contre sa cuisse défaillante. « Je n’en doute pas, ne t’inquiète pas. » Il déclare dans un sourire aimable. C’est sans doute mieux ainsi. Il n’avait pas spécialement envie qu’on le voit dans l’état après sa sortie du coma. Même s’il affectionne énormément cet homme, il n’aurait sans doute pas bien digéré qu’il le voit dans une position si vulnérable. C’est encore pénible pour lui de savoir qu’il le sera toujours. Plus un gamin, mais plus vraiment un homme. Ses pensées sombres l’assaillent sans crier garde avant qu’un mouvement bien maitrisé du blond l’arrachent de sa réflexion. Ruben l’observe avec étonnement chercher quelque chose dans son manteau. Un cadeau pour moi ? Cette intention le touche même s’il n’est pas surprit par l’action du blond. A croire qu’il n’a jamais perdu les vieilles habitudes qu’il avait pris lorsqu’il venait avec un présent à chaque visite. Un sourire attendri se niche sur ses commissures à ce souvenir doux. Ses propos sont grisants à entendre. Une bouffée de chaleur vient emplir sa poitrine alors que le sourire taquin du blond vient titiller ses sens. Ruben… Il s’injure contre lui-même comme lorsqu’il était adolescent. Tu es comme un fils pour lui. C’est ce qu’il pense depuis des années. En conséquence, l’éclat de son sourire se fait sincère alors qu’il attrape cette enveloppe avec délicatesse. « Eh bien, tu es toujours aussi doué pour te rattraper, Björn. » Il déclare en son tour avec espièglerie alors qu’il vient ouvrir cette enveloppe avec attention. Il se concentre sur son geste en la bloquant contre sa cuisse et sa menotte atrophiée. Le geste est difficile, mais il tient à le faire par lui-même, car c’est important pour lui de conserver son autonomie. Il finit par y parvenir et vient délicatement retirer deux billets pour un concert de musique philharmonique. Il les observe avec surprise avant qu’une émotion profonde vient le prendre à la gorge. « Tu n’aurais pas pu viser mieux, Björn… » Il murmure dans une voix émue qu’il vient camoufler par un raclement de gorge. La musique. Cet art qui le rend si vivant et qui a comblé chaque partie de son être pour devenir une composante indispensable à sa vie. Cette muse qu’il n’a plus la capacité d’embrasser de ses dix doigts. Un sourire sincère vient se perdre sur ses lèvres. « Je te remercie. J’ai hâte d’y aller, de laisser la musique envahir chaque membre de mon corps. » Il murmure dans une voix rêveuse, car il a toujours pleinement vécu son art dans la moindre parcelle de son organisme. « Cela me fera du bien et je serai en charmante compagnie. Que demander de plus ? » Il conclut dans un clin d’œil qui se veut complice alors que ses prunelles viennent se perdre de nouveau sur les billets. Cette idée l’enchante énormément.
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Quand on ne peut revenir en arrière, on ne doit se préoccuper que de la meilleure façon d’aller de l’avant.(björben01)
Ven 10 Avr - 17:27
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[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] ☾ Les jambes légèrement écartées, tes coudes reposant sur celles-ci, un sourire flotte sur tes lèvres en observant le jeune homme ouvrir l'enveloppe. Tu attendais avec une certaine impatiente de découvrir les réactions de celui-ci suite à la révélation de ton présent et tu ne fut pas déçu. Ce n'était pas le premier cadeau que tu lui offrais, mais voir l'émotion traverser ses traits réchauffait ton cœur, t'apportait une certaine forme de plénitude, de joie. Inclinant légèrement le menton suite à ses remerciements, tu souffles un petit rire tout en te levant. ❝ Je songeais à t'offrir un restaurant, mais je sais à quel point la musique est importante pour toi. ❞ Pour toi également Björn. C'était quelque chose qui vous liait et ce depuis le début. Un cadeau de cet acabit n'avait peut-être aucune signification pour certains, mais pour vous c'était autre chose. Précieux. Le rejoignant d'un pas tranquille, tu prends place à ses côtés, ton fessier reposant sur l'un des accoudoirs sans pour autant le gêner. ❝ Afin d'être sûr de pouvoir t'accompagner, j'ai bloqué ma journée et regarde.. ❞ Doucement, ta main vient à tirer l'un des billets de son contenant, révélant les dernières lignes le composant, soit vos futurs emplacements. ❝ Nous serons sur les balcons. De quoi profiter au mieux du spectacle. ❞ Tu ne lésinais jamais sur ce genre de détail, car cela avait son importance. Tu voulais qu'il passe un bon moment, que cela le marque. Glissant à nouveau le billet avec l'autre, tu restes un instant là auprès de lui, tes iris observant au loin en entendant la voix de Camber s'élever depuis l'autre pièce. ❝ Pour ta mère, je lui ai prévu une petite session massage dans un spa.. Cela lui fera du bien également. Elle n'arrête pas une minute il faut dire. ❞ Un sourire amusé glisse sur tes lippes sous les divers souvenirs qui traversent ton esprit. La mère de Ruben était un sacré bout de femme, une battante que tu respectait et pour qui tu t’inquiétais. Elle ne se plaignait que rarement et en de rare occasion. Mais à force de se donner autant, elle allait finir par se fatiguer. Il fallait qu'elle se ménage un peu. Sortant de tes pensées, tu avises la madre qui semblait avoir finit sa conversation téléphonique. « Je vais aller préparer le dîner. Tu restes avec nous Björn ? » Tu ne t'attendais pas à une telle invitation, mais soit, depuis le temps après tout. Lui adressant un sourire, tu hoches et avant même que tu n'ai eu le temps de lui proposer de l'aide, celle-ci te fait clairement comprendre que ce n'est pas la peine. Après un rire amusé, elle quitte la pièce, vous laissant de nouveau seuls. ❝ J'espère qu'elle va nous sortir l'une de ces fameuses recettes dont elle à le secret. C'est toujours un enchantement pour les papilles de goûter ses plats. ❞ Les mets de Camber étaient excellents et changeaient de ce que tu avais l'habitude de te cuisiner et manger. C'était typique de ses origines, de quoi te dépayser un peu et sortir de ta routine. ❝ Sinon pour en revenir à ce que tu disais, oui j'en toucherai un mot à mon manager. Peut-être même que j'en changerai. Ou alors je prendrai ma retraite. ❞ Souffles tu avec amusement. Tu avais encore le temps avant de cesser ton activité de mannequin et modèle, enfin, tant que ta gueule continuait à plaire tout du moins. Un grondement au loin te fait tourner la tête vers les carreaux contre lesquels la pluie vient à présent s'abattre. Délaissant l'accoudoir sur lequel tu reposais, tu te meus jusqu'à ceux-ci, tes iris retrouvant les lumières de la ville et en fond, le flash des éclairs, le grondement du tonnerre. ❝ J'espère que tu n'as pas peur des orages.. Celui-ci risque d'être violent. ❞ Au vu de la météo qui se gâtait à une vitesse déconcertante, il serai plus sage de rentrer, c'était certain. Mais qu'est ce que cela t'apporterai enfin de compte ? Tu serais dans ta villa, seul. Silène serai sûrement dehors et toi avec les tripes tordus par l'inquiétudes, tu l'attendrai, tournant comme un animal en cage entre les murs de ta demeure. Non, tu étais beaucoup mieux ici, tes pensées étaient occupés. Certes cela ne balayerai en rien la boule d'angoisse qui avait prit place dans le creux de ton estomac, mais c'était toujours mieux que rien. Relevant les yeux sur ton propre reflet, tu notes le changement de tes traits. Peut-être te faisais tu trop de mouron. Lâchant un souffle, tu finis par te détourner, délaissant l'orage grondant et la pluie. Un sourire venant de nouveau prendre place sur tes lippes tandis que tu rejoignais le jeune homme. D'une main habile, tu attrapes ton verre de vin afin de finir celui-ci en une unique gorgée. ❝ Je vais aller faire le plein. Je te ramène de quoi boire au passage, puisque ta mère semble avoir oubliée. ❞ Le ton emplie d'amusement, tu prends la direction de la cuisine. Échangeant quelques mots avec Camber tout en récupérant les boissons, il te semble entendre le son d'une notification provenant de ton portable ; celui-ci resté au salon, tu la consulterai en y revenant, auquel cas, Ruben n'aurai qu'à t'avertir si cela s'avère urgent. Ce que tu ignorais, c'est que le message en question était celui d'un amant de passage ventant votre soirée torride et le plaisir qu'il y avait prit. Verres en mains, tu retournes au salon, déposant ceux-ci sur la table basse. ❝ Je sens qu'on va se régaler se soir, ça sent rudement bon en cuisine. ❞ Adressant un sourire au plus jeune, tu finis par récupérer ton portable sans prendre la peine de consulter le message reçus plus tôt. Ruben ne t'ayant rien dit, ce n'était pas important. ❝ Veux tu m'accompagner pour une mélodie au piano ? ❞ Cela faisait longtemps que vous n'aviez pas joués ensemble, il était temps de se rattraper.
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• orientation : homosexuel. Il l'a toujours su, mais comme d'autres, il a tenté de rentrer dans la norme avant d'embraser sa véritable naturel. il ne se cache pas. Il aime les muscles fins et robustes des hommes, même s'il reconnait la beauté des femmes.
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Il observe avec attention ce cadeau qui tombe à point nommé. Il est réellement touché par l’attention de ce vieil ami de la famille. L’idée de passé une soirée en sa charmante compagnie est une perspective plaisante. Il apprécie cet homme depuis sa plus tendre enfance et ils partagent de nombreux points communs. Sans parler du fait que le pianiste est naturellement attiré par le charisme dégagé par cet homme. D’ailleurs son regard est naturellement attiré par le mouvement de son ami, sa manière de se relever pour venir se poser à ses côtés sur l’accoudoirs. Cette proximité l’a toujours titillé, même s’il n’en a jamais rien laissé paraître. Après tout, c’était l’ami de sa mère et pendant très longtemps, il a supposé qu’il fût l’amant caché de sa mère. Des doutes qui ne sont jamais avérés vrais. Il est juste un proche ami et un soutien inestimable pour sa mère. Il détaille le moindre mouvement de cet homme, sa proximité est déconcertante, exacerbée sans aucun doute par son manque de luxure. Il s’efforce de garder la tête claire, car de toute manière, il n’a jamais eu de doute sur la sexualité de cet homme. Il a tout de l’homme hétérosexuel distingué, mais inaccessible. A-t-il un jour aimé ? Assez pour perdre la tête ? Il ne le sait pas, mais il semble tellement fort physiquement et psychologiquement. Un véritable roc. « Super. Tu penses toujours à tout, Bjôrn. » Il déclare dans un sourire amusé et complice. Il a toujours trouvé cela intriguant. Il semble toujours être en contrôle. Est-ce qu’il lui arrive de lâcher prise, de juste faire des choses sur un coup de tête sans que rien ne soit anticipé ? Pas à ma connaissance. Son regard vient se perdre sur les traits du visage du blond alors qu’il regarde au loin. Leur proximité lui permet d’admirer la beauté et la rudesse de cette mâchoire, ce léger chaume qui parsème subtilement sa peau, qui doit être terriblement attrayante lorsqu’elle frôle sa chair. Ruben calme-toi, s’il te plait. L’éveil de ses sens est une surprise pour lui, qui a passé ces derniers mois plongé dans la douleur. Seulement, Björn l’enivre toujours aussi facilement que par le passé. Il a juste appris à le camoufler et à passer outre cette réalité. « Oui tout comme toi. Je me suis toujours demandé si ce n’était pas vos similitudes qui étaient la base de la solidité de votre amitié. » Il déclare dans un sourire amusé. « Tiens quand on parle du loup, il montre le bout de sa queue. » Il déclare lorsqu’il perçoit les pas de sa génitrice se diriger vers eux. Elle l’invite tout naturellement, ce qui est une habitude dans cette famille. Il est rare qu’on mette les invités à la porte et il a gardé ces valeurs dans sa propre existence. C’est d’ailleurs amusant d’observer les deux amis interagir avant qu’elle ne retrouve la cuisine, sa proposition d’aide ayant elle aussi déclinée. « C’est fort à parier. Je la soupçonne parfois de chercher à te séduire. Elle fait toujours des repas assez développés quand tu es là. » Il déclare sous le ton de l’humour, un sourire mutin plaqué sur ses lippes. Il plaisante bien entendu et il n’a aucun doute que Björn prendra ces propos pour une taquinerie. « Si déjà tu lèves un peu le pied pour profiter un peu plus de la vie, ce serait déjà bien. » Il déclare en toute amitié alors que sa main valide vient naturellement se poser sur la cuisse de son ami. C’est un geste tactile de sa part, sans aucune ambiguïté en temps normal, mais la pression du muscle ferme sous ses phalanges a un attrait tout à fait différent. Il retire sa main assez rapidement, l’air de rien avant que son ami s’éloigne pour rejoindre la fenêtre. On peut entendre les trompes d’eau déferler sur les carreaux. « Je pense que je vais rester dormir ici. Je ne me sens pas de reprendre la route aujourd’hui. » A cause de la fatigue premièrement, mais surtout de cette angoisse permanente qui habite tout son être lorsqu’il est désormais derrière un volant. Dans de telles conditions météorologiques, il ne désire absolument pas prendre de risques. Son attention bien fixée sur Björn, il dénote automatiquement un changement dans son expression et dans son regard. Il semble soucieux, ce qui n’est pas dans les habitudes du mannequin. « Tout va bien, Björn ? » Il s’entend lui demander, porté par une envie impressive d’être une écoute attentive s’il en ressent le besoin. A l’image d’un ami qui est présent pour le sien. Ce qu’il s’est toujours promis d’être pour les siens. Björn ne semble pas l’avoir entendu, alors il n’insiste pas, le laisse filer dans la cuisine avec récupérer de nouvelles boisons. « Super, je te remercie. » Il déclare en venant suivre sa silhouette du regard. Qu’est-ce qui le travaille aussi profondément ? Une peine de cœur ? Il se questionne, sachant mieux que personne que les sentiments peuvent nous engloutir dans des pensées moroses sans crier garde. Cela lui arrive dès lors qu’il baisse la garde. Les souvenirs de Wilfried viennent alors l’envahir et lui lacérer la poitrine. Il s’intime à se concentrer sur la douleur de sa cuisse qu’il vient masser, car elle recommence à l’élancer. Une envie impressive d’avaler un énième cachet d’analgésique se fait sentir, mais il la refuse, car il se doit de boire lors de la prise et il ne désire pas se donner en spectacle. Il s’applique à masser sa cuisse lorsqu’il sent le portable de Björn s’allumer. Sans faire attention, son regard se porte sur le nom du destinataire et il s’applique à fixer les premières lignes du message qui s’affiche. Il ne cherche pas à s’immiscer dans la vie privée du blond, juste s’assurer qu’il ne s’agit pas d’un message important. Son cœur s’arrête de battre lorsqu’il prend conscience du contenu et de l’expéditeur du SMS. Un homme ? Possédé par un instinct qu’il ne maitrise pas, il attrape le téléphone pour s’assurer qu’il n’a pas mal lu. Björn est gay ou bisexuel ? Il relie le SMS plusieurs fois, activant l’écran du téléphone pour s’assurer qu’il ne rêve pas. Cette révélation le décontenance totalement. J’y crois pas. Il repose le téléphone dans une main tremblante et s’efforce de ne pas laisser des images dangereuses qui pourraient facilement l’envahir. Surtout cette foutue envie d’être à la place de cet homme. Rien que pour une nuit. Il en a rêvé depuis sa plus tendre enfance. Björn mérite mieux que d’être un vulgaire de tes fantasmes, Ruben. Il s’intime à lui-même pour contrer ces pensées vagabondes qui l’envahissent. Sans pouvoir s’empêcher de le penser, il se dit qu’il aurait voulu le savoir plus tôt. Peut-être qu’il aurait pris le risque de tenter sa chance, de devenir son égal à cette époque où il avait le béguin pour lui. Comme si tu avais une chance. Tu en a encore moins aujourd’hui. Qui pourrait vouloir d’un estropié ? Il soupire de lassitude vis-à-vis de sa situation. Il s’efforce de reprendre contenance lorsqu’il entend les pas du blond revenir vers lui. Son regard vient de changer en quelques minutes, des images plus tentatrices les unes que les autres l’assaillent. Il a beau s’intimer d’arrêter, mil et une questions se bousculent dans son esprit sur le plan charnel de son ami. Bon sang, Ruben ! Il ne compte pas les pousser, mais sa curiosité est piquée à vif. « Je te remercie, Björn. » Il déclare dans une voix un peu plus rauque qu’il ne le voudrait. Sa proposition le prend de court, mais elle lui arrache un sourire. Il apprécie qu’il agisse comme il l’habitude de le faire sans faire attention aux séquelles de son accident. « Merci, mais je vais décliner. Mais si tu veux, je veux bien que tu nous joue un morceau. » Il indique dans un sourire reconnaissant alors qu’il vient boire une gorgée de son verre de limonade. Il poursuit son observation alors que Björn vient prendre place sur le piano présent dans la pièce, celui sur lequel ils avaient l’habitude de jouer ensemble par le passé. Il n’est pas encore prêt à accepter de jouer qu’avec une main. Le sentiment de perte serait encore plus profond. Il n’est pas contre l’idée de se laisser portée par les sonorités qu’il aura décidé d’interpréter du bout de ses doigts. Cela lui fera du bien alors il s’installe confortablement, laisse sa nuque se poser sur la tête du dossier du canapé alors qu’il ferme ses yeux. Il s’efforce de ne pas songer à tout ce qu’il vient d’apprendre et qui vient totalement chambouler l’équilibre sur lequel leur relations s’est construite de son côté, même si au fond, cela ne change rien.
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Quand on ne peut revenir en arrière, on ne doit se préoccuper que de la meilleure façon d’aller de l’avant.(björben01)
Mar 14 Avr - 1:31
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Quand on ne peut revenir en arrière, on ne doit se préoccuper que de la meilleure façon d’aller de l’avant.
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[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] ☾ Avisant le plus jeune, tu opines doucement quant à son refus. Cela ne t'étonnais guère, tu t'y étais attendu. Certes tu manquais de réponses, surtout vis à vis de son état de santé mais tu n'étais pas dupe. Que c'est t-il passé Ruben.. Restant tout de même respectueux envers lui, tu n'insistera pas, ne posant aucunes questions. Cela viendrai de lui tôt ou tard, tu l'espérais tout du moins. Un léger sourire aux lèvres, tu opines tout en te dirigeant vers l’instrument. ❝ Soit. Cela ne te dérange pas que je prenne un morceau de ma propre composition ? ❞ Ce n'était pas spécialement un secret, quoiqu'il était le seul à connaître cela de toi, le fait de composer. Lorsque tu trouvais un peu de temps libre pour la musique, il t'arrivait d'inventer des airs, de nouvelles mélodies. Prenant place sur la banquette, tu relèves le couvercle du clavier, redécouvrant ainsi le nacré des touches qui le composait. La pulpe de tes doigts glisse avec douceur sur celles-ci, touche légère et nostalgique. Beaucoup de souvenirs te reviennent alors en mémoire, notamment avec lui. Ruben, à quand notre prochain duo ? Remontant par précaution les manches de ta chemise, tes mains viennent prendre place. Gestuelle douce et maîtrisée, dicté par une habitude encré dans la peau. Tes extrémités rencontrent alors la matière froide, les premières notes s'élevant dans les airs. Tes mains bougent à peine de leurs position initiale, tes doigts se mouvant avec adresse et délicatesse.  Mélodie douce, peut-être un tantinet nostalgique malgré son rythme, quoique celle-ci change du tout au tout lorsque ton pied retrouve la pédale de droite afin d'accentuer certaines de tes notes, leurs donnant ainsi plus de profondeur. Tes prunelles qui suivaient jusque là ta gestuelle baissent le rideau, retrouvant l'obscurité de tes paupières. Tu te laisses aller sur cette douce mais prenante mélopée. La raison de sa composition ? Ce souvenir t'échappes, tout comme son existence. Sûrement un passage de ta vie qui t'eut marqué mais que tu avais finis par oublier. Ton cadre remue à peine, demeurant fermement encré sur cette banquette que vous aviez usez par le passé. Ton esprit dérive au file des notes qui emplissent l'air, absorbé par cette musique qui vous liait, vous rapprochait. Rythme soutenu, message silencieux mais puissant. Pour toi c'était de l'espoir, une sorte de renaissance. Qu'en serait il pour lui ? Aigu, grave, douce ou profonde, la musique résonne entre les murs de la maison, brisant le silence de celle-ci depuis bien trop longtemps installé. Hommage au passé, cela t'avait manqué. Bien entendu, tu avais tes propres instruments à la villa, mais ce n'était en rien comparable avec ce que tu vivais et ressentais en cet instant. Il n'y avait qu'ici que la magie opérait, que la musique prenait tout son sens. Peu à peu tes doigts ralentissent, les notes raccourcissent jusqu'à ce que le silence ne retombe enfin. Demeurant là, tu rouvres les yeux lorsqu'un applaudissement se fit entendre, tes iris ne mettant pas longtemps à en trouver l'origine. Camber était dans l'encadrement du salon. « Tu n'as pas perdu la main à ce que je vois. Venez donc à table, c'est prêt. » Lui adressant un sourire, tu quittes la banquette après avoir pris soin de refermer le couvercle du clavier. Tes pas te conduisent dans un premier temps auprès de Ruben et la table basse où reposait vos verre. ❝ Je songe à modifier deux à trois notes, qu'en penses tu ? ❞ Question tout à fait naturel, après tout, c'était lui l'expert dans l'histoire. Tu n'avais jamais pris à mal ses remarques, c'était au contraire de précieux conseil que tu tâchais d'appliquer à la lettre afin de te perfectionner. Saisissant les deux contenant, tu avises le jeune homme tout en conservant ce sourire doux et chaleureux à tes commissures. ❝ J'abuse peut-être un peu trop de la pédale forte. ❞ Réflexion faite pour ta propre personne mais glissée de vive voix à son attention dans l'espoir d'un avis, un conseil. Tu étais certes son aîné, c'était une chose dont tu ne pouvais te passer, ses conseils en matière de musique. Ayant attendu qu'il adopte la station debout, tu ouvres la marche jusqu'à la cuisine, bien décidé à mettre la main à la patte. Bien entendu, Camber ne l'entends pas de cette oreille et c'est une conversation piquante mais dans l'humour qui se lance alors entre vous. La madre n'hésitant pas à user de sa langue natale lorsque tu l'agaçais un peu de trop. Bien entendu, c'était gentiment, dans une ambiance bonne enfant entre deux amis de longues date. Ton espagnol n'était pas totalement parfait, la faute à ton accent norvégien, mais ça tu n'y pouvais rien. C'était au contraire amusant, surtout lorsque ta vieille amie venait à te reprendre sur certain mot. Un rire franc passe tes lèvres, soulignant légèrement les pattes-d'oie qui ornait le coin de tes yeux, ce qui avait son charme. Secouant la tête, tu arrives tout de même à dresser la table –après avoir pris soin de te laver les mains bien entendu– le tout en esquivant les menottes de la madre qui cherchait à te subtiliser les assiettes. Le calme retombe enfin tout comme ton fessier sur l'une des chaises qui trônaient autour de la table. Il y avait bien longtemps que tu n'avais pas passé une soirée en aussi bonne compagnie, loin des tracas et soucis. Une soirée entre ami, tout simplement. Ruben à tes côtés, tu poses une main sur sa cuisse afin d'attirer son attention, un sourire amusé étirant tes lippes. ❝ Tu vois comment agit ta mère avec moi ? Elle refuse la moindre aide de ma part et en plus je me fais disputer ! ❞ Celle-ci te houspille gentiment avant de rire, ajoutant. « Cesse donc de raconter des bêtises, tu vas me faire passer pour un monstre aux yeux de mon fils. » Tapotant avec douceur et affection la cuisse du brun, tu retires ta main afin de remplir les verres de chacun. Camber ayant apporté les plats afin que vous puissiez vous servir. Par habitude et politesse, tu te lèves afin d’exécuter cette tâche, remplissant les assiettes de chacun selon leur convenance et appétit. Ce n'est qu'une fois terminé que tu poses à nouveau ton fessier, remerciant ta vieille amie pour se repas. La gestuelle toujours aussi naturelle, tu piques un morceau de viande et le porte à tes lèvres en une bouchée appréciée. Un soupire de contentement t'échappes. ❝ Toujours aussi douée en cuisine Camber, je vais finir par te demander des conseils. ❞ Tu étais loin d'avoir le niveau d'un chef étoilé, mais tu savais y faire derrière les fourneaux. Aussi, chaque conseils que pouvait te communiquer ta vieille amie était bon à prendre, ne serait ce que pour apporter un peu de piment dans tes assiettes. Elle eut un rictus amusé. « Ne serais ce pas mieux que je les partage avec Mme Øystein ? D'ailleurs, où est t-elle ? Ou alors, où est t-il ? » Tu manques d'avaler de travers suite à ses questions. Pure plaisanterie de sa pars, tu le savais, mais toujours aussi déstabilisant. Elle aimait en jouer et cela fonctionnait à chaque fois sur toi. Ton verre de vin en main, tu en prends une gorgée comme pour digérer cet instant. ❝ Faudrait il seulement qu'il y ai une Mme Øystein, Camber. Ce qui n'est actuellement pas le cas. Tout comme Mr. ❞ Riant de manière brève, tu conserves tout de même un sourire amusé aux lèvres. Tu étais célibataire oui. La faute au trop plein de travail ? Le manque de temps ? Ou peut-être parce que tu n'avais pas trouvé la bonne personne, pas encore tout du moins. La madre te fixe un instant en silence tout en secouant la tête, celle-ci semblant désapprouver. Lui adressant un sourire désolé, tu reportes ton attention sur le repas, mangeant calmement. Le silence ce faisait confortable bien que la pluie s'abattait en fond et avec fracas sur les carreaux jusqu'à ce qu'un flash lumineux ne traverse la pièce suivit de prêt par un vacarme effroyable. Les fenêtres en tremblèrent. Fronçant les sourcils, tes prunelles fixent Camber. Ce n'est pas passé loin. « Bien, tous les deux vous allez rester là se soir. » Ces mots ne te laissait guère le choix et au vu de la météo actuelle, se serai pure folie que de rentrer maintenant. Passer la nuit ici ne te dérangeait pas, cela te permettait de passer un peu plus de temps en leur compagnie, ce qui dans le fond t'enchantais grandement.
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Ruben Leeroy
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Quand on ne peut revenir en arrière, on ne doit se préoccuper que de la meilleure façon d’aller de l’avant.(björben01) Original

• âge : 30
• pronom : il.
• côté ♥ : Célibataire, une relation plus intime semble se tisser avec un de ses protégés. Il ne cherche pas à cataloguer cette relation. Il vit l'instant présent sans se poser de questions et prendre les évènements tels qu'ils viennent. La seule chose qu'il sait est que cette relation lui fait du bien, chasse peu à peu le fantôme de Wilfried de son coeur et qu'il se redécouvre homme et désirable à côté d'un autre.
• orientation : homosexuel. Il l'a toujours su, mais comme d'autres, il a tenté de rentrer dans la norme avant d'embraser sa véritable naturel. il ne se cache pas. Il aime les muscles fins et robustes des hommes, même s'il reconnait la beauté des femmes.
• occupation : Producteur et propriétaire de son propre label de musique. ancien pianiste de renommé. son talent était reconnu dans son domaine et il s'est fait connaitre du grand public en innovant son art.
• quartier : Beverly Hills, dans une maison qui ressemble plus à l'homme qu'il est aujourd'hui. De plein pied, il en a fait son cocoon dans lequel il aime bien passer du temps pour écrire et composer.
• avatar : Eduard Linares
• crédits : @mary
• messages : 1529
• date de naissance : 01/04/1994
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Quand on ne peut revenir en arrière, on ne doit se préoccuper que de la meilleure façon d’aller de l’avant.(björben01)
Mar 14 Avr - 22:43

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Quand on ne peut revenir en arrière,
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Björn reste égal à lui-même et il apprécie sa manière d’agir comme si les six derniers mois n’avaient pas eu lieu. Six longs mois de combat, pour vivre dans un premier temps et réapprendre à marcher par la suite en tirant un trait sur tout ce qu’il était par le passé. A cet instant, par l’échange qu’il a avec le grand ami de la famille, il retrouve la sensation d’être seulement lui et cette sensation est plaisante. Il se laisse naturellement happé par l’ambiance chaleureuse qui les enveloppe. « Bien sûr que non. Je serai ravi de l’entendre, tu te doutes bien. » Il indique à cet homme qu’il observe sous un autre jour. La révélation de sa "bisexualité" ou "homosexualité" le perturbe, car elle réveille des anciens désirs d’adolescents où dans les affres de l’adolescence, il fantasmait sur l’ami de sa mère. Au point de se languir de chacune de leur rencontre, mais la raison l’emportant sur tout risque de se faire éconduire par cette figure illustre dans son existence, il avait finalement mis de coté tout cela pour se concentrer sur des jeunes de son âge. C’est à l’université, à l’heure de sa première relation amoureuse, qu’il avait pu entériner ce désir et reprendre une relation des plus convenables avec le blond qui s’applique à s’installer derrière le piano soigneusement mis en évidence dans la pièce. Une nouvelle fois son regard suit attentivement les gestes distingués de son ami qui s’applique à jouer un morceau de sa création. La mélodie vient remplir la pièce, diffusant son délicieux message qui a pour effet de le faire lâcher prise. Les yeux clos, il se laisse enivrer par les notes de musique, son battant s’emballe dans sa poitrine alors qu’une sensation de plénitude envahit chaque parcelle de son être. Il se laisse happer par ce bonheur sans chercher à le retenir, quand bien même une douleur persiste à l’idée qu’il ne pourra plus jamais créer de cette manière, sagement assis sur le banc de son instrument. Il chasse cette pensée pour savourer chaque subtilité du morceau. Une composition qui le prend aux tripes. Le message est puissant et le chamboule. Le silence qui accompagne le morceau est troublé par l’arrivée de sa mère qui lui permet indirectement de reprendre ses esprits et essuyer subtilement une larme qui s’est échappé de ses prunelles. Il se pince la lèvre alors qu’elle les incite à rejoindre la table. « Il est magnifique. » Il murmure avec douceur. « Il m’a pris aux tripes. C’est une très belle création, Björn. » Il ajoute dans une expression quelque peu bouleversée. Un sourire attendri vient se nicher sur ses commissures avant que le blond ne lui arrache un rire. « Ce n’est qu’un détail. Tu as le droit à l’erreur. Profite c’est ma journée de clémence. » Il indique alors qu’il vient se relever en faisant attention à ne pas perdre son équilibre sous le regard attentif et bienveillant du blond. Ils retrouvent la salle à manger, déjà apprêtée pour les recevoir. Comme à ses habitudes, sa mère désire de tout s’occuper et les taquineries entre les deux amis fussent dans la pièce sous le regard amusé du pianiste, tellement habitué à les voir interagir de la sorte. L’ambiance à table et vite donnée, ce qui le ravit. Il se sent à sa place parmi deux figures essentielles à son existence. Il rit également face à leurs chamailleries qui lui font penser à Yaël. Cette taquinerie bonne enfant qui est la marque de fabrique d’une magnifique amitié. Il se laisse habité par ce sentiment d’appartenance bienfaiteur. Le contact complice de la main de Björn sur sa cuisse est un geste anodin, mais qui a le don de lui arracher un frison de plaisir. Il sait au fond de lui qu’il ne s’agit que d’un contact amical, puisque lui-même le réalise, mais en vue des derniers évènements et notamment de ce SMS qui lui a révélé certaines choses sur la sexualité de son ami, il se sent perturbé. Calme-toi, Ruben. Pourtant son attention reste concentrée sur ce geste et c’est la voix de sa mère qui l’arrache de son introspection. Un rire vient alors s’épancher hors de ses lèvres. « Mais tu l’es maman. Je te rappelle que je suis un de tes monstres. » Il déclare en venant hausser un sourcil dans une expression mutine alors qu’elle lui lance un regard sévère qui ne fait qu’accentuer son hilarité. « Eh bien, si maintenant mon fils se ligue contre moi. Vous passez trop de temps ensemble, moi je vous le dis. » Elle leur indique en fronçant un sourcil de manière outrée avant d’ourler à son tour un sourire qui arrache un rire à toute l’assemblée. Ils se mettent naturellement à manger dans cette ambiance chaleureuse qui convient parfaitement à sa famille. Il se sent bien quand il est de retour chez lui. Il ne s’en rend réellement compte qu’à chaque fois qu’il revient passer une soirée et une nuit dans la demeure familiale. Comme toujours, Björn ne tarit pas d’éloges sur la cuisine de sa mère. Un sourire s’épanche sur ses lèvres à cette habitude qui ne change pas. Björn est vraiment un homme merveilleux. Il n’a jamais compris pourquoi il était seul, alors qu’il avait tout pour plaire. Il lui plaisait. Il me plait toujours. C’est un fait qui a pour vocation de le rester malgré les dernières révélations. Il doute que de toute manière il puisse intéresser cet homme. Comme une fleur, la pique taquine de sa mère l’arrache de ses pensées. La bisexualité de leur ami est évoquée sans aucun tabou, alors qu’il l’ignorait jusqu’alors. Björn se contente de sourire et de poursuivre la dégustation de son plat. Ce qui lui arrache un rire nerveux. « Alors vous trouvez cela normal que je n’étais pas au courant de ce fait que je découvre la bisexualité de Björn en plein milieu du repas ? » Il les questionne dans un ton qu’il fait en sorte de paraitre outré. « A aucun moment, pendant ma crise identitaire, aucun de vous deux s’est dit que ce fait aurait pu être pertinent de me faire comprendre que ce n’était pas un souci que je préfère les hommes ? » Il lance en fronçant ses sourcils en venant plonger ses iris claires dans celles du blond. « Toi ! Je te retiens. » Il déclare dans un sourire mutin avant de venir glisser une nouvelle bouchée entre ses lèvres. Il se joue d’eux et les deux protagonistes de sa plaisanterie semble le percuter puisqu’un rire vient clôturer cet échange. L’orage est violent ce soir, ce qui incite sa mère à obliger Björn à séjourner chez eux. « Il a peut-être un amant qui l’attend, tu sais Mama. » Il déclare dans un ton qui se veut complice. « Il ne nous dit peut-être pas tout. » Il se donne le droit de le taquiner sur le sujet. C’est sa manière personnelle de se venger pour n’avoir jamais été mis dans la confidence par le passé. Une légère crainte lui fait penser que peut-être que Björn était au courant de sa potentielle inclinaison par le passé et que c’est pour éviter une situation malencontreuse qu’il avait gardé cela pour lui. Cela aurait du sens. L’idée le trouble, mais il ne s’en formalise pas, quand bien même il ne peut pas s’empêcher de s’attarder sur le traits de cet homme et sentir un désir longtemps enfermé par la douleur s’éveiller au creux de son bassin à chaque frôlement de ses doigts contre sa chair. Il n’y a rien de mal à embrasser ce désir, car de toute manière tout restera dans son esprit. Il n’espère plus être en mesure de séduire quiconque. Pas dans son état.
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Ven 24 Avr - 13:24
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[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] ☾ Toi qui pensais que le sujet était clos, tu es on ne peut plus surpris lorsque Ruben vient à remettre ça sur le tapis. Fixant la mère puis le fils l'un après l'autre, [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]. Néanmoins, tu conserves le silence sur cet épineux sujet ; tes lèvres ayant retrouvées le verre afin que tu puisses prendre le temps d'en déguster le contenu. Oui tu ne lui en avais jamais parlé, tu ne voyais pas en quoi cela aurait une quelconque importance, surtout pour son âge de l'époque. D'ailleurs, cette information aurai très bien pu le troubler plutôt que l'aider. À vrai dire, tu n'en savais trop rien, tu n'étais pas son père. C'était donc délicat. Le contenant à présent vide, il rejoins la table tandis qu'un rire franc vient à s'extirper d'entre tes lèvres ; tu lèves les mains en signe de rémission. Toutes mes excuses mon cher ! Mais je ne perd pas espoir de trouver un moyen de me faire pardonner. Un sourire étirant à présent tes commissures, tu viens en douceur ébouriffer la chevelure brune de ton voisin de table, histoire de l'embêter un peu plus. Tes phalanges glissent à sa nuque et entre ses omoplates que tu tapotes un bref instant pour finalement rompre tout contact et poursuivre ainsi le repas. Tu adorais cette ambiance, elle t'avait manqué, clairement. Tendant vaguement l'oreille quant à l'orage qui éclatait dehors, tu reportes ton attention sur Camber et son invitation, celle-ci plus que bienvenue. Cette femme avait le cœur sur la main, un ange en tout point ; tu comprenais d'où venait la gentillesse de Ruben, quoique. Eh ! Mais vous avez terminés tous les deux ? Bien entendu, tu prends cela sur le ton de la rigolade. Personne ne t'attendais se soir, pas même Silène qui serai sûrement dans les bras d'un ou d'une autre ; ce constat te pinça quelque peut le palpitant. Je lui enverrai tout de même un SMS pour la prévenir, histoire qu'elle ne s'inquiète pas. Mais de vous deux, qui se faisait vraiment du soucis pour l'autre ? Faisant abstraction de ces pensées parasites, tu essaies de garder le sourire, ajoutant à tes premières paroles. Si cela peu vous rassurer, non personne ne m'attends. Et quand bien même, je suis bien mieux ici, en votre compagnie. En très bonne compagnie. C'était là une pensée sincère que tu n'avais pas besoin de leurs exposer, ils le savaient. Tu avais passé d'excellent moment avec eux, qu'il s'agisse du passé comme en cet instant. Ô bien entendu, il y eut des hauts et des bas, surtout pour la mère du jeune homme, mais tu n'étais jamais loin. Que se soit sur le plan morale ou financier. Tu en viens d'ailleurs à te demander si Camber en avait déjà touchée un mot à ses fils. Non pas que cela avait une quelconque importance, tu étais juste curieux pour le coup. Le restant du repas se passe dans le calme, pimenté parfois par quelques boutades entre vous ; ce n'est qu'à la fin que les choses vinrent à se corser. La Mama –toujours aussi têtue– c'était mise en tête de débarrasser et faire la vaisselle seule, chose à laquelle tu t'opposais clairement. Invité certes, tu n'allais pas rester les bras croisés, pour autant. Lui subtilisant les assiettes, c'est avec douceur et gentillesse que tu viens à la pousser de devant l'évier ; usant d'un coup de hanche pour se faire. Je prend le relais Camber, tu en as assez fais. Il ne lui faut pas longtemps pour que sa langue natale prenne le relais et t'incendie, le tout avec le sourire et la bonne humeur. « Très bien, je vais préparer la chambre d'ami en attendant. » Les mains dans l'eau, tu ne pouvais guère riposter ou émettre le moindre commentaire et quand bien même, pour le coup, tu ne te le serais pas permis. Cette petite tâche d'effectuée, tu fais un crochet par le salon, récupérant ta veste et ton portable. Tout en consultant tes mails et SMS, tu traverses à nouveau la maisonnée, rejoignant ainsi les escaliers qui mène aux chambres. Et là, tu fus agréablement surpris. Sur le lit fraîchement fait reposait d'anciens vêtements à toi. Camber.. Un sourire aux lèvres, tu remercies intérieurement cette femme d'être aussi prévenante. Délaissant tes affaires sur une chaise, tu récupères le linge propre et prit la direction de la salle de bain. Une douche te ferai clairement le plus grand bien avant d'aller au lit. Avisant rapidement ton reflet, tu passes une main le long du carré de ta mâchoire, frottant au passage la barbe naissante qui parcourait celui-ci. Je suis bon pour me raser en rentrant. Après vingt bonnes minutes, tu sors de la salle d'eau, vêtu pour la nuit ; rien d'extravagant, un t-shirt blanc simple et un bas de pyjama de soie d'un bleu nuit. La maison semble calme à l'exception des quelques voix qu'il te semble entendre plus loin. La Mama devait sûrement être devant la télé. Assis sur le lit, tu pianotes rapidement sur ton téléphone afin d'avertir Silène que tu ne rentrerai pas avant demain matin. Va t-elle seulement le voir..? Lâchant un soupire, tu glisses une main dans les mèches humides de ta chevelure. Tu te prenais trop la tête, c'était certains. Malgré le fait que tu n'étais pas son père, tu ne pouvais t'empêcher de te faire du soucis pour elle. Pinçant les lèvres, tu reposes ton portable sur la table de nuit, prêt à te coucher. C'est ce que tu allais faire jusqu'à ce que du bruit provenant de la chambre de Ruben ne coupe le fil de tes pensées. Peut-être étais ce le bon moment pour t'excuser quant au sujet épineux de tout à l'heure, sinon, tu pouvais au moins lui souhaiter la bonne nuit. Relevant ta silhouette, tu quittes la chambre afin de rejoindre le couloir et la porte menant à celle de Ruben. Frappant deux petits coups à celle-ci, tu entres juste après. Ruben, je peux t'embêter deux minutes ? Ou pas...


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Quand on ne peut revenir en arrière, on ne doit se préoccuper que de la meilleure façon d’aller de l’avant.(björben01) Original

• âge : 30
• pronom : il.
• côté ♥ : Célibataire, une relation plus intime semble se tisser avec un de ses protégés. Il ne cherche pas à cataloguer cette relation. Il vit l'instant présent sans se poser de questions et prendre les évènements tels qu'ils viennent. La seule chose qu'il sait est que cette relation lui fait du bien, chasse peu à peu le fantôme de Wilfried de son coeur et qu'il se redécouvre homme et désirable à côté d'un autre.
• orientation : homosexuel. Il l'a toujours su, mais comme d'autres, il a tenté de rentrer dans la norme avant d'embraser sa véritable naturel. il ne se cache pas. Il aime les muscles fins et robustes des hommes, même s'il reconnait la beauté des femmes.
• occupation : Producteur et propriétaire de son propre label de musique. ancien pianiste de renommé. son talent était reconnu dans son domaine et il s'est fait connaitre du grand public en innovant son art.
• quartier : Beverly Hills, dans une maison qui ressemble plus à l'homme qu'il est aujourd'hui. De plein pied, il en a fait son cocoon dans lequel il aime bien passer du temps pour écrire et composer.
• avatar : Eduard Linares
• crédits : @mary
• messages : 1529
• date de naissance : 01/04/1994
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Quand on ne peut revenir en arrière, on ne doit se préoccuper que de la meilleure façon d’aller de l’avant.(björben01)
Sam 25 Avr - 8:23

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Quand on ne peut revenir en arrière,
on ne doit se préoccuper que de la meilleure façon d’aller de l’avant.

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L’ambiance est conviviale et bon enfant à table. Même s’il demeure particulièrement troublé par cette révélation concernant la bisexualité de l’ami de leur famille, Ruben s’y acclimate bien plus facilement qu’il ne l’aurait cru. Du moins en apparence, car une part de son être ne peut pas s’empêcher de convoiter la place qu’a pu avoir ses hommes dans l’existence de son ami. Il les envie, ne peut s’empêcher d’imaginer la sensation qu’on doit éprouver d’être la proie du désir d’un homme aussi révérencieux que Björn. Quel amant se cache derrière cette apparence si maitrisée et qui se sent dérouté face aux reproches qu’il lui lance ? Calme-toi Ruben… Ses sens se réveillent après des mois d’hibernation impliquée par une convalescence longue et douloureuse. C’est juste du au manque. Sans avoir une vie sexuelle intensive, il a toujours eu des partenaires dans son existence pour partager une étreinte lente ou passionnée. Aujourd’hui, il se retrouve seul après deux années passées dans une relation passionnelle qui lui a profondément coûté. Un amour qui brûle encore en lui, mais qu’il s’efforce d’ignorer pour ne pas souffrir. Il ne doit pas s’en formaliser. Il a toute légitimité de se laisser gagner par ce désir tant qu’il demeure secret et ne l’impose pas à son ami. Qui pourrait me blâmer ? Il est magnifique et tout homme apprécie la beauté. D’autant plus lorsque le sujet de ses fantasmes lui offre des touchers doucereux qui enveloppe son échine dans un voile de sérénité, tout en affriolant son épiderme. Cela lui laisse un goût de pas assez, mais il ne le montre pas. Il s’efforce de s’enliser dans l’ambiance décontractée et de taquiner comme à ses habitudes cet homme au charisme conséquent. Sa mère participe activement à ses espiègleries. « Oh ? Aurais-tu des secrets pour moi, mon cher ami ? » Ce sourire mutin sur les lèvres, similaire à celui dont il a hérité, Camber plonge ses iris claires dans celles de son ami. La réplique de leur ami arrache un rire commun entre les deux Leeroy qui s’esclaffe sans aucune pudeur dans cette complicité qui les caractérise. « Non. » Ils répliquent en même temps dans un sourire entendu comme deux copies conformes, mais différentes sur de nombreux points. Son sourire se fait éclatant au contact des commissures de sa mère sur sa tempe. « Tu m’en vois ravie, Björn. » Camber lui indique tout en venant glisser sa menotte dans les cheveux ébènes de son fils. Un geste tendre, naturel et bienfaiteur de sa part auquel il ne se dérobe pas. Il a toujours été sensible à ce genre de contact, qui est plus révélateur que des mots dénués de sens. Sa mère lui a appris que les actes avaient plus de valeurs que les mots, c’est pour cette raison que le pianiste est si tactile avec ses proches. Le repas touche rapidement à sa fin, les trois voraces ayant engloutis assez rapidement leur repas. De nouveau, une bataille amicale se livre entre les deux adultes sous son regard amusé. Ruben se sent bien à cet instant, détendu, comme s’il avait été projeté dans le passé bien avant que toute sa vie ne soit bousculée et détruite. C’est la douleur dans sa jambe qui le ramène à la réalité. Il profite de cette diversion pour sortir un comprimé d’analgésique qu’il glisse entre ses lippes qu’il avale avec son verre d’eau. Incapable de rester bien longtemps debout dans la même position, sa mère lui interdit de se lever pour l’aider. En conséquence, il décide de rejoindre sa chambre pour la nuit. Il tronque naturellement ses vêtements pour un boxer propre dans ses affaires personnelles qu’il conserve en ses lieux. N’aimant pas se retrouver encombré dans son sommeil, il a pris l’habitude de dormir qu’en sous-vêtement. Comme à ses habitudes, sa mère vient faire un tour dans sa chambre. Il l’accueille avec un sourire sincère. « Je vais bien Mama. Je suis juste fatigué par la rééducation. » Le ton de sa voix est bienveillant alors qu’elle lui offre un sourire attristé. Il s’efforce de garder la tête haute, car il ne désire pas lui apporter plus de peine qu’il ne l’a déjà fait. Elle vient naturellement se rapprocher pour déposer un baiser sur sa tempe de nouveau. « Te quiero, cariño. Buenas noches. » Elle lui déclare en venant caresser sa mâchoire légèrement ombré par un début de barbe. « Yo también te quiero, Mama. Buenas noches » Il murmure à son tour alors qu’elle s’éloigne après un dernier baiser sur son crâne avec cette douceur qui la caractérise depuis toujours. Il l’observe jusqu’à qu’elle ait quitté le chambranle de la porte qu’elle referme derrière elle. Je me dois de rester fort pour elle. Il ne doit pas l’oublier. Son attention se retrouve rapidement concentré sur les bruits émanant de la chambre d’ami. Björn semble se préparer à aller dormir. L’idée de savoir son échine si proche de la sienne ravive des dessins qu’il avait plus jeune et qu’il n’a jamais osé avouer. Les pensées assaillent de nouveau son esprit, ravivant le souvenir du contact de sa main sur sa cuisse ou dans sa nuque. J’ai bien le droit de m’octroyer ça, au moins une fois dans ma vie. Sans doute, mais il n’est plus un enfant et utiliser la vision du corps de son ami comme objet de fantasme le met mal à l’aise. Björn est plus que cela. En conséquence, il attrape naturellement le pc que lui a ramené sa mère dans l’espoir de trouver une autre source de désir. Elle connait ses habitudes de bourreau de travail connecté, même s’il se tient loin de tout cela pour le moment. N’étant pas familiarisé avec les films coquins, il ne sait pas trop où chercher, puisqu’il n’en a jamais eu besoin pour assurer sa libido. C’est tout naturellement qu’il tombe sur le site le plus populaire qui existe dans son domaine. Ses prunelles parcourent les silhouettes alléchantes qui défilent sous son regard. L’excitation monte naturellement dans le creux de ses reins tant les sollicitations sont nombreuses. Ils sont désirables à souhait. De simples objets de fantasmes à cet instant, lui qui a pour habitude de désir l’âme et l’échine de ses partenaires, mais il n’a plus la possibilité de faire autrement. Qui voudrait de moi ? Il refuse de se laisser aller à cette sombre pensée, déterminé à profiter de cet éveil de libido pour se détendre après tant de mois d’abstinence forcée. Il sélectionne une vidéo au moment où une fenêtre popup surgit. Rien d’anormal sur ce genre de site et il s’apprête à la fermer lorsque son regard capture la silhouette d’un des acteurs de la vidéo suggérée. Son cœur rate un battement alors que dans une pulsion non maitrisée il clique sur la vidéo pour l’ouvrir dans un autre onglet. Björn ? Non. Il s’agit de Ghost. Seulement aucun doute sur la question, Ruben y reconnait Björn dans la moindre de ces coutures. Le cœur au bord des lèvres, il découvre la virilité animale de l’ami de sa famille et il ne parvient pas à détourner son regard. Un gémissement involontaire quitte ses lippes au moment où l’acteur vient s’emparer des lèvres de son partenaire dans un baiser langoureux. Son corps réagit immédiatement et sa menotte vient naturellement glisser sous le pan de son boxer pour frôler sa virilité qui gonfle sous cette vision appréciable. Obnubilé par l’objet de son attention, il commence à se caresser au même rythme que l’acteur embrase la chair de son partenaire. Il aimerait être à sa place, comme il a désiré être à la place de l’amant de Björn. Ghost et Björn s’entremêlent dans son esprit, mais ne font qu’accroitre le désir qui le gagne. Un gémissement de soulagement s’extirpe hors de ses lèvres au moment où il s’autorise à fantasmer sur ce corps viril et envoûtant. D’un mouvement de bassin, il se défait de son boxer et s’installe sagement sur les coussins de son lit pour cajoler convenablement son entrejambe qui s’allonge face au plaisir qu’il prend. Ses prunelles claires s’assombrissent alors qu’il goute de nouveau au plaisir de la chair de manière individuelle. Il s’humecte les lèvres, se délecte des gémissements qu’il entend s’extirper hors des lippes du soumis et de Björn. Il est attentif qu’aux siens, ce qui ne font qu’accroitre le feu qui monte en lui. Il se laisse tenter par ces images lubriques dont il désire être le bénéficiaire. Il laisse cet embrasement grimper insidieusement dans des mouvements lents et totalement en synergie avec ceux que son ami réalise sur son partenaire. Alors lorsque Björn pénètre dans sa chambre et le découvre dans sa nudité en train de se caresser, il ne peut contenir un grognement de s’extirper hors de ses lèvres devenues asséchées alors que son bras gauche vient cacher son visage. Il devrait ressentir une honte inconsidérable, mais ce n’est rien d’autre que du plaisir qui vient s’enliser à son esprit. « Oui ? » Il souffle dans une voix suave alors que ses prunelles brumeuses vient retrouver ce corps plus vieux, mais tout aussi attrayant. Les gémissements de la vidéo ne font qu’accentuer la chaleur de la pièce alors que sa menotte valide continue ses caresses, il ne peut pas s’en empêcher. Il est déjà trop loin dans son désir pour qu’il le contienne, surtout lorsque l’objet de son désir est dans la pièce, son regard braqué sur lui et qu’il y perçoit une certaine attirance. En conséquence, il retire son bras de son visage alors qu’il s’habitue à cette intimité qui se tisse dans cet instant incongru. Björn ne fuit pas, rentre dans la chambre en refermant derrière lui sans pour autant bouger. C’est Ruben qui a les cartes en main. « Tu me caches de terribles secrets, Björn. » Il murmure dans un petit sourire carnassier. « Tu éveilles ma curiosité, Ghost, Björn. » Il indique en l’invitant à s’approcher en continuant à se caresser sous son regard. « Lequel est le vrai Björn ? » Il murmure en penchant la tête en arrière. Ses sens sont débridés. Il espère le chauffer autant que sa présence l’embrase. Il a envie que ce fantasme devienne réalité. Il veut sa bouche, ses mains fermes et viriles sur sa peau comme cet autre homme en bénéficie. Ils sont tous les deux des adultes désormais et il est totalement consentant à cet instant pour s’embraser à son toucher. Il laisse le choix à Björn, rester ou partir, car à cet instant, il ne veut pas se délier de cette douce chaleur. Il veut savourer ça jusqu’au bout.
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Quand on ne peut revenir en arrière, on ne doit se préoccuper que de la meilleure façon d’aller de l’avant.(björben01)
Lun 27 Avr - 17:56
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Tu ne serai dire ce qui est le plus perturbant en cet instant et pour tout avouer, tu as du mal à réfléchir, clairement. La porte à présent fermée dans ton dos, tu demeures là, l'esprit en quête d'un point d'accroche sur lequel tu pourrai te concentrer. Mais il dérive, n'écoutant plus la raison pour se laisser bercer par un sentiment animalisant. Certains de tes sens s’éveille bien plus que les autres, notamment tes iris posées sur le corps nu de Ruben ; leurs pupilles s'étant légèrement dilatées devant cette vision transpirant l'érotisme. Ton ouïe quant à elle capte sans mal les gémissements lascifs provenant de l'ordinateur, tu n'as pas besoin de regarder l'écran pour deviner de quoi il s'agit et encore moins de qui. Cela t'arracherai presque un sourire, souvenir d'une époque révolu. Et quelle époque. Fermant un instant les paupières, tu expires lourdement avant de poser tes prunelles sur le faciès du jeune homme. Si tu savais Ruben.. Sa voix est un doux appel, désireuse, elle te fait frémir ; une douce vague de chaleur parcours ton être, se dirigeant irrémédiablement vers ton entre jambe. Tout comme toi j'en suis sur. Souffles tu à la limite d'un murmure, comme ci tu ne désirais rompre cette intimité qui c'était créée entre vous. Tu te doutais qu'après ce qu'il venait de voir, il ne pourrait être que piqué par la curiosité ; ce que tu concevais et acceptais sans mal, qui ne le serai pas après tout ? Relevant le menton tout en continuant de fixer ce bel éphèbe, tu te décides enfin à bouger. La démarche féline, c'est à l'instar d'un prédateur que tu rejoins sa couche. L'excitation qui parcours ton corps ne faisant qu'ériger un peu plus ton membre au fils des minutes passantes. Tes prunelles voyageant sur son corps et malgré la faible lumière dans la pièce, tu notes la présence de cette cicatrice le long de sa jambe gauche. Aucun mots sur ce sujet, juste ta silhouette qui s'abaisse légèrement suivit par la douceur de tes doigts contre sa chair ; partant du genoux, ils remontent, frôlant ainsi cette marque sans s'y arrêter. Le touché aussi doux qu'une plume, tu suis du regard ce que tu fais, allant au gré de ton instinct contre cette peau chauffée. La pulpe de tes extrémités passant son aine pour remonter le long de son abdomen en une promenade lente et sensuelle, leur destination s'avérant être la mâchoire du jeune homme. Emprisonnant celle-ci, tu cherches à créer un contact visuel avec lui. Ô bien entendu tout aurai pu s'arrêter là en cet instant ou même quelques minutes auparavant lorsque tu te tenais non loin de la porte. Mais n'est ce pas là un appel qu'il te lance ? Ruben n'étant plus un enfant, tu n'avais aucune raison de le lui refuser. Tu n'en avais pas envie. Ayant capté son regard, tu relâches son menton afin de laisser tes phalanges glisser contre l'une de ses joues. Je vais te le montrer. Tes lèvres viennent retrouver les siennes, scellant tes mots d'une promesse silencieuse. Échange bref au goût de revient, tu redresses ta silhouette tout en récupérant l'ordinateur portable afin de le poser plus loin. Autant éviter la casse. La vidéo qui tournait jusque là fut mis en pause ; autant en profiter réellement, sans artifice, sans jeu d'acteur. Pivotant vers le brun, tu attrapes les pans de ton t-shirt, dévoilant ta silhouette façonnée par les années passées. Tout dans la sensualité, tes pouces retracent l'élastique de ton bas de pyjama, tirant légèrement sur celui-ci jusqu'à ce qu'il ne quitte tes hanches, laissant la soie glisser le long de tes jambes. Délesté de tous vêtements, c'est avec grâce que tu rejoins à nouveau le brun sur son lit. Ta silhouette nu et étendu sur le côté, tu le surplombes néanmoins à demi afin de goûter à nouveau à ses lèvres. Un bras comme soutient, ta menotte libre tient son faciès en coupe lors de cet échange tandis qu'une langue mutine vient à caresser ses commissures en une demande silencieuse. S'engageant dans un ballet tendre et langoureux, un petit soupire de contentement s’extirpe de tes lippes. Tes doigts qui trônaient jusque là contre sa mâchoire quitte celle-ci pour dévaler en douceur sa gorge et découvrir des terres inexplorées. Aucune parcelle de chair n'échappe à ton touché, aussi doux puisse t-il être en cet instant. C'est une expédition à la recherche du plaisir, de ce qui pourrait le faire vibrer. Pour une fois tu t'écoutes et ce tout en respectant cet être qui t'est cher et que tu affectionnes tout particulièrement. Rompant votre échange afin de recouvrer ton souffle, tes lippes frôlent les siennes avec douceur jusqu'à dériver à son cou que tu dévores affectueusement. Tes phalanges taquines un instant l'un de ses bourgeons de chair pour rejoindre ses côtes par la suite. Le nez niché contre la peau de son cou, tu t’imprègnes en silence de son odeur, de sa carotide vibrante sous les coups effréné de son palpitant. Je suis prêt à répondre à tes questions. Ruben.. Ta voix se fait suave tandis que tu redresses en douceur le faciès, tes lèvres retrouvant son lobe d'oreille pour l'emprisonner le temps d'une brève et douce morsure. Tu étais prêt à dire la vérité, à te dévoiler.


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• orientation : homosexuel. Il l'a toujours su, mais comme d'autres, il a tenté de rentrer dans la norme avant d'embraser sa véritable naturel. il ne se cache pas. Il aime les muscles fins et robustes des hommes, même s'il reconnait la beauté des femmes.
• occupation : Producteur et propriétaire de son propre label de musique. ancien pianiste de renommé. son talent était reconnu dans son domaine et il s'est fait connaitre du grand public en innovant son art.
• quartier : Beverly Hills, dans une maison qui ressemble plus à l'homme qu'il est aujourd'hui. De plein pied, il en a fait son cocoon dans lequel il aime bien passer du temps pour écrire et composer.
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Mar 28 Avr - 21:07

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Le trouble l’assaille à l’arrivée intempestive de Björn dans sa chambre. Il n’avait pas envisagé sa venue, sinon sans doute aurait-il décalé à plus tard ce relâchement de sa part. Malgré cette confusion qui envahit ses veines, il ne parvient à contrer cette flamme qui enflamme le creux de ses reins. Cela fait bien trop de mois qu’il n’avait pas ressenti ce besoin d’abandon dans les méandres du plaisir qu’il ne parvient pas à le canaliser. Il le laisse assaillit son bassin sous la pression appréciable de sa menotte qui prodigue les caresses nécessaires pour poursuivre l’embrasement de ses sens. Son esprit s’embrouille, se débride à la vision de cette silhouette qui l’excite résolument. Il s’offre à la vision de cet homme dans sa forme la plus érotique. Il le provoque, enlisé dans cette bulle intemporelle où il n’y a plus que le plaisir de la chair qui compte. Il espère le tenter et la voix suave de quinquagénaire accentue l’émoi qui possède son épiderme. Il en oublie l’imperfection de son épiderme tant toute son attention est concentrée sur cet homme qu’il découvre sous de nouvelles facettes qu’il ignorait jusqu’alors. Si tu savais… Un frison d’anticipation traverse le long de son échine lorsqu’il sent cet homme se rapprocher. Est-ce que son fantasme de toujours deviendrait réalité ? Dans une démarche prédatrice, Ruben perçoit l’attrait qu’il engendre dans l’échine du blond. Il se retrouve décontenancé et à la fois envoûté par cet effet. Est-ce que je lui plais ? Il se questionne avant de se raisonner. Tu n’es qu’un corps jeune qui le provoque en se caressant. Tout mâle ne pourrait que se laisser tenter. Il aurait eu des difficultés à résister s’il avait été à la place de son ami. Il évite de se poser des questions, son esprit se trouvant totalement captivé par les iris pénétrantes de cet homme qui glissent le bout de ses phalanges contre sa cuisse. Il frôle sa cicatrise et cela lui arrache à la fois de désir et de dégout. Il est désorienté par cette action, par cette manière qu’il a d’honorer une partie de son anatomie qu’il méprise et exècre. Son myocarde bat la chamade dans sa cage thoracique sous l’examen minutieux de cet homme qui dégage à cet instant un magnétisme plus intense qu’en accoutumé. Ses actions sont suspendues tant il se laisse happer par le charisme dégagé par cet homme qui frôle sa chair avec une sensualité enivrante. La menotte de Björn sur sa mâchoire lui arrache un frison de bien être alors qu’il l’incite à relever son regard vers le sien. En amant docile, il se laisse dompter, ne sachant plus trop comment agir face à un partenaire, surtout lui. Il se rend compte de la folie dans laquelle il s’enlise, mais le manque de luxure est bien trop cuisant pour être renié. Si Björn le désire, il n’y voit aucun inconvénient. Après tout, il l’avait provoqué dans ce sens, en se laissant porter par une curiosité et jalousie maladive. Si d’autres hommes se soumettent à tes désirs, pourquoi pas moi ? Il avait envie de goûter à ce plaisir au moins une fois dans sa vie. Il veut goûter à la vraie saveur de cet homme dans son entièreté d’homme et amant. Aussi éphémère puisse être cette expérience. Je vais te montrer. Ces quelques mots qui lui arrachent un léger gémissement alors que ces lèvres vient s’emparer des siennes dans un baiser bref, qui ne fait qu’accroitre sa gourmandise. Une promesse silencieuse alors qu’il le voit se relever pour lui retirer l’ordinateur qui trainait encore à ses pieds. Ses gestes sont tellement révérencieux, mais virils à la fois. Il prend le contrôle de l’étreinte et ça lui plait. Cela affriole ses sens et le met aux abois. Ce mystère l’enivre si profondément.  Le corps finement bâtit de Björn se révèlent à son regard admiratif. Il est désirable à souhait et l’afflux de sang dans sa virilité s’accentue à cette vision enchanteresse. Il n’ose dire aucun mot, se remet pleinement à cet homme qui finit par le rejoindre sur le lit pour l’entrainer dans un baiser lent et langoureux auquel il ne résiste pas. Il le laisse envahir sa bouche de sa langue mutine qui lui arrache un nouveau gémissement. Cela fait tellement de mois qu’il n’a pas reçu de baisers que sa sensibilité est accrue. Du moins, c’est ce qu’il s’efforce de croire pour ne pas laisser un malaise l’envahir. Sa menotte vient retrouver la nuque ferme de cet homme qui a toujours fait partie de sa vie. Elle se fait douce, mais s’accentue à mesure que l’excitation grimpe à lui. Elle s’immisce dans ses mèches blondes avant de retrouver sa clavicule pour effleurer cette chair qui l’envoute depuis son adolescence. Ce baiser l’enivre et accentue sa fébrilité exacerbée tant la sensualité que le blond met dans ses actions embrase tout son être. « Björn… » Ce prénom meurt sur ses lèvres lorsque cet homme s’applique à dévorer sa nuque de baisers affectueux. Sa virilité suinte de ce liquide intime qu’il ne peut contenir alors que le blond rend ses mouvements que d’autant plus exaltants. Il se sent terriblement bien, happé par cette ivresse qui le consume dans chaque parcelle de son épiderme. Un grognement s’échappe de sa gorge lorsqu’il sent ces dents mordiller son oreille. Mes questions ? Il en a tellement à vrai dire, mais il ne sait pas trop par où commencer, ni même si c’est le bon moment. Il est tellement confus, aspirant à découvrir cet homme dans cette intimité qui les lie. « Quel amant es-tu ? Doux et patient ? Fougueux et sauvage ? Les deux ? » Il souffle en venant offrir son cou au sien. « J’ai envie que tu me le montres. » Il souffle contre son oreille qu’il vient mordiller à son tour alors que sa main valide vient se perdre sur son poitrail et frôle ce duvet agréable sous ses doigts. « J’ai tellement envie de toi. Embrase-moi. » Il souffle en venant embrasser sa nuque, sa mâchoire avant de retrouver ses lèvres pour un baiser qu’il s’efforce de rendre plus langoureux. Il s’efforce de lui montrer son désir, de le provoquer en glissant sa main le long de son buste pour rejoindre son aine et la forme de sa protubérance qu’il vient taquiner du bout de ses doigts. Un grognement de plaisir vient mourir contre ses lèvres alors qu’il se montre plus avide puisque le feu semble se propager dans le corps de son ami. Je veux te goûter. Au moins une fois dans ma vie.    
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Mer 29 Avr - 19:20
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Certes, converser en cet instant n'était pas des plus approprié, aussi tu ne le forçais nullement à répondre ou poser ses questions. Il aurait pu gentiment te rembarrer que tu n'aurais rien dis, c'était légitime. Les yeux clos, le faciès reposant au creux de son cou, un sourire vient à étirer tes lèvres. Quel amant je suis ? À l'époque, notamment devant les caméras tu devais t'adapter, endosser un rôle et t'y tenir. Lorsque tu mis fin à ta carrière, tu conservas une vie sexuelle active, mais c'était différent. Tu étais beaucoup plus prévenant bien qu'en parallèle, tu te pliais surtout aux grès des désirs et envies de tes partenaires ; les écoutant d'abord avant de penser à toi. Autant dire que tu n'agissais pas avec naturel. Serai ce pareil avec Ruben ? Ton sourire se meurt sous cette question, laissant les engrenages de ton esprits s'enclencher. Non.. C'est différent. Tu le connaissais, le respectait. Ce n'était pas un inconnu et malgré le fait que cela ne se produirai peut-être qu'une unique fois, tu te devais de le traiter comme tel. En amant aimant mais surtout et avant tout en étant toi, tout simplement. Ayant souvent été auprès de lui et malgré son jeune âge, tu n'étais pas indifférent, se serai mentir. Sa douce morsure provoque une vague de frisson le long de ton échine, celle-ci suffisant à couper cet instant de réflexion. Tu avais beau ne plus penser, te laisser guider par le moment présent et cette intimité entre vous ; il y avait une certaine appréhension derrière tout cela, la crainte que les choses ne changent. Ce qui arriverai malgré tout. Tu ne voulais pour rien au monde que votre relation en pâtisse, qu'il en souffre. Lâchant un soupire contre son échine, ses dernières paroles finissent d'achever le peu de résistance que tu t'accordais encore jusque là. J'ai le droit de m'écouter, d'être moi. Relevant le faciès, tu réponds à ce baiser qu'il t'offre de plein gré, langoureusement, passionnément. Tu arrives tout de même à souffler d'une voix suave –entre deux échanges– ses quelques mots. Moi aussi Ruben.. Ce n'était pas uniquement le désir et l'appel de son corps qui parlait, mais une envie réelle derrière tout ça. Ses doigts contre ta peau enflamme un peu plus ton être notamment lorsque ceux-ci viennent à frôler ta virilité et c'est tout naturellement que tu viens à ton tour étouffer un grognement contre ses lèvres. Ta menotte qui reposait sur ses côtes reprends sa course contre son épiderme, caressant celui-ci de la pulpe de tes doigts ou bien avec la dureté de tes ongles ; tu profitais pleinement des soupires et vagues de frisson que tes simples caresses pouvaient lui apporter. Aventureuse, ta main descend sur l'intérieur de l'une de ses cuisses pour remonter avec lenteur le long de son échine jusqu'à effleurer ses bourses et rejoindre cette hampe fièrement dressée. Tes extrémités s'enroulent avec douceur autour de celle-ci, reprenant le rythme des caresses solitaire que s'offrait ton ami quelques minutes auparavant ; ton pouce cueillant au passage son nectar dans une douce caresse. La gestuelle experte et contrôlée le long de son excitation, tes lèvres quant à elles dévorent avec avidités leurs jumelles, ne rompant leurs contact que pour te laisser reprendre une bouffée d'oxygène. Tu as du mal à t'en séparer, l'envie irrémédiable d'embrasser le brun te collant à la peau, telle une drogue dont on ne pourrai se passer. C'est après avoir capturé entre tes dents sa lippes inférieure que tu cesses, tes commissures retrouvant l'échine de son cou pour y déposer des baisers humides ; tes dents ne tardant pas à gratter puis enserrer cette même peau jusqu'à la marquer avec douceur d'une empreinte. Ruben désirant savoir qui tu étais vraiment, tu lui fis l'honneur d'une chose que tu aimais, marquer, posséder. Ta langue glisse avec douceur contre son épiderme salé pour terminer par un bécot contre sa joue. Ton souffle s'écrase contre sa pommette, chaud, désireux ; tout ton être brûle pour lui, pour cet instant que vous partagez et qui allait devenir encore plus passionné. C'est alors avec douceur que tu te permets de pivoter sur le matelas –après avoir relâché sa virilité– afin de fouiller dans le tiroir de sa table de nuit. Tu ne mets pas longtemps à trouver un tube de lubrifiant ainsi qu'un préservatif. Le tiroir à présent fermé, tu reportes ton attention sur ton amant, ton nez glissant dans sa chevelure tandis que tu fermais les yeux. Humant son parfum, tu soupires de bien-être avant que ta voix ne se fasse entendre dans la pièce ; murmure suave et tendre. Tourne toi min kjære.. (mon tendre) Ses mots de prononcés, tu l'aides avec douceur dans cette entreprise, tes mains demeurant caresses et tendresse  sur son épiderme tandis qu'il te fait à présent dos. Ayant bien observé sa façon de marcher tout à l'heure et après avoir remarqué la cicatrice qui parcourait sa jambe, tu tenais à le ménager autant que possible. Celui-ci à présent étendu sur le côté, ta menotte parcours son dos du bout des doigts, redessinant la musculature de celui-ci jusqu'à descendre à son fessier. Elle ne reste pas là pour autant, rejoignant sa jumelle afin d'ouvrir le tube de produit, tu en récupères une noisette sur tes doigts. Le contenant retrouve le sol sans un bruit, te laissant ainsi le loisir de sentir à nouveau cette peau brûlante contre la tienne. Tes lippes retrouvent assez rapidement sa nuque, son cou, déposant ça et là des baisers tendre, affectueux. Ta menotte retrace le côté de sa cuisse tout en prenant soin de ne pas perdre la moindre goutte de produit en chemin. C'est avec douceur et curiosité qu'elle s'immisce entre ses globes de chair, venant taquiner son antre pars des caresses lascives. Finalement, ton nez avait retrouvé sa chevelure non loin de son oreille contre laquelle tu le frottais avec affection. Les iris closent, tu profites de cet instant, te délectant de ses soupires et réactions avec un plaisir non dissimulé. Tu prenais ton temps car c'est ce que vous aviez, du temps.


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Ruben Leeroy
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Quand on ne peut revenir en arrière, on ne doit se préoccuper que de la meilleure façon d’aller de l’avant.(björben01) Original

• âge : 30
• pronom : il.
• côté ♥ : Célibataire, une relation plus intime semble se tisser avec un de ses protégés. Il ne cherche pas à cataloguer cette relation. Il vit l'instant présent sans se poser de questions et prendre les évènements tels qu'ils viennent. La seule chose qu'il sait est que cette relation lui fait du bien, chasse peu à peu le fantôme de Wilfried de son coeur et qu'il se redécouvre homme et désirable à côté d'un autre.
• orientation : homosexuel. Il l'a toujours su, mais comme d'autres, il a tenté de rentrer dans la norme avant d'embraser sa véritable naturel. il ne se cache pas. Il aime les muscles fins et robustes des hommes, même s'il reconnait la beauté des femmes.
• occupation : Producteur et propriétaire de son propre label de musique. ancien pianiste de renommé. son talent était reconnu dans son domaine et il s'est fait connaitre du grand public en innovant son art.
• quartier : Beverly Hills, dans une maison qui ressemble plus à l'homme qu'il est aujourd'hui. De plein pied, il en a fait son cocoon dans lequel il aime bien passer du temps pour écrire et composer.
• avatar : Eduard Linares
• crédits : @mary
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• date de naissance : 01/04/1994
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Quand on ne peut revenir en arrière, on ne doit se préoccuper que de la meilleure façon d’aller de l’avant.(björben01)
Jeu 30 Avr - 20:30

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Il ne peut lutter contre cette pulsion qui s’impose à lui face au blond. Elle a pris racine en lui depuis l’adolescence même s’il s’est efforcé de l’ignorer durant toutes ses années. Seulement, elle s’est révélée à lui au cours de cette soirée au point de le prendre en traître. Il ne peut plus reculer, ne le désire pas tant l’excitation qui le gagne est enivrante. Son myocarde s’emballe dans sa poitrine alors que l’exaltation de ses sens lui fait tourner la tête. D’autant plus lorsque la voix rauque et suave du blond répond à son aveu par le même. Leurs caresses se poursuivent dans une danse étourdissante qui affriolent totalement son épiderme. Sa chair s’enflamme sous le toucher délicat et grisant de cette main ferme et galleuse qui arpente sa chair offerte avec le même appétit que sa menotte honore ce corps tentateur. Il s’enivre des grognements de cet homme contre ses lippes alors qu’il lui répond avec ces mêmes sons primaires qu’il provoque au creux de ses reins. Il succombe à cette ivresse qui s’accentue sous la poigne de ces doigts experts sur sa protubérance qui envoie des pulsations de plaisir dans ses veines et qui viennent happer son esprit dans ses filets. Il devient qu’une chair avide de retrouver les méandres du plaisir terrestre dont il est si friand. Ruben se montre tout aussi avide que son partenaire, ses doigts circulant sur cette chair tendue qui l’attire irrésistiblement car il la sent sensible à ses cajoleries. Il savoure ses nervures contre la pulpe de ses doigts, essaye d’en empreigne son esprit pour accentuer les effluves de ce brasier qui prend vie dans son bassin. « Björn… » Il gémit au contact râpeux de ses dents contre sa nuque qui marque son épiderme. Cela fait bien des mois qu’aucun homme n’a marqué son épiderme et cela envoie des vagues de plaisir à son bassin qui vient à la rencontre de cette main provocatrice. Ses prunelles sont assombries et luisantes sous l’impulsion de ce feu qui ravage son échine. Un embrasement qui ne fait que s’accentuer alors que la fébrilité le gagne. Il devient sensible à tout frôlement de ses doigts, de ses lèvres ou du souffle du blond contre sa peau brûlante. Une plainte s’échappe de sa bouche malmenée alors que cette poigne l’abandonne. Sa respiration est vive, son corps est en émoi, en attente d’un geste, d’une action de son partenaire. Il n’a pas envie de lutter ce soir. Il ne ressent pas le besoin de dominer l’échange. Bien au contraire ses sens se soumettent à la volonté du blond. Il veut ressentir de nouveau le plaisir qu’on prend lorsque tout son être est sous la croupe et la volonté d’un autre corps. Il se sait entre de bonnes mains. Il ne me fera jamais de mal. C’est une certitude pour le pianiste qui ne fait que s’accentuer face à l’ordre du norvégien. Le surnom qu’il lui donne, doux à l’écoute, mais dont il ignore le sens, mais qui laisse présumer une marque d’affection le trouble résolument. Cela lui rappelle les mots de Wilfried, mais ses actions n’ont pas la même révérence que celles de son ancien compagnon. Il s’efforce de ne pas laisser ce souvenir l’arracher de l’instant. Le frôlement des doigts du blond lui distille des picotements merveilleux tout le long de sa colonne vertébrale. Sa respiration se fait courte et sa chair s’impatiente de la suite qu’il connait par cœur d’autant plus lorsqu’il entend l’ouverture du flacon derrière lui. Son fessier se contracte par reflexe par anticipation alors qu’il sent ce souffle brûlant venir se perdre de nouveau contre la peau de son cou. Un gémissement attestant sa soumission vient s’épandre hors de ses lèvres alors qu’il s’offre pleinement aux actions de son partenaire en toute confiance. Enfin, il goûte de nouveau au contact de doigts humides contre son antre secrète, à la sensation d’une pénétration aussi superficielle soit-elle qui le font soupir d’aise. Il a l’impression que cela fait une éternité qu’il n’a pas ressenti ses sensations délicieuses qui lui ont toujours permis de lâcher prise. Sa main vient naturellement se loger dans la nuque du blond pour s’immiscer dans ces cheveux soyeux. Il le laisse investir délicatement son bassin, tout en poursuivant ces baisers envoûtants contre son cou, sa mâchoire ou son oreille. Il se détend rapidement et le langage de son corps vient naturellement contrôler ses actions au point d’amorcer des mouvements de bassin pour accompagner l’expédition secrète de ces doigts poisseux. La sensualité et la révérence des actions du blond lui arrache des gémissements de plus en plus forts. Sa respiration se fait plus saccadée alors que son corps se courbe pour réclamer plus de contacts avec ce corps imposant. C’est parfait. Ces gémissements se mêlent à ceux de blond qui se fait de plus en plus conquérants du bout de ses doigts au point de frôler un point sensible qui lui envoie une décharge électrique. « Björn… » Il lâche dans un ton un peu plus fort face à la poussé de plaisir que ce toucher vient de provoquer. Je suis prêt. Ses doigts glissent sur son bras pour l’inciter à retirer ses doigts de son antre pour les glisser sur sa hanche légèrement humide de cette sueur naturelle. Sa peau est si brûlante que l’air ambiant ne vient nullement atténuer l’embrasement de ses sens. Déterminé, il vient se coller contre le corps réconfortant de son amant pour ressentir le contact lourd et tendue de sa virilité gorgée de plaisir contre la chair de son fessier. Il vient presser son bassin au sien pour enflammer l’ambition du blond et l’inciter à poursuivre cette danse charnelle. Je te veux… prends moi, Björn. Il veut le sentir investir son bassin et l’entrainer vers une extase qu’il n’a pas savourer depuis tant de temps. Il ne veut plus penser à rien, si ce n’est aux mouvements de ces reins dans les siens, de son souffle sur son épiderme jusqu’à que l’extase l’envahisse dans une explosion merveilleuse en compagnie de cet homme à qui il octroie sa confiance, ce soir.  
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Quand on ne peut revenir en arrière, on ne doit se préoccuper que de la meilleure façon d’aller de l’avant.(björben01)
Ven 1 Mai - 1:10
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Ton nez demeure niché contre sa nuque ou bien sa chevelure, ne quittant son giron que pour retrouver ses lèvres, échanges passionnés et langoureux. Ta menotte entre ses globes de chairs, tu laisses tes phalanges détendre son être en de doux mouvement de poignet. Amant prévenant, tu n'iras pas plus loin tant qu'il ne serait pas prêt et ce malgré la tension parcourant ton corps. Ses gémissements t'électrises, tu soupires lascivement contre sa peau, grognant légèrement même en sentant le bassin de celui-ci s'activer sur tes doigts. Tu cesses suite à sa demande silencieuse, il n'y avait pas besoin de mot, son corps parlait pour lui. Tes phalanges ayant quittés sont antre afin de se reposer un instant contre sa cuisse, tu laisses ton bras remonter à son torse afin de le serrer contre toi le temps de déposer un baiser contre sa nuque ; gestuelle affectueuse et tendre, une nouvelle promesse de faite quant à la suite des événements. Tout va bien ce passer Ruben, je te le promet. Le relâchant, tu te redresses légèrement afin de venir appliquer la protection en latex le long de ta virilité, l'emballage rejoignant le sol non loin du tube de lubrifiant. Revenant à ton amant, tu cales au mieux ton bras sous les oreillers et sa tête, ton autre menotte venant guider ton excitation à son intimité. En place, tu glisses tes phalanges contre sa cuisse jusqu'à soulever en douceur sa jambe, l'intrusion se faisant avec plus d'aisance et entièrement cette fois-ci. Une vague de frisson parcours ton échine tandis qu'un gémissement vient mourir contre la nuque de ton amant. Reposant sa jambe valide tout en la gardant légèrement pliée, tes doigts viennent à enserrer en douceur sa chair tandis que ton bassin se met enfin à remuer dans le creux de ses reins ; danse lente et sensuelle, tu souffles non loin de son épaule sous cette délicieuse sensation. Redressant légèrement le faciès, tes commissures glissent contre sa joue jusqu'à retrouver leurs jumelles, bien décidé à les capturer pour un nouvel échange. Tu l'embrasses avec un passion non contenue, laissant le plaisir parler pour toi alors que tes ondulations demeurent toujours aussi lascives, enivrantes. L'entendre ainsi gémir faisait frissonner tout ton être, tu t'en délectais tout autant que sa chair contre la tienne. Délaissant sa bouche au profit de son cou et sa clavicule, c'est une myriade de baiser que tu déposes là, un instant de pur tendresse avant que le diable ne te prenne au corps. Le brun étant étendu sur le côté, tu te redresses avec douceur après avoir quitté la chaleur de ses reins et ce dans l'idée de changer ton positionnement. C'est tout en douceur mais fermeté que tu viens guider sa jambe valide afin de plier celle-ci alors que tu prenais place au-dessus de l'autre, une station à califourchon sans toucher cette dernière ; hors de question pour toi de lui faire mal. Tes prunelles ont beau être empli de désire à son égard, tu te fait rassurant, pourtant un éclat taquin parcours celles-ci. Laissant sa canne valide pliée et en appuie sur le matelas, tu viens retrouver le creux de ses reins en une poussée conquérante, un grognement satisfait s'extirpant de tes lippes. Ta silhouette venant légèrement le surplomber, tu avais tout le loisir d'observer son corps sous tes assauts mais également les traits de son faciès parcourus par le plaisir. Regarde moi Ruben.. Tu ne voulais rien raté. Ton bassin se meut avec un peu plus de fermeté, cherchant ce point si sensible de son anatomie, celui qui le fera vibrer et atteindre l'apogée. Le temps s'écoule au rythme de vos souffles et gémissements mêlés, tu sens ton être s'enflammer, s'électriser tout en te menant sur le chemin de ta propre délivrance. Battant la cadence sans flancher, tu finis par te figer au plus profond de son être, libérant ainsi ton fluide dans un râle rauque mais étouffé. Vous n'étiez pas seuls, malheureusement. La musculature de tes bras tendu, tu te tiens là afin de ne pas écraser ton partenaire ; ton souffle étant erratique, ton palpitant prit dans une course folle. Redressant ta silhouette, tu quittes avec douceur son antre afin de rejoindre le matelas et ce après avoir prit soin de guider sa jambe, allongeant celle-ci pour la soulager. Faisant pour le moment abstraction du préservatif, tu l'invites avec douceur à venir se lover contre toi. L'aidant à se tourner, tes bras retrouvent sa taille afin de le serrer contre ton torse avec douceur ; tes lèvres quant à elles viennent se poser un instant contre son front. Un soupire de bien être s’échappe d'entre celles-ci, tu te sentais bien en cet instant. Étais ce la même chose pour lui ? L'une de tes menottes remonte le long de son dos, caressant son échine chauffée pour reposer sur sa joue et ainsi l'invité à un baiser beaucoup plus chaste et tendre que ceux échangés précédemment. Demeurant silencieux, tu laisses ton myocarde se calmer, tout comme ton souffle. Tes lippes frôlant avec douceur leurs jumelles. C'était parfait..


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• orientation : homosexuel. Il l'a toujours su, mais comme d'autres, il a tenté de rentrer dans la norme avant d'embraser sa véritable naturel. il ne se cache pas. Il aime les muscles fins et robustes des hommes, même s'il reconnait la beauté des femmes.
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Sam 2 Mai - 12:09

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Un sentiment de plénitude l’habite sous la caresse envoutante des phalanges du Norvégien au creux de ses reins. Il se laisse porter par cette émotion de sérénité qui lui permet de lâcher prise. A cet instant, il n’est plus un homme brisé, perdu dans son existence, mais juste une âme avide de se perdre dans les méandres du plaisir charnel. Une distraction dont il avait presque oublié les effets tant ces derniers mois ont été difficile physiquement et psychologiquement pour le pianiste. Sa libido s’était éteinte, mais le magnétisme et les caresses initialement innocentes du blond ont réveillés ses sens. Pouvoir sentir son corps robuste et brûlant contre le sien éveille une émotion profonde dans sa poitrine, qui rend tout son être à fleur de peau. La confiance qu’il place en cet homme est puissante, car à travers son regard, il a la sensation de demeurer le même homme en dépit de toutes les séquelles physiques et psychologiques qui ont marqué sa chair et son âme. Ce qui a un effet particulièrement grisant sur tout son être avide de redevenir cet homme qu’il a été, car il n’est pas prêt à embraser celui qu’il est devenu. Sa soumission lui vient naturellement avec cet homme, sans doute parce qu’il a toujours fantasmé durant son adolescence de passer sous son corps. Aujourd’hui, sa curiosité, poussée par un besoin impérieux qu’il ne perçoit pas lui octroie la possibilité de le consumer et son esprit embrumé par les effets étourdissant de la luxure lui permet d’embrasser l’instant sans se poser de questions. Ils s’emportent mutuellement dans un univers vaporeux où seuls les baisers et les caresses lascives ont de l’importance. Leurs êtres s’enlisent dans les marécages de la luxure, acceptant l’issue d’être dévoré à mesure qu’ils luttent pour se défaire de ces chaines. C’est une folie assurément, mais l’un autant que l’autre est impossible d’interrompre la voie qu’ils empruntent ensemble. Je te veux trop. Le blond semble le désirer tout autant que lui puisqu’une fois revêtu de cette protection indispensable à leur union, son épiderme vient retrouver le sien pour l’enserrer de sa douce couverture. Un soupir d’aise s’extirpe naturellement de ses lippes lorsque les mains fermes et viriles de Björn viennent lui quémander silencieusement la position qu’il désire qu’ils adoptent. Et quelle position… Il y a tant de révérences dans ses actions qu’il méconnait qu’il se sent désorienté, mais happé dans les douces vapeurs d’un ravissement qui s’empare de ses membres et s’intensifie lorsque cette virilité lourde d’ambition vient s’immiscer au creux de ses reins. Un gémissement mêlant joie et douleur s’épanche hors de ses lèvres. Il s’efforce de le retenir, mais cette sensation addictive d’être pris surpasse sa raison. Il se laisse savourer ces sensations dont il a été privé depuis si longtemps. Dans ces bras protecteurs, il goute de nouveau à la satisfaction de partager une étreinte lascive avec un homme, qui se révèle à la fois doux et passionné au fil des secondes qui s’égrènent. Son myocarde bat à tout rompre dans sa poitrine alors que l’euphorie liée à la jouissance le transportent dans un nuage cotonneux. Leurs lèvres se retrouvent dans un baiser savoureux alors que les mouvements de bassin se confondent dans une distraction des plus plaisantes. Sa respiration devient forte et difficile alors que sa main valide tente tant bien que mal de frôler à son tour la peau accessible du Norvégien. La grâce de l’instant emporte toute sa raison dans un raz-de-marée de sensations envoutantes qui lui ravagent les sens. Cet homme soumet son corps au moindre de ses désirs et cela ne lui déplait absolument pas. Il s’enivre de sa passion, du mouvement lascifs de son bassin contre le sien. Il savoure de nouveau le plaisir de profiter d’une étreinte complice avec un partenaire auquel il tient. Ils sont dans une bulle où seuls l’autre existe et a de l’importance. Il est bouleversé par cet échange intime, qui n’a pas la même saveur que les étreintes qu’il a pu avoir avec d’autres hommes avant qu’il se mette en couple avec Wilfried.  Une intimité et complicité dont les bases résident dans une amitié jusqu’alors innocente et qui s’accentue dans cet échange charnel. Il y a une union qui se créée, une alchimie qui les emportent avec eux dans les méandres d’une ivresse entêtante. Un gémissement plus fort s’échappe de ses lèvres au changement de positionnement de Björn qui l’observe avec intensité. Il se sent complètement mis à nu sous son regard et cette position intime dans laquelle il vient emmêler leurs échines enflammées. Il le trouve magnétique dans cette position qui vient remuer tous ses sens alors que la poussée conquérante de son partenaire lui arrache un râle de satisfaction. L’angle créé dans cette position qu’il a très peu expérimenté par le passé est parfaite pour lui faire ressentir pleinement les assauts de son partenaire. Son ordre affriole ses sens. La voix de Norvégien n’attend aucune réplique de sa part et il ne se fait pas prier pour laisser ses prunelles claires, mais assombries par la luxure se plonger dans celles de son partenaire. Sa vision enchanteresse rend la chaleur au creux de son ventre que d’autant plus incandescente. Il s’embrase sous son toucher et il ne retient plus ses réactions. Le plaisir qui lui ravage le bassin se fait de plus en plus violent sous la puissance de ces coups de bassin. Ses phalanges viennent enserrées les draps froissés alors qu’il vient étouffés ses râles dans l’oreiller pour éviter de trahir la décadence dans laquelle cet homme plie son corps. Il finit par atteindre l’apothéose au moment où il sent cet homme prêt à exploser au creux de ses reins et qu’il lui offre la vision la plus exaltante qu’il soit. Putain, il est magnifique, si létal. Il ne peut s’empêcher alors que son extase implose dans la moindre de ses terminaisons nerveuses alors qu’il a la sensation de sentir son corps s’extirper hors de sa cage thoracique. L’instant est merveilleux et lui arrache un sourire béat. Il se souvient désormais du plaisir que cela procure de laisser les commandes à un autre, surtout pour ce genre de chevauchée. Une part de lui serait prêt à se lancer dans une seconde, d’user de ses charmes pour essayer de poursuivre l’échange savoureux, mais il n’en a plus la capacité. Il y a un blocage qui s’opère en lui et qui vient troubler l’instant. Une fois délié des chaines de la passion, la raison s’immisce entre les effluves et vient le harceler de cette morale à laquelle il désire devenir sourd pour ne pas entendre son discours moralisant. Il désire même cela de côté pour savourer la pression de ce corps désirable contre son dos, la douceur de ses baisers contre son épiderme pour apprécier ce cadeau que lui offre son ami de se révéler tel qu’il est en réalité. Il est parfait. Il ferait le bonheur de n’importe quel amant ou amante. Pourquoi es-tu seul, Björn ? Il aimerait lui poser la question, mais il ne dit mot, sans doute parce qu’entendre la réponse pourrait le porter à commettre des choses insensées et que ça le terrifie. Comme il est présentement troublé d’apprécier particulièrement la nature câline du Norvégien. Tu me perturbes, Björn. Encore plus qu’avant et c’est dangereux. Parce qu’il ne s’agit pas que d’un désir banal. Les risques qu’une telle initiative pourrait avoir dans leurs existences pourraient totalement détruire un équilibre dans l’existence de l’autre. Un équilibre qu’il n’est absolument pas prêt à prendre le risque de basculer, qu’importe où ses pulsions veulent l’entrainer. Il s’octroie cependant le droit de savourer ses caresses qu’il lui rend avec la même dévotion, tout comme ses baisers. Il n’est pas prêt à s’exprimer, car il a conscience qu’il a provoqué quelque chose entre eux, qui risque de tout changer. On a qu’à rester dans cette bulle magique jusqu’à demain. Il gémit contre cette bouche qui continue de provoquer des frisons de bien-être tout le long de son épiderme. Les merveilleuses répliques d’un orgasme dont on ne veut pas se défaire. « Merci… » Il souffle néanmoins contre ses lippes viriles et malmenées par tant de baisers. Il le remercie de lui avoir donner ce cadeau et de lui avoir donné l’opportunité de se sentir désirable de nouveau. Le bout de ses doigts vienne caresser sa mâchoire avec dévotion. Il n’a plus la capacité de parler tant il est complètement dévasté par ces émotions contradictoires. Il ne sait pas quoi penser de ce qui vient de se passer, mais ne le regrette pas. Putain, non. Qui pourrait regretter d’être désiré de cette manière par un homme aussi merveilleux que toi, Björn. Il ne veut juste pas que ça atterre leur amitié. Putain, non. J’ai trop besoin d’elle, de son amitié. Je veux pas perdre ça.
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