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sorry not sorry (marloan 4)
Ven 28 Juin - 11:25
Ce n’est pas un lien habituel pour rencontrer un potentiel futur sponsor pour mon bar. J’ai décidé de faire bouger encore un peu le quartier en proposant des soirées à thème, mais les fournitures s’avèrent plus chères que prévu, et il faut bien que je trouve de nouveaux partenaires pour ne pas avoir à faire de trop gros trous dans la trésorerie. Un combat de chaque instant. C’est donc dans le bar de cet hôtel que je dîne avec cet homme d’une quarantaine d’années, heureusement gay, ça m’évite d’avoir à le remballer en lui disant que je ne suis pas intéressée par ses avances. Le dîner se passe à merveilles, et il est tard quand je prends le chemin vers la sortie. Mais en passant près du comptoir d’accueil, j’entends une voix masculine demander la chambre de Marlo Collins. Je m’arrête net. Si les Collins courent les rues américaines, les Marlo Collins, je pense pas qu’il y en ait beaucoup. Je me tourne alors et découvre le visage du jeune homme. Jeune oui, une vingtaine d’années, s’approchant peut-être de la trentaine mais même pas sûr. Bel homme, un peu trop d’ailleurs. Je me souviens du discours de l’avocate. PAs d’attaches, seulement des mecs payés une fois de temps en temps. Elle n’a pas dit ‘pour l’hygiène’ mais c’est ce que ça voulait dire. L’hôtesse indique le numéro de la chambre que je mémorise, et suis le jeune homme dans le couloir. « Excusez-moi… » Il se retourne et je lui offre un sourire. « Bonsoir, je suis désolée, c’est un peu particulier, mais je peux vous demander une faveur ? » Dubitatif, le bellâtre le laisse poursuivre. « Marlo est une amie, on a l’habitude de se taquiner pas mal, la dernière fois elle m’a pas loupée, et j’me dis que si je la prive de sa nuit torride, il se pourrait que je gagne une manche.. » Je lui fais une petite moue amusée, et sors de mon sac un billet de cent dollars. « Et ça, c’est pour le dédommagement, le déplacement, ce que vous voulez. Vous avez votre soirée. Deal ? » Il lorgne sur le billet, hésite un instant, et accepte mon marché. Le champs est libre, je monte à l’étage de la chambre de Marlo, réajuste ma robe bustier et frappe quelques coups à la porte. J’entends sa voix de l’intérieur, signifier que la porte est ouverte. Je pousse cette dernière et la referme derrière moi, verrouillant le loquet sans tarder. Mes talons claquent sur le parquet du couloir qui mène à la suite, elle doit déjà se douter qu’il ne s’agit pas de son jouet sur pattes…
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Sam 29 Juin - 0:11

J’ai pour habitude de faire appel à une agence de gentlemans, des jeunes hommes payés pour me faire passer du bon temps. Très bien payés, et généralement, je le regrette pas. Quant au fait de commander un gigolo pour mon plaisir, ne me fait ressentir aucune culpabilité. Après tout, c’est une transaction et ils sont loin d’être malheureux. Je suis une cliente exigeante, mais régulière et vu ma plastique, ça n’est pas vraiment un calvaire de donner en heure supp’, si l’envie me prend. Encore que je n’ai souvent pas le temps pour d’avantage qu’une bonne heure de partie de jambes en l’air pour retourner ensuite sereinement à mes dossiers.
Je me suis acheté un ensemble pour l’occasion, un de plus. C’est mon truc. J’aime les dessous, les porter, et me sentir désirable avec ces derniers. Et ces femmes qui pensent que ça n’est fait que pour les hommes, n’ont rien compris, les pauvres…
Cette fois-ci, j’ai opté pour une ensemble porte jarretelle et dentelle assez travaillé – en même temps vu le prix – qui m’a fait un effet grandiose en cabine. Et quand je chausse mes talons aiguilles et que je glisse un dernier coup de rouge à lèvres sur mon visage, je me trouve on ne peut plus désirable. Je me plais, c’est le principal. Le reste coulera de source. Mais j’aime aussi lire le désir dans le regard de ces hommes. Et c’est le genre de choses qu’ils sont trop idiots ou trop faibles pour simuler. Ça ne peut donc être que réel.
J’entends quelques coups frappés à la porte. « Tu as 10 minutes de retard. » Le ton est cinglant, j’ai en horreur le manque de ponctualité. Comme beaucoup d’autre chose.
Mais des talons claquent sur le parquet de la chambre. Plaît-il ? Ce n’est pas tout à fait ce que j’ai commandé. Si l’agence m’a planté le coup, elle va entendre parler du pays ! Je ne suis pas à une procédure près ! Je fais jouer de mes propres talons à mon tour, pour rivaliser, et m’avance jusque dans l’entrée, pour tomber nez à nez avec la blonde du Planet. « Je peux savoir ce que vous foutez là ?! Où est Miguel ? » Je m’agace, et monte dans les tours. « Je ne sais pas ce qui vous amène, mais quoi que ce soit, je n’ai pas le temps, j’ai un rendez-vous. »

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Mar 16 Juil - 10:27
 « Tu as 10 minutes de retard. » lâche-t-elle d’un ton réprobateur alors que je me contente d’un large sourire, puisqu’elle ne sait pas encore la supercherie à laquelle elle va avoir droit. J’entends finalement ses talons à elle, signe qu’elle se rapproche, et voilà que mon regard a tout le loisir de se poser sur sa silhouette très peu habillée. Je ne vais pas m’en plaindre. « Je peux savoir ce que vous foutez là ?! Où est Miguel ? » Mon sourire s’élargit davantage. « Je lui ai donné congé, il est parti avec un joli pourboire, ça l’arrangeait pas mal je crois. » Je ne doute pas que d’être le jouet sexuel d’une femme comme Marlo ne doit pas être désagréable pour ces gars là, mais ça reste leur ‘métier’, faut pas se leurrer. « Je ne sais pas ce qui vous amène, mais quoi que ce soit, je n’ai pas le temps, j’ai un rendez-vous. » J’arque un sourcil. « Le rendez-vous en question n’a pas hésité longtemps face à mon billet et la perspective d’une soirée tranquille. » Je m’avance vers elle, mon regard planté dans le sien. « Qu’est-ce que vous leur faites à ces pauvres petites bêtes pour qu’ils préfère un billet à une nuit avec vous ? » Je la provoque, c’est devenu un jeu entre nous, elle sait très bien faire, elle me l’a montré maintes fois, et je ne suis pas en reste non plus. « C’est pas la marchandise qui est dégueulasse, qu’on se le dise. Vous êtes peut-être simplement trop dominantes pour leurs égos de mâles ? » Oh parce que si elle s’est laissée faire la première fois sous mes doigts, je ne doute pas qu’elle soit le genre à donner des ordres au lit. Regardez-là, dans son ensemble de lingerie hors de prix, portes jarretelles et talons hauts. Elle est divine, c’est une certitude, et elle le sait, c’est bien ce qu’il y a de pire. « J’avais juste envie de voir votre tête, en découvrant que votre petit joujou s’était fait la malle… » Je ricane un peu, de la voir aussi énervée. Mais elle ne me fait pas peur, je ne crains rien venant d’elle. Si elle croit pouvoir me désintégrer avec son regard, elle se fout le doigt dans l’oeil.
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Sam 27 Juil - 14:04

Un retard, ça me rend dingue. La ponctualité est pourtant une qualité, une vertu, non ? Bordel. Et j’estime payer le prix fort pour être comblée sur tous les points. Visiblement, ils devraient revoir leurs employés. Miguel m’a toujours donné satisfaction, si ce n’est qu’il prend parfois un peu ses aises. Sans doute ses origines hispaniques, qui sait. Si je m’apprête à l’incendier, c’est ma cliente que je trouve au milieu de la chambre que je viens de louer une petite fortune pour faire mon affaire. « Je lui ai donné congé, il est parti avec un joli pourboire, ça l’arrangeait pas mal je crois. » « Plaît-il ? » Il va falloir qu’elle m’explique un peu mieux si je ne veux pas perdre mon sang froid et devenir encore plus désagréable que je ne le suis d’habitude. Oui, j’en suis parfaitement consciente.
« Le rendez-vous en question n’a pas hésité longtemps face à mon billet et la perspective d’une soirée tranquille. Qu’est-ce que vous leur faites à ces pauvres petites bêtes pour qu’ils préfère un billet à une nuit avec vous ? » « Allez vous faire foutre. » Je commence à perdre mon sang froid et son petit regard suffisant commence à me rendre dingue. Elle veut jouer à ça, elle oublie que j’ai de quoi faire fermer son bar si elle insiste encore un peu.
« C’est pas la marchandise qui est dégueulasse, qu’on se le dise. Vous êtes peut-être simplement trop dominantes pour leurs égos de mâles ? » « Et je les paye bien assez cher pour que leur égo se mette de côté 5 minutes. Et puis entre nous, ils en sont réduis à vendre leur corps pour de l’argent, alors leur égo… » Lâchant un rictus ironique. Non mais franchement, où est leur égo là-dedans ? Ils pourraient aller bosser comme tout le monde, mais tout ça, c’est de l’argent facile, et la plupart son étudiants. Ils gagnent du temps, n’ont que quelques heures à donner pour le même salaire qu’un employé à mi-temps dans un fast-food. C’est du gagnant gagnant, pour peu, justement, de mettre son égo de côté.
« J’avais juste envie de voir votre tête, en découvrant que votre petit joujou s’était fait la malle… » « J’aimerais voir la votre quand durant le procès, on vous fera fermer pour négligence. Vous voulez jouer ? » M’approchant d’elle, dominatrice, et le regard sûr de moi.

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Jeu 1 Aoû - 15:47
Je jubile d’avoir réussi à la surprendre, et la mettre hors d’elle. Enfin, de la faire chier. Parce que je pense que c’est le genre à faire flipper quand elle est hors d’elle. Même si je n’en ai absolument pas peur, elle peut bien sortir de ses gonds si elle le veut, ça me fera plus rire qu’autre chose. Je suis joueuse, je l’ai toujours été, mais avec elle, c’est un niveau au dessus j’ai l’impression. Ou peut-être simplement parce que j’ai le sentiment d’avoir trouvé un adversaire à ma hauteur. Je lui avoue avoir donné congé à son joujou, et elle bouillonne, pendant que je frétille. « Allez vous faire foutre. » Je lâche un rire amusé, pour la rendre encore plus folle, parce que je suis sûre que c’est le genre de femme à détester qu’on se foute de sa gueule. Oh, personne n’aime ça, mais y’a des gens à qui ça passe au dessus. « Et je les paye bien assez cher pour que leur égo se mette de côté 5 minutes. Et puis entre nous, ils en sont réduis à vendre leur corps pour de l’argent, alors leur égo… » J’arque un sourcil, son argumentaire est bon - c’est son métier, je sais - elle a raison, et je me contente de lui répondre par une esquisse de sourire. Je lui avoue avoir simplement eu envie de voir sa tête de frustrée en apprenant qu’elle n’allait pas pouvoir jouer et s’envoyer en l’air. « J’aimerais voir la votre quand durant le procès, on vous fera fermer pour négligence. Vous voulez jouer ? » Elle s’approche, son regard de dominatrice qui me fait sourire plus amplement. « Le problème c’est que si je perds, vous perdez aussi. Vous n’auriez aucun intérêt à me faire couler… »[/color] Je ne la lâche pas des yeux et m’approche à mon tour. Elle veut jouer ? Je ne suis pas en reste. « Vous êtes trop professionnelle pour mettre votre carrière en péril juste pour flinguer la mienne. » Nous sommes si proches que je peux sentir son souffle buter contre mon visage, et putain ce qu’elle m’attire, c’est dingue. « Vous avez gagné la précédente manche, c’était à moi d’enchérir à nouveau, je peux sentir votre frustration jusque là… je crois que je remporte cette manche n’est-ce pas ? » C’est vrai quoi, elle est partie en m’embrassant la dernière fois alors que j’avais juste envie de lui couper la tête. Du bout de mon index, je frôle la dentelle de son soutien-gorge le long du galbe de son sein, mon regard rivé sur mon geste, avant de la regarder à nouveau. « Je vais vous laisser gérer cette frustration alors. Le temps qu’ils vous envoient un nouveau jouet, la colère sera sans doute passée. »
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Ven 2 Aoû - 11:58

Je lis parfaitement le sentiment de victoire dans son regard, et je me dis que tout ça se payera, d’une manière ou d’une autre. Qu’on soit bien clair, rien ne reste jamais impuni, je suis du genre rancunier et oublier ce qu’on me doit n’aurait de toute façon jamais fais ma fortune. Coup pour coup. C’est ainsi que j’ai appris à aborder la vie. Beaucoup me trouvent dure, je me trouve simplement professionnelle et fidèle à ma propre ligne de conduite. La colère, voilà ce qui m’anime depuis que je suis ado. Et c’est un moteur on ne peut plus efficace.
« Le problème c’est que si je perds, vous perdez aussi. Vous n’auriez aucun intérêt à me faire couler… Vous êtes trop professionnelle pour mettre votre carrière en péril juste pour flinguer la mienne. » « Combien pèserais votre petite affaire insignifiante qu’un commis d’office saurait gagner face aux nombreuses victoires remportées contre de grands lobbys ? » J’ai une carrière éminente, des succès qui font parler, et j’en suis très fière. Toute ma vie tourne autour de ma carrière professionnelle. Pas de loisir, pas d’amants, juste un job que j’aime tout particulièrement, un bel appartement et des horaires de dingue.
« Vous avez gagné la précédente manche, c’était à moi d’enchérir à nouveau, je peux sentir votre frustration jusque-là… je crois que je remporte cette manche n’est-ce pas ? » « Si ça peut vous faire plaisir. » La toisant d’un regard méprisant. Je déteste qu’on me prenne de haut et elle passe son temps à le faire. Je vais finir par lui dire d’aller se faire foutre, je n’ai plus beaucoup de patience, qu’on se le dise.
Son doigt dessine ma poitrine le long de mon sous-vêtement et je dois dire que j’en frissonne déjà. Je déteste ne pas contrôler ce que je ressens. « Je vais vous laisser gérer cette frustration alors. Le temps qu’ils vous envoient un nouveau jouet, la colère sera sans doute passée. » « Faites simplement attention à ce que je ne joue pas avec vos jouets à vous… » Je sais très bien ce qu’elle trafique avec sa petite serveuse. La gamine la bouffe des yeux, ça n’est sans doute pas pour rien. Et puis ma cliente doit être du genre à butiner sans se poser, elle aime bien trop jouer pour ça. « Repensez-y la prochaine fois qu’il vous prendra l’envie de jouer… »

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Dim 18 Aoû - 13:12
 « Combien pèserais votre petite affaire insignifiante qu’un commis d’office saurait gagner face aux nombreuses victoires remportées contre de grands lobbys ? » Je sens que cette histoire la taraude, notre première rencontre, celle pour laquelle elle venait voir si mon bar était à vendre. J’ai encore du mal à comprendre ce qui pouvait la pousser à faire autant d’efforts, pour son client aux longues dents. Et pourquoi MON bar ? Elle m’a quand même laissée entrer chez elle, a accepté mon invitation à dîner. Il y a des choses à creuser, d’autant qu’elle remets ça sur la table. Juste de quoi me tenir en haleine. Pourtant je ne réponds rien à sa provocation, parce que malgré ce qu’elle peut en dire, je sais qu’elle aurait gros à perdre, en me faisant couler, elle risquerait de couler avec moi. Et ce n’est pas parce qu’elle passe à côté du nirvana ce soir qu’elle me fera couler. Du moins, je l’espère. Flirter avec les limites, c’est mon quotidien. Je lui fais part de mon côté joueur, encore, lui disant que j’estime avoir remporté cette manche, et elle s’insurge. Voilà qu’elle nous fait du boudin. Oh… Elle est encore plus sexy quand elle est en colère, c’est dingue. Pourquoi je me sens attirée par elle comme un aimant ?
Je lui adresse un geste, que je crois être le dernier, mais lorsque je la vois frissonner sans pouvoir le contrôler, je ne peux m’empêcher de sourire. « Faites simplement attention à ce que je ne joue pas avec vos jouets à vous… » Mon regard désormais plongé dans le sien, j’arque un sourcil, intriguée. « Repensez-y la prochaine fois qu’il vous prendra l’envie de jouer… » Je ris, je ris parce qu’elle ne me fait pas peur mais surtout parce que je sens que ce genre de comportement l’irrite. Les limites… toujours les limites. « C’est une menace ? Mes jouets sont indépendants, ils font ce qu’ils veulent. Si ça vous intéresse, libre à vous. » Je n’arrête pas pour autant de laisser mes doigts flirter avec son décolleté, et je m’approche, sans trop m’en rendre compte, sentant désormais son souffle buter contre mes lèvres. Mon regard ancré au sien, j’approche, encore, cette fois volontairement, et murmure, un sourire en coin. « J’espère que vous avez de quoi vous occuper pour ce soir. Je ne voudrais pas vous laisser vous faire avaler par la frustration. »
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sorry not sorry (marloan 4)
Lun 19 Aoû - 20:20

Son air suffisant m’agace au plus haut point ! Je ne sais pas comment fait sa femme pour la supporter, elle en a sûrement une. Ou alors, elle en avait une. C’est le genre de femme qui ne pense pas que carrière, c’est le genre de femmes à vouloir des gamins, une maison, et un chien, mais qui la nuit, aime bien s’envoyer en l’air et redevenir une ado sans limites. Ou une femme libérée, que sais-je encore. Sage à la maison, un démon une fois dehors. Et c’est, je crois, en ça qu’elle est si sexy. La garce !
Je la menace de jouer avec ses propres jouets, de taper dans son coffre, ça ne lui plairait sans doute pas. Encore que je ne sais pas si elle est jalouse, rien ne semble avoir vraiment de prise sur elle. Pourtant, rien ne semble lui échapper non plus.
« C’est une menace ? Mes jouets sont indépendants, ils font ce qu’ils veulent. Si ça vous intéresse, libre à vous. » « Le problème, c’est qu’ils pourraient tout aussi bien se désintéresser de vous… » Je dis ça comme ça, mais s’ils mieux à trouver ailleurs… il y a fort à parier qu’un petit chèque conséquent aura au moins le mérite de les éloigner. Par simple élan d’égo, et lui faire perdre ce qui la distrait, j’en serais capable. L’argent peut tout acheter, à commencer par tout le monde.
La proximité que nous nous offrons me fait déglutir avec peine, et je dois pourtant garder la tête froide, je ne peux pas lui faire ce plaisir. Mais qu’elle ne tente pas trop les choses, parce que je me sens sur le point de craquer et je déteste ça au plus haut point ! « J’espère que vous avez de quoi vous occuper pour ce soir. Je ne voudrais pas vous laisser vous faire avaler par la frustration. » Alors j’approche mes lèvres de son menton, remonte le long de sa joue, puis près de son oreille, pour murmurer sensuellement… « Allez. Vous. Faire… foutre. » Et dans un geste d’une lenteur infinie, je reprends position initiale, mon regard ancré dans le sien. Ses yeux bleus qui m’électrisent et mes frissons qui ne mentent pas. Je déteste qu’elle me mette dans cet état. Et je dois lâcher prise, pour me retourner, quitter son regard, et me servir un verre que j’avale d’un trait… Faire retomber la tension.

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sorry not sorry (marloan 4)
Ven 23 Aoû - 8:49
 « Le problème, c’est qu’ils pourraient tout aussi bien se désintéresser de vous… » Je hausse les épaules. « Soit. » On dirait que je m’en fous. C’est un peu le cas, enfin pas vraiment pour Marley, même si je sais qu’il n’y a rien de bien sérieux. Et si elle devait se désintéresser - ce qui arrivera forcément - ce sera simplement le cours des choses. Je continue de jouer avec elle, avec mes plus gros atouts, à savoir charme et séduction. Et ça semble fonctionner puisque je la sens bouillir, je sens ses frissons sous mes doigts, elle est prête à craquer, mais beaucoup trop fière. La frustration n’est pas encore assez puissante. Je tente une dernière pique pour voir ce qu’il en ressort, et voilà qu’elle approche, cette fois c’est elle qui fait un pas, et mon corps explose, je sens déjà le désir me bouffer les entrailles. Prise à mon propre jeu ? Peut-être bien. Elle fais glisser ses lèvres de mon menton à mon oreille en passant par l’arrête de ma mâchoire et je la laisse faire sans bouger d’un millimètre. « Allez. Vous. Faire… foutre. » Un sourire étire mes lèvres alors qu’elle se recule et que je peux plonger mon regard azur dans le sien. Je déteste pourtant cette sensation d’être aussi attirée par elle. J’aurai pu simplement la laisser vivre sa vie, la laisser se faire sauter par cet escort. Mais impossible de m’y résoudre. Elle s’éloigne finalement pour aller boire un verre d’alcool cul sec. Vu la bouteille sûrement du gin. « Je veux bien, mais je n’ai que vous sous la main. » Nouvelle esquisse de sourire mutin qui arque mes lèvres légèrement alors que j’approche à nouveau d’elle, féline. Je me place dans son dos, mes mains frôlant ses fesses nues seulement habillées par ce joli dessous en dentelles et le porte jarretelles qui va dessus. J’approche à mon tour mes lèvres de son oreille et y murmure quelques mots. « J’emprunte votre salle de bain une minute, et je vous laisserai tranquille après ça. » C’est juste une manière de lui laisser l’opportunité de me retenir. Au cas ou.
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sorry not sorry (marloan 4)
Dim 25 Aoû - 19:33

Je ne supporte plus la frustration de cette femme. L’attraction qu’elle exerce sur moi. Comment une femme de son genre peut-elle avoir autant de pouvoir sur moi ? Je supporte déjà assez mal l’idée qu’un homme puisse en avoir un sur moi. Mais alors une femme… Qui la ramène autant surtout. Certes, elle est sublime, et elle le sait, un peu trop, c’est donc trop facile et perd de son intérêt. Je ne complimente jamais personne. Si ce n’est ma propre équipe, quand je sais que ce compliment les boostera assez pour les pousser à se transcender sur une affaire. Mais jamais gratuitement. Il n’y a rien de gratuit. Ça n’existe pas dans la société actuelle, et celui qui me dit le contraire est soit totalement idiot, soit hypocrite.
« Je veux bien, mais je n’ai que vous sous la main. » La garce. Rien ne semble la déstabiliser, jamais. Et c’est horriblement frustrant, de ne pas avoir de prise. J’ai l’habitude de chanter la pluie et le beau temps sur le monde qui m’entoure. La boss dans mon domaine, c’est moi et mon domaine j’en sors rarement. Pas que je refuse le risque, au contraire, mais c’est en tout et pour tout, tout ce qui me rend vivante, et puissante.
« J’emprunte votre salle de bain une minute, et je vous laisserai tranquille après ça. » Elle poursuit, et la sentir collée à moi, révèle encore une nouvelle valse de frissons. Incontrôlables. Je vais vraiment finir par lui faire payer, largement.
Je la laisse prendre ses quartiers dans la salle de bain qui est la mienne pour les prochaines heures, la chambre étant réglée jusqu’à demain matin. Je ne dors jamais sur place, je n’ai pas le temps. Une fois mon plaisir pris, je m’empresse de jeter l’objet de mon désir et de me remettre au travail.
Et là, je la sens faire je ne sais quoi, dans mon dos, cachée de ma vie grâce à la porte que je rêve d’enfoncer. Reprends toi Marlo, tu vaux mieux que ça… Et pourtant… quand dans l’embrasure de la porte, j’aperçois ma maîtresse d’un soir se remaquiller, j’agis comme un homme. Stupide. Et cette porte, je la franchis, sans ménagement.
Mes mains trouvent l’arrière des cuisses de la blonde pour lui faire prendre place sur le lavabo, et la passion s’insuffle dans le baiser que je plaque sur ses lèvres.

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sorry not sorry (marloan 4)
Ven 30 Aoû - 13:42
sorry not sorry (marloan 4) 111402504

Je joue avec le feu, j’en ai bien conscience, mais c’est plus fort que moi. Comme une force interdite, cet espèce de truc qu’on ressent au fond de nous, qui nous tord les entrailles et nous pousse à faire des choses dont on se croyait incapable. Je devrais faire demi-tour, je n’aurai même jamais dû pénétrer dans cette chambre, je le sais, et pourtant je suis là, et pourtant j’aime être là. Je choisis de prendre mes quartiers dans la salle de bain de sa suite de luxe. Je ne sais pas ce que j’attends d’elle, je ne sais pas ce que j’attends tout court. Et pourtant ce n’est pas la porte de sortie que j’ai emprunté, mais la porte de la salle de bain. Je pose mon sac sur le rebord de l’immense vasque, sors ma petite trousse de maquillage et retrace un trait de crayon sur ma paupière. Mais je n’ai pas le temps de tracer celui se sa jumelle que déjà la porte s’ouvre. Marlo s’avance, conquérante, vaillante et décidée. Je ne la retiens pas, me retourne même et la laisse me soulever pour me faire asseoir sur le meuble dans lesquelles sont creusées les deux grandes vasques. Ses lèvres viennent chercher les miennes, j’ai à peine le temps de prendre une inspiration. En moi gronde un désir qui semble vouloir prendre toute la place. Trop tard. Il a fait de mon corps son antre, son chez-lui, je ne suis plus que le brasier d’un désir puissant. Mes jambes se referment autour d’elle, mes mollets caressant le galbe de ses fesses, une main dans sa crinière de feu, l’autre dans le creux de ses reins. Ma langue cherche la chaleur de la sienne pour une danse déjà érotique. J’ignore si depuis notre première fois elle a conquis d’autres femmes, si d’autres de mes congénères ont eu le droit merveilleux d’embrasser ses lèvres, caresser sa peau, la faire jouir sans retenue. Je suis heureuse d’avoir réussi à la faire craquer, je ne peux plus avoir de doute quant à mon pouvoir de séduction désormais. D’un jeu de doigts habile je dégrafe l’attache de sa lingerie hors de prix et me délecte de la rondeur de ses seins. Elle voulait passer un moment avec un escort, je ne suis pas escort, mais je sais par expérience que je pourrai tout aussi bien la faire grimper aux rideaux. A la différence quoi moi, elle ne me paye pas.
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sorry not sorry (marloan 4)
Dim 1 Sep - 11:01

sorry not sorry (marloan 4) 111402504

Je hais tout ce qu’elle représente. Cette liberté, ce je m’en foutisme, ce côté anti-conventions, et pourtant je suis là, dans cette chambre à moitié nue, et dans une tenue qui hurle « prends-moi », juste face à elle, à côté d’elle, entre ses jambes. Pourquoi ? Je n’en n’ai pas la moindre foutue idée. Ça ressemble à tout sauf à du contrôle ça, et ça ne me va pas. Pourtant, j’y fonce tête baissée, et redemande même un peu de rab quand je sens sa peau frôler la mienne. Elle n’a aucun droit de m’utiliser comme ça, de provoquer ça en moi. Et je compte bien lui faire payer l’affront.
En commençant déjà par remonter sa jupe, sans doute bon marché, mais qu’importe, j’apprendrais à me faire aux vêtements non griffés. Ce côté secrétaire de direction, apparemment sage, n’en n’est rien et cache un volcan déjà en éruption. Mes jambes fléchissent pour parvenir à la hauteur de son entre-cuisse, et réchauffer de mon souffle l’intérieur de celles-ci. Je joue avec l’élastique de son sous-vêtement pour l’énerver un peu plus, quoi que, l’exciter serait plus juste. Même si je sens que je n’ai pas besoin d’insister largement. Je la lui retire sans ménagement, et alors qu’elle pensait avoir le droit à une récompense du bout de ma langue, il n’en n’est rien, je me redresse pour la plaquer contre le miroir et rejoindre ses lèvres des miennes, faufilant mes doigts agiles au creux d’elle-même, sans ménagement, mais de gestes chirurgicaux, connaissant par cœur l’intimité d’une femme, et les zones les plus sensibles de ces dernières…

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sorry not sorry (marloan 4)
Mar 3 Sep - 14:42
sorry not sorry (marloan 4) 111402504

Je savais qu’elle finirait par craquer, ou du moins, je crois surtout que je l’espérais. Je n’aurai pas passé autant de temps à lui tourner autour si ça n’avait pas été le cas. J’ignore pourquoi je m’entête, alors que tout ça n’est qu’une belle connerie. Nous ne sommes pas faites pour nous entendre, un jour nos pôles s’attirent, un jour ils se repoussent. C’est une relation destructrice, malsaine, je ne vois pas comment je pourrai m’épanouir dans quelque chose avec elle. Et pourtant je suis là dans sa chambre d’hôtel, elle est quasiment nue, et je sens son souffle entre mes cuisses. Putain… Je penche la tête en arrière tout en me mordant la lèvre inférieure, sentant tout mon être l’appeler. Elle soulève ma jupe, retire mon sous-vêtement, quelle audace ! Mais alors que je pensais qu’elle allait capituler, c’est là qu’elle fait marche arrière et j’ai envie de la tuer. Elle joue comme je joue, je ne peux l’en blâmer. Mais je suis rassurée de la sentir à nouveau contre moi, quérir mes lèvres, et… oh bordel. Je me sépare de sa bouche une fraction de seconde pour accuser le coup, lâchant un gémissement à la fois de surprise et de plaisir. C’est ça qu’elle veut, avoir le contrôle. Si ce n’est que ça, je peux lui laisser un moment, qu’elle soit satisfaite. Je reviens l’embrasser, langoureusement, fougueusement, cherchant mon souffle qui s’est perdu entre deux gémissements. J’ai peine à croire que ce soit la première fois qu’elle touche le corps d’une femme de cette manière, si c’est le cas je suis franchement chanceuse. Je me cambre, accueille le plaisir qu’elle m’offre sans aucune retenue. Il faut dire que dès l’instant où j’ai posé mon regard sur sa silhouette ainsi vêtue - ou plutôt dévêtue - la seule envie que j’ai eue, est en train de se réaliser. Quoi que lui retirer tout ça m’a aussi plusieurs fois longuement traversé l’esprit. Les quelques frictions de la paume de sa main ont finalement raison de moi et je me laisse emporter dans cette vague de plaisir. Mais à l’inverse de l’homme qui a besoin d’un peu de repos pour retrouver la forme du guerrier, la femme elle, peut s’avérer d’autant plus gourmande une fois le premier round assouvi. Je retrouve ses lèvres, glisse du lavabo sur lequel j’étais installée et retrouve rapidement la proximité du corps brûlant de l’avocate. Je la pousse pour franchir la porte de la salle de bain, et des mes mains agiles je défais une à une les attaches de son bustier pour l’en libérer. « Voilà qui est mieux.. » dis-je malicieusement en laissant mes mains glisser sur sa poitrine.
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sorry not sorry (marloan 4)
Ven 13 Sep - 14:48

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Je crois que toute cette tension entre nous ne fait que rajouter au fait que nous nous attirons tant. Le défi, la compétition, le dernier mot, tout ce que nous aimons combattre, avoir, et dans un contexte comme celui-là, qui résisterait ? Sans doute pas moi, visiblement, moi qui suis pourtant maîtresse de mes émotions, mes ambitions et surtout de mes actions. Là, il n’en n’est rien. Mais si je suis là, au fond, c’est que j’y trouve mon compte. Et je commence à me dire, que je viens de gagner la première partie. Loan est aux abois et je suis plutôt fière de moi.
Elle reprend ses esprits en assez peu de temps pour me déstabiliser, retrouve mon propre corps et le dirige jusque dans la chambre. Je n’ai pas pour habitude de me laisser aller, et encore moins de laisser mon partenaire mener la danse, mais pourquoi pas. Mon bustier n’es plus et seul son regard plein de désir m’embrase. Je la laisse faire, lâche prise, ne serait-ce qu’un tout petit peu, et la laisse poursuivre, jusqu’à me retrouver allongée sur le lit immense qui trône au milieu de la chambre. « Pour l’instant c’est moi qui gagne. » Juste histoire de faire monter encore un peu plus la pression. J’ai le sentiment que l’échec ne lui ai pas familier, pas plus qu’à moi, alors si ça peut lui donner un peu plus de volonté… Je cherche d’ailleurs à nouveau son intimité, sans lâcher son regard, juste histoire de la voir fondre encore une nouvelle fois sous mes doigts, même si cette fois, l’élément de surprise n’est pas avec moi, j’ai d’autres armes…

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sorry not sorry (marloan 4)
Jeu 19 Sep - 18:23
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Si j’espérais qu’on en arrive là à l’instant même où j’ai posé mon regard sur elle dans cette tenue, je ne pensais pourtant pas que ça se réaliserait, ni maintenant ni jamais. J’avais cru que cette fois chez elle aurait été la première, seule et unique fois. Mais non, elle vient de me donner du plaisir à son tour, charge de revanche de la première fois, et je ne compte pas à ce que ça s’arrête là. Maintenant que la frustration l’a bien prise pour cible après que j’ai renvoyé son joujou, c’est à moi de profiter de la situation. Mon petit côté arriviste, peut-être. « Pour l’instant c’est moi qui gagne. » lâche-t-elle, son besoin de victoire m’apparaissant d’autant plus, alors que je viens de l’allonger sur le lit. « La partie n’est pas terminée… » dis-je dans un souffle alors que mes jambes encerclent son corps, et que mes baisers fievreux réchauffent son cou. Mes mains quant à elles sont déjà parties à l’aventure sur son corps fortement dénudé. Je sens les doigts de la rouquine se faufiler à nouveau sous ma jupe pour retrouver la chaleur de mon entre-jambes, et je souris, me contractant immédiatement à son contact. « Attention, tu vas finir par y prendre goût… » Prendre son pied, c’est une chose. Mais donner du plaisir peut parfois s’avérer plus excitant encore. Je laisse quelques gémissements franchir la barrière de mes lèvres, tout en essayant de contrôler le plaisir qui monte à nouveau, et je laisse glisser mes baisers sur son buste, me délectant de sa poitrine fièrement dressée. Quelques secondes avant de descendre davantage vers le sur, laissant mon souffle réchauffer son intimité par dessus le tissus de son sous-vêtement. Je joue avec son désir, glisse ma langue sur la dentelle sans jamais franchir la barrière de la lingerie. Pas encore.
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