shooting stars ((ft. Matthew))

|	shooting stars ; @Matthew Samuels

— Dompte les maux, à venir plonger dans les entres sacrées. C'est que les morals n'étaient plus là, à se demander à quoi bon continuer dans les domaines au lieu de voguer sur les routes comme déserteur enfoui. Et peut-être n'était-ce que les envies d'évasions, qui le faisait penser (plonger) encore plus dans les mondes infernaux. Car tout le monde ne faisait qu'observer ; s'apaisante, sur les images offertes au grand public. Alors quand les idées avaient naquit d'entre leurs paumes, à en inventer là sortie idyllique : presque amusante. L'inviter à rejoindre les studios officieusement, pour partager de simples amusements si mélodieux. Car il n'avait encore jamais montré les lieux à quiconque. Amis qu'il n'avait qu'en trop peu nombre, et même quand les présences en étaient à ses côtés, il ne savait que trop bien que tout n'était pas réalité. Après tout, détestable était-il, à pourtant se cacher la face quand les responsabilités lui tombaient dessus. A croire qu'il ne grandirait jamais, Haru, à ne souhaiter que disparaître pour fuir les familles si imposantes. A vouloir capturer les coeurs sans ne jamais offrir le sien.

Et il avait tout installé, pour faire des lieux havre de paix. Projecteurs, réflecteurs, appareils photo sur les trépieds : à plus qu'en attendre les présences pour venir faire rayonner les photos. Rien de professionnel, juste pour en passer le temps ; faire comme ce qu'il imaginait que les gens de leur âge faisaient. Peut-être n'en était-ce qu'enfantin, qu'au lieu de cela, il aurait pu ne faire que l'emmener dans de simples photomatons. Mais l'expérience était à faire : essayer des vêtements, lui montrer qu'il pouvait avoir confiance en lui, sans avoir peur. Car c'était quelque chose qui venait avec le temps ; qui s'apprenait, selon lui. Alors tout était à faire, et même si cela pouvait s'en montrer paresseux de l'emmener dans les studios même sans que personne ne les voient, il faisait cela d'une bonne intention : juste pour passer un moment à deux. A croire que le japonais ne savait simplement pas se comporter avec ceux qui l'entourait. A faire fuir les regards qui l'attirait, à être un grand frère médiocre, comme si c'était tout ce qu'il n'avait jamais fait n'était que catastrophes complètes. Alors il essayait de se rattraper, Haru, sans ne réellement comment savoir faire.

Etales de vêtements installés, pour en laisser là les choix si fragiles à celui qui viendrait l'aider à passer le temps entre les photos à prendre. Son qui en retentissait ; c'est qu'il lui en avait donné les adresses, Haru, à se précipiter pour ouvrir la porte du studio, à sourire tout doucement : de ces visages retrouvés. Car le temps passait trop vite, car tout semblait si fugace, quand entre leurs rencontres ne se qualifiaient que les sourires des instants. Amitié, qu'il voulait protéger tout doucement. "Salut.", chaleur retrouvé, pour celui à l'aise seulement en présence d'autres personnes. "T'as pu trouver facilement ? C'est un peu paumé entre les bâtiments mais...C'est plutôt sympa.", porte ouverte : pour le laisser entrer dans les espaces clos, à soustraire de ces grandes baies vitrées aux rideaux rabattus, les quelques espaces remplis de matériels. "J'ai déjà tout préparé, j'espère que ça t'ira ? Tu veux boire un truc ?", à ne faire que proposer détente et amusements, pour ces journées particulières, car après tout, ils en étaient là pour cela. S'amuser.

|	shooting stars ; @Satou Haru

— Une idée jetée au vent entre deux éclats de rire. Tu avais presque oublier tout ce que tu avais dit, du moins c'est ce que tu laissais croire tandis que ta mémoire marquait chaque promesse que tu avais faite, et ce, depuis des années. Peu étaient ceux à qui tu les formulaient tu ne les oubliais donc jamais. Tout comme tu n'avais jamais oublié que tu allais faire réfléchir chaque personne qui s'était un jour approchée de toi pour l'argent. Et c'est ce que tu faisais chaque jour en devenant meilleur, en devenant une personne respectable qui suivait son chemin de vie. Aujourd'hui encore tu ferais d'une parole un acte précis, et les rires résonneraient tu en étais sûr. Même si la situation était unique, puisque tu passais derrière ces appareils imposants qui capturaient le moment; l'âme de la personne derrière, comme si tout était hors du temps. Tu allais t'exposer à une partie infime du métier de ton nouvel ami et pourtant si proche.

Le pas rapide tu t'étais préparé avec cette envie de bien faire mais cette méconnaissance de la mode, et de tout ce qui allait avec. Tu prenais soin de toi, tu choisissais des vêtements qui te plaisaient mais tu n'allais pas regarder les derniers vêtements à la mode, la coiffure de l'année ou tu ne savais quoi. Pour toi, ton cerveau était bien mieux doté que ton physique. Aimant ce que tu faisais tu remerciais tes parents adoptifs d'avoir fait de toi un homme intelligent qui savait se débrouiller, mais pour le physique tu avais toujours douté, comme peu attirant tu avais grandi en pensant que l'argent remplaçait ton visage, que ton corps n'était bon que pour te déplacer, un rapport étrange et que tu ne voulais changer que depuis peu. Tu voulais t'aimer un peu plus, te comprendre un peu plus, peut être même mieux t'habiller, te coiffer. Pouvoir être cette personne fière à ses côtés. Car tu n'étais plus seul et cette idée faisait étirer tes lèvres dans un sourire bien trop bien heureux. Haru allait t'entendre toute la journée. Tu le plaignais déjà tandis que tu te garais non loin de l'adresse qu'il t'avait donné.

Le chemin ne fut pas facile à trouver exactement mais tu t'y retrouvais finissant par voir le visage de ton ami se dévoiler derrière la porte, tu ne t'étais donc pas tromper. Le saluant alors d'une légère accolade rapide tu rentrais tranquillement dans un lieu inconnu rempli de matériel que tu ne voyais que dans les films. Une scène impressionnante pour un jeune homme loin des flash de toute sorte. " Salut, Ca va ? " que tu lançais après ta contemplation un peu perdu dans ton monde. "Ah ça été j'ai trouvé une place pas loin et puis après j'ai cherché. ". tu avais eu beaucoup de chance de ne pas te perdre, tu étais de ce genre. A la question tu souriais doucement levant alors ta main qui tenait un présentoir avec deux grandes boissons. "J'espère que tu aimes le cappuccino j'ai pris mes préférés pour te faire goûter. " Lui tendant alors son café tu souriais doucement venant alors enlever ton manteau avec délicatesse comme si tu risquais de briser des objets à tout moment. " Tu as tout installé tout seul ? Wahhh " Il y en avait des choses, des grades lumières et toiles que tu ne comprenais pas trop mais que tu avais vu pour ta photo d'identité, d'ailleurs tu lui faisais la même tête présentement histoire de rigoler un peu. " J'ai fait ça toute ma vie. "



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|	shooting stars ; @Matthew Samuels

— A en avoir trop fait, pour préparer les journées comme merveilles des cieux, ô Haru, pression sur les épaules, quand il n'en avait que trop peu l'habitude d'en laisser là la place aux amitiés naissante. C'est qu'il ne voulait pas rater, le japonais, à faire croire que les airs en étaient sereins alors que tout pouvait exploser du jour au lendemain. Quand les lueurs brillaient dans ces salles aux matériaux installés, à se dire que tout était peut-être trop, pour une simple invitation à s'amuser. Mais la démesure le connaissait, à en être fidèle amitié, quand de ces quelques sourires il ne pouvait qu'être impatience face aux venues. Alors quand tout avait pu résonner, de ces sonnettes aux portes, il n'avait pas réellement attendu, pour en ouvrir les portes si facilement : et le laisser découvrir les lieux sans doute un peu imposant. C'est que Haru ne faisait même plus attention, tellement côtoyés, tellement redécouvert, que plus rien ne l'étonnait réellement. Car il en fallait beaucoup pour en captiver les regards, ou bien plus sobre pour le mettre à l'aise. C'est que dans ces lieux, lui, n'en avait que trop rarement les sourires aux lèvres.

"Ca va et toi ?", que les réponses s'en montraient évidentes, quand il pouvait l'avoir en face de lui, presque heureux de voir qu'il n'avait pas été trop compliqué d'en trouver les chemins jusqu'aux tanières. "Je suis content alors. Puis après tout t'es là, donc c'est le principal.", murmuré comme évidence : quand il ne voulait qu'en partager moment d'amusement. A presque venir en contradiction avec ce qu'il avait toujours fait auparavant : se moquer de ce qu'il avait toujours su faire, Haru. "Oh vraiment ? Et bien je goûterai avec plaisir. J'aime les capuccino en plus.", qu'il vint tout doucement en récupérer les boissons d'entre ses doigts pour en savourer les quelques gorgées qui en réchaufferaient les corps si grands. C'est que les températures se rafraichissaient, à devoir en protéger les cous et corps de ces froids mordant les peaux. "Et bien...C'est parce que j'ai l'habitude. C'est pas si extraordinaire que cela tu sais ?" , à voir cela tous les jours, à en perdre le sens des réalités. Et Haru, peut-être que te ne te rendais plus compte que les passions en étaient devenues habitudes.

Rire lâché ! quand les visages en avaient été tentés, à le faire s'amuser d'avance quand il en remarquait déjà les talents dans les attitudes. "Bah tu vois ? Tu le tiens là ! Tu ferais des ravages !", qu'il s'amusait, à rentrer dans son jeu, alors qu'il l'invita à venir prendre place où il voulait dans ces salles si vastes. "Si tu veux tu peux juste prendre le temps de t'habituer à la salle...", murmuré tout doucement avant de profiter de nouveau des boissons si chaudes. "Si tu veux j'ai quelques vêtements en réserve, même si ceux que t'as sur toi sont parfaits. Puis...on peut commencer. Pas trop stressé ?", que les regards finirent par se poser sur lui, tandis que d'une main libre il s'ébouriffa les cheveux pour venir en ravir de nouveau les visages. "Tu t'imagines ça comment ? La séance, je veux dire. Je te promets pas des photos de qualité par contre...je suis un peu nul pour faire focus les appareils." , bien qu'il tenterait, encore et encore, juste pour aujourd'hui. Car il voulait que tout ne soit qu'amusement, sans en mettre de pression sur les épaules : de celui à qu'il voulait faire découvrir les endroits.

|	shooting stars ; @Satou Haru

— Plateau impressionnant tu rentrais pourtant dans l'arène qui vous servirai de terrain de jeu. Si cela était son métier aujourd'hui vous veniez pour rire, vous amusez, oublier les pressions quelqu'elles soient. Oublier que tout ceci était un jeu d'apparence, pour y voir l'amour de soi. Une bonne manière de découvrir la vie de l'autre personne tout en remontant son estime personnelle. Toujours trop basse pour en jouir. Les yeux grands comme des soucoupes tu découvrais un lieu bien loin de ton monde. Cependant tu ne reculais pas, au contraire avançant dans ce lieu trop éclairé, mais qui te criait de venir le découvrir.

"Ca va très bien merci. "Et pour toute preuve tu offrais de nouveau un sourire dont tu avais le secret. " Oh c'est mignon merci je suis ravi de te voir ici aussi.. même s'il aurait été très étrange de ne pas t'y trouver. " Te perdais tu ? Peut être un peu. La raison? Peut être un peu trop d'excitation. Tout comme tu présentais des boissons, égoistement ramener pour ton bien. En espérant tout de même plaire à l'hôte du jour. " Oh tant mieux alors j'avais peur que ça ne te plaise pas. " Prêt alors à retourner d'où tu venais pour aller chercher une boisson qui plairait à ton ami. Une première gorgée accompagnée de regard long et intrigué sur tous ces appareils tu semblais impressionné. Bien moins qu'Haru qui plongeait dans ce monde depuis trop longtemps. " Comme tu dis tu en as l'habitude mais pour beaucoup c'est une chose qu'elles ne verront jamais. " Et parfois, quand le moment devait venir il devait s'en rendre compte.

Constipé, peut être même coupable mais clairement pas mannequin. A l'instar tu voyais la lueur amusé de ton ami dans ses yeux, te faisant rire doucement. " Je n'ai qu'à poster ma carte d'identité absolument partout. " Bonne et très mauvaise idée qui te faisait pourtant rire. Ta photo était digne d'un film d'horreur. Prenant alors place dans tout l'espace tu marchais simplement osant à peine frôler les objets. Il était plus facile de prendre ses marques en venant derrière l'objectif et observer la scène sur laquelle tu allais jouer. "Hm.. on a qu'à commencer avec mes vêtements... détendu. Et puis on verra pour que je me change en super star ? " Puisqu'ils t'appartenaient tu supposais que tes vêtements te donneront plus d'aisance. Un rire doux sous son geste et tu le regardais. " Ca va .. je suppose. Je ne suis pas familier avec tout ça mais .. j'imagine que c'est juste.. un moment à garder ? Parfait floute ma tête alors. "Une petite tape sur l'épaule pour la blague sortie. Une énième gorgée avalée et tu venais devant l'objectif le gobelet posé non loin. " Je te regarde ? " ta main venant discrètement accroché le bord de ton haut, comme un enfant. Tu avais toujours eu cette manie depuis l'école, quand on venait te faire passer au tableau, quand les gens te regardaient. Un sourire légèrement crispé et tu tentais simplement d'oublier les mauvais souvenirs. " Pour les bons souvenirs ! " Que tu clamais comme un cri d'encouragement. La détente venant doucement au fil des flashs, des sourires plus sincères, des rires ou des mimiques plus sérieuses. Tu t'y croyais presque trop. Bientôt tu serais prêt à accepter cette interview qu'on te bassinait depuis des années.



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|	shooting stars ; @Matthew Samuels

— Sourire en permanence collé au visage, à simplement  s'imaginer les journées presque millimétrées, ô Haru, sans doute était-il un peu trop organisé pour pouvoir en apprécier les moindres détails. Mais qu'importe ! à alors tenter d'en rendre les instants des plus agréables, quand il ne pouvait que l'accueillir dans ces lieux qui en étaient sans doute des plus inconnus pour celui bien plus doué de ses mains. "c'est vrai que si je n'avais pas été là...", phrase laissée en suspend, comme pour en arrêter le temps ! "t'aurais sans doute dû...t'inquiéter !", qu'il en venait à rire, celui aux doubles facettes, à ne plus que faire humour pour en détendre les épaules légèrement crispées : car il se demandait, si tout cela plairait au jeune homme. De découvrir son monde, à jouer dans ces lieux dans lesquels, lui, ne faisait que travailler. Drôle d'expérience sans doute, que de n'en découvrir là amusements les plus faciles ! à atteindre du bout des doigts.

"Je suis pas compliqué, alors ne t'en fais pas, c'est parfait.", qu'il ne pouvait que le rassurer, à profiter de ces chaleurs entre les doigts. A le laisser découvrir les environs, quand sans doute aimerait-il pouvoir tout regarder de son regard ! "C'est vrai ... profites en alors. si tu veux essayer des trucs, les appareils...les fringues...de toute manière personne ne verra rien. Et je ne dirais rien.", quand ici, ils pouvaient faire tous ce qui les amusait sans ne se poser de question. A juste profiter des lieux ! quitte à en faire n'importe quoi. "Ecoute...photo d'identité ou pas, elle sera toujours mieux que celles qu'on va prendre aujourd'hui ! Elle deviendra même ta photo préférée...ta photo d'identité.", qu'il continuait à rire, à juste profiter de l'atmosphère qui en semblait si chaleureuse. Alors de quelques pas, à le regarder se promener, il hocha la tête tout doucement, aimant bien l'idée développée sous ses mots plus qu'il ne l'aurait pensé. "On peut faire ça alors !" Rester simple, pour en rendre le tout bien plus agréable. "T'as bien raison...Par contre pourquoi flouter ta tête quand je suis sûr qu'elle va bien rendre derrière l'objectif. C'est juste que ton précédent photographe n'avait sans doute aucun talent !" , quand lui n'en maîtrisait aucunement les appareils.

à juste essayer d'en faire rayonner les visages,
à travers les objectifs si singuliers.

Se posant alors auprès de l'appareil, à tenter d'en cadrer le jeune homme, il le regarda un instant avant de rire légèrement. "Eventuellement ? Enfin après...tu peux très bien regarder ailleurs si ça te gêne.", à simplement faire en sorte que cela lui aille. Sous ses cris d'encouragement, à presque bien trop sourire sans doute. "Exactement ! Les bons souvenirs !", à bien le voir être légèrement crispé. "Dis toi que personne verra ces photos...Juste toi et ton porte feuille. Et sans doute qu'il sera même content d'en avoir une nouvelle." Et il essayait d'en plaisanter, le plus grand, pour juste en rassurer tout doucement les visages. Lui dire que dans tous les cas, il n'avait rien à craindre, de ces quelques photographies intempestives. Flash délivrés ! à en tirer plusieurs clichés. Impatience presque au bout des mains, quand il s'empressa de regarder sur les ordinateurs ce qu'ils avaient pu récupérés. Portraits aux éclairages mal réglés, quand pour l'essentiel y était capturé. "Viens voir ! J'aurai dû faire photographe finalement...", qu'il ria tout doucement, à lui en montrer l'écran. "je t'aurai bien fait faire une grimace mais....", qu'il s'amusait tout doucement, Haru, en se redressant. "Aller viens !", a à peine lui laisser le temps de réfléchir, activer le déclencheur automatique, quand il l'entraîna avec lui au devant de la caméra : pour en faire une simple photo à deux. Sans doute un peu ratée, mais toujours remplie : de ces joies enfantines.

|	shooting stars ; @Satou Haru

— A découvert, loin de ton confort quotidien tu apprenais des autres, plus précisément de cet ami nouveau, et pourtant avec qui tu partageais plus que d'accoutumer. Bêtises échangées tu riais de nouveau à sa réponse hochant alors une tête remplie d'inquiétudes tout comme d'excitation. "C'est vrai, ça aurait pas été très bon. " Pris pour un voleur, tu te serais fait éjecter avant même d'avoir réellement compris ton erreur. Tu n'aurais pas été là non plus, sans lui. A découvrir un monde de flash si éloigné du tien mais si intéressant.

Détaillant le matériel tu t'amusais, à n'y rien comprendre. C'était fascinant, de découvrir. Comme un enfant, l'inconnu en face les yeux pétillant dans une immersion qui n'était pas tienne tu prenais le temps. "Tant mieux alors je suis content de m'être permis alors. " De choisir pour l'autre, une façon de faire découvrir mais aussi de se tromper. Le choix était tien, le risque, pas vraiment grand, mais l'enjeu plus important. "Parfait alors je suis comme un voleur invisible. " Un homme venu profiter avant de s'envoler, c'était drôle. Mais une mission te rappelait, et si tu riais sous quelques blagues tu ne faisais pas le fier non plus, retenant ta respiration après le rire qui faisait écho aux paroles de ton ami. " Parfait faisons ça alors. " Une répétition pour te rassurer, être toi, tu savais l'être, peut être, sûrement. " Tu crois ? Alors je dois aller le gronder pour son travail ! " La notion d'engueuler quelqu'un et toi sur la même ligne ne faisait pas bon ménage, mais permettait de te détendre, doucement, les lèvres étirées.

Ton regard suivant chaque pas, chaque geste que faisait Hatu tu analysais. Comme toujours, comme depuis gamin, tu cherchais à comprendre. "Ah .. d'accord peu importe ok. " Une instruction, peut être un peu vague mais tu la suivais, regardant ton ami, puis le perdant de vue un instant, finalement tu préférais regarder chaque bouton pressé, c'était toi, le vrai toi. Celui qui observait plus qu'i ne parlait, celui qui cherchait à comprendre. " Yeah" tu avais pourtant lancé cette idée de bons souvenirs, mais tu étais moins convainquant, sûrement occupé à comprendre comment poser. " Il est difficile mon porte feuille faut remplir ses attentes ! " Personne ne les verrait, c'est vrai. L'important n'était pas comment tu sortais, mais comment tu étais derrière l'objectif. Des flash qui s'enchainaient et une posture qui changeait, il était toujours étonnant de voir à quel point l'humain s'adaptait, à quel point il était flexible. "J'arrive, je suis curieux. " Si tu étais moche alors se serait ton problème. Mais elles sortaient bien, te faisant alors sourire. " Oui très bon photographe.. on lui doit tout. " Le modèle n'était qu'un objet pour délivrer le talent n'est ce pas ? Une grimace ça t'allait. Alors que faisait il ? Curieux tu venais à ses côtés comprenant alors son idée. Un grand sourire aux lèvres tu posais bêtement comme un enfant avec son ami. "Encore ! ce n'est pas tous les jours qu'on pose avec un mannequin. " Tu voulais enchainer ces photos avec ton ami, ignorant sur ce que cela faisait. Tu souhaitais la montrer fièrement, la garder avec toi. " Ah .. je vais essayer une tenue ? " Pimenter, tu te prenais au jeu, cherchant à avancer tu disparaissais. Revenant avec des tissus qui ne t'appartenaient pas. " Tadaaaaa"



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|	shooting stars ; @Matthew Samuels

— C'est que les rires ne faisaient que s'emparer de lui, dans ces pièces qui en retrouvaient leurs âmes habituellement inexistantes. Car pour une fois, l'on pouvait y entendre là les rires ! y voir là de réels sourires, qui ne s'en faisaient pas éblouir par les caméras. Juste eux, amitiés si fragiles, quand il voulait en dévoiler là les vies si austères, si impétueuses, d'un gamin un peu trop mouvementé. Alors il en tentait les humours, entre tout cela. Il tentait d'en faire rire les passions, quand tout était si propices aux amusements, quand il n'y avait aucun obstacle, à leurs sourires dans les pièces si clair-obscur. "Heureusement que c'est pas le cas. T'imagines un peu ? J'aurais pas pu te prendre en photos.", que lui ne faisait que plaisanter, sans n'y voir aucun problème, aucune amertumes, pour en protéger les instants. Car tout cela n'était que trop précieux, que trop rapide, pour celui qui y voyait mal presque partout.

"Evidemment.", qu'il ne pouvait que sourire, à le regarder découvrir les lieux, en avoir le yeux brillant, quand lui n'y voyait là que matériel habituel. Rire qu'il laissait éclater, à hocher la tête bien trop vivement sans doute, à l'imaginer se faufiler partout pour en dénicher trésors qui en seraient bien mieux entre ses doigts. "effectivement...où es-tu...?", à faire semblant de le chercher, avant de n'en reprendre tout doucement ses sérieux malgré les joies sur son visage. "l'engueule pas trop non plus, le pauvre.", qu'il essayait de s'imaginer la douceur devant lui en prendre airs les plus mesquins, quand il n'y voyait lui que délicatesse dans chacun de ses gestes. Et peut-être aurait-été lui, le plus doué : pour en crier sur les autres. Quand lui le laissa se mettre à l'aise, à tenter de se glisser dans le rôle de photographe, quand il ne saurait qu'en faire exploser les flashs. Alors sourire offert, pour le détendre tout doucement. Ô il n'y avait rien de bien sérieux, aujourd'hui, juste deux enfants à jouer avec les appareils des plus grands. "Ca va aller ! c'est que moi en face.", à tenter d'en cadrer les meilleurs profils, pour lui en montrer nouvel angle de lui-même.

"Difficile ? Comment ça difficile...Quand il aura vu mon talent il fera beaucoup moins le malin.", qu'il ne faisait que l'embêter, à essayer de le faire rire. Car qu'importe les expressions, lui ne cherchait pas à le rendre inconfortable, face à l'objectif. Juste lui-même, juste comme il était habituellement. A le voir changer de poses, sous les doigts qui en enclenchaient les objectifs, à se dire qu'il n'avait pas besoin de lui dire quoi que ce soit, au risque de le rendre anxieux : jusqu'à ce qu'il ne vienne l'appeler pour lui en montrer ses tentatives désastreuses. "Tu trouves ? J'en ai même trouvée une avec un doigt devant...", qu'il rit de nouveau, à la lui montrer, quand il secoua la tête. "Non vraiment je pense que c'est toi qui fait tout le travail.", quand lui ne faisait qu'appuyer sur un bouton, à n'avoir aucun talent en photographie. Mais beaucoup trop sérieux, étaient ces essais, à finir par s'amuser et l'emmener avec lui devant les caméras, prendre pose ridicule, quand les yeux brillaient bien trop à s'amuser ainsi. "Encore ? Qui suis-je pour te refuser ça !", qu'il finissait par plisser des yeux, à le voir proposer de lui-même de nouvelles tenues quand il applaudit entre ses doigts en le voyant doté de nouveaux tissus. "Bah dis donc ! C'est que ça te va bien ! Je devrais aussi ?", à s'échapper à son tour, à venir prendre vêtements hasardeusement pour ne ressembler à rien. Car il n'en prendrait rien au sérieux, cette fois-ci. "Sûr que les photos seront sublimes...Je mets le déclencheurs j'arrive ! Et après ça on pourra les tirer, ça te dit ?", qu'il se mit à courir dans tous les sens, à essayer de l'activer pour plusieurs prises, quand il en revint à ses côtés, à rire et se positionner n'importe comment avec lui. Juste pour rire, à manquer de trébucher, à force de vouloir faire l'idiot, et finir par exploser de nouveau de rire.

|	shooting stars ; @Satou Haru

— On pouvait tout changer. L'âme même du lieu, si seulement on changeait les souvenirs. On disait souvent de revenir sur un lieu où on avait pleuré pour y rire. Tout ça pour effacer ce souvenir amer. Pour le remplacer. Ici tu voulais t'en construire remplis de rire, de joie. D'une amitié nouvelle qui rapportait la fraîcheur du nouveau, mais la chaleur de l'amitié. " C'est surtout que je me serais ridiculisé en place publique.. presque publique. " Dur de rentrer comme dans un moulin ici, pièces remplies de matériel bien couteux.

Un jeu pour l'un, une routine de travail pour l'autre, deux mondes qui s'opposaient pour se rencontrer aujourd'hui. C'était ça la beauté de la vie, de la joie de connaître des gens, de rencontrer, de partager, de chercher à être curieux. De faire l'homme invisible. Bon peut être moins ça. Il rentrait dans un jeu enfantin qui fit résonner ton rire. " Je vais lui dire ça " dis donc.. ma tête est pas très belle.. " " Oui c'était ta façon d'engueuler quelqu'un, peu convainquant? Tant mieux tu ne voulais pas impressionner. Peut être ne te sentais tu aucunement qualifié pour dicter à une personne comment faire un métier qui n'était pas le tien. Tout comme tu doutais devant un professionnel de ces photos juste pour le fun. Un amusement que tu oublia Sun peu face à la peur de cet objectif. Le reflet de soi pouvait être dur. "Oui... tu m'as déjà vu. " En ce moment même, tu pouvais te relaxer, oublier l'exercice.

Riant à ta propre bêtise la tête dodelinant pour une réponse positive tu cherchais de nouveau son regard, un peu caché derrière l'appareil. " Oh oh j'en suis sûr voyons. "Le pas guilleret tu te rapprochais, tu scrutais même l'écran avec un sourire, une petite gêne aux joues, le sentiment étrange de se voir mais l'envie de recommencer, grâce à un bon temps pris. " Ca arrive même aux meilleurs. " la main venant tapoter son dos, dans un rire léger et doux. " Ca veut dire que tu dis que je suis beau ? Je suis beau? " L'index pointé vers un visage surpris et demandeur. Tout comme sa précipitation pour figurer dans le même cadre que toi. Magnifique idée qui te plaisait bien plus que tu ne le disais, osant en re demander le sourire grand.
Un rebondissement, voilà de quoi vous aviez besoin. Une tenue serait donc parfaite. " Je vais aller travailler comme ça. " Nouveau style, pire que ton ancien, c'est ta secrétaire qui allait être contente, qui allait te rire au nez et plaindre ton petit ami. Ah. "Oui une tenue monsieur ! " S'accorder, se retrouver sur une couverture de magazine imaginaire aux goûts suspects. "Magnifique! Je ne pensais pas qu'on pouvait avoir autant de classe. " Le rire menaçant d'exploser contre des lèvres pincées. Une malice dans le regard, celui ci suivant chaque mouvement de ton ami avant de le voir courir. C'était plus drôle que tu ne le pensais, trouver des poses bien trop abracadabrantesques, rattraper ton ami de peur qu'il ne tombe, tirant alors une tête des plus étranges. "W o Wooo ne nous blessons pas. Ca te dit de rendre les vêtements et finir notre café? " Sûrement un peu froid. Mais toujours bon. Les tissus rendus tu retournais aux côtés de Haru "Alors comment on tire des photos? " Une gorgée prise, la curiosité te titillant.



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|	shooting stars ; @Matthew Samuels

— Et c'est que les sourires ne pouvaient que s'en installer sur les visages de celui qui en avait rejoint les compagnies. à sourire ! être presque ébloui ,, quand il en pensait que tout cela ne pouvait que faire ressortir les confiances bien trop ébranlées. il y croyait, Haru, que tout pouvait en animer les vies et les regards, de simples animations. "Mais non...sûr que ça aurait pu être pire, vraiment.", qu'il haussa la tête, bien trop enjoué sans doute de juste pouvoir s'amuser avec lui. car après tout, il n'y avait que les découvertes, qui pouvaient en faire s'illuminer les regards. à ne jamais réellement grandir au final, là, quand d'amitiés lui se faisait comme enfant impatient de s'en amuser toujours plus. mais les rires ne pouvaient se stopper ! à en imaginer alors scénarios improbables ,, à le regarder en prendre de faux airs d'autorités : qui n'en effraieraient sans doute que trop peu de personnes. "ouh tu fais peur. mais il va sans doute pas comprendre...t'es bien trop gentil pour ça on dirait.", et c'était remarquable ! de savoir en garder autant ses calmes.

paix entre les paroles ,,
sourires délicats :
à prôner le bien.

"sûr qu'il te prendrait au sérieux en tout cas !", qu'il s'en amusait, à juste vouloir l'encourager : à dire ce qu'il pensait. car parfois cela en libérait les esprits, allégeait les épaules; de pouvoir simplement énoncer son avis sans en avoir peur des retombées. ou peut-être n'était-ce que lui : qui en était bien top arrogant. "évidemment que je t'ai déjà vu. pour ça, détend toi, tout ira bien.", quand tout ne serait que jeu, après tout. et avec Haru, Matthew n'avait rien à craindre, sauf peut-être les humours un peu trop douteux. et il riait ! car à présent ,, de ces photos catastrophiques, lui y trouvait tout de même un certain charme à celui qui ne s'en doutait pas une seconde. à le laisser tout doucement se rapprocher, visage bien trop joyeux : lui en montrer là ces chefs d'œuvre crées à deux. il en guettait ses réactions, Haru, presque fier, de pouvoir lui faire découvrir ce monde un peu étrange. un peu de lui, en réalité.

"c'est vrai ... ça donne un certain charme !", main dans son dos qui lui ne assurait, à ne plus pouvoir s'empêcher de rire, quand il en hochait la tête pour lui en affirmer ses mots. "évidemment que t'es beau ! t'en doute ?", à lui adresser un regard suspicieux ! changer d'idée : pour jouer à présent ensemble sous les projecteurs. de ces tenues étranges ,, à pourtant faire sourire. "ça animerait tes journées j'en suis sûr ! tout le monde se retournerait sur ton passage !", à ne pas en douter une seconde : car après tout, ce n'était pas si horrible, de jouer un peu avec ces tissus. "on s'accorde bien je trouve. à mon avis, on ferait des ravages sur les magazines ! ", de ces poses qu'ils ne pouvaient que trouver amusantes ,, et sans doute en était-ce là toute la beauté de la chose. proposition faites , à alors acquiescer sans une once d'hésitation, Haru rangea rapidement ces vêtements qui ne leur était pas réellement destinés, pour venir empoigner son café et continuer à le savourer sans hésiter. à s'installer de nouveau, enregistrer les clichés, avant de réfléchir un peu. "très bonne question...je dois t'avouer que ça je ne saurai pas faire.", qu'il le regarda un instant. "peut-être qu'on devrait prendre une clef usb et aller chez quelqu'un de spécialisé ? ça nous ferait un souvenir. puis je connais un endroit je crois."

et à tout doucement récupérer les photos, il rangea avec soin le matériel , avant de se redresser vers son aîné. "ça te dit de m'accompagner ? je pourrais te les donner rapidement comme ça. puis comme ça j'arrête de te tourmenter en te mettant devant l'objectif.", qu'il en connaissait endroit, Haru, à juste espérer que Matthew s'était tout de même amusé ,, ici : à faire un peu n'importe quoi juste pour en entendre les rires si légers. à en détendre les épaules, même dans ces temps si joyeux.

|	shooting stars ; @Satou Haru

— Le core tremblant d'un sentiment nouveau, l'excitation de la nouveauté. Partager un moment qui n'appartenait qu'à vous dans une amitié tout aussi fraiche que la découverte. Parce que vous étiez deux, que pour chacun l'enjeu n'était que de l'amusement, laissant tout ce que vous connaissiez au placard. Rire, joyeux chant qui venait résonner dans le studio. Simulation qui ne menait rien tant le jeu d'acteur était décevant. Un air dur que tu ne savais pas prendre, que tu ne semblais pas vouloir prendre. Elever la voix sur les autres, une activité qui ne te plaisait aucunement préférant rigoler le nez retroussé. "Alors disons que je suis gentil et qu'on va garder des shooting où ma tête est moche, heureusement que je t'ai ! " Pour rattraper l'image, tenter de sauver les apparences.

L'esprit introvert, l'envie de se cacher, loin du genre à dire quand quelque chose n'allait pas, et pourtant. Haru semblait avoir raison, montrant alors ton plus grand défaut: encaisser sans répliquer. Ils partaient tous, un par un, sans savoir ce qui te déplaisait, dans un silence presque mortel. "OK ok... de toute façon ça peut as être pire que les photos d'identité. " Illusion, ou vraie logique raisonnable. Un encouragement fait pour toi même, la confiance donné à celui qui tenait l'appareil, qui t'invitait ici dans son monde. Après quelques flashs la curiosité contentée, tu riais simplement en voyant le résultat. Prisant presque la personne qu'il avait su refléter. Le doigt pointant des détails qui ramenait un rire sur vos lèvres.

" C'est fou quand même. " Loin des projecteurs, du premier plan, le monde que tu apercevais aujourd'hui était bien différent, mais pas forcément des plus désagréable. Renouer avec un amour propre, avec une attirance qu'on ne retrouvait que chez les autres, la confiance sur les lèvres, mais surtout la joie dans le coeur. Oubliant les compliments pour attirer tes grâces, ou les non dits qui auraient pu tout changer. " Bien sûr mais si tu le dis je te crois. " Partageant ce moment à deux, le torse bombé pour être à la hauteur d'un mannequin professionnel, mais surtout riant de vos bêtises partagées. Des clichés qui n'avaient pas besoin d'être parfaits, se suffisant à être authentiques. " Pour sûr as tu vu cette bombe? " Ravage qui n'attendait que toi, la main dans les cheveux dans une pose dramatique. Rapidement suivi par ton acolyte, les vêtements du même style, venant tout droit d'un défilé que tu ne comprenais pas. Aisance des poses les plus étranges, le sérieux laisser au placard. Job terminé, et parfaitement fait. " Ah bon? Attends faut une chambre noire avec des lumières rouges, des liquides et tu plonges .. bruh bruh " Imitant avec précision les gestes inconnus tu te remis à rire en finissant ton café. " Mieux, très bonne idée faisons ça ! Je veux garder des photos ! " Excitation toute nouvelle, impliqué dans le processus du début à la fin.

Aidant dans un mimétisme presque étonnant tu te tournais vers lui, la surprise dans les yeux. " Je compatis pas te laisser y aller seul. Et puis je me suis bien amusé, finalement j'aime bien. Je pense accepter une interview.." Esprit dégagé des craintes, tu pouvais enfin avancer. " J'ai ma voiture on prend la mienne? " Tout ranger, comme si rien ne s'était passé, la clé USB et vous même seuls témoins d'un moment de complicité. " Elle est là bas. " Pointais tu dans un sourire, jetant alors vos gobelets vides pour monter ensuite. " Merci.. je ne pensais vraiment pas apprécier ça et même si c'est différent quand on le fait pour le travail.. je pense m'être décomplexé d'être devant un objectif. " Le sourire doux, tu l'invitais à rentrer la précieuse adresse sur le GPS.



" "

|	shooting stars ; @Matthew Samuels

— et les sourires fleurissaient sur le visage, quand de ces quelques mimiques il y voyait là aventure à faire à deux. c'est que de ces innovations, il espérait lui en faire passer une journée un peu particulière : différente des autres, agréable, à en découvrir de nouveau horizons quand parfois le quotidien pouvait en être des plus redondant. rire ! pour animer les journées, quand les activités n'en étaient pourtant pas habituelles pour le plus vieux. "Quelle chance effectivement !", qu'il ne pourrait que s'extasier encore et encore, faire comme si les méchancetés en étaient imprégnées sur son visage quand il n'en semblait que délicatesse de ses joies sur son visage. car Matthew n'en était pas réellement féroce, à le regarder : à en être encore moins effrayant, quand lui n'y voyait que douceur dans chacune de ses paroles.

et l'on disait que les photographies étaient censées en capturer l'âme des personnes. refléter ce qu'elles étaient, les afficher aux yeux du monde. et les photos de Matthew en étaient particulièrement pures quand lui avait appris à mentir même devant les objectifs. faire en sorte de montrer ce que l'on voulait ,, pour vendre, pour attirer : sans que tout cela ne soit réel. mentir sur lui et personne ne le connaissait vraiment, à pourtant s'afficher là à son plus grand naturel, jouer des mots et des rires pour tenter d'en devenir lui-même, quand de ces quelques photographies il voulait en créer sourire toujours plus ancrés sur les visages. 'Fou mais c'est toi.', qu'il ria tout doucement, à le regarder comme pour tenter de le comparer aux photos.
à voir lui même
que tout était :
identique.
"Je le dis ! puis évidemment que je la vois, comment la rater ?", à rire de plein cœur quand les humours en seraient presque sacrés. aimer toutes les couleurs qu'on pouvait lui offrir, à toutes les chérir quand il en voulait partager aux autres ces visions bien trop égayées. à le suivre dans tous ses mouvements quand de couleurs et vêtements ils en posèrent comme enfants : à ne faire que s'amuser ! jusqu'à ce que les plaisirs ne prennent fin pour tenter d'en obtenir les souvenirs de cette journée. "Et bien on peut dire ça comme ça...mais tu sais y'a plus moderne ? tu sais, sur du papier glacé...fait par un pro...on a pas ça ici je crois.", à en observer chacun de ses gestes quand pourtant tout aurait pu en avoir du charme de faire cela à l'ancienne. "Et moi donc !", qu'il viendrait les accrocher sur l'un de ses murs : à se souvenir de ces temps si fragiles.

jusqu'à :
en sentir s'épanouir ,,
les fiertés.

"Une interview rien que ça ? mais je suis content si tu t'es amusé, c'était le but après tout.", à être heureux de ne pas en avoir rendu tout cela détestable. "Je te suis ! Hâte de voir comment tu conduis.", qu'il le suivait, en observait les véhicules quand les sourires ne pouvaient que s'installer sur son visage. Fier en un sens ! d'avoir réussi à lui transmettre là façon de pouvoir se regarder un peu différemment. "Je suis content alors, si ça a pu aider un peu. Après tout, y'a qu'à regarder les photos.", qu'il s'installa, venant entrer l'adresse dans le GPS du jeune homme pour le laisser conduire tranquillement. sourire ! à tout ce qui viendrait s'afficher à eux. venir tout doucement lui en indiquer le magasin, quand il ne l'obligea pas à venir avec lui pour de simples minutes. courir : faire l'aller retour, à juste en vouloir là papiers imprimés pour les lui offrir. "Me revoilà ! j'ai pas été trop long ? tiens regarde !", main tendue pour lui en offrir la série de photo, il n'hésita pas à en mettre une dans son porte feuille : pour garder à l'intérieur tout ce qui lui était précieux, Haru.
dont les amitiés ,,
inestimables.