[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]“Si j'avais su...” &Habillé simplement, c'est-à-dire, un simple jean, des bottines et pour finir le tout accompagné d'une chemise blanche avec une veste de costume. J'avais pour une fois, un peu de barbe de poussée et non pas, rasé de prés. Les cheveux toujours bien coiffé, ça, ça ne changera pas ! Même si j'espérais au moins une chose ! Que tu ne sois pas là, cauchemar de mon enfance bordel ! Bref, si je pars de chez moi de mauvaise humeur, je le serais en arrivant tout simplement chez les Gallagher. D'ailleurs, dis ainsi, ça me fait penser à la série. Et pourtant, les deux familles sont toutes les deux différentes. Oh d'ailleurs, je crois que j'ai ressenti plus d'attache de la part des deux parents que par le biais de mon beau-père. Même si la grande asperge me voit plus comme une cible à briser.
Passant une main dans ses cheveux pour donner un peu de mouvement, pour donner un effet naturel quoique tout soit carré. Je remplis les gamelles de Millicent, ma chatte rousse tigrée et partis alors en enfilant mon long manteau noir. Beaucoup dans mon immeuble, savent clairement que je suis militaire, mais ce que j'aime, c'est que personne ne me fuit, je suis ami avec la plupart des gens présents alors c'est clairement parfait, rester naturel !
○
C'est après une heure que j'arrive alors à la demeure des Gallagher, je savais que mon non-géniteur serait présent avec ma belle-mère et sûrement un de mes frères. J'avais accepté de venir, pour faire plaisir, mais pas pour le reste. Comme toujours, je sais ce qui va se passer, supporter ce russe pur souche à souhait qui va me rabaisser sans cesse alors que moi, je vais devoir encore le reclaquer et lui prouver que je suis doué dans ce que je fais et qu'un jour, il allait vite le comprendre ! Arrivant, venant alors toquer tout simplement, je remarque alors rapidement que je suis en avance.
« - Madame Gallagher, comment allez-vous ? » Si je me souviens bien, cela fait un bon moment que je ne suis pas venu et à en voir son expression, elle est bien contente de me voir et surprise de ma taille, même si je ne suis pas aussi grand que son fils je pense. Petit, il me dépassait déjà d'une tête, alors que l'on a le même âge !
« - Oh mon grand, ça faisait longtemps. Je vais bien, vas-y fait comme chez toi ! »
Elle recula pour me laisser passer et fermer la porte derrière moi. Elle partit alors ailleurs, sans me prévenir si son fils était là soit non, mais à en entendre le bruit, soit c'est mons... Ah non, il est dans la salle à manger. Hé merde... Je soupire, je jure rarement de base, mais là, j'étais obligé en sachant qui étais présent. Je soupire encore une fois et par dans la cuisine pour alors tout simplement mettre la bouteille de vin sur le plan de travail et soupirai, retirant doucement mon manteau que je vins mettre dans le couloir et malheureusement, en me retournant, je tombe nez à nez avec le grand Asgeir et quand je dis grand, c'est en taille, bon, je ne suis pas un nain non plus, il y a que quelques centimètres en plus, mais voilà.
Je le fixe alors simplement, avant de partir vers la cuisine avec paquet de clopes sortit de ma poche. Allant vers la baie vitrée du jardin.
« Non, mais tu peux me dire qui reçoit aussi tôt? Le soleil est à peine levé! » Gémis-je d’une voix rauque, le visage collé contre l’oreiller du lit de ma petite sœur alors qu’elle chantonnait joyeusement des paroles sans sens tout en fouillant dans la tonne de vêtement que j’avais ramené de Madrid. J’avais vraiment envie de dormir tout comme j’avais envie d’un bourbon et d’une tonne de réglisse. L’éclat de rire cristallin de ma petite sœur me fit gémir encore plus pathétiquement alors que chaque crescendo de son esclaffement me vrillait le crâne comme un marteau piqueur. Parce qu’elle faisait exprès en plus, la garce! Me redressant lentement, les cheveux en pétard et mon peignoir grand ouvert sur mon corps à moitié nu, j’ai porté ma main à mon crâne tout en regardant les vêtements qu’elle avait sélectionné pour moi ainsi que la robe qu’elle porterait pour l’occasion. Mais pourquoi tant de vêtements? « Non, mais c’est la reine d’Angleterre qu’on reçoit où les Ramfrow? » Maugréais-je en enfilant ma chemise bleue ciel et mon pantalon noir. « Elle est jolie cette robe, tu convoite une place chez les Ramfrow? L’aîné c’est ça? » Demandais-je en tentant de lutter contre le sommeil alors que je boutonnais ma chemise un peu n’importe comment. Même habillé de la pire des façons, je sublimais tout ce que je touchais et je côtoyais, alors on se moquait bien de mon était. " Non, c’est Tarlis…il est si mignon " Affirma ma petite sœur en brossant ses longs cheveux en me jetant un regard espiègle. Un léger sursaut me fit tourner rapidement vers elle alors que je tentais de juger si elle était sérieuse ou non. Au même instant, on entendit toquer à la porte. « Je…je vais descendre…et pour Tardis, à ta place je mettrais une soutane vu comment il est coincé » Dis-je un peu plus dur avant de quitter la chambre sans prendre le temps de me coiffer.
Installé dans la salle à manger, un sac de réglisse à la main, je sirotais mon verre alors que la voix de Poil de Carotte résonna dans toute la maison. Instantanément, mon mal de tête se volatilisa alors qu’il entrait pour dans la même pièce que moi. « Ah Tardis, toujours en avance! Tu es tellement prévisible » L’accueillis-je en me levant pour qu’il puisse avoir la chance de m’observer dans toute ma splendeur. En fait, j’étais même jaloux de lui puisque même un reflet de miroir ne pouvait projeter avec exactitude ma magnificence. Pourtant, plutôt que d’en profiter, cet idiot décida de passer devant moi en m’ignorant complètement. Non, mais pour qui se prenait-il, celui-là? Je suis Asgeir Gallagher! Incapable de le laisser me manquer autant de respect, j’ai déposé mon verre sur la table et je l’ai suivi jusqu’à l’immense baie vitrée où il semblait obnubilé par la vue. Il avait bien vieilli ce mec, mine de rien! « Tardis, tu es tellement…toi, ça en ai démoralisant » Dis-je en mordant dans une réglisse tout en passant ma main dans ses stupide cheveux beaucoup trop doux et roux pour ma santé mentale. Les secouants dans tous les sens, je l’ai forcé à me faire face alors qu’un sourire satisfait se dessina sur mon visage. « Oh mon Dieu, tu es encore plus roux quand t’es décoiffé! » Dis-je en m’esclaffant, incapable de rester sérieux face à son air de chiot perdu. Cette satanée gueule qu’il a depuis son enfance… « On dirais que tu viens de sauvagement te faire culbuter avec cette gueule, s’en ai presque effrayant… » Fis-je remarquer en posant ma main sur son torse pour tester la qualité de la chemise. Ce n’était pas du Chanel, de toute évidence.
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Si j'avais su...→ Ft Asgeir.
Sam 29 Fév - 21:15
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]“Si j'avais su...” &Blaser, envie de cogner, d'insulter aussi, de pointer une putain d'arme sur lui, me démange clairement ! Dans tous les cas, même si je ne t'avais pas ignoré, tu m'aurais fait ça ! Et clairement, je serais tout autant saoulé qu'actuellement. Je t'ignore encore quand tu parles, mais en te sentant alors commencé à me décoiffer, tout en me forçant à te faire face, dos alors à la baie vitrée, ayant sûrement une veine voulant exploser sous la colère qui montait un peu, pour te péter au visage ! Visage de chiot mais aussi de tigre, étant donné que j'avais surtout envie de te tuer.
« - Ne me touche pas Gallagher. Je n'ai pas envie que ta main laisse des traces sur cette chemise. » Disais-je en virant alors ta main en même temps, avant de faire demi-tour de nouveau, ouvrant doucement la baie vitrée, reprenant alors mon ignorance envers toi et doucement, je vins allumer ma cigarette quand celle-ci fut entre mes lèvres, tapotant un peu du pied, je te sentais m'observer et sûrement que tu allais revenir à la charge, alors je me change les idées en fumant ma cigarette, par grande latte, avant d'en sortir une seconde une fois le premier mégot de fait dans le cendrier. Allumant, enfin essayant de l'allumer, briquet mort. Je soupire longuement, avant de tout simplement ranger le tout alors dans mes poches. Respirant l'air frais des lieux. Puis je fis volte-face.
« - Tu parles de moi et ma tête, Asgeir, mais tu as l'air de t'être fait défoncer par un bus étant donné l'état de ton visage. Le décalage horaire ne te réussit pas on dirait. »
Je souris de manière froide, mais je perdis vite mon sourire quand je vis ton père arriver avec les miens pour te saluer, mon père est grand, 1m90, il n'est pas roux mais brun, pas comme mes frères qui sont justement bruns. Je suis la tâche, le vilain petit canard, le virus des Ramfrow dans le fond. Mais de manière polie, je saluai mon père en restant où je suis, et lui non loin.
« - Franchement Tarlis, tu aurais pu venir me saluer il y a une semaine quand tu es rentré de l'armée, même Asgeir est plus poli. » Je ne dis rien, mordant ma lèvre, je ne suis pas venu, car je ne voulais pas le voir et aussi tout simplement, j'avais eu du travail, alors je ausse simplement les épaules.
« - J'avais du travail. Des choses à régler. Tu n'es pas le centre du monde. »
Ah mon père, je le vis tirer la tronche, avant de repartir avec ton paternel. Je soupire alors, avant de passer une main dans mes cheveux pour les remettre en ordre.
« - Tu comptes reprendre la suite de mon père et m'emmerder encore . »
Ah Tarlis Ramfrow, un vrai mystère ce mec! N’importe qui tuerait père et mère pour être à sa place à cet instant et lui, il tirait la gueule comme si on venait de lui enfoncer un citron de force dans sa gorge…oh putain, pourquoi est-ce que je venais de penser à quelque chose qui s’enfonce dans sa gorge, à celui-là? L’esprit échauffé par cette dernière parabole beaucoup trop imaginé pour ma chasteté récente, je caresse la main qui a touché sa chemise sans le quitter du regard, me demandant s’il était vraiment sérieux sur ce coup. Ah oui, de toute évidence puisqu’il en profite de nouveau pour fuir, mais cette fois-ci à l’extérieur. Non, mais il pense vraiment que je vais crapahuter sur tous le domaine pour me moquer de sa gueule, celui-là? Qu’il se compte chanceux que je connaisse son prénom déjà, vu le peu d’amabilité dont il faisait preuve! D’un certain point de vu, je pouvais comprendre que certaine personne trouve sa sauvagerie mignonne puisque tout le monde appréciait les bêtes, mais comme toujours lorsque nous étions l’un avec l’autre, il avait surtout tendance à m’exaspéré. Lorsqu’on était aussi roux que Tardis, on devait apprendre à être un minimum intéressant afin de captiver un les gens par autre chose que l’aveuglement créer par ses poils, mais de toute évidence, il l’ignorait. « Asgeir mon ange, ta bonne âme et ta volonté d’aider tout le monde te perdra un jour » Soupirais-je, incapable de le laisser rester aussi pitoyable. Ce fut pour cette raison que je l’ai suivi à l’extérieure, pour l’aider à devenir un être bien meilleur. Pourquoi faire quelque chose d’aussi altruiste? Aucune idée, surtout en sachant que ce mec était capable de trouver mon aide insultante, pour je ne sais quelle raison!
Il fume. Déjà, il ne part pas gagnant. « Tu tiens vraiment à ce que tes dents prennent la même couleur que tes cheveux, Poil de Carotte? » Demandais-je en désignant du bout des doigts sa cigarette. Je détestais les hommes qui fumaient. Les femmes qui fumaient aussi, d’ailleurs. Non seulement ça rend les manucures complètement obsolètes, mais en plus, il n’y a rien de sexy à l’idée d’embrasser langoureusement un cendrier. Comme s’il avait deviné, le caporal…lieutenant…capitaine….enfin, le machin militaire se tourna vers moi pour me siffler dessus, se moquant de ma gueule de décalage horaire. Quoi? Il pensait vraiment que son opinion sur mon aspect physique comptait réellement pour moi? « Premièrement, sache que je ne me suis fait défoncer par rien depuis un bon moment, c’est toujours moi qui domine, Tardis » Dis-je d’une voix suave avec un léger flirt en me rapprochant de lui de ma démarche désinvolte et parfaite. « Ensuite pour ma gueule, je crois que tu dois être le seul à y trouver quelque chose à critiquer vu que pour le reste de cette terre, elle est parfaite » Rajoutais-je en haussant les épaules pour lui faire comprendre que sa remarque n’avait pas atteint la blanche colombe que j’étais. Non pas du tout…je n’avais pas ressenti un petit pincement au cœur face à sa critique…je n’avais pas envie de me ruer à la salle de bain pour voir si j’étais dans un état aussi pitoyable qu’il le décrivait…pas du tout…du tout…
Sauf que le sourire mécontent de cette citrouille filiforme s’évapora presque aussi vite. De toute évidence, il avait un nouveau problème à gérer vu la voix que j’entendis, derrière moi. Ah oui, j’oubliais toujours l’étrange relation qui unissait le père et le fils Ramfrow. « Comment ça, même Asgeir est plus poli? » Demandais-je en clignant des yeux. J’étais une véritable diva, quand est-ce que ce mec avait imaginé que j’étais poli? Sauf que bien évidemment, père et fils étaient beaucoup trop obnubilés par leur petit monde compétitif pour me prêter le minimum d’attention. Vous imaginez, ils m’ignoraient moi! Sauf qu’avant même que je puisse leur faire remarquer que j’étais là, le père tourna des talons et le fils m’agressa verbalement. « On se calme Ramfrow. Si je ne m’abuse, c’est toi qui m’agresse depuis le début et non l’inverse. Ça va? Tu vas bien? Je sais que ton père a souvent tendance à te retourner la tête, lorsque vous vous voyez » Dis-je en déposant ma main contre son épaule, l’observant avec une légère inquiétude. Bha quoi, il m’arrivait parfois d’être sincère…rarement, mais ça arrivait.
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Si j'avais su...→ Ft Asgeir.
Dim 1 Mar - 16:01
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]“Si j'avais su...” &Fumer ne regarder que moi et encore, je fumais pu, rarement, seulement en cas de stresse, c'est pour ça que je n'avais que 2 ou 3 cigarettes dans une boite, mais je fumais rarement, car je stresse rarement, mais tu me faisais stresser, mon père qui venait d'intervenir me faisait stresser à un point que j'en avais serré les poings et donc entré les ongles dans mes paumes de main. La colère, la haine de mon père me rappeler sans cesse que j'étais la honte, le bâtard de la famille, le fruit d'un adultère répugnant d'aprés lui. Depuis petit, je supportais ça, puis encore, je devais supporter toi, et si je dois avouer un truc, te supporter toi, était mieux que supporter le chef de la famille. J'avais les yeux brillant, la colère actuelle était tellement forte que tout simplement, je voulais pleurer, j'avais les épaules tendus, les lèvres serrés, c'est vrai, je t'agresse depuis tout à l'heure, mais c'est tellement que je suis sur mes gardes ça, que je me méfie de tes magouilles et de mon père.
Mais la question me fit prendre une bouffé d'air, si je vais bien ? Je ne sais pas, je me demande ce que je fais là et bizarrement, ta compagnie et sentir ta main, me calmer un peu, je ne sais pas si tu t'inquiètes vraiment pour ma tête de mélange chelou des origines ou si tu comptais te moquer encore, mais je finis par lâcher un sourire, petit, simplement, mais il était là, puis je passa ma main sur mon visage.
« - Ce n'est pas mon père, ça ne le sera jamais, je porte juste son nom, mon père est un inconnu avec qui ma mère a couché. »
Je venais de dire un truc, que je ne disais jamais, mais tes parents étaient sûrement au courant, le patriarche avait toujours tendance à dire la vérité : Tarlis est le fils bâtard de mon ancienne femme, qu'elle m'a laissé comme si c'était un vulgaire chien. La douceur, je ne connais pas, je ne connais que violence, même durant mon travail, je ne connaissais que ça. Je soupire doucement, avant de passer une main, lentement sur mes yeux, frottant rapidement ceux-ci. J'en voulais à ma mère, à mon vrai père et ce con de beau-père communiste présent dans la demeure des Gallagher.
« - Je suis désolé de t'avoir agressé depuis mon arrivé Asgeir. »
Enfin des excuses sincères de ma part, une chose rare envers ceux que je n'apprécie pas des masses, mais une chose sûr, je ne voulais pas rentrer dans la maison, je ne voulais pas le voir, je fixais la baie vitré comme si je pouvais la refermé avec la force, ou bien comme si un monstre aller en sortir. Je suis encore tendu, encore stressé, mais j'essaye de me calmer, puis je pose mon regard sur toi.
« - Et mes dents ne vont pas devenir aussi orange que mes cheveux, je ne suis pas un fumeur pro, juste très occasionnel. » Et je souris, je ne répondais pas de manière méchante, mais d'une manière normal, plus sympa, même si c'est rare avec toi. Mais si j'avais su pour mon père..je ne serais pas venu.
Je n’aimais pas vraiment me mêler des histoires des autres, même si on pouvait croire le contraire vu ma propension à toujours être là au mauvais moment. La superbe conversation entre le père et le fils m’avait légèrement laissé sur le cul alors que je me taisais, pour l’une des premières fois de ma vie. Quand on était petit, j’avais bien remarqué la différence dans l’attitude et les vêtements que portait Tarlis comparé à ses aînés, mais j’avais toujours mis ça sur sa volonté d’être différent du reste du monde entier. Sauf que de toute évidence, ce n’était pas tout à fait ça. Vu la haine qui brûlait dans leur regard si différents, quelque chose de plus profond entachait leur relation, chose incompréhensible pour moi qui était idolâtré et adulé de mes deux parents. D’ailleurs, il ne fallut pas bien longtemps avant que monsieur Ramfrow décide de nous quitter pour rejoindre mes géniteurs, à quelque part non loin du bar. Ah l’alcool, c’était toujours le meilleur moyen de noyer les soucis, qu’ils soient justifiés ou non!
Sauf que mon roux d’invité ne semblait pas au mieux de sa forme. En fait, il semblait énervé et ma main posée sur son épaule ne semblait pas l’aider. Il fallait dire qu’il n’avait jamais caché la haine qu’il me portait alors que moi je tentais depuis tout petit de le comprendre du mieux possible. Initialement, j’avais voulu être ami avec, mais il n’avait pas fallu longtemps pour qu’il me montre qu’il se considérait meilleur que moi. L’esprit de compétition avait pris le dessus et ma fascination s’était transformer en soif de vengeance. Pourquoi? Parce qu’en me haïssant…au moins, j’existais pour lui. Sauf qu’en lui demandant sincèrement si ça allait, je contrevenais à l’une de mes propres règles; je jamais lui montrer de l’intérêt autre que le dédain que je feignais lui porter. Pourquoi me répondit-il avec autant de franchise? Aucune idée. « Franchement mon vieux, je pense que tout le quartier le sait. Personne n’est aussi roux que toi dans ta famille, mais…ça ne change pas comment je te vois, ça » Dis-je avant de lui relâcher l’épaules.
Il ne manquerait plus qu’il remarque que je le touchais pour qu’il commence à redevenir véhément et violent. Je crois qu’en vingt ans, c’était la conversation la plus cordiale que nous avions ensemble et…ça faisait du bien, même si je ne l’avouerais certainement jamais à voix haute. Sauf que ses excuses me laissèrent encore plus paralysé que sa précédente révélation. Quoi? Tarlis…Tarlis s’excusait vraiment pour sa brusquerie à mon égard. « Heu…tu sais que c’est à moi que tu parles, n’est-ce pas? Que c’est à moi que tu t’excuse? » Demandais-je en clignant des yeux, incertain. De toute évidence, j’étais encore soul de tous ces verres que j’avais ingurgités hier, dans l’avion, parce que jamais au grand jamais Tarlis Ramfrow se serait excusé à moi normalement. À voir comment il fixait la maison de mes parents, jamais il n’y retournerait tant que son père…son beau-père y serait.
« Allez vient suit moi, Poil de carotte » Dis-je avec douceur en lui prenant la main avec une tendresse qui m’était peu habituelle pour le conduire vers le plus grand arbre de la cour. Tout en haut de ses branches, une immense cabane y trônait encore. « Tu as un sourire merveilleux, il serait dommage de l’abimer avec ces merdes » Dis-je en me tournant vers lui, en souriant. « Vient, tu vas voir, le monde semble plus petit et beaucoup moins effrayant de vu de là-haut » Dis-je en montant l’échelle en premier. « À moins que tu ais peur de te retrouver seul à seul avec moi » Le défiais-je en riant, retrouvant mon cœur d’enfant alors que je continuais ma progression vers mon endroit préféré dans le monde entier.
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Si j'avais su...→ Ft Asgeir.
Dim 1 Mar - 17:43
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]“Si j'avais su...” &Je le fixe, puis je souris d'amusement doucement, oui je m'adressais à toi et pas aux lilliputiens inexistants dans le jardin. Je passe alors une main sur mon visage avant de tapoter doucement ton épaules en souriant de toute mes dents, me moquant clairement de toi.
« - Je sais que je m'excuse envers toi, tu vas t'en remettre mon cher, je serais toi, je le noterai sur un calendrier. »
J'avais vraiment la manie d'un militaire, droit, le visage levé, les mains toujours derrière moi ou bien le long de mon corps, je te te regardais attentivement, dans les yeux. Dans le fond, depuis petit j'étais jaloux, de toi, de ta liberté, du fait que tu as des parents aimant, des parents qui ne te rejette pas, ta mère qui ne t'abandonne pas. Mon beau père devrait être fier, comme mes aînés dans la fratrie le son un minimum pour moi, mais non, pour lui, que je sois capitaine, général ou amiral dans les avenirs proches, je serais toujours la saloperie, le virus, le microbe de la famille ! Oh j'avais aussi chercher à prouver que j'étais meilleurs que toi, mais on dirait, que je suis meilleur uniquement pour sniper les gens avec l'aide de mes longs doigts et des gâchettes, et le piano, oublie pas le piano petit roux, c'est ta passion ce machin, passion caché malgré le piano de ton appartement qui trônait dans une pièce loin du salon.
Bon par contre, je ne m'attendais pas à ce que tu prennes ma main, borde, j'ose même pas serrer mes doigts autour de ta main, en même temps, j'ai des choses inavoués que je ne veux même pas m'avouer non plus dans mes pensés, je suis légèrement gêné, mais je le suis. Même si je sens des magouilles bizarres. « - Ok..heu je te suis. ». Je m'attend à tout, on ne sait jamais avec toi, gamin, tu me faisais des sales coups, je me souviens encore de l'encre dans mes cheveux, ils sont restés bleu une semaine et c'était clairement horrible ! Moi qui aime mes cheveux depuis gamin et qui en prend soin, tout le temps.
Putain de merde, je venais de me prendre ce compliment d'un coup en pleine face, pourquoi ? Pourquoi tu avais dis ça !? Je me sentais assez perturbé maintenant, recevoir un compliment de la part d'un gars qui est un ennemi de base, ça fait clairement bizarre et c'est assez déstabilisant, du moins pour moi. Je ravale alors ma salive alors que je le vois monter, cette cabane. Cabane que j'enviais depuis ma chambre quand j'étais gosse, et j'allais y mettre les pieds alors que j'avais 36 ans, je ne suis plus un enfant et pourtant, je veux y aller et voir le monde de là-haut.
Je soupira longuement.
« - Pff, je n'ai pas peur de me retrouver seul avec toi l'Asperge. »
Non, je n'ai pas peur, enfin..je ne sais surtout pas ce qu'il allait se passer une fois que l'on sera tout les deux là-dedans. Arrivant alors en haut, je me hisse doucement sans difficulté, je suis peut être chétif, plus fin que toi, j'avais des ressources et de la force avec endurance aussi. Debout, je vins doucement sur les coussins présent qui sentait la lessive, sûrement étaient-ils encore lavés par ta mère même si tu n'étais pas là. Puis, je regarda alors dehors, légèrement dos à toi, souriant un peu. Puis je repose mon regard sur toi.
« - C'est en effet un monde moins effrayant vu de là-haut. »
Il était tellement rare que Tardis et moi parlions aussi calmement et sans nous insulté qu’il était plus que normal que je me sente aussi déstabilisé par sa bonne humeur. Normalement, il tirait toujours la gueule et mordait au quart de tour à mon approche, pourquoi riait-il avec autant de joie, en ce moment? Il se permit même de me tapoter l’épaule avec jeu, comme si on était de vieux amis. Nous n’étions même pas ami à la base, il s’était toujours considéré beaucoup trop bien pour moi et ce, même lorsqu’on était gamin. Ce n’était pas faute d’avoir tenté d’attirer son attention, mais il ne me voyait pas…alors j’avais décidé de faire de sa vie un enfer. Au moins là, il me voyait, même s’il me détestait de toute son âme. « Je suis heureux de voir qu’au moins, tu penses que je sais écrire » Dis-je avec mauvaise foi pour tenter de cacher mon hébétude créé par son sourire et son rire.
Son rire était sans doute l’un des plus beaux que j’avais entendus jusqu’à maintenant, et des rires, j’en avais entendu des tonnes. Il avait un rire chaleureux qui semblait venir tout droit du cœur, un rire dont on pouvait facilement tomber amoureux, sans aucun doute. Malheureusement pour lui et moi, tomber amoureux n’était pas mon genre…et pour lui, être amoureux d’un homme ne devait certainement pas l’être non plus. Après tout, les militaires homosexuels étaient rares et cet homme beaucoup trop droit et carré pour son propre bien détestait sortir de l’ordinaire…alors lui demander de s’intéresser à moi devait lui être impossible. Yeux dans les yeux, c’était l’une des rares fois que l’on pouvait se parler sans se mordre ou s’entredéchirer. Est-ce que je connaissais la vie qu’il avait eue lorsqu’on était voisin? Non, mais je m’étais toujours douté que ce n’était pas la joie, vu la différence dans les vêtements entre ses frères et lui et il fallait être foutrement aveugle et sourd pour ne pas remarquer la haine plus qu’évidente de Ramfrow père avec son plus jeune fils. Maintenant que le militaire m’avait révélé ses origines douteuses, je comprenais la distance qui séparait le père et le fils.
Lui proposer de monter dans ma vieille cabane au sommet des arbres aurait pu sembler être une hérésie vu notre âge, mais il comprendrait sans doute pourquoi je l’y invitais. Premier dans tout, tout le temps, je ne l’ai pas laissé me dépasser et ce fut tout naturellement que j’ai commencé à monter l’échelle. « Oh allez Ramfrow, je ne compte pas te croquer arrête de t’inquiéter! » Le narguais-je en lui faisant un clin d’œil charmeur. « Ou bien si, mais seulement si tu me le demande » Rajoutais-je en le détaillant un peu du regard. Même lorsqu’on était gamin, ce mec me plaisait, mais le fait qu’il se considère mieux que moi m’avait toujours déplus. C’était moi le prince de ce monde, pas lui! De toute évidence, il a de la difficulté à accepter le fait que je puisse lui faire un compliment sur son sourire, mais quoi, je ne savais pas mentir! Il avait un sourire complètement hypnotisant, je n’allais pas lui dire le contraire!
Monter dans cette échelle et cessé de le regardé fut un véritable travail d’Hercule, surtout lorsqu’il soupira qu’il n’avait pas peur de se retrouver seul à seul avec moi. Le stupide surnom qu’il me donna me fit serrer la mâchoire. Non, décidément…je n’aimais pas ce surnom. Une asperge n’avait rien de sexy, même pour un légume. « Fait attention Tardis, je vais presque croire que tu me drague » Sifflais-je en roulant les yeux vers le ciel avant de me hisser à l’intérieur de l’immense cabane en bois. Malgré toutes ces années, ce bâtiment restait toujours aussi beau. Le toit de cette cabane assez haut pour y tenir debout sans se cogner la tête, je le regarde s’installer sur un immense coussin et regarder dehors en me tournant le dos. Quelques instants plus tard, il se retourne de nouveau vers moi pour confirmer ma réplique sur le monde qui semblait beaucoup moins effrayant d’ici. « Cette cabane est mon endroit préféré dans le monde entier » Dis-je en m’installant sur le coussin à côté de lui tout en me rapprochant de sa personne. « Ici, je savais que je serais toujours en sécurité…peu importe ce qui se passait » Révélais-je en souriant en coin.
« En plus, si tu regardes par-là…on peut voir ton ancienne chambre » Dis-je en me rapprochant de lui pour pointer dans la direction de sa chambre d’adolescent. Combien de fois avais-je fixé cette fenêtre dans l’espoir de voir son derrière de tête. Collé à lui pour lui montrer la fenêtre, j’ai tourné ma tête qui était à quelques centimètres de la sienne et j’ai murmuré doucement : « Tu sais que cette fenêtre m’a obsédé pendant une grosse partie de mon adolescence? ». Et ce n’était pas un mensonge. D’ailleurs, écoutant mes envies comme à mon habitude, j’ai comblé les derniers centimètres qui séparaient nos deux visages pour l’embrasser avec passion sur les lèvres, ma main gauche se logeant dans le creux de son cou pour le convaincre de ne pas me fuir alors que ma langue caressait ses lèvres pour le convaincre de la laisser passer.
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Si j'avais su...→ Ft Asgeir.
Mar 3 Mar - 8:22
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]“Si j'avais su...” &Tout ça… ça.. Me perturbe vraiment. On était gentil l'un envers l'autre. Peut être que lui, un peu plus étant donné que je me suis toujours pratiquement braqué contre lui. Ses gestes et ses dires. Peut être… Non, c'est moi qui a sûrement déclenché les hostilités et le fait que l'on se déteste maintenant.. Mais pourquoi j'ai fais ça ? Peut être car tu es le genre de gars qui a confiance en lui, qui attire les regards et la séduction chez les gens. Moi… J'ai fais fuir mon père, j'ai fais fuir ma mère, mon beau-père me hait à un point de non retour. Les gens se moquent de moi à cause de mes cheveux ou bien même, ne me prennent pas au sérieux quand je dis mon travail.
Mon physique n'attire pas. Il repousse. Il fait sur les gens esquivent ma personne. Je suis solitaire même si j'ai quelques amis comme Maritza, ma meilleure amie et Lucas, que je connais de l'armée, mais j'en ai peu. Je soupire à tes dires. Montrant que je… Je me moque un peu alors que non putain, mord moi autant que tu veux. Je suis militaire OK, c'est mal vu. Mais je ne suis pas homo mais pansexuel, une grande différence et de plus tu m'attire mais je n'avoue rien tellement j'ai peur de beaucoup de chose. Tu es le premier gars qui m'attire. Je te regarde quand tu parles. Détaillant ton visage. Malgré le fait que je te déteste. Je me surprend, en plus de mon attirance, à apprécier ta compagnie. Un peu trop.
Tu es beau. Tes cheveux bouclés me donnent envie de les touchés, de m'y perdre. Ton odeur m'ennivre. Tes yeux marrons font que je me noie dedans. Putain de merde de saloperie de mentale. Ta personnalité me rend dingue ! J'ai l'impression de me sentir important quand je vois cette manière d'être avec moi et actuellement, même si ce que tu fais et pour arriver à des fins, gagner un défis que tu t'es lancé, je m'en tape profond. Ouais non.. Pas profond… ça porte à confusion.
Ma chambre ? Je regarde alors. En effet on la voit. Neutre. On dirait sur le père Ramfrow l'a laissé comme tel. Sûrement aux couleurs tristes et monotones et sans parure ornant le lit. Chambre de prisonnier ou d'esclave. Ça me rappelle de mauvais souvenir. Mais ton autres phrase me fit hausser un sourcil.
«- Serieux ? Vrai…. » je venais d'être clairement coupé. Je sentis mes yeux grand s'ouvrir. Je sentais mes joues prendre une autre teinte que pâle comme un cachet et surtout, je frissonne au contacte de ta main. Mais je me surprend à faire une petite pression pour répondre au baiser que tu m'offrais actuellement. Je laissais aller mon attirance pour toi, ne comptant pas de te repousser. Je voulais t'embrasser, je voulais tu m'embrasse et je finis par donner accès à ta langue pour qu'elle vienne voir la mienne.
J'avais finis par tenir ton haut sous le réflexe. Je finis par fermer les yeux, me laissant guider même si… Par pitié… Ne vas pas plus loin. Avoir mon premier baiser par toi me rendait déjà bizarre alors si en plus à un moment donné tu tentes de coucher avec moi. Je sais que j'aurais peur, que j'aurais pas confiance en moi et je serais un capitaine docile et apeuré telle Millicent quand elle entend le chien aboyer sous l'appartement. Mais pour le moment. Je me laisse aller dans ce baiser.
Depuis quand MOI, charmant mannequin mondialement connu et foutrement séduisant, je fantasme sur l’étrange petit roux qui était autrefois mon voisin? Bon, si j’étais totalement honnête, je pourrais dire qu’il m’avait toujours fasciné avec sa décoloration étrange et le fait qu’il me repousse sans arrêt au point d’en venir véhément, mais ma toquade de gamin avait enflée autant que ça? Impossible! Après tout, j’étais connu pour butiner d’un homme à l’autre, passant même aux bras de certaines femmes pour changer un quotidien trop carré lorsque je m’ennuyais. Pourquoi j’en revenais toujours à Tardis? Pourquoi n’étais-je pas capable de faire taire cette étrange vénération pour son regard hypnotique? Bon sang, c’était à en devenir complètement fou! Il m’avait toujours craché son venin dessus, pourquoi en revenais-je toujours à le contempler? Il avait tout fait pour que je le haïsse et j’en étais venu à le détester pour cette raison, pourquoi m’aventurais-je sur ce chemin si dangereux aujourd’hui. Était-ce la gueule de bois qui me faisait encore délirer?
Seulement, nous étions-là, au sommet de cette cabane qui pouvait sembler si loin de la réalité un peu comme si elle était le sommet du monde et je mourrais envie de l’embrasser. Pour la première fois en vingt ans, il me parlait comme si j’étais un véritable humain et non pas comme une charogne qui dégueulasse ses chaussures de façon récurrente. Ah Tarlis…il était mon syndrome de Stockholm sans même le savoir et ce, depuis des années. Je l’aime autant que je le déteste, il me fascine autant qu’il me dégoute…ah c’est si compliqué! Pourquoi je m’arrête à penser à de telles inepties alors qu’il serait tellement facile de prendre ce que je désirais et partir ensuite? Lui donner cette importance lui confère une emprise sur moi et Asgeir Gallagher n’a aucun maître, c’est bien connu! Il fallait que je me soigne de cette obsession qu’éveillait en moi Poil de Carotte, sinon j’allais devenir pathétique et terne. Le monde avait besoin de ma lumière, il serait égoïste de la leur enlever parce que ce mec se considérait trop bien pour moi.
Alors, j’ai mis en place ce plan pour obtenir ce que je voulais de lui afin de passer ensuite à autre chose. Pour le sortir de mon système et purifier mon âme ensuite. J’allais devoir prendre rendez-vous avec le Dalaï Lama après cette rencontre de famille beaucoup trop intimiste pour être réellement familiale. Bon, revenons à nos moutons. Tardis. Près de lui, pratiquement collé à sa silhouette qui s’était étoffé en muscles avec les années, je lui montre la fenêtre de sa chambre afin de distraire son attention du baiser que je lui voler.
Là où je m’étais mentalement promis d’être furtif et chaste, je prenais de l’ardeur en partant à l’exploration de ses lèvres du bout de ma langue. Une explosion indescriptible d’envie prend possession de mon être alors que je le sens s’agripper à mon Tee-shirt et entrouvrir les lèvres pour que je puisse caresser sa langue de la mienne. Oh…Putain…LE…NIRVANA. Je grogne contre ses lèvres alors que je l’attire à moi afin qu’il s’installe de force sur mes cuisses. Mes lèvres toujours affamées des siennes, je lui vole baiser par-dessus baiser alors que mes doigts s’empressent de défaire chaque bouton de sa chemise. Je voulais sentir sa peau contre moi, sentir chaque frisson parcourir son épiderme décolorée. « Allez, gémis mon nom…demande-moi de continuer » Murmurais-je d’une voix rauque en interrompant ce qui devait être le dixième baiser alors que je caressais son torse doux et chaud de mes paumes larges. Pourquoi lui parler alors que je savais qu’il me repousserait? Pourquoi ne pas immédiatement prendre ce que je voulais pendant qu’il était trop excité pour me refuser quoi que ce soit? Ne voulant pas y réfléchir d’avantage, je recapture ses lèvres alors que ma main défait la boucle de sa ceinture avec avidité.
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Si j'avais su...→ Ft Asgeir.
Mar 3 Mar - 17:56
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]“Si j'avais su...” &Embrasse moi. Caresse moi. Possède moi. Oui je réclamais tout cela actuellement dans mes pensés, je voulais être à toi, t'appartenir putain. Oui je veux tout ça. Pas de plan en tête et tant pis si tu en as un, je m'en fous, je veux te sentir. Je veux aller plus loin. Alors t'embrasser actuellement me rendait fou. Tes caresses alors que je sens tout simplement ma chemise commencer à disparaître. À être défaite par tes mains habiles et sentir tes mains chaudes sur moi, sur mon torse. Ça me rend fou. Bordel bordel. Je te sens m'embrasser, je le sens et j'aime ça. Je souris à tes paroles et autant dire que je grogne contre tes lèvres après tes dires.
«- Arrête de parler...continue bordel de merde. »
Je soupire d'aise en sentant tes mains encore sur moi, embrassant tes lèvres et même si, de manière timide, je vins remonter ton haut pour doucement sentir tes muscles sous mes mains. Cependant je sentis un regard sur moi, alors que j'avais ma ceinture et pantalon ouvert. Je vis le non géniteur m'ayant refilé son nom de famille. Il était là à me regarder. Il avait la tête dégoûté. Même clairement repugné.
«- Tu es clairement comme ta mere. Tu es vraiment répugnant, tu me dégoutes. J'aurais dû t'abandonner.»
Il était descendu et autant dire que. Je fixais le passage et la c'était trop, tellement trop, que je vins tout simplement voler un baiser timide et descendit alors rapidement de là et poussa le chef de famille alors qu'il est de dos.
«- Tu m'as toujours trouvé répugnant. Trop chétif. Trop pâle et trop roux. Tu ne m'as jamais aimé et maman non plus sûrement, alors franchement la ferme, tu me dégoûtes aussi. Je te hais, je te hais tellement que je pourrais clairement en avoir rien à foutre si tu crèves. Tu es juste un connard. »
Disais-je clairement avant de me prendre une droite assez forte pour que je titube mais je reviens à la charge malgré ma chemise ouverte et mon nez déjà en sang. Une droite vola dans son ventre alors que que je me pris alors un coup encore au visage, la lèvre en sang. Mais je me stoppe pas la. Ça continue encore avant de le voir partir de lui même loin de moi et surtout de la maison. Je le regarda partir. Mon torse a déjà quelques bleus apparant.. Ma chemise est fichu et moi… Moi j'avais les larmes de colère qui coulait actuellement, je tombe à genoux. J'étais à bout. Clairement à bout et sur les nerfs. Puis je finis par lever les yeux au ciels. Putain franchement. Le fait de t'aimer t'adorer te kiffer et te haïr et détester, est plus passionnant et plus… Sympa. D'un coup.. Je vois clairement que j'aime bien ta compagnie même si tu m'exaspère et me blasé souvent.
Je finis par me redresser et lever doucement. Je soupire un peu et grimace quand je pris une inspiration.
L’ordre de me taire et de continuer tomba aussi sèchement qu’impérativement, mais plutôt que de me choquer, ça m’excita encore plus. J’adorais le Tarlis directif et dominateur, il me faisait frissonner encore plus d’excitation qu’à l’habitude. Accroché à ses hanches, mes mains parcourant chaque centimètre de mon torse, j’ai l’impression d’être ivre tellement mon esprit était extatique. Chaque baiser appelait le prochain et il était hors de question que je le laisse s’écarter de moi, surtout maintenant qu’il commençait à participer à cet échange langoureux. « Tes désirs sont des ordres » Dis-je dans un râlement rauque avant d’embrasser sa mâchoire avec vénération, mes mains fébriles bataillant maintenant férocement avec sa ceinture pour libérer ce que j’espérais être une gâterie de choix. Il ne pourrait plus reculer maintenant, je l’en empêcherais. J’avais trop rêvé de ce moment pour que je le laisse m’échapper. Je me ferais Tardis et ensuite, je pourrai reprendre le cours de ma vie sans avoir cette foutue obsession pour sa personne.
Un long grognement de contentement sortit de ma bouche en sentant finalement ses mains s’infiltrer sous mon chandail, allant à la découverte de mon torse. J’avais l’impression que ma peau brûlait de plaisir au moindre de ses effleurements et il me fallut toute ma volonté et ma retenue pour ne pas le faire basculer sur le sol, terminer d’arracher son pantalon et son boxer pour le prendre d’un seul coup de rein. Une longue plainte d’envie sortie d’entre mes lèvres à cette pensée. Bordel, qu’est-ce qui m’avait pris de penser à ça! Maintenant c’était plus qu’évident que je voulais le posséder! Sauf que les lèvres de Tarlis quittèrent les miennes et ses mains mon torses. Ouvrant les yeux, je l’ai regardé avec incompréhension avant d’entendre la voix de son connard de père retentir et l’insulter. Non, mais quel connard, cet homme! Dire ça à son fils, dans un tel moment! « Ce n’est pas parce que vous baisez tellement mal que votre femme a été obligé d’aller voir ailleurs pour avoir un orgasme que vous devez empêcher les autres de s’envoyer en l’air Ramfrow! » Sifflais-je aucunement gêné de me retrouver dans une telle position devant un homophobe déclaré.
Qu’est-ce que j’en avais à faire de cet homme, de toute façon? Ce n’était pas comme s’il avait une réelle importance dans ma vie, outre le fait d’être le père pas si père que ça de l’homme qui me fascinait autant! Sauf que Tarlis ne l’entendit pas de cette oreille et que plutôt que de le laisser quitter la cabane tranquillement, il décida de se reculer de moi après un chaste baiser pour le suivre lui. « Non, mais je rêve ou quoi? Tu vas vraiment aller le rejoindre Tardis? » Lui criais-je d’une voix frustrée alors qu’il descendait. Se venger de ce connard était plus important que ce que nous vivions, quelques minutes plus tôt? Du haut de ma tour de bois, je vis le roux descendre à toute vitesse pour aller pousser son père et commencer à se battre avec lui. Dans la fenêtre de la maison, je pouvais voir mes parents interloqués qui observaient le père et le fils se battre à grands coups de poing. Ce fut le père qui abandonna la bataille en premier et qui s’éloigna alors que je pouvais voir Tarlis planté là, à le fixer, ses épaules tressautant alors qu’il me tournait le dos. « Eh merde! » Maugréais-je dans ma barbe alors que je descendais l’échelle aussi rapidement que possible sans me blesser.
« Tardis, ça va? Regarde-moi » Dis-je avec douceur en déposant ma main sur son épaule. Je pouvais déjà voir le sang maculer son visage et ses yeux briller de larmes et de rage alors que je ne semblais même plus exister pour lui. « Je suis désolé, c’est de ma faute…je n’aurais pas dû t’embrasser comme ça en sachant que ton père était proche…je pensais que tu me repousserais » Rajoutais-je d’une petite voix contrite comme un gamin prit en faute. C’est vrai, j’avais espéré qu’il réponde à mes baisers, mais j’avais cru que c’était impossible puisque je ne savais même pas si les hommes l’intéressaient et encore moins ma personne! Retirant mon Tee-shirt dans un geste gracieux, je lui ai tendu avec une moue sérieuse tout en lui disant : « Éponge tes blessures avec ça, tu saignes ».
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Si j'avais su...→ Ft Asgeir.
Mar 3 Mar - 22:14
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]“Si j'avais su...” &Je me demande ce que je fais là, clairement, si j'avais su, si j'avais su que ça allait finir ainsi, la rage au ventre, la gorge prise, une envie de hurler, une envie de tout casser, une envie de me briser moi même pour avoir perdu mon sang-froid, je suis militaire putain ! Pas un gosse bagarreur des rues et autant dire que j'ai honte de moi même, bel exemple de capitaine putain. Alors que je m'insultais mentalement, une voix me fit sortir de mes pensés. Je te regarde dans les yeux, pourquoi tu t'excuses ? Je n'aime pas ça, tu n'as rien fait, j'aurai dû ignorer mon père et continuer sur ma lancer, mais non, j'ai foncé tête baisser comme un con ! Alors je soupire simplement.
« - C'est de ma faute, je perd toujours mon sang-froid avec lui. Tu n'y es pour rien, j'assume complètement mon orientation sexuel, je m'en fous de son avis, mais je suis impulsif quand c'est lui qui me cherche. Je pensais aussi que je t'aurais repoussé, mais non. Tu m'énerves mais à croire que je suis peut être fou. »
Je souris simplement, avant de prendre le haut, doucement, avant avant de venir rouler des yeux, encore et encore de manière blasé avant de te remettre autour de ton col, avant de..de résister un moment et finit par te prendre dans mes bras, putain, j'aime pas avoir quelques centimètres en moins, je n'aime pas comment je suis avec toi, je sais pas...peut être car savoir que..j'intéresse quelqu'un, me rend heureux, même si c'est toi, tout simplement. Je finis par reculer doucement, et ensuite, sourit.
« - Je vais aller me soigner dans la salle de bain, si tu veux vraiment t'excuser pour un truc que tu n'as pas fait, viens m'aider. »
Un haussement d'épaule alors que touche mon nez, pas casser, heureusement, j'en connais une qui m'aurait tué si elle avait su que j'avais cassé mon nez, tout simplement. En entrant chez toi, je m'excuse alors auprès de tes parents, les rassurant que ce n'étaient pas leur faute etc, Le père était un de leur ami après tout. Puis, je ne pus refuser de dormir chez eux dans la chambre d'ami. Moyen pour eux de se faire pardonner. J'avais accepté sans crainte, je sais pas pourquoi, pourtant avec ce qu'il s'était passé dans la cabane, l'excitation encore un peu présente, je n'avais pourtant pas peur de ce qu'il pouvait arriver. Ce n'est qu'une attirance, non ? Je crois, je ne sais pas, je suis perdu.
Je monte alors les escaliers doucement et arrive dans la salle de bain. Retirant ma chemise tout simplement, la posant sur le bord de panier de linge salle. Cheveux en bataille, des bleus ici et là et des vieilles cicatrices datant de l'enfance dans le dos et un peu devant et des récentes dont un pansement sur l'épaule gauche, dans le dos, mauvais chute sur le terrain. Et même si j'ai du muscle, je suis principalement pâle et aussi, tout simplement maigre, je pouvais me comparer à ce que j'avais touché sous ton haut. Je rougis un peu en repensant à ça, je soupire longuement encore et plaque mes cheveux en arrière avec de l'eau, avant de prendre du coton et des compresses, je me demandais si tu allais me rejoindre ou non d'ailleurs. Mais bizarrement, dans le fond, je voulais, comme je ne voulais pas que tu vois mon corps, je sais pas, une peur que tu vois que rien n'est pas parfait, ça confirmerai que tu l'es toi, car toi, par contre c'est vrai. C'est bien pour ça que je peux clairement craquer encore pour toi, comme encore te détester, tu es parfais.
Pourquoi je m’excuse alors que c’est son père qui l’a frappé et insulté? Parce que si je n’avais été là, jamais il y aurait eu cette confrontation sanglante. Pour l’une des premières fois, je ressentis le mal être relié aux remords s’emparer de moi. Non…non, je n’aimais pas cette sensation, je ne voulais pas ressentir tout ça! Pourtant, voir Tarlis aussi mal et ensanglanté me bouleversait vraiment plus que je voulais l’admettre. L’explication qu’il me donna sur son manque de sang-froid face à la haine de son père me fit sourire tristement alors que je continuais de me taire. Il avait besoin de parler de toute évidence. Une certaine partie de son monologue me fit légèrement me redresser, me faisant oublier instantanément son connard de père et ses paroles homophobes. « Ton orientation sexuelle…attend, tu es vraiment gay? » Récapitulais-je, les yeux légèrement exorbité alors que mes parents commençaient à batailler avec la porte pour venir nous rejoindre. Sauf que bien évidemment, il fut incapable de rester aussi doux et vulnérable sans immédiatement m’insulter immédiatement après. « Tu es vraiment obligé d’être toujours aussi insultant à mon égard même lorsque je tente de t’aider, border? » Demandais-je avec raideur alors qu’il roulait des yeux en jouant avec mon tee-shirt.
Mais pourquoi refusait-il systématiquement mon aide? Je me posais vraiment la question alors qu’il enfila le col de mon vêtement par-dessus ma tête. Son regard plongé dans le mien, j’étais approximativement sûr d’être le prochain à manger l’un de ses coups sauf que plutôt que de me donner un uppercut, il choisit de me serrer inexplicablement contre lui. Raide alors que je me demandais quoi faire et comment réagir, je n’eus même pas le temps de refermer mes bras autour de sa silhouette qu’il se décollait de moi pour m’inviter à l’aider à se soigner. Une légère grimace de dégoût se dessina sur mes lèvres. « Je vais être honnête avec toi, je ne raffole pas du sang…pas du tout même » Dis-je en reculant d’un pas, afin de calmer les tambourinements de mon cœur qu’il avait déclenché par son étreinte. Par chance, ce fut ce moment-là que choisirent mes parents pour arriver près de nous, inquiet de voir le roux aussi amoché.
Ils invitèrent Tarlis à dormir chez eux ce soir et ma mère lui indiqua tous les produits utiles pour nettoyer ses plaies alors que ma sœur nous porta volontaire pour préparer sa chambre. Abasourdi, je l’ai laissé me tirer jusqu’à la chambre d’ami qui serait celle de Tarlis et je l’ai regardé tapoter les coussins. « Je peux savoir ce que tu fais? Tu sais très bien que cette chambre est parfaite et sans doute que Ramfrow n’aura jamais habité quelque chose d’aussi douillet! » La fusillais-je du regard tout en la questionnant d’une voix glaciale. Je vis ma sœur passer à côté de moi sans un mot avant de s’immobiliser juste à l’embouchure de la porte. « Si tu n’en profite pas pour te rapprocher de lui, c’est moi qui le fera. Je cesserai de toujours te faire passer en premier et je lui ravirai son cœur » Me dit-elle joyeusement avant de déposer un baiser sur ma joue. Quelques secondes plus tard, elle disparaissait dans le corridor, me laissant seul avec ma jalousie et mon angoisse.
Était-elle sérieuse? Est-ce qu’elle tenterait vraiment sa chance avec Tarlis? Faisant les cents pas dans cette chambre, j’ai jeté mon tee-shirt au loin, vite suivit de mon jeans, beaucoup trop fatigué pour tenter de rejoindre ma chambre maintenant. M’étendant sur le lit destiné au roux afin de faire le point, je me suis immédiatement assoupi sans réellement penser qu’il pourrait vraiment accepter de dormir ici et surtout, dans cette chambre. Oui, je m’endormais toujours aussi rapidement lorsque j’étais seul dans un lit. Mes cheveux complètement sauvages encadrant mon visage endormi, mon esprit était encore tourmenté par toutes ces émotions contradictoires qu’il avait fait naître en moi pendant notre bref moment dans la cabane.
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Si j'avais su...→ Ft Asgeir.
Mer 4 Mar - 0:02
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]“Si j'avais su...” &Je n'avais pas répondu à sa question, à croire que savoir que je ne sois pas hétéro etc avait l'air de plaire. Mais j'avais disparu de tout le monde, de partout pour aller dans cette salle de bain où madame Gallagher m'avait forcé à me doucher et qu'elle referait le pansement dans mon dos. Franchement, c'est clairement sous la douche que je me lâche, que je pleure en silence, que me verse mes larmes de colères, de rages, d'abandon et de colère, les larmes se mélangeant à l'eau. J'avais aussi tout ces sentiments que je connaissais pas et qui me faisaient clairement bizarre mais voilà, voilà quoi, soit j'accepte, soit je refoule, mais ça serait comme refouler mon orientation, tout simplement et je ne voulais pas faire cette merde, clairement, ce n'est pas mon kiff, ni mon délire. Je soupire, je me calme et je chope un shampoing, avec écrit ton prénom dessus puis un gel douche. Je fixe puis hausse les épaules avant de me laver avec ça. Rien à battre si monsieur est pas content !
Je finis par sortir, me sécher et me laisser alors faire après avoir enfilé haut et pantalon et soigné, je partis vers la chambre d'ami, sans encore te remarqué, j'avais un pyjama de prêté, donc nickel. Puis c'est en entendant quelqu'un bouger dans mon dos, que je me retourne pour faire face à quelqu'un, une touffe noir, toi, PRESQUE NU SERIEUSEMENT ?! Je passe une main sur mon visage, et, enfin bon, à cause des conneries dans la cabane, même si je crains la suite, je vins doucement sur le lit, puis ensuite sur toi, sur tes fesses, et masse doucement ton dos, allez savoir comment, mais je suis bon masseur, j'appuyais sur des points où je sentais que c'était tout simplement tendu. Te sentant te réveiller, je vins doucement proche de ton oreille, massant encore et je souris en coin.
« - Je ne suis pas gay Asgeir, mais pansexuel...un sexe ou un visage, même beau, ne m'attire pas, c'est la personnalité, le cœur de la personne...qui m'attire de peu importe la manière. »
Mais avant toi, je n'avais jamais d'attirance sexuel ou amoureusement pour quelqu'un en fonction de la personnalité, je n'ai pas de type que j'aime, mais ta personnalité, elle devait me plaire, tu me plaisais alors que j'étais un gosse te haïssant et te jalousant, en soit, je te déteste encore et aussi, je te jalouse toujours, je me redresse ensuite après les paroles. Massant encore, avant de me laisser glisser sur la place à côté, te regardant, étant donné que ton visage était de mon côté. Tu étais parfais et s'en est énervant, même la peau de ton corps, légèrement halé et douce..putain j'ai honte de moi là ! Et pourtant, je continue de te toucher, te caressant le bras et lentement, je vins prendre une boucle, jouant avec celle-ci, passant lentement une main dans tes cheveux, putains le rêve, je rêvais de toujours faire ça, passer ma main dans tes cheveux, puis je me rapproche un peu, que tu dormes ou pas, tout est calme, je me sens calme, serein et je me sens aspirer par tes cheveux ébènes et putain de doux, souriant faiblement et sincèrement.