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Lie me, I bite you! bite me, i ablaze you...[andrea]

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Lie me, I bite you! bite me, i ablaze you...[andrea]
Lun 8 Oct - 9:25
D’habitude, c’est moi qui pète un câble, qui hurle, qui râle, qui frappe dans ce que je trouve pour calmer mes nerfs. Lorsqu’il s’agit de Leither, j’ai l’impression que tout part en vrille, mais ce soir c’est différent. J’ignore réellement pourquoi, sans doute parce que tout mon monde part en décrépitude, mon boulot, ma vie complète semble être comme un équilibriste qui voit la corde sur laquelle il marche s’effriter alors qu’il se trouve au dessus du vide. Alors ce soir, je suis calme, étrangement calme, au point même que la jolie blonde en face de moi semble avoir besoin de prendre le relais niveau éclats de voix, comme s’il ne pouvait en être autrement entre nous. Je lui montre sans aucun mal que je n’ai pas peur d’elle. Elle peut bien faire ce qu’elle veut, me frapper, ou pire même. Si c’est elle qui a tué ce mec dans l’allée, elle est peut-être même capable de bien des choses que j’ignorais. Mais a vrai dire, ça ne me conforte pas dans l’idée d’avoir peur d’elle, ni même d’avoir peur de la mort, dans une version plus large de la chose. Je m’approche d’elle pour lui prouver une fois encore qu’elle est loin de m’effrayer, lui demandant ce qu’elle attend de moi. « Ca dépend... Tu as combien sur toi?! » Un rictus prend place au coin de mes lèvres. Elle continue d’être vexée. Très bien. Je ne répondrai pas à sa question, elle sait bien au fond que je ne la prends pas pour une pute.

Elle recule et finit par se retourner pour ne plus avoir à subir mon regard, peut-être a-t-elle peur de craquer à nouveau ?  C’est comme ça depuis le début, on s’attire et on se repousse. « Écoute... tu as gagné! Je suis une trainée et tout ce que tu veux y ajouter de plus… Tu t'es visiblement trompée sur ma personne, et tu n'es définitivement pas… Tu n'es définitivement pas mon genre… » Je plonge mon regard dans le sien pour l’écouter avec grande attention. Mais ses mots sonnent faux, il y a quelque chose qu’elle ne veut pas dire, qu’elle se refuse à penser, à croire, à assumer ou que sais-je. Une chose est sûre, je ne crois pas un traitre mot de ce qu’elle raconte, elle n’en est même pas convaincue elle-même. Je l’entends dans sa voix, et pourtant elle continue de chercher à me berner. « Quand tu m'as embrassé dans cette ruelle... j'ai cru... J'ai cru retrouver quelque chose que j'avais perdu… Et quand tu m'as embrassé de nouveau sur ton canapé... quand j'ai senti ton corps sur… » je sens un frisson parcourir l’intégralité de mon corps. Mon cerveau se déconnecte peu à peu à ses mots alors qu’il se laisse porter par les souvenirs que je partage avec Leither. Elle s’approche et je reste immobile, les yeux plongés dans les siens, les sens en alerte, parce que je sais qu’elle peut retourner sa veste à tout moment. « Quand je t'ai senti contre moi, ca a fait ressurgir certaines choses et... j'ai pris peur! Alors j'ai battu en retraite! Mais après cette nuit, je sais que ce n'était pas… que ce n'est pas ce que je croyais… » Tout se mélange dans ma tête, je n’arrive plus à savoir ce qui est vrai et ce qui ne l’est pas, ce qui appartient à un rêve et ce qui fait partie de la réalité. Les choses que nous avons réellement partagées ou non. Ce qui est sûr, c’est que même si elle a toujours nié avoir partagé avec moi ces rêves, elle avoue peu à peu sans y mettre réellement les mots. Je n’étais pas folle.

Pourtant, ses mots me blessent, au fond. Je sais qu’elle a raison, que la réalité n’a jamais ressemblé à tous ces rêves que nous pouvons faire, et que la relation que nous avons eue à travers nos inconscients n’était qu’un leurre. Aujourd’hui les choses sont tout autre, et ça me fait mal de l’admettre, même si je sens bien, là, au creux de mon ventre, que Leither est spéciale pour moi, et ça me rend dingue. Elle s’approche et je reste silencieuse, sans pour autant rompre le contact visuel. C’est sa main sur ma joue qui me fait fermer les yeux, comme pour en apprécier le contact d’une manière plus forte encore. Ses lèvres se posent sur les miennes et je soupire, sentant dans mon corps tout entier cette sensation unique que je n’avais encore jamais ressentie avec personne d’autre qu’avec elle. Un baiser d’une simplicité même, faisant s’accélérer mon coeur plus que de raison. Elle s’éloigne finalement me faisant réouvrir les yeux, et je ne comprends pas bien ce qui arrive lorsque sa main vient s’écraser violemment sur ma joue. « Et ça... C'est pour le trainée! » Je viens poser ma main sur ma joue à l’endroit où la sienne vient de frapper, la douleur est lancinante. Je laisse échapper un rire, un petit rire narquois. J’ignore si je me fous d’elle ou de moi à ce moment là, ça en devient ridicule. Je crois que j’ai encore trop bu. « Je ne pensais pas que tu étais le genre de fille à en avoir quelque chose de ce que pensaient les autres de toi. » A moins que je ne sois pas ‘les autres’. J’aimerai y croire, mais malheureusement je m’efforce de penser que je n’ai aucun intérêt pour elle.

Soudain j’entends plusieurs coups frappés si fort sur la porte que je sursaute. « POLICE ! OUVREZ ! » Bordel. Mon sang ne fait qu’un tour et je ne réfléchis pas à la suite. Je pense seulement à l’instant, et mon instinct me pousse à agir. J’attrape Leither à la volée pour nous enfermer dans une cabine de toilettes, le coeur battant. Je déboutonne les premiers boutons de ma chemise, retire ma veste, fous le bordel dans mes cheveux et déboutonne le pantalon de Leither qui étrangement se laisse faire. J’ignore si elle comprend ce qui se passe. J’entends la porte des toilettes être limite défoncée et je simule une fin d’orgasme pseudo étouffé. Je réouvre la porte de la cabine et tombe nez à nez avec une tripotée de flics. Souriante, je me mords la lèvre inférieure alors que je fais mine de me rhabiller. « On avait très envie de vous ouvrir mais on avait un truc à finir avant, je suis désolée… » Je fais une petite grimace mignonne sous les regards ébahis des flics et récupère la main de Leither. « On peut s’échapper ? » Evidemment, ils n’ont rien contre nous. Nous quittons alors les toilettes, la main de la blonde toujours dans la mienne, et je me retourne vers elle dans le couloir, taquine. « Rassure-moi, j’ai pas à te payer pour une fausse partie de jambe en l’air? »
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Lie me, I bite you! bite me, i ablaze you...[andrea]
Mer 10 Oct - 6:48
Andrea & Alicia
Lie me, I bite you! bite me, i ablaze you...

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« Et ça... C'est pour le trainée! » Elle ne l'a pas vu venir, et je dois dire que je suis assez fière du petit effet de surprise. Elle a mal...  Je le vois derrière ce masque qu'elle veut impassible, le devine à la manière dont elle pose sa main à l'endroit de l'impact, l'objectif est atteint! Se serait mentir de nier que je ne jubile pas en cet instant, bien que le rire narquois de la brune vienne tout de même entacher cet instant de gloire... « Je ne pensais pas que tu étais le genre de fille à en avoir quelque chose de ce que pensaient les autres de toi. » Je ne pensais pas être ce genre de fille, ou du moins plus ce genre de fille! A l'université, j'avais laissé cette fille, cette kenlee avoir ce genre de pouvoir sur moi. Par la violence de ses mots, elle avait fait de moi tantôt un être désiré, tantôt un secret honteux à soigneusement enterrer. Aussi était ce pour moi une chose dégradante, que de me retrouver plus de dix ans plus tard dans un schéma quasi similaire. « POLICE ! OUVREZ ! » Je sursaute en duo avec andrea, sous la violence des coups assenés sur la porte. Encore un peu et on aurait pu croire qu'un dangereux terroriste se trouvait en notre compagnie. Il n’empêche que la situation est critique! Si ces policiers entrent et effectuent un contrôle d'identité, je ne pourrai pas mentir et la brune découvrira mon identité et avec celle ci mon petit "mensonge". Comment expliquer par la suite, que leither est bien un de mes prénoms mais pas celui usuellement utilisé, que j'ai fait bien fait des études entre autres de musicologie, mais qu'à présent je suis pdg d'une société du nom d'Everlasting Arts promouvant et exposant des artistes de tout genre ?! Ça faisait bien trop de mensonges révélés en un seul coup! Putin, je me traine une poisse pas possible ces temps ci!! Après les multiples emmerdes au sein de la lagrima, du réseau de mikeal, de l'entreprise, ce sont mes identités civiles et privées qui sont menacées?! Une pâte de lapin... Voila ce que j'aurai dû acheter depuis le début de ces emmerdes!! Je suis là à ruminer, lorsque je me sens happée par la brune qui nous enferme dans une cabine de toilette. Je ne comprends pas tout de ce qui se passe, étant encore en plein apitoiement sur cet acharnement cosmique; Et c'est donc plus spectatrice qu'actrice que je regarde la brune déboutonner les boutons de sa chemise, ôter sa veste, et ébouriffer ses cheveux avant de déboutonner mon pantalon, le tout avec une rapidité affolante. BAM... le bruit qui se fait entendre témoigne de l'entrée des policiers dans les lieux. Retrouvant son calme, andrea ouvre la porte et lance sourire décontracté à la troupe en costume bleu, un désinvolte... « On avait très envie de vous ouvrir (mordant sa lèvre) mais on avait un truc à finir avant, je suis désolée… » Ils sont sur le cul et je dois dire qu'ils ne sont pas les seuls. Elle fait ça avec tellement d'assurance, de "naturel" que j'en viens à me demander si de nous deux, elle ne serait pas la plus experte en mensonges, et celle qui cacherait le plus de choses. Prenant ma main, mine trognonne.  « On peut s’échapper ? » Pris au dépourvu, les policiers en restent muets, ce qui est pris visiblement par la colombienne pour une permission de quitter les lieux. Enserrant ma main, elle m'entraine avec elle, se fondant dans la foule sur le départ...  « Rassure-moi, j’ai pas à te payer pour une fausse partie de jambe en l’air? » Je ne peux m’empêcher de sourire sous cette blague typique de l'andrea de mes souvenirs onirique. Attrapant mon téléphone portable de ma main libre, laissant la brune nous frayer un chemin vers la sortie, je compose le numéro d'un service de Ubers indiquant notre lieu d'emplacement et l'adresse ou aller. Il y a une voiture à cinq minutes... Tant mieux car je commence sérieusement à étouffer dans cette foule se densifiant toujours plus vers la sortie, les agents évacuant le bar au compte goutte. Cinq minutes, c'est le temps mit pour atteindre enfin l'extérieur et respirer un peut d'air frais! Andrea à l'air aussi irritée que moi, jouant un peu trop fort du coude pour nous extirper du trottoir bondé... "(désignant le uber) Là, viens!" Passant devant elle la tirant à ma suite, je m'engouffre dans la voiture poussant un grand ouf de soulagement... "Et bien... y'a le feu ou quoi?" Secouant la tète amusée et plutôt soulagée d’être enfin hors de la mêlée, je réponds au chauffeur joueuse... "Pire... Y'a les flics!" Éclatant de rire, celui ci enclenche son clignotant avant de s'engouffrer entre deux voitures et quitter les lieux...

Cela fait bien vingt minutes que nous sommes dans le uber, et durant ce lapse de temps nous n'avons échangé aucun mot. Il faut dire que nous avions assez "échangé" comme ça pour la soirée, et qu'il était préférable de ne rien dire plutôt que de repartir dans une confrontation sans fin. Et puis ces silences étaient un peu notre truc à nous, une sorte de drapeau blanc que nous hissions après d’âpres duels... "On est presque arrivé mes dames..." Une brève montée de tension se fait ressentir, se matérialisant par une sorte de lourdeur dans ma poitrine. Je reconnais quelques maisons, en effet nous ne sommes pas loin de celle de la brune. Mon regard se tourne vers elle, alors que nous pénétrons dans la ruelle de son quartier résidentiel. Qu'espérais je? Qu'elle me face un signe? Qu'elle presse cette main qu'elle n'avait pas lâché, et que je n'avais eu le désir d’ôter? Pourquoi est ce toujours aussi compliqué entre nous? Pourquoi ne peut elle pas faire le premier pas, rompre ce silence, prononcer ces paroles que je n'oses porter à haute voix?! Parce qu'elle est tout simplement comme moi... fière et perdue! Plus que trois maisons et nous sommes arrivés... Mon cœur s'accélère tout comme ma respiration sous la montée  d'adrénaline, et finalement la voiture freine devant cette barrière, devant ce trottoir que je ne connais que trop bien... "Ça fait vingt sept dollars mes dames..." Je ne laisse pas le temps à andrea de prendre son porte feuille, et sors quelques billets de ma poche, n'ayant au vu du début de soirée évidement pas mon porte feuille sur moi. Faisant exprès de donner vingt dollars de plus au chauffeur, je  descends pour laisser sortir andrea, qui récupère l'excédant dans la main du chauffeur. Je sais que ce que je fais est une erreur, je le sens au plus profond de moi, mais je ne peux m'en empêcher; Et lorsque la brune me tend le billet, je peux clairement me voir faire ce pas dans le vide. Me saisissant du billet, regard ancré dans celui de la brune, je tente de garder cet air malicieux  mais ma voix trahit cette tension en moi... "Vingt dollars... C'est tout ce que tu as?!" Rangeant le billet dans ma poche, je me rapproche lentement la tension en mon corps se faisant plus forte à chaque pas... "(regard électrique, lèvres en creux d'oreille) Dois je prendre cela pour un acompte ou... (reculant légèrement, yeux ancrés aux siens) dois je de nouveau monter dans cet uber?" Qu'est ce que je fais????!!! Je ne suis pas de celle qui demande, je ne suis pas de celle qui quémande! Je veux je prends et j'ai! Voila ce que je fais! Sauf que cette fois ci, ce que je désire m'effraie tout autant... Sauf que cette fois ci, je me retrouve à l'age de mes vingt ans
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Lie me, I bite you! bite me, i ablaze you...[andrea]
Jeu 11 Oct - 20:00
Dans mon métier, je suis surnommée le caméléon, depuis des années. La raison est simple, j’ai l’art de la manipulation et du mensonge si aisé que je peux me fondre dans n’importe quelle peau, n’importe quelle situation, et m’en dépatouiller sans le moindre mal. Si bien que lorsque j’entends les flics taper à la porte des toilettes, je ne perds pas de temps et trouve une solution rapidement. Leither se laisse faire, encore heureux, je n’ose même pas imaginé si elle s’était débattue ou que sais-je. Non au lieu de ça elle me regarde sans vraiment comprendre et se laisse guider, même quand nous sortons et que je fais mon petit numéro d’effarouchée devant les hommes en uniforme. S’ils savaient. Tous nous regardent avec des yeux de merlans fris et je m’en amuse presque. Nous nous faufilons pour quitter les toilettes et je ne lâche pas la main de Leither, tentant même un trait d’humour pour dédramatiser la situation. J’ignore pourquoi je fais ça alors que toutes les preuves sont contre elle. Une part de moi voudrait penser qu’elle n’y est pour rien, et une autre part de moi serait prête à pardonner n’importe quoi venant d’elle, même un meurtre. Je préfère encore ne pas penser à ça et j’occulte totalement pour le moment.

Je joue un peu des coudes pour nous tirer de là, gardant toujours la main de la blonde dans la mienne, sans trop savoir pourquoi, peut-être pour ne pas la perdre, mais après ? C’est ridicule, je devrais la laisser se démerder, et pourtant. Une fois à l’extérieur, j’ai à peine le temps de prendre une longue inspiration que Leither m’attire vers une voiture, qu’elle a visiblement réussi à commander, je ne sais quand. Je monte presque sans réfléchir, le chauffeur se croit drôle avec sa blague à deux balles, et Leither enchérit. Génial. Le temps du trajet est silencieux, je laisse mes yeux parcourir les paysages qui défilent derrière la vitre teintée, je ne me rends même plus compte que la main de Leither est toujours dans la mienne, force est de constater que ça ne me dérange pas. On se rapproche de chez moi, je reconnais la route, et finalement la voiture s’immobilise devant le portail qui cache à moitié la bâtisse. Le chauffeur demande son reste et je laisse Leither me devancer, toute manière j’ai même pas de liquide sur moi. Leither descend et me laisse récupérer la monnaie de son billet, une vingtaine de dollars. Je remercie le chauffeur et rejoins la blonde à l’extérieur, lui rendant son dû. « Vingt dollars... C'est tout ce que tu as?! » Je ne saisis pas immédiatement la perche qu’elle me tend, au point que je doive plisse les yeux dans une petite grimace, pour tenter de comprendre pourquoi elle me dit ça. Elle s’approche et je la laisse faire, attendant de savoir ce qu’elle me réserve encore. Avec elle je m’attends à tout. « Dois je prendre cela pour un acompte ou.. dois je de nouveau monter dans cet uber? » Ça y est, ça a fait le tour dans mon cerveau, et je comprends ce qu’elle me raconte. Faut dire qu’elle avait même pas besoin de parler vu la tension de son corps que je ressens à cet instant précis. « Un acompte ? » J’arque un sourcil, le regard malicieux. « Mon compte en banque est à sec, j’ai pas de liquide sous mon matelas, au mieux j’peux te proposer un space cake et une bonne bouteille de cognac. » Je n’ai pas lâché ses yeux. Je ne crois pas avoir besoin de lui dire que j’ai envie qu’elle reste, ma réponse est suffisamment explicite. Je crois que j’ai aussi besoin qu’elle comprenne que je la traitais de traînée juste pour la titiller, mais que c’est pas du tout ce que je pense d’elle. J’ai pas envie qu’elle reste pour le pognon, pas envie d’un échange de ce type. Je voudrais qu’elle reste parce qu’elle en a envie, et tant pis pour cette soirée bizarre, tant pis pour mes doutes. On verra ça une autre fois.
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Lie me, I bite you! bite me, i ablaze you...[andrea]
Sam 13 Oct - 7:40
Andrea & Alicia
Lie me, I bite you! bite me, i ablaze you...

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Dos au uber, bras croisés, posture assurée, je joue à la femme confiante. Je joue oui... Car derrière ce sourire en coin de lèvres et ce regard assuré, je n'en mène pas large! Tout comme la première fois, une peur sans nom s'immisce lentement dans chacun de mes membres, m'immobilisant. Avez vous déja ressentit cette sensation de froid vous gagner après qu'on vous ait fait sursauter? Et bien c'est exactement cela qui se produisait, la sensation de froidure se distillant tel un venin dans mes veines... « Un acompte ? Mon compte en banque est à sec, j’ai pas de liquide sous mon matelas, au mieux j’peux te proposer un space cake et une bonne bouteille de cognac. » J'éclate de rire sous ce clin d’œil lancé à notre fameuse soirée space cake, qui avait certes été mouvementée, mais dont la finalité avait marqué le début d'un "nous"?! Secouant la tête doucement, mordillant ma lèvre inférieure, je dodeline sur place telle une enfant, hésitant encore à renvoyer le chauffeur. Je ne peux mentir, j'aime ce jeu du "souviens toi la dernière fois" que nous avons instauré dès le premier soir. C'est comme une chasse aux souvenirs, une enquête sur le "qu'as tu rêvés?". Je suis là indécise, perdue et elle calme, en attente, ses yeux rivés aux miens. Son regard... C'est la première chose qui m'a attiré, la première chose qui m'a envouté, la première chose à toujours m'enflammer; Et encore une fois c'est ce regard qui me fait flancher. Pivotant sur moi même, je libère le chauffeur non sans le remercier encore fois, chose qu'il accueil avec un large sourire, provitant pour me remettre sa carte. Nous revoila au point départ, me revoila sur ce fameux trottoir que je connais un peu trop à mon gout. Andrea n'a toujours pas bougé, silencieuse elle se contente de m'observer une étincelle indéfinissable logée au fond de ses iris brunes. Je la déteste, la déteste pour ce qu'elle fait! Sa manière de m'amener à me découvrir sur ce champs de bataille, à déposer les armes et dresser pavillon blanc; Sa manière de faire de moi celle qui fait les premiers pas, se met à nue, s'offre... Ça en est presque lâche de sa part! Qu'il est confortable de ne rien faire et par la suite pouvoir dire "c'est toi qui est venue à moi!" ! Je pourrai une fois de plus tourner les talons et revenir à mon quotidien chaotique, la laisser là debout telle une statue en compagnie de son orgueil et de son foutu caractère de merde dont elle a largement fait étalage... Oui je pourrai, mais je ne suis pas lâche et encore moins de celles qui attendent! Je suis de celles qui voient, je suis de celles qui veulent, je suis de celles qui prennent... "Tu comptes passer le reste de la soirée sur ce trottoir?" Rien d'agressif ou d'hautain dans ce petit pique. Rien de pressé ou licencieux dans ma démarche, juste cette tension palpable étreignant mon corps en alerte... " (m’arrêtant à son hauteur) Au fait... Ce space cake, j'espère qu'il est au chocolat?! (sourire en coin) Je ne sais pas pour toi, mais le chocolat est mon péché mignon... (yeux coulissant sur ses lèvres, ton rêveur) J'aime sa manière de fondre en bouche..." Tout comme je me souviens du gout qu'il avait sur ses lèvres! A ce simple souvenir mon corps entier gagne deux degrés, une irrépressible envie de me saisir de ses lèvres me forçant à m'arracher à leur contemplation, pour plonger de nouveau dans ce regard hypnotique. Damne... elle pourrait me faire jouir rien qu'en jouant de ce regard sur corps mis à nue!  
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Lie me, I bite you! bite me, i ablaze you...[andrea]
Mar 16 Oct - 22:17
La proposition est lancée, je ne compte pas la payer pour qu’elle reste, elle n’est pas une pute, et même si j’ai quelques fois laissé croire que je le pensais, il n’en était rien. Au fond, je suis sûre qu’elle le sait, sinon elle ne serait pas là. A moins qu’elle soit maso, aucune idée. En attendant, je préfère lui proposer un space cake et un bouteille d’alcool, même s’il ne s’agit pas du même qu’on buvait dans nos rêves. Après ma proposition, j’attends qu’elle réagisse, un oui, un non, qu’elle s’enfuit ou qu’elle assume ce qu’elle ressent pour moi, autant que ce que je ressens pour elle. Finalement, elle se retourne pour aller vers le chauffeur et je suis le cul entre deux chaises. Est-ce qu’elle va partir oui… rester. Elle reste. La voiture s’en va et Leither revient, laissant au coin de mes lèvres un rictus vainqueur. « Tu comptes passer le reste de la soirée sur ce trottoir? » Je baisse les yeux vers le sol avant de redresser mon regard vers Leither, souriante, taquine. « Quoi ? Il est pas assez bien pour toi mon trottoir ? » J’aurai pu rajouter une blague vaseuse sur le fait qu’elle fasse le trottoir maiiiis je me retiens. Il vaut mieux si je ne veux pas qu’elle prenne la poudre d’escampette. Encore. « Au fait... Ce space cake, j'espère qu'il est au chocolat?! Je ne sais pas pour toi, mais le chocolat est mon péché mignon...J'aime sa manière de fondre en bouche… » « Tu m’en diras tant… » Son regard sur mes lèvres, j’en profite pour y laisser glisser ma langue subrepticement. « On va rentrer… tu n’aimes pas mon trottoir. » Espérons qu’elle aime un peu plus mon canapé… Je me retourne et prends les devants, sentant son regard me brûler littéralement le creux des reins. J’ouvre la porte à l’aide de ma clé, et Cobain nous accueille en jappant. Je l’empêche de sauter, mais ça marche sur moi, pas sur notre invitée. « Cob ! Du calme un peu ! » C’est marrant, il a presque l’air content de la voir. « Bon, j’ai un peu pris les devants sur le space cake, j’en ai pas, mais on peut en faire un ! » Je la laisse prendre possession des lieux, retirer ce qu’elle voudra, manteau, chaussures, ou tout autre chose d’ailleurs. Je vais nourrir le chien et sors d’un tiroir de la cuisine un sachet d’herbes, et de quoi faire un gâteau, dont deux plaquettes de chocolat noir intense. « Tu m’aides ? » Je sors tous les ustensiles dont j’ai besoin et la regarde arrivée de sa démarche féline. J’ai juste envie de l’allonger sur l’ilot central de la cuisine là. C’est malsain…
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Lie me, I bite you! bite me, i ablaze you...[andrea]
Mer 17 Oct - 9:23
Andrea & Alicia
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« Au fait... Ce space cake, j'espère qu'il est au chocolat?! Je ne sais pas pour toi, mais le chocolat est mon péché mignon...J'aime sa manière de fondre en bouche… » Tout comme je me souviens du gout qu'il avait sur ses lèvres! A ce simple souvenir mon corps entier gagne deux degrés, une irrépressible envie de me saisir de sa bouche incendiant la mienne... « Tu m’en diras tant… » Humectant ses lèvres d'un subreptice mouvement de langue, celui ci n'en est pas moins indécemment sensuel, me forçant à arracher mon regard de cette bouche tentatrice, pour plonger de nouveau dans ses deux iris brunes. Animés d'une lueur indéfinissable, son regard embrase chaque partie de mon corps et tout particulièrement une. Je ne suis certes pas une pute, mais sous cette violente montée de fièvre, ce trottoir m'est comparable en cet instant à un hôtel cinq étoiles. Elle n'a qu'un geste à faire, un mot à dire pour que je comble cet espace entre nous de la plus fougueuse des manières...  « On va rentrer… tu n’aimes pas mon trottoir. » C'est vrai, je n'aime pas ce trottoir! Tantôt témoin de ma faiblesse, s'abreuvant allègrement de mes larmes; Tantôt théâtre de la naissance de passions enchainées, il en sait un peu trop sur moi, sur nous... Tournant talons, andrea ouvre le chemin dévoilant ses courbes dansantes. Je ne peux m'empêcher d'y porter un regard incandescent, mon corps grimpant en température, mon esprit se chargeant d'images toutes plus  voluptueuses les unes des autres. Ses hanches, ses fesses, ses cuisses mes yeux s'attardent sur chaque partie offerte, attisant un peu plus mon appétence.  Porche atteint, sa main glisse dans sa poche pour y retirer cette clé ouvrant la porte sur cet abysse dans lequel je m’apprête à sauter. Ais je peur? Oui! Ferais pour autant demi tour? Non, pas cette fois ci! "WOUF" La porte c'est à peine ouverte que Cobain se précipite pour accueillir sa maitresse. Seulement à mon grand étonnement, il passe devant la colombienne et saute sur moi, cherchant des câlins de sa truffe froide et humide... « Cob ! Du calme un peu ! » Souriant sous cette scène de déjà vu, je caresse avec tendresse cette boule d'énergie, lui glissant à voix basse un... "Oui du calme cob... Tu voudrais pas que j'attérisse de nouveau à l’hôpital..." Encore quelques grattouilles et prenant le relais de sa maitresse, cob m'invite à le suivre à l'intérieur... « Bon, j’ai un peu pris les devants sur le space cake, j’en ai pas, mais on peut en faire un ! » Je referme derrière moi tant bien que mal ayant cob dans mes pieds, non sans lancer à l'intention d'andrea un petit pic... "Humm, je ne sais pas si je peux te faire confiance! Il est rarement bon de s'improviser pâtissière, surtout ne t'y risque pas pour mes beaux yeux!!" Machinalement, j'ôte mes bottines noires que je laisse près de la porte, et relève les manches de mon haut noir en col v, m'imprégnant toujours plus de l'endroit pendant qu'andrea nourrit le chien... « Tu m’aides ? » Sortant de ma contemplation, je pose mes yeux sur la brune brandissant derrière l'ilot centrale, un sachet d'herbes.... " Et bien dites moi... Cela ne m'a guère l'air recommandé pour un coach sportif!!" Sa réplique me fait rire, et c'est secouant la tète que je la rejoint à la cuisine d'un pas félin. Lorsque j'arrive à sa hauteur, tout est déjà là! Ustensiles, ingrédients, supports... il ne manque que nos mains en action. Seulement ce n'est pas la confection de ce space cake qui occupe toutes mes pensées, mais belle et bien la colombienne! "Je vais te regarder faire si ça ne te dérange pas... (taquine) Après tout... Je suis ton invité!" C'est tout ce que j'ai trouvé comme excuse; Après tout, je ne peux décemment pas lui avouer  qu'un pas de plus me conduirait à la basculer sur cet ilot, quitte à y mettre le feu! Je souris sous sa réplique, mais celui ci disparait sous la réminiscence de cette petite danse sensuelle à laquelle je m'étais prêtée, dans la cuisine de notre appartement. Notre appartement... Cela sonnait tellement vrai et pourtant, rien n'avait été réel, ou du moins selon la réflexion d'un esprit cartésien. Glissant mes yeux de ses mains expertes, à ce visage vu de profil et empreint de sérieux; Je me mue en oiseau de proie, tournant autour de l'objet de mes désirs avec un appétit certains... Quittant sa droite, je passe lentement derrière son dos faisant un effort sur humain afin de ne pas me saisir de ses hanches. Joignant sa gauche regard rêveur, je replace dans un geste impulsif,  une de ses mèches de cheveux derrière son oreille. La douceur dont je fais preuve m'étonne moi même, mais n'abaisse en rien cette tension en mon corps se faisant de plus en plus douloureuse. L'odeur des barres de chocolat fondues nourrit mon imaginaire, amplifie la perversion de mon esprit tortueux. Si je ne voulais pas céder, il me fallait à tout prix prendre une..."(voix enraillée) Douche... Je souhaiterai prendre une douche, s'il te plait..." Je me sens scrutée, scannée sous son regard inquisiteur. Poursuivant, je tente de garder mon stoïcisme bien que je boue de l'intérieur... "Le petit bain publique ne m'a guère réussi... (me reniflant) J'ai l'impression d'avoir ramassé plusieurs "essences naturelles" dont je me serai bien passé! (sourire charmeur) Si madame voulait bien me prêter sa salle de bain, une serviette, ainsi qu'une chemise ou un haut, elle ferait de moi une femme conquise!" Conquise et plus assagie...   
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Lie me, I bite you! bite me, i ablaze you...[andrea]
Jeu 18 Oct - 15:15
« Oui du calme cob... Tu voudrais pas que j'attérisse de nouveau à l’hôpital… » Je souris en entendant la phrase de Leither, petit rappel à nos rêves imbriqués. J’avoue à la jeune femme que j’ai un peu menti sur le space cake, il n’y en a pas, mais il y a de quoi en faire un. « Humm, je ne sais pas si je peux te faire confiance! Il est rarement bon de s'improviser pâtissière, surtout ne t'y risque pas pour mes beaux yeux!! » Je ris un peu et hoche la tête. « Ça va, un gâteau au chocolat je risque pas grand chose. » Et puis je vis seule, fallait bien que j’apprenne à me servir de ma cuisine un minimum. Je fais pas non plus de la grande cuisine mais je me débrouille. Le space cake, c’est une formalité. « Et bien dites moi... Cela ne m'a guère l'air recommandé pour un coach sportif!! » J’arque un sourcil d’un air mutin, avant de hausser les épaules. « Je suis pas au boulot là, du moment que je suis redescendue pour mon prochain cours, y’a pas de risque. » C’est que de l’herbe, c’est pas une drogue dure. « Je vais te regarder faire si ça ne te dérange pas...Après tout... Je suis ton invité! » Je souris et continue de tout préparer pour le gâteau. « C’est vrai. » Oui c’est vrai, elle est mon invitée. Je la laisse me tourner autour comme un oiseau de proie, sa présence me fascine autant qu’elle me fait tourner la tête. J’ai du mal à me concentrer, et c’est pire encore quand elle vient glisser ses doigts derrière mon oreille pour remettre en place une mèche de cheveux. Je tourne la tête pour lui offrir un petit sourire, croisant son regard de braise. Grrrrr. Je serre un peu les mâchoires et détourne le regard, pour avoir au moins le temps de terminer ce foutu gâteau avant de la dévorer elle. « Douche... Je souhaiterai prendre une douche, s'il te plait… » Surprise par la manière dont elle en vient à me demander ça, je la regard et arque un sourcil. Là comme ça, une douche ? « Le petit bain publique ne m'a guère réussi... J'ai l'impression d'avoir ramassé plusieurs "essences naturelles" dont je me serai bien passé! Si madame voulait bien me prêter sa salle de bain, une serviette, ainsi qu'une chemise ou un haut, elle ferait de moi une femme conquise ! » Je laisse échapper un petit rire. « Il t’en faut peu pour être conquise… » Je balance le chocolat dans le bol, il manquera plus qu’à tout mélanger et mettre dans un plat direction le four. En attendant, je vais m’occuper de Leither. Enfin de sa douche. Enfin de lui montrer le chemin de la douche. BREF. « Je vais te trouver ça. » J’entre dans ma chambre et la laisse me suivre. En ouvrant le placard, je lui trouve un t-shirt et un de mes fameux petits shorts en coton. J’attrape une serviette propre et lui tends le tout après m’être retournée face à elle. « Tiens. Si t’as besoin dans la commode y’a des sous-vêtements. » On doit faire à peu près la même taille, du moins en bas, je pense que niveau poitrine je suis un peu plus fournie qu’elle. « J’ai rien à cacher. » Je lui offre un sourire taquin, sans oublier pour autant quelques petits accessoires plus ou moins planqués dans le 3ème tiroir. Je fais un signe de menton en direction de la porte de la salle de bain. « C’est par là bas. Si t’as besoin de quoi que ce soit t’as qu’à crier ! » Je lui souris et quitte la chambre, la laissant là seule, sans peur qu’elle ne découvre quoi que ce soit. Mon arme est toujours bien planquée dans le coffre fort au fond de mon armoire.
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Lie me, I bite you! bite me, i ablaze you...[andrea]
Ven 26 Oct - 23:25
Andrea & Alicia
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« Le petit bain publique ne m'a guère réussi... J'ai l'impression d'avoir ramassé plusieurs "essences naturelles" dont je me serai bien passé! Si madame voulait bien me prêter sa salle de bain, une serviette, ainsi qu'une chemise ou un haut, elle ferait de moi une femme conquise ! » Ou du moins elle contribuerait à  réguler la température de mon corps! Car à la voir là, à portée de mes mains, de mes lèvres, de ce corps douloureusement tendu... Hssss... Je ne m'aurait jamais cru capable de tant de self-control! Ma petite tirade la fait rire, tant mieux... Mieux vaut qu'elle s'amuse de la situation, plutôt qu'elle m'oppose un refus qui m'obligerait à la renverser abruptement sur ce plan de travail... « Il t’en faut peu pour être conquise… » C'est à mon tour de laisser échapper un rire aérien, secouant la tete sous cette réplique digne d'andrea. Peu... non! Les zorsini ne se contentent jamais de peu... Mais avec elle tout est différent, amplifié et merveilleusement grisant! Balançant le chocolat dans un bol, elle se tourne vers moi et taquine me lance un...  « Je vais te trouver ça. », ponctué d'un mouvement de son index, m'indiquant de la suivre. Je ne me fais pas prier, surtout que la suivre implique explorer le reste de son antre - et qui sait- peut être entre apercevoir sa chambre... Elle ouvre la voie, mais mon attention est très vite capté par ce mouvement naturel de hanches commun aux latines. J'esquisse un sourire en coin de lèvres, caresse de mes yeux sa silhouette, résiste à l'envie de glisser ma main le long de ce flan légèrement creusée. Je ris intérieurement, me moque de cet ascendant qu'à la colombienne sur mon esprit et mon corps; Clos les paupières sous cette avalanche de frissons alors que je la revois onduler des reins sous mes assauts. Aurais je été sous l'emprise de drogues que les effets seraient similaires à ceux qu'elle m'avait déjà fait ressentir, à ceux qu'elle parvenait à me faire ressentir en ce moment même et ce sans aucun contact!! Poussant une porte, elle pénètre dans ce qui semble être sa chambre, se dirigeant derechef vers un placard. Quand à moi je jette un regard à trois cent soixante degré, m'imprégnant des lieux. Les couleurs, les meubles, tout est raccord rendant l'ensemble doux et agréable. Mon regard s'attarde quelques instants sur ce lit large et tiré aux quatre épingles. Sous mes yeux se froisses alors les draps, happés par les mouvements fluides et volutes de nos sosies en proie à la passion... « Tiens. Si t’as besoin dans la commode y’a des sous-vêtements. » Arrachant mon regard de cette danse ardente, je pose celui ci sur les effets qui me sont tendus, prenant quelques secondes pour enfin réagir... "(encore absente) Merci... (réalisant soudainement, taquine) Attends... Tu m'autorise à fouiller dans ta commode?!" Répondant  par un petit sourire taquin, andrea s'éloigne...  « J’ai rien à cacher. » un "rien à cacher" qui sonnait à mes oreilles comme une invitation à pénétrer son intimité... « (m'indiquant la salle de bain) C’est par là bas. Si t’as besoin de quoi que ce soit t’as qu’à crier ! » Un sourire et la brune disparait me laissant seule dans sa chambre. Debout telle une statue, prise au dépourvue, je ne sais quelle attitude adoptée prise entre la curiosité et la bienséance; Regard faisant des allées retours de la commode à la porte de la salle de bain, je me balance telle une enfant sur la pointe de mes pieds, tentant temps bien que mal de me raisonner,  avant de lancer un petit cri de chouette et sautiller jusqu'à la commode, un large sourire étirant mes lèvres... "Sésame ouvre toi..." ouvrant le premier tiroir je tombe sur des sous vêtements des plus banales -à savoir- des brassières, des culottes et quelques petits shorts de nuit... "Erfff... Toi et tes éternels shorts!!" "fouillant" du bout des doigts pour voir un peu les diverses couleurs et styles présents, je secoue la tète sous certains shorts en coton qui mériteraient qu'on leur accorde leur  retraite... *Faudrait vraiment que je t'en apporte la prochaine fois!* A peine cette pensée a elle traversée mon esprit, que je me recule comme repousser violemment en arrière. "La prochaine fois" Cela signifiait que je me projetais déjà à un second "rendez vous", et cette facilité avec laquelle je l'avais fait, avait de quoi m'effrayer. C'était toujours comme cela avec la brune... Tout allait toujours vite, de plus en plus vite, les sensations et émotions gagnant toujours plus en violences et puissances. Dans cette tornade imprévisible et fluctuante, il était facile de perdre pieds, et tout sens des réalités. Mais qu'il était excitant de parfois lâcher prise, et se laisser porter au gré des vents... Me reprenant, je ferme le tiroir avec douceur afin de ne pas faire et bruit et ouvre le second encore choquée pour y découvrir des sous vêtements beaucoup sexy... "Hmmm, regardez moi ça!" Prenant un magnifique tanga en dentelle rouge, je le déplie pour mieux l'admirer et décide d'office de me l'approprier pour la soirée... "Voyons voir ce que cache le tiroir numéro trois..." Refermant le second, j'ouvre le troisième pour y découvrir des joggings en coton et des bas longs légers. Ils sont assez jolis, j'hésite meme à en prendre un lorsque je  tombe sur... "Qu'est que... (étouffant un cri d'exclamation) c'est pas vrai..." Tirant à moi une magnifique paire de menottes bracelets, celle ci draine à sa suite un feeldoe sous mon regard ahuri. Je pouvais entre apercevoir d'autres objets, mais j'étais bien trop sur le cul pour pousser plus loin ma curiosité. Bouche bée, je n'aurais jamais imaginé la brune puisse se servir d'un feeldoe ou de quelconques accessoires de la sorte. Les menottes, les cravaches, les bandeaux et autres, oui... c'était tout à fait son genre! Mais ça?!  *Ok lei remets tout ça en place!* Perturbé j'en viens meme à m'interpeller par mon deuxième prénom... "Une douche... Là il te faut une bonne douche froide!" Rangeant le tout - sauf le feeldoe - je me dirige vers la salle de bain et me glisse sous la douche, allumant à grands jets l'eau froide pour me remettre les idées en place... Cinq minutes plus tard, me voila de nouveau dans la chambre, jettent sans grande conviction un coup d’œil aux linges posés sur le lit . Le short coton et t-shirt, très peu pour moi!  J'avais envie de légèreté, en clair d'une bonne chemise sous laquelle enfiler ce petit tanga en dentelle rouge. Fouillant rapidement dans son armoire, je trouve une jolie chemise bleu clair que je mets rapidement en y relevant les manches; Puis je vêts à son tour le tanga. Prenant soin de plier mes effets, je glisse entre ceux ci le feeldoe, et rejoins andrea, déposant mes linges près du canapé... "(passant derrière elle, voix charmeuse) Je ne t'ai pas trop manqué?" L'odeur de chocolat qui empli la pièce, éveille mon appétit, mon ventre se manifestant... "Humm, ça sent super bon!!! (avançant ma main) Je peux gouter?!" Une bonne tape et un rappel à l'ordre acceuil ce geste de gourmandise, dessinant une moue boudeuse sur mes lèvres... "Si c'est comme ça que tu traites tes invités, moi je m'en vais!" Il n'existe rien de mieux que la bonne vieille technique de la bouderie, pour avoir ce que l'on veut; Et c'est amusée que la brune découpe un petit morceaux qu'elle me met en bouche... "Hmmmmmm délireux! Fè trop bon!!!" Bon pour l'articulation on repassera, mais une chose était sur, ce gâteau est une vraie bombe... Tendant de nouveau ma main, dans un tentative rapide de me saisir d'un autre bout; Je fus stopper net par une nouvelle tapette, andrea me rabrouant gentiment... "Ok, Ok madame rabat joie! Allez vous baignez que vous puissiez enfin remplir votre role d’hôtesse, à savoir, nourrir la pauvre âme que je suis!!" Mine boudeuse, croisant les bras sous sa remarque... "Et on ne se moque pas!!!" C'est vrai quoi!! J'avais prévenu à l'avance... le chocolat, c'est mon péché mignon!! "Allez hop hop hop! Vas te doucher, je t'attendrai sagement avec (regard brillant sur le gâteau)  cette merveille dans le salon!" Après je ne garantissais pas qu'il serait intact, mais je tacherai de lui laisser au moins deux belles parts!
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Lie me, I bite you! bite me, i ablaze you...[andrea]
Mar 30 Oct - 18:22
 « Merci… Attends... Tu m'autorise à fouiller dans ta commode?! » Quelle idée je n’ai pas eu là. Je sais bien que Leither est du genre curieuse, du moins, la Leither de mes rêves l’était, est-ce que cette version l’est tout autant ? A voir son regard pétiller, j’ai bien peur que ce soit aussi le cas. Malgré tout, il est vrai que je n’ai rien à cacher, si elle veut fouiller, qu’elle le fasse. Je doute que mes petits jouets la fassent fuir, sans doute même au contraire. Je m’amuse à imaginer la scène de Leither en train de fouiller dans mes tiroirs, parce que je sais que c’est déjà ce qu’elle est en train de faire. Retournant à la cuisine, je termine la préparation de mon brownie aux herbes, et l’enfourne dans le four déjà préchauffé. Ça ira vite, tant mieux. Il sera un peu coulant à l’intérieur. Pendant que j’entends la douche couler, j’en profite pour faire un poil de rangement, je dois m’occuper l’esprit pour ne pas être trop tentée de la rejoindre sous la douche. C’est vraiment difficile, mais je m’en sors pas trop mal. Finalement, je choisis de faire une petite crème anglaise pour accompagner la dégustation du gâteau. La sonnerie du four retentit et je sors le brownie. Il est parfait. Je commence à couper des petites parts et j’entends la voix de la blonde derrière moi. « Je ne t'ai pas trop manqué? » Un frisson parcourt mon échine et je souris. « Si, un peu, mais je m’en suis pas trop mal sortie, j’étais occupée. » Je termine alors de couper les parts quand la jolie princesse tente d’en piquer un morceau. « Humm, ça sent super bon!!! Je peux gouter?! » Je lui donne une tape sur la main, alors qu’elle affiche une moue enfantine, qui me fait rire. « Un peu de patience, il est trop chaud, et je voudrais finir ma crème avant. » « Si c'est comme ça que tu traites tes invités, moi je m'en vais! » Je ris un peu en secouant la tête. « Bon, d’accord. Melle l’impatiente. » Je me retourne et avance un petit morceau vers ses lèvres pour qu’elle ouvre la bouche, et je l’y place à l’intérieur. Elle baragouine un truc qui me fait rire, avant que je me rende compte de sa tenue. « Je vois que t’as trouvé ton bonheur… » Elle a donc bel et bien fouillé, et cette chemise lui va à ravir. Peut-être même un peu trop bien d’ailleurs. Ses longues jambes dévoilées, un nouveau frisson me surprend, alors que je l’empêche de piquer un autre morceau de gâteau. « Ok, Ok madame rabat joie! Allez vous baignez que vous puissiez enfin remplir votre rôle d’hôtesse, à savoir, nourrir la pauvre âme que je suis!! » Un sourire étire mes lèvres alors qu’elle me demande de ne pas me moquer. Trop tard. Je ricane un peu en secouant la tête. « Allez hop hop hop! Vas te doucher, je t'attendrai sagement avec cette merveille dans le salon! » Je secoue la tête. « N’y touche pas, y’a la crème qui va avec. Tu serais déçue de pas goûter les deux ensemble. Et il faut la surveiller, la remuer sans qu’elle boue. Tu peux faire ça ? » J’arque un sourcil, elle semble vouloir dire que oui, mais j’en doute un peu. Je lui fais quand même confiance et quitte la cuisine, me retournant sur mon chemin vers ma chambre. « Je te surveille, y’a des caméras partout ici fais gaffe ! » C’est pas vrai mais ça me fait rire. Je pénètre finalement dans ma chambre, me déshabille et fonds sous une douche brûlante. Je m’efforce de me dépêcher même si les images d’elle et moi dans cette douche me donneraient bien des envies d’autre chose. Finalement, je sors et vais chercher de quoi me vêtir un minimum. C’est alors que je me rends compte qu’elle a bel et bien trouvé quelque chose d’intéressant puisque ce petit jouet n’est plus à sa place. Secouant la tête, amusée, je choisis de quoi m’habiller, un sous vêtement assez sexy, un de mes shorts en coton un peu larges mais très courts, et un débardeur, évidemment sans soutien-gorge. Je reviens finalement dans le salon pour retrouver Leither. « Alors cette crème ? »
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Lie me, I bite you! bite me, i ablaze you...[andrea]
Mar 13 Nov - 6:08
Andrea & Alicia
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« Allez hop hop hop! Vas te doucher, je t'attendrai sagement avec cette merveille dans le salon! » Après je ne garantissais pas qu'il serait intact, mais je tacherai de lui laisser au moins deux belles parts; Du moins était ce l'idée... « (secouant la tete) N’y touche pas, y’a la crème qui va avec. Tu serais déçue de pas goûter les deux ensemble. Et il faut la surveiller, la remuer sans qu’elle boue. Tu peux faire ça ? » Je suis presque vexée qu'elle me pose cette question! C'est comme ci il est écrit sur ma tete " Attention danger en cuisine", ce que je suis il faut bien l'admettre. Mais je ne peux faire cet aveu à la brune, cela écornerait un peu plus mon image. Aussi d'un hochement sur de la tete, je lui fais comprendre que tout ira bien, chose qu'elle accueille par un léger haussement de sourcil, avant de finir par quitter la cuisine en direction de sa chambre aux mille et uns trésors. Lançant au loin d'un ton taquin... « Je te surveille, y’a des caméras partout ici fais gaffe ! » Son rire trouve écho au mien, et c'est un sourire tendre aux lèvres que je la vois disparaitre de mon champs de vision. L'envie de la suivre se fait sentir, surtout lorsque me viennent des images de son corps étreint entre vapeurs et gouttelettes d'eau chaude.  Mais rapidement un léger bruissement me rappel à l'ordre, et c'est en lâchant un juron que je me précipite sur la casserole afin de remuer cette maudite crème... "Ne surtout rien bruler... Tu peux le faire!" J'abaisse le feu et remue encore et encore quitte à faire tourner cette pauvre petite crème, car il est hors de question que j'ajoute à mon casier déja conséquent, un autre fait à charge... Deux ou trois minutes plus tard, je peux enfin éteindre le feu et respirer, le pire ayant été évité! "(m'auto congratulant) C'est qui la chef cinq étoiles?! Ça mérite bien une récompense!!" Prenant une part de gâteau pas peu fière de moi, un petit aboiement se fait entendre à mes pieds... "Chuuuuuuuut! Tu veux que je me fasse prendre ou quoi!!" Émettant un petit gémissement, de sa patte cobain vient gratter ma jambe, réitérant son aboiement tout en remuant la queue... " (outrée) Espèce d’escroc!!! Tu n'auras rien! Je ne cède pas au chantage!" Poussant un gémissant plaintif, cobain aboie plus fort , réitérant son petit manège avec sa patte.... "Chuuuuuut!! Ok OK, j'vais te donner un p'tit quelque chose; Mais pas ça! Le chocolat c'est pas bon pour toi!" Posant mon index sur mes lèvres, je lui fais signe de me suivre et ouvre le réfrigérateur en quête d'un morceau de jambon ou autre, afin de monnayer son silence... "(attrapant le jambon) Tiens voila espèce de traite!" Ne se faisant pas prier, cob se jette sur le morceau tendu, non sans gratter de nouveau ma jambe... "Mais c'est pas vrai!! T'es vraiment ventre sur pattes!" Lui tendant un autre bout, j'en profite pour mordre dans mon bout de gâteau... "(bouche pleine) Franzement tu me dévois! On est sencé être potres!" A cette veine tentative d'amadouement, je n'ai pour seule réponse qu'un nouveau grattage de jambe et un léchage de babines. Bon ben pour le "potes" on repassera... le rat!
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Trois minutes plus tard...

Ayant déposé au milieu de la table basse, un plat contenant deux morceaux de gâteaux -le reste se trouvant dans mon ventre - ainsi qu'un pot de crème; J'attends assise sur le fauteuil le retour d'andrea, son maitre chanteur à mes pieds. Absorbée par la discussion que j'ai avec cob, je n'entends pas la brune revenir et poursuis bouche pleine... "... elle m'éverne, mais elle est cros grrrr pour que je la tue!" Lui tendant le dernier bout de jambon, celui ci remarque en premier la présence de sa maitresse, avant meme que je ne perçoive sa voix... « Alors cette crème ? » Et merde! Cette scène c'est du déja vu! Bon la dernière fois c'était différent et c'était un kébab et non du jambon, mais la réaction de la brune n'avait pas été des plus chaleureuse, aussi je ne lui laisse guère le temps de dire quoi que ce soit et enchaine en pointant le chien du doigt... " C'est sa frote!! J'ai du azeter son silence!" De suite, comme cherchant à se défendre, Cob lâche un gémissement désapprobateur avant de se lever la tete basse, les oreilles tombantes, et de raser rapidement le sol afin de fuir la scène du crime, me laissant seule face à l'orage à venir... "(suivant du regard cob) LACHEUR!" Reportant mon regard sur andrea, me préparant à recevoir la foudre, je n'en remarque pas moins sa tenue trèèèèès courte laissant la part belle à l'imaginaire. Sourire en coin de lèvres, me parant de ma plus trognonne des bouilles et voix, j'avance ma ligne de défense avec l'espoir de calmer la panthère... "Avant que tu dises quoi que ce soit, sache qu'étant ton invité j'ai droit à des passes droits, et que je t'ai laissé deux grosses parts de gâteau!!" Appuyant le tout de petits battements de cils, je tente d'amadouer la colombienne du mieux que je peux. Dans tous les cas, je saurai me faire pardonner d'une manière ou d'une autre...
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Lie me, I bite you! bite me, i ablaze you...[andrea]
Jeu 29 Nov - 14:57
Lorsque je sors de la douche, je dois dire que je me sens bien mieux. Ça ne sent pas le crâmé dans toute la maison, c’est une bonne chose, du moins je crois. On sent bien le chocolat par contre, ça me chatouille les narines. J’arrive dans le salon et mon regard se pose immédiatement sur Leither, étendue sur le canapé, pour ne pas dire échouée d’ailleurs. Puis mes yeux accrochent le plat avec le gâteau dont plus de la moitié a disparu et mes yeux s’agrandissent sous cette découverte. Sérieux ? Mais avant qu’elle ne me voit arriver, je l’entends parler avec mon chien, et lui donner un morceau de jambon, et c’est sans doute ça qui m’irrite le plus au final. « C'est sa frote!! J'ai du azeter son silence! ». Cobain sait qu’il n’a pas le droit de manger n’importe quoi et il va se coucher comme une crêpe, les oreilles basses. « Tu fais chier ! Faut pas lui donner n’importe quoi ! J’espère que tu lui as pas donné de gâteau ! » Elle est inconsciente, alors lui donner du chocolat, et pire de l’herbe, ça ne m’étonnerait qu’à moitié, mais dans ce cas, faut que j’amène directement mon chien chez le véto. « Avant que tu dises quoi que ce soit, sache qu'étant ton invité j'ai droit à des passes droits, et que je t'ai laissé deux grosses parts de gâteau!! » Je secoue la tête à la négative. « Passe doit rien du tout ! » Elle s’est crue chez elle ou quoi ? Et puis faut qu’elle arrête de me regarder comme ça. Je soupire et détourne le regard, les sourcils froncés. Je prends une part de gâteau et fais couler de la crème dessus. « T’es pas drôle. T’as pris de l’avance, regarde toi t’es déjà défoncée. » Je me fous même un peu de sa gueule. Je vais pas flinguer la soirée en l’engueulant comme une enfant, ce serait ridicule. « Tu sais pas ce que j’ai foutu dedans en plus de l’herbe, t’as confiance en moi ! » Que je lui dis sans croquer encore dans mon gâteau. « T’es facile à droguer, c’est bon à savoir. Tu me dis quand tu commences à sentir les picotements dans tes doigts et tes pieds, comme ça j’pourrai abuser de toi autant que j’veux. » Je souris, malicieuse, et me relève toujours sans manger mon gâteau, pour aller chercher à boire. « Ça va ? » que je lui demande, amusée. Je sais pas si elle va y croire, j’en doute, mais je peux continuer de jouer la comédie. « Au fait… j’tai pas dit que j’avais rien à caché pour que tu fouilles ! » J’avale le contenu de mon verre et reviens dans le salon. « T’as trouvé ton bonheur ? » J’arque un sourcil et me laisse tomber dans le canapé près d’elle, nos peaux qui se touchent et mon coeur qui s’affole. Pourquoi elle me fait autant d’effet hein ? Pourquoi ?
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Lie me, I bite you! bite me, i ablaze you...[andrea]
Lun 17 Déc - 1:25
Andrea & Alicia
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« Avant que tu dises quoi que ce soit, sache qu'étant ton invité j'ai droit à des passes droits, et que je t'ai laissé deux grosses parts de gâteau!! » Bon y'a mieux comme excuse, mais sous les effets de ce magnifique space cake, mes armes de prédilection pour me sortir des pires situations - à savoir mon esprit et une bonne répartie - ne sont guère opérationnelles... « Passe doit rien du tout ! » Okkkkk! *Tactique 48 licia: Yeux de biche et moue trognonne!* Ni une ni deux, je mets à exécution mon plan afin d'amadouer l'ours qui me fait face... Son regard, ses sourcils froncés, ses traits plus marqués, cette bouche boudeuse, jusqu'à ce petit renfoncement de nez; Tout sur le faciès de la brune témoigne de sa contrariété, ce qui la rend en passant terriblement sexy... Accentuant mon petit regard de biche perdue au fin fond de la forêt, je sens andrea flancher peu à peu, ses traits se lissant un peu plus à chaque seconde écoulée, jusqu'à ce qu'un long et bruyant soupire d'exaspération ne s'échappe d'entre ses lèvres. Arrachant son regard au mien, elle se sert une part de gâteau, coulant la crème chaude dessus non sans rouspéter légèrement de nouveau... « T’es pas drôle. T’as pris de l’avance, regarde toi t’es déjà défoncée. » Défoncée oui, mais encore maitresse de mes gestes, bien que je n'allais surement pas tarder à ne rien contrôler du tout... « Tu sais pas ce que j’ai foutu dedans en plus de l’herbe, t’as confiance en moi !  T’es facile à droguer, c’est bon à savoir. Tu me dis quand tu commences à sentir les picotements dans tes doigts et tes pieds, comme ça j’pourrai abuser de toi autant que j’veux. » J'éclate de rire sous son petit sourire malicieux et ses sous entendus. Taquine elle retarde la dégustation de son gâteau, part en quête d'alcool, croit jouer avec mes nerfs avec son... « Ça va ?» lancer avec malice; mais en faite elle ne parvient qu'à attiser un peu plus ma faim..."Je te remercie de t'inquiéter pour moi, mais... (sourire taquin) Je me porte comme un charme! (mordant délicatement dans ma part de gâteau) D'ailleurs, ce gâteau est une merbeille!" Bouche moins pleine, ça donnerait "merveille", mais je ne doute pas que la brune m'ait parfaitement comprise... « Au fait… j’tai pas dit que j’avais rien à caché pour que tu fouilles ! » Doigts posés sur mes lèvres, je feins la surprise... "Abon??! Il me semblait pourtant que cela était au contraire, une invitation à une prospection de fond! (large sourire en coin) Oupsss, j'ai du mal comprendre!" Regard malicieux posé sur ma personne, andrea avale d'une traite sa boisson avant de me demander taquine... « T’as trouvé ton bonheur ? » Mon bonheur je ne sais pas, mais j'avais effectivement trouver quelque chose de humm, comment dire?!... Quelque chose d’intrigant! Sourcil arqué, andrea s'affale à mes cotés sur le canapé, me frôlant au passage. De suite, ma peau réagit se parsemant de petits grains, tandis que mon regard se fait plus animal. D'ailleurs celui ci trouve écho au sein, qu'elle ne tarde pas à détourner mordant dans son gâteau l'air de rien... "Tu sais..." Posant mon index sous son menton, l'invitant à tourner son regard vers moi, je ne masque rien de ce feu naissant en moi, et poursuis d'une voix chaude  appuyant mon regard sur chaque élément cité... "... Chaque fois que tu feins que ma bouche, mon regard, ma peau n'éveillent rien en toi... ton regard te trahi!" Posant mon front sur le sien, je caresse du bout de mon nez le sien, maintenant mes lèvres à un dixième de centimètres des siennes, sans jamais combler totalement le vide... "... Et oui, j'ai trouvé quelque chose dans ce tiroir... (souffle chaud) Quelque chose que je n'aurai jamais pensé trouver en ta possession..." Pupilles étincelantes, j'ancre mes yeux aux siens la dévorant littéralement du regard. Le simple fait de la penser avec d'autres éveil en moi une jalousie malsaine, mais de l'imaginer dans ce genre de scénarios... de suite cela excite mon esprit de compétition, un besoin irrépressible de les sur-classer toutes germant de cette graine du nom de jalousie! "Dis moi, combien en as tu possédé de la sorte? (flamme de jalousie  au creux des iris) Et surtout, combien d'entre elles t'ont possédés de la sorte?" Aussi irrationnel que cela pouvait l'être, j’éprouvais déja un fort sentiment de possession à l'égard de la colombienne. Je la voulais pour moi et moi seule, mais surtout je voulais qu'elle me désir moi et moi seule! 
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Lie me, I bite you! bite me, i ablaze you...[andrea]
Jeu 3 Jan - 17:12
Je suis un peu déçue de voir qu’elle a pris de l’avance, que ses pupilles sont déjà dilatées par la drogue ingérée à travers les morceaux de ce brownie qu’elle a littéralement dévoré. Je me laisse tomber à ses côtés et, joueuse, tente de lui faire croire que j’ai mis autre chose dans le gâteau. Gâteau que je ne mange pas immédiatement pour faire croire à mon subterfuge, et me lève pour aller nous chercher une bouteille d’alcool. Tant qu’à faire, autant faire les choses en profondeur. Sans mauvais jeu de mot. « Je te remercie de t'inquiéter pour moi, mais… Je me porte comme un charme! D'ailleurs, ce gâteau est une merbeille! » De toute évidence, elle n’a pas peur de moi, et ne croit pas un seul instant que je puisse lui vouloir du mal. En même temps, je l’ai peut-être sauvée d’un truc franchement glauque ce soir alors que j’aurai pu la balancer à mes collègues. Je suis complètement cinglée, c’est de pire en pire. Je reviens près d’elle et lâche d’un air nonchalant qu’elle n’était pas obligée de fouiller dans mes tiroirs. Le pire c’est qu’elle n’a pas fait ça en cachette, elle a fait en sorte que je me rende compte qu’elle l’avait fait. Cette manipulatrice. « Abon??! Il me semblait pourtant que cela était au contraire, une invitation à une prospection de fond! Oupsss, j'ai du mal comprendre! » Je lève les yeux au ciel en riant un peu, avant de lui demander si elle avait trouvé son bonheur. « Tu sais… » je sens son index se glisser sous mon menton pour faire tourner mon visage et mon regard dans sa direction. Je la laisse faire, continuant de mâcher ma bouchée avant de l’avaler. « Chaque fois que tu feins que ma bouche, mon regard, ma peau n'éveillent rien en toi... ton regard te trahi! » Mon coeur s’emballe légèrement alors que je ferme les yeux, sentant son visage s’approcher, son front se poser contre le mien. Sa voix me rend folle, l’odeur de sa peau me rend folle, je me sens comme un animal en quête de la possession de sa proie, et je ne suis pas sûre d’aimer vraiment ça. « ... Et oui, j'ai trouvé quelque chose dans ce tiroir... Quelque chose que je n'aurai jamais pensé trouver en ta possession… » Une vague de chaleur s’immisce en moi alors que je sens ses lèvres si près, son souffle qui se mêle au mien, mais je ne lui ferai pas ce plaisir que de réduire à néant la distance entre nos lèvres. J’ouvre les yeux pour la regarder, fondant littéralement sous l’intensité de son regard dont les pupilles sont si dilatées qu’on ne discerne presque plus ses iris bleutées. « Dis moi, combien en as tu possédé de la sorte? Et surtout, combien d'entre elles t'ont possédés de la sorte? » Un sourire étire mes lèvres en comprenant immédiatement son esprit de compétition, sa jalousie latente qu’elle n’a jamais voulu assumer. « Trop pour que ce soit permis de le dire. » Ce n’est pas vrai, mais je m’en fous. « Par contre, aucune n’a encore réussi à me posséder. Et c’est pas ce soir que ça va commencer. » Je sais qu’en lui disant ça, je lui lance un espèce de défi, c’est volontaire, j’attends de voir jusqu’où elle compte aller. Je me détourne de son regard, un sourire mutin au coin des lèvres, et croque dans mon gâteau avec envie. « Pourquoi ça t’intéresse tant ? A moins que ce soir seulement de la curiosité ? Ça t’intrigue ? » Je la regarde à nouveau et lui souris, joueuse. « Ou tu sais pas comment ça marche..? » La je me fous d’elle, j’ai cette étrange envie de la voir toujours en colère, je crois qu’elle me rend folle quand elle est en colère.
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Lie me, I bite you! bite me, i ablaze you...[andrea]
Jeu 3 Jan - 19:20
Andrea & Alicia
Lie me, I bite you! bite me, i ablaze you...

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"Dis moi, combien en as tu possédé de la sorte? (flamme de jalousie  au creux des iris) Et surtout, combien d'entre elles t'ont possédés de la sorte?!" L’intonation de ma voix, l'intensité de mon regard, tout trahi ce sentiment de jalousie qui étreint ma gorge... Erff même ça, je n'arrive pas à le cacher! Liciaaaa... je t'ai connu plus fine que cela! Le problème étant qu'avec la colombienne, rien ne semble en mon contrôle. Un regard, une caresse, un frôlement suffisent à incendier tout mon être; Tout comme une lueur de défi, un sourire mesquin ou une parole éveillent instantanément fureur et désir de vengeance. En clair, elle appelle autant mon coté clair que sombre, soufflant à sa guise le chaud et le froid; jouant de ses charmes et cette emprise malsaine qu'elle a sur moi... Que je hais ce petit sourire victorieux qui étire ses lèvres, cette satisfaction à voir qu'elle me fait de l'effet, et pire... que j'aspire à évincer toute concurrence! Et merde, reprends toi!... « Trop pour que ce soit permis de le dire. » Oui mais comment le faire, alors meme qu'andréa perfide et joueuse, continue de me titiller ouvertement... « Par contre, aucune n’a encore réussi à me posséder. Et c’est pas ce soir que ça va commencer. » J'esquisse un sourire en coin, un sourire que je veux léger mais qui sous entend bien des choses... Elle le sait... elle le sait qu'en sortant ce genre de choses, elle excite mon esprit de compétition; Elle le sait et elle en joue, la garce! Une part de moi effacerait bien son sourire narquois de la plus brutale des façons; Mais l'autre révérait de dévorer cette bouche de petite salope imbue de sa personne, et en ressortir en un long gémissement sa reddition! Détournant son regard du mien en une énième bravade, elle poursuit son "attaque" visant cette fois ci mon orgueil.. « Pourquoi ça t’intéresse tant ? A moins que ce soit seulement de la curiosité ? Ça t’intrigue ? » Andrea andrea andrea... La limite était fine entre un simple départ de feu et un brasier, seulement la brune était comme toutes ces personnes aimant jouer avec le feu... elle ne mesurait le danger qu'une fois la catastrophe annoncée! Son regard se pose de nouveau sur moi, son faciès affichant toujours ces rictus narquois qui m'agace profondément. Ne pas céder, ne pas lui faire ce plaisir! Voila ce que je ne cesse de me répéter, alors qu'elle achève son avancé de pions par un sarcastique... « Ou tu sais pas comment ça marche..? » Nerveux, incontrôlable, aux légères teintes sombres, mon rire résonne dans la pièce alors meme que j'agrippe de ma main droite, un pan de fauteuil situé au niveau de mon mollet. Rire... mieux valait cela plutôt que me jeter sur l'impudente et libérer ce coté bestial de ma personne. Il ne se révélait qu'à de très rares occasions souvent précédées par de longues et stressantes périodes au sein de la lagrima. Dans ces moments, je perdais tout sens de douceurs, laissant libre cours à mes instincts les plus bas, à ces pulsions peu communes... D'ailleurs, afin de ne brusquer personne, je frappais toujours à la meme porte; Jane étant passée maitre dans l'art d'apaiser cette part bien terrée de ma personne... Avais je envie de montrer ce coté à la brune?! Non! Car m'ouvrir de la sorte lui laisserait entrevoir la zorsini en moi, et il était hors de question que je l'entraine sur ce chemin. Alors comment ruser? Comment cacher ce qu'elle ne cessait de vouloir mettre à jour? Comment?! *En feignant licia... En jouant tout comme elle sur les mots...* Me calmant, j'arbore à mon tour un magnifique sourire et sors de la plus naturelle des manières un... "Disons que n'ayant guère fait étalage de tes "talents", je préfère m'en tenir au basique...Tu sais ce qu'on dit... (me saisissant de la bouteille pour en boire une belle rasade au goulot) ... Il n'y a rien de plus tragique qu'un homme déçu dans ses espérances par une réalité médiocre..." Pic lancé, je continue l'air de rien comme elle le faisait si bien, profitant pour à mon tour enfoncer le poignard... "Il n’empêche que tu as un merveilleux talent pour ce qui est de mettre les sens à vifs... Ce gâteau est une pure merveille!" En gros je lui reconnaissais le talent d'allumeuse et connaissant un peu la colombienne, elle comprendrait très bien l'allusion.. Allusion qu'elle gouterait peu, ce qui me mettait déja en joie!
©️ code par Nostaw.
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Lie me, I bite you! bite me, i ablaze you...[andrea]
Lun 7 Jan - 11:02
Un rapport de force, voilà à quoi se résume notre relation, depuis toujours. Que ce soit celle que nous avons vécu de manière astrale ou celle-ci, c’est toujours la même chose. Une sorte de ‘fuis moi je te suis, suis moi je te fuis’ en résumé. J’aime sentir sa jalousie, son attirance, tout comme elle semble savoir qu’elle pourrait me faire chavirer en un rien de temps. Et pourtant je tiens bon, jouant sur le fil du rasoir jusqu’à ce qu’elle explose, ou que j’implose. Je continue de jouer, comme j’en ai toujours eu le plaisir. Je la taquine, la provoque, sentant monter en elle une certaine pression qui a le don de me rendre complètement folle. J’attise le démon en elle, cherchant à la faire sortir de ses gonds, parce qu’elle ne m’apparait que plus désirable chaque fois que je vois dans son regard cette lueur démoniaque. J’ignore ce qui me plait en elle lorsqu’elle est en colère ou blessée, mais ça me rend folle. Mon côté taré et manipulateur, ça doit être ça. Je suis à deux doigts d’arriver à mes fins quand je vois qu’elle bifurque, comme si elle avait appuyé sur le bouton de décompression interne. Elle se calme et même si ça m’intrigue, j’aurai préféré la voir s’énerver. « Disons que n'ayant guère fait étalage de tes "talents", je préfère m'en tenir au basique...Tu sais ce qu'on dit… Il n'y a rien de plus tragique qu'un homme déçu dans ses espérances par une réalité médiocre… » Je ris à sa phrase, parce qu’au fond d’elle, je sais qu’elle sait très bien de quoi je suis capable. Je ne suis pas totalement folle, on a vécu quelque chose avant cette vie là même si je suis incapable de dire quoi et d’expliquer quoi que ce soit. Mais je ne l’ai pas vécu seule. Beaucoup de détails le prouvent, et ce soir elle essaie seulement de me pousser dans mes retranchements. « Il n’empêche que tu as un merveilleux talent pour ce qui est de mettre les sens à vifs... Ce gâteau est une pure merveille! » Je la regarde en souriant, complice. J’ai bien saisi ce qu’elle voulait dire de manière détournée. « J’ai pas eu besoin que tu l’avoues, tu as tout mangé, c’est la plus belle preuve qu’il t’a plu. » Petit sourire taquin, je récupère le dernier morceau avant de me lever pour aller déposer le plat vide dans l’évier. Le morceau de gâteau désormais dans mon estomac, je reviens près d’elle en me laissant tomber dans le canapé, suçotant mes doigts pour n’en perdre aucune miette, et pour attiser en elle un peu plus la flamme du désir. C’est sans aucun doute mon jeu préféré. « Hum. Je pensais pas que tu étais de cette catégorie de gens qui s’en tiennent au basique. » Une fois fini d’avoir léché mes doigts de manière sensuelle, je replonge mon regard dans le sien. « Je te croyais plus aventureuse que ça. Je suis déçue. » Je fais une petite moue mutine avant de sourire. « Oh, tu sais ce qui manque ? » Je me lève à nouveau et me dirige vers la chaîne pour l’allumer, et connecte mon téléphone en bluetooth, revenant vers le canapé pour choisir une playlist sur mon application musicale. Je choisis volontairement quelque chose de cosy, un peu sexy et sensuel. « Parfait, on pourrait presque tourner un film porno avec ça ! »
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