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Aprends moi. ( Ziago

 :: Take me away :: flashback
Zéphyr Ucello
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Aprends moi. ( Ziago Ac18afa5d1f59e5b9418f6bead8d960068759935

• âge : 33
• pronom : Il
• côté ♥ : Perdu entre un coeur auquel il se sait déjà attaché et un coeur qui va lui falloir apprivoiser.
• orientation : Il aime les hommes comme les femmes, l'essentiel c'est le plaisir éprouvé et donné. Bi sexuel assumé.
• occupation : Strett artist mais pour vivre obligé de faire plein de petits boulots
• quartier : Pas de domicile fixe, dort à la belle étoile quand le temps le permet. Ne supportant pas d'être enfermé.
• avatar : Ho-seok Lee (Wonho)
• crédits : thepsthings (avatar) vmicorum. (sign)
• messages : 329
• date de naissance : 15/12/1990
Zéphyr Ucello
Aprends moi. ( Ziago
Mar 25 Jan - 11:16
ft Iago
cette vision de la douceur d'une vie à deux d'une vie avec toi.
Un sourire étire tes lèvres.
Alors que tu reçois les billets.
Fruits d'un travail gardé quelques semaines.

Toi qui est du genre à ne pas t'impliquer là tu as fais les efforts nécessaire pour respecter les dates notées sur le contrat. Tu voulais essayer de voir ce que cela pouvait faire de te retrouver tous les jours au même endroit. Bon tu bossais dans une ferme, alors la sensation d'enfermement était moins imposante. Pas sur que tu es aurais tenu le rythme si tu avais été plongeur dans un restaurant. En tout cas tu es fier de toi et de cet argent que tu serres comme un trésor précieux.
Riche récolte de ton dur labeur.
Puis tu reprends tes affaires et le chemin de L.A que tu as un peu délaissé le temps d'accomplir ta tache. Et la première chose que tu as envie de faire en rentrant c'est d'aller voir ton Iago. Il t'a horriblement manqué et tu es impatient de le revoir. Vous avez échangé des messages, pour une fois tu as abusé de ton téléphone et tu as fais attention de ne pas le perdre. Car tu voulais garder le contact. Dans le bus qui te ramène tu te demandes si tu dois lui envoyer un sms pour lui faire part de ton retour, car tu es resté assez vague que la date de celui-ci. Mais au final tu préfères passer sous silence ce fait et lui faire une surprise. Durant le trajet alors que tes yeux se perdent sur les paysages qui défilent, tu te demandes ce que tu pourras faire de cet argent. Tu n'as pas l'habitude d'en avoir autant et tu veux le dépenser intelligemment.
En priorité faire plaisir à ton Iago.
Le gâter et lui montrer de quoi tu peux être capable.
Quand la tempête n'effleure pas ton être.
Quand tu deviens un adulte responsable.


Et une idée te vient, bon tu n'es pas un grand chef cuisinier mais tu dois pouvoir te débrouiller un peu pour vous préparer un petit repas sympa. Un instant pour vous, de quoi réchauffer ton cœur et ton âme et combler le manque que cet éloignement a causé. Tu te dis que ton Iago devrait apprécier un petit repas "en amoureux" chez lui, il sera plus à son aise que dans votre repère secret. Même si tu sais qu'il aime venir t'y retrouver. Venir t'y voir dessiner. Parce que cet endroit reste symbolique pour vous deux. Tu profites du trajet pour faire une petite liste des articles dont tu auras besoin. Cherchant dans tes souvenirs des idées de recette, parce que tu ne veux pas lui faire un sandwich. Et une fois arrivé tu files dans une épicerie, tu traînes un peu dans les rayons pour trouver ton bonheur. Te grattant la tête devant les étalages. Soupirant parce que le choix est large. Tu t'arrêtes même au rayon magazines pour regarde ceux qui parlent de cuisine et tu tombes sur une idée qui semble ne pas être trop rude à faire.
Un brunch.
Avec œufs brouillés, bacon, avocat, salade de fruits et petites crêpes. Tu pars sur cette idée assez simple. Et par sécurité tu mets le magazine dans ton panier vu que tout y est expliqué, même la mise en place de la table. Tu achètes les divers ingrédients, tu prends aussi des petites bougies, un bouquet de fleurs.
Peut que les bougies et les fleurs c'est tout much.
Pas dans le style de ton Iago, ni dans le tien.
Mais tu veux vraiment marquer le coup.

Et une fois ton panier plein tu passes à la caisse. Toi qui la plus part du temps achète un paquet de pain de mie, te voilà avec deux sacs bien rempli et un bouquet à la main. La caissière te sourit et tu lui rends son sourire tout en réglant ta note. Et tu prends la direction de l'appartement de ton amant.
Heureux comme un gamin.

En chemin tu te demandes si Iago sera chez lui, Ce qui ne pose pas de problème en soit car tu as un jeu de clé, dont tu n'abuses jamais. Et plus tu avances et plus tu es impatient de le serrer contre toi. Ton cœur explose même à cet idée.
Il t'a manqué.
Terriblement manqué.
Même si tu ne lui avoueras pas.
Idiot que tu es.

Tu arrives devant la porte. Tu frappes parce que tu veux savoir s'il est là, et que bon même si tu es un courant d'air, tu as un minimum d'éducation. Pas question d'entrer chez ton Iago comme un vulgaire voleur. Et quand tu entends sa voix tu ouvres la porte.
« Coucou c'est moi je suis rentré. »
Tu poses les sacs dans le couloir, tu les récupéreras après. Et tu avances bouquet de fleurs à la main, sourire aux lèvres. Tu le regardes, le détailles avant de tomber dans ses bras. Profitant de son parfum, de sa chaleur. Laissant tes lèvres goûter à sa peau avec tendresse et douceur.
« Tu vas bien ? Et tiens c'est pour toi. Et pas de remarque d'accord. »
Parce que des fleurs offertes par un mec à un autre mec, cela peut paraître bizarre et encore plus venant de toi. Puis un baiser unit vos lèvres, exquise saveur qui vient caresser ton échine. Et dont tu as été privé trop de temps.
« Attends je reviens. »
Et tu files dans le couloir pour récupérer les sacs de courses. Que tu montres fièrement quand tu retrouves le salon.
« Tadam. Aujourd'hui je vais jouer le chef cuisinier. J'ai tout prévu, tu n'auras qu'à me regarder faire et puis t'installer pour savourer. Je m'occupe de tout. »
Et tu poses les courses sur la table sortant un à un les ingrédients, puis le magazine et enfin les bougies.
Le regard pétillant de la surprise que tu prépares.
Le cœur ivre d'être là à ses côtés.
L'âme en paix de le retrouver.
Enfant amoureux que tu es sans oser l'avouer.


vmicorum.
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Iago Romano
Iago Romano
Iago Romano
Aprends moi. ( Ziago Tumblr_o48huhYmMQ1uu8iaio5_250

• âge : 35
• pronom : il.
• côté ♥ : C'est compliqué. Officiellement célibataire, il prétend être le plus hétéro des hommes. Il a conscience du dégout que son homosexualité peut représenter dans son milieu. Il enchaine les conquêtes féminines pour camoufler les apparences. Son cœur est partagé entre deux hommes : son meilleur ami, celui avec qui il a tout expérimenté et celui qui lui a sauvé la vie sur le champ de combat.
• orientation : Hétérosexuel en apparence, homosexuel en réalité.
• occupation : Ancien sergent dans l'armée de terre. Il a quitté les rangs de l'armée à la suite d'un attentant en milieu hostile. Il y a perdu sa jambe gauche. Aujourd'hui, il a une prothèse bionique qu'il camouffle sous ses jeans. Il est apprenti tatoueur dans un salon, ce qui lui permet de se maintenir loin des affaires de la famille, mais pour encore combien de temps ?
• avatar : Andre Hamann
• crédits : @Eilyam
• messages : 233
• date de naissance : 25/11/1988
Iago Romano
Aprends moi. ( Ziago
Mer 26 Jan - 12:33
ft Zéphyr
cette vision de la douceur d'une vie à deux d'une vie avec toi.

Les journées passent et se ressemblent. Cette nouvelle routine change tellement de celle qu’il a eu au sein de l’armée qu’il semble encore avoir du mal à s’y habituer. Parfois, elle est agréable. Il sait qu’aujourd’hui, il est dans sa patrie et que les risques qu’il peut rencontrer sont d’une nature totalement différente de celle qu’il a pu affronter sur le terrain dans des pays décimés par une guerre ou des tensions et où son rôle était d’essayer de maintenir la paix. Une paix souvent chèrement payée, mais il sait à quel point son poids était minime dans ces affaires politiques internationales. Il faisait ce qu’il pouvait pour protéger ceux qui étaient sous sa responsabilité. Aujourd’hui, il n’a plus cette lourde tâche. Il est revenu à la vie civile, avec des séquelles qu’il a dû apprendre à accepter et à vivre avec. Cela n’a pas été simple et heureusement qu’Alessandro était à ses côtés, sans quoi, il n’est pas certain qu’il aurait pu retrouver assez de force et de courage pour revenir à Los Angeles. Cette ville qu’il avait fuie, car il ne voulait pas de la vie qui l’attendait alors qu’il était en proie à une affection qui le rendait si heureux et si tourmenté à la fois avec un besoin de possession qui aurait pu détruire la beauté de ce lien. Il n’a plus rien de cet enfant rêveur, désireux de se sevrer d’un sentiment qui ombrageait parfois ses pensées. Il a désormais la faculté de prendre du recul, d’accepter le besoin d’évasion de sa colombe, car elle finit par toujours revenir se poser sur lui. Une preuve de l’amour qu’elle lui porte et de ce lien inaliénable qui n’a fait que se renforcer au fil des années depuis son départ. Iago se contente de ce simple bonheur. Sa nouvelle vie à Los Angeles est bien plus paisible que celle qu’il a eu juste avant ou durant son adolescence. Il sait qu’il doit cette sérénité à Ugo, son jumeau, qui le protège, qui a chargé ses hommes de passer sous silence son retour aux anciens. Il sait qu’il a de la chance que la plupart de ses gamins, qui étaient à l’époque ses amis, ont toujours accepté sa différence, son besoin de s’évader. Parfois, il les croise dans les rues de Los Angeles, même s’il essaye d’éviter les endroits où il sait que sa famille fait affaire. Un sourire, un geste de la tête pour notifier qu’on a bien vu l’autre, mais Iago se rend compte que sa nouvelle existence est plutôt solitaire. Sans doute parce qu’il lui manque quelque chose, quelqu’un pour se sentir complet. Alessandro lui manque. Il sait qu’il a fait ce qu’il devait faire. Alessandro avait les pensées parasitées par lui, sa faiblesse. Iago sait qu’il a mis énormément de temps pour s’en rendre compte, qu’il aurait dû réagir plus tôt. Le silence radio qu’il s’impose avec son bello est nécessaire, même quand le manque est conséquent comme aujourd’hui et que ses phalanges griffonnent des dessins qui ne parlent que du militaire. Sagement installé devant la fenêtre de son appartement, sur le petit rebord qui lui permet d’avoir une vue sur l’extérieur, Iago profite de son jour de repos pour créer de nouveau dessins. Il laisse son imagination dessiner les courbes de nouvelles figures qui finiront sans doute par ancrer la chair d’un client. Il profite du calme de l’appartement, bercer par les sonorités d’une musique rock qui se diffusent depuis son enceinte connectée. Son attention est naturellement détournée lorsqu’il entend le bruit distinct d’un coup porté sur le bois de la porte. Il se relève naturellement pour rejoindre la porte, légèrement décontenancé par cette arrivée non attendue. « Oui ? » Il questionne alors qu’il entend la voix de sa colombe se faire connaître. Le léger sentiment d’inquiétude ressenti s’effrite pour laisser place à un sentiment d’allégresse. Il accueille naturellement sa colombe dans le creux de ses bras, l’accueillant comme il se doit. Il s’abreuve de sa vision, de son toucher, de son odeur. Il sent son myocarde s’emballer, le plaisir de le sentir tout contre lui, en sécurité, avec lui. Il savoure la caresse de ses lèvres contre sa nuque alors qu’il le goute subtilement à son tour. Cela fait tellement de bien de le retrouver. Sa colombe lui offre un bouquet de fleur. L’attention est mignonne, éloignée de celle qu’il a habituellement, mais qui révèle tant de choses. Cet amour qu’il tait, mais qui teinte chacune de leur rencontre. Cet amour que lui, il ne lui cache plus sans demander à ce qu’il lui retourne tant qu’il veut de lui dans sa vie. « Merci, c’est un très beau bouquet. » Il lui indique en venant répondre à son doux baiser. « Je vais bien. Je suis de repos aujourd’hui alors je dessinais tranquillement, mais je suis heureux de te voir. Cela rend ma journée que plus plaisante. » Il lui tait qu’il lui a manqué, mais il n’a pas besoin de le dire pour que l’éclat de ses prunelles azurs ne parlent pour lui. Elles ont cette lueur que seule une âme amoureuse peut avoir. Il le laisse s’éloigner pour récupérer ce qu’il a laissé sur le pas de la porte. Il n’avait pas vu ses sacs. Sa colombe semble avoir des projets en tête et il n’est nullement disposé à l’empêcher de les mettre en œuvre. De son côté, il trouve un verre dans lequel il dépose le bouquet qu'il ne manque pas de renifler pour embaumer son odorat de sa saveur. Zéphyr ne manque pas d’ailleurs de lui indiquer ce qu’il a en tête. La surprise marque naturellement ses traits, car il ne s’attendait pas à tant d’attentions qui lui font droit au cœur. Il sourit naturellement alors qu’il vient naturellement prendre place derrière lui pour embrasser sa nuque d’un doux baiser. « Eh bien, quelle surprise ! Je pense que je pourrais m’y habituer d’avoir un chef cuisinier à domicile aussi mignon et désirable, tel que toi. » Il lui murmure contre le creux de son oreille en venant doucement glisser sa main sur sa nuque. Il s’autorise ce contact intime, cette caresse pour tenter d’amoindrir un manque qu’il tâche toujours de museler. Il vient nicher son nez dans sa nuque, s’enivrer de son odeur alors que son corps vient se fondre tendrement contre le sien. « Et qu’est-ce que tu comptes nous préparer, mio passerotto ? » Il ajoute en venant poser sa tête contre son omoplate pour regarder l’ensemble des ingrédients, curieux, mais surtout satisfait de retrouver sa colombe. « Tu m’as manqué. » Il lui avoue simplement avant d’ajouter. « Alors comment s’est passé ce travail en dehors de Los Angeles ? Il s’est bien passé, j’espère ? » Ses doigts viennent naturellement caresser son ventre, s’immisce sous le tissu pour retrouver le grain de sa peau. Il n’y a rien de sexuel dans ce toucher. Il laisse juste parler son besoin de l’effleurer, le couvrir de son affection comme depuis le jour de leur rencontre. Cette colombe qui a toujours été un mystère pour lui mais dont il est si profondément amoureux. Cette colombe qui par sa présence amoindri un manque d’une âme dont il est tout autant amoureux. Quelques heures de répit où il se sentira pas complétement seul et dépossédé.

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Zéphyr Ucello
Zéphyr Ucello
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Aprends moi. ( Ziago Ac18afa5d1f59e5b9418f6bead8d960068759935

• âge : 33
• pronom : Il
• côté ♥ : Perdu entre un coeur auquel il se sait déjà attaché et un coeur qui va lui falloir apprivoiser.
• orientation : Il aime les hommes comme les femmes, l'essentiel c'est le plaisir éprouvé et donné. Bi sexuel assumé.
• occupation : Strett artist mais pour vivre obligé de faire plein de petits boulots
• quartier : Pas de domicile fixe, dort à la belle étoile quand le temps le permet. Ne supportant pas d'être enfermé.
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Zéphyr Ucello
Aprends moi. ( Ziago
Jeu 27 Jan - 9:27
ft Iago
cette vision de la douceur d'une vie à deux d'une vie avec toi.
Le bonheur te caresse.
Alors que tu es devant la porte de ton Iago.

Attendant son feu vert pour entrer. Une de tes mains serrent les deux sacs de courses, l'autre tient plus délicatement le bouquet que tu vas lui offrir. Ton cœur s'emballe avec impatience durant ce cours instant ou les secondes semblent s'éterniser. Rentrer chez ton amant ne serait pas un problème en soit, mais au fond tu as envie d'entendre sa voix te répondre. Tu as envie qu'il soit là pour le prendre dans tes bras. Cette semaine a été longue.
Loin de lui tu as senti le manque vorace.
Et pas que celui de sa peau.

Ce manque il t'a par moment ramené dans le passé, dans ces semaines où ton Iago était loin de toi pour exercer son métier de militaire. Les messages échangés par téléphone étaient votre lien, la preuve qu'il n'était pas loin. Tu t'es senti vide même dans les moments ou tu étais très occupé. Et tu t'es dis que la liberté avait un prix cher à payer. Dans ces instants là tu t'endormais dans un coin à l'écart des autres, juste pour qu'on ne voit pas à quel point les étoiles de tes yeux se transformaient en larmes.
Loin de lui tu as senti le manque vorace.
Et pas que celui de sa peau.

Et quand sa voix se fait entendre il n'y a pas que ton cœur qui se met à danser dans ta poitrine. Ton regard se pare de galaxies, ton âme de ressentis profonds et de plus en plus marquants. Tes sentiments sont là, te touchant un peu plus de leurs doigts. Tatouant ta chair d'éternité. Tu l'aimes et tu le sais, mais entêté que tu es à te refuser de l'admettre, même si quand tu franchis la porte tout cet amour se dessine en toi.
Lui avouer le rassurait, l'apaiserait.
Mais la peur que tu éprouves est encore trop grande.
Pour prononcer ces mots attendus.


Et tu entres, retrouvant la chaleur de son corps, son odeur. Et vous vous serrez, tu sens son cœur battre contre le tien. Et le manque se comble, rendant la douleur de la courte séparation moins intense. Cette douleur tu l'as tellement éprouvé dans les mois passés, elle s'est même faite insupportable quand le silence avait tapissé son absence. Alors peut être qu'à cet instant tu le serres un peu plus fort. Tu l'embrasses avec un peu plus d'envie. Peut être qu'au fond tu montres à ton Iago combien tu tiens à lui.
L'importance qu'il a dans ta vie.
Importance qui prend de plus en plus de place.
Même si pour le moment tu restes le vent.
La colombe qui s'envole.
Après un temps de repos sur la branche qu'il te tend.

Et tu chasses dans un sourire toutes tes pensées, ne voulant montrer qu'un visage jovial, un homme heureux de vivre. D'être là. Et tu lui donnes le bouquet acheté. Symbole de tout ce qui te bouleverse et que tu gardes encore secret.
« Je trouve aussi, cela ne vaut pas des fleurs sauvages. Mais j'ai beaucoup aime le mélange de couleurs. »
Tu lui aurais bien ramené des fleurs des champs, mais elles n'auraient pas tenu le temps du voyage. Et puis ce bouquet là il a meilleure allure qu'un simple bouquet cueilli de tes mains.
« Tu me montreras. »
Impatience dans la voix, pire qu'un gamin curieux.
« Et super que tu sois de repos, je vais pouvoir te dorloter. »
Envie tenace de prendre soin de ton Iago et de lui dire. De lui montrer que tu peux toi aussi être attentionné, dans le genre homme de maison. Que tu peux parfois te poser au lieu d'aller jouer au vagabond, une bombe à la main à la recherche d'un mur libre d'être tagué de tes dessins. Il est vrai que ce fait d'avoir envie pour quelques heures de stabilité est rare, cela donnera plus d'importance à ce moment.
Et dans vos yeux le manque se lit.
Mais vos silence gardent ce fait pour vous.

Et tu files récupérer les sacs. Et pendant que tu les vides sur la table, ton Iago vient se caler derrière. Contact intime et troublant. Contact qu'un couple vivant sous le même toit a certainement souvent. Contact que tu apprécies et que tu ne repousses pas. Trop heureux de le sentir contre toi. Trop heureux d'avoir la caresse de ses lèvres contre ta nuque. Et tu souris à ses mots.
« Mini chef cuisinier. »
Tu mimes même le mot avec tes doigts, parce que tu es bien loin d'avoir ce talent là.
« Les habitudes rendent les instants moins précieux. Mais je comprends le concept. »
Tu sais que c'est ce que ton Iago aimerait t'avoir prés de lui tous les jours. Se réveiller et se coucher à tes côtés. Tu sais aussi que cela serait doux et exquis. Rassurant, tu n'aurais plus froid, tu n'aurais plus peur. Il ne serait plus seul.
Un jour peut être.
Un jour sûrement.
Dans un futur qui ne s'est pas encore écrit.


Et tu le laisses dompter ta peau, appréciant le toucher, frissonnant sous les caresses. Tu as besoin de ce contact autant que lui. Et ton sourire se fait plus grand sous ses attentions délicieuses. Enivrantes. Tu sors le magazine et tu l'ouvres à la page du brunch.
« Je vais préparer un truc comme ça. »
C'est peut être ambitieux mais tu te sens prêt à tout faire. Tu étales les ingrédients montrant que tu n'as rien oublié. Tes mains viennent se poser sur ses bras pour resserrer l'étreinte qu'il t'offre.
« Tu m'as manqué aussi mon Iago. »
Trouble dans la voix quand tu oses parler de ce manque ressenti. Celui qui t'a si souvent traversé et meurtri quand son métier l'appeler à l'autre bout de la terre. Mais tu ne peux pas taire cette vérité qui est noté dans tout ton être. Tu te tournes doucement pour lui faire face et plonger tes yeux dans les siens. Douce noyade que tu prolonges. Tu restes silencieux, tu n'as pas envie de parler boulot. Tu viens à nouveau chercher ses lèvres pour un baiser envoûtant alors que tes mains passent sous son haut pour retrouver sa peau. Instant exquis avant de rire contre ses lèvres.
« Tu me détournes de mon but premier. »
Bien sur tu n'es pas sérieux dans tes dires, mais tu sais que tous ses rapprochements te titillent sérieusement.  Et que te concentrer est complexe mais tu apprécies chaque toucher.
« C'était cool, j'ai bossé dehors alors j'étais heureux. L'équipe était sympa même s'ils ont vite compris que j'étais plus un solitaire. Le patron était content de moi, il m'a même dit qu'il me recontacterait. Moi qui ne tient pas au même endroit longtemps, là j'ai fais des efforts. Et du coup j'ai bien été payé. »
Tu te retournes pour d'un geste de la main montrer les victuailles.
« D'où ce brunch royal. Il faudra juste que ajouter le café. »
Puis tu sors de ta poche ce qu'il te reste de billet.
« Et j'en ai encore. Bon ce n'est pas une grande richesse mais je pourrais refaire le plein de mes bombes, je n'ai pas pu taguer là bas. Pas de mur à décorer. Ça aussi ça m'a manqué. »
Laisser parler ton imagination pour exprimer tes émotions. Mais voir ton Iago était plus important que tout.
« Du coup le menu te plaît. Parce que si c'est oui faut que je m'y attelle.»
Et tu t'échappes quelques secondes pour filer te laver les mains à l'évier. Puis tu ouvres les placards pour commencer à sortir le nécessaire niveau plat et vaisselles pour tout préparer.
« Toi tu as juste le droit de regarder et de rester sage.»
Même si tu te doutes que ton Iago ne va pas se gêner pour venir te perturber par des baisers et des caresses. Mais au fond tu n'attends que ça, un contact doux et chaud sur ta peau pour t'enivrer de sa présence. Même s'il ne fera qu'augmenter le trouble déjà bien présent.

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Iago Romano
Iago Romano
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• âge : 35
• pronom : il.
• côté ♥ : C'est compliqué. Officiellement célibataire, il prétend être le plus hétéro des hommes. Il a conscience du dégout que son homosexualité peut représenter dans son milieu. Il enchaine les conquêtes féminines pour camoufler les apparences. Son cœur est partagé entre deux hommes : son meilleur ami, celui avec qui il a tout expérimenté et celui qui lui a sauvé la vie sur le champ de combat.
• orientation : Hétérosexuel en apparence, homosexuel en réalité.
• occupation : Ancien sergent dans l'armée de terre. Il a quitté les rangs de l'armée à la suite d'un attentant en milieu hostile. Il y a perdu sa jambe gauche. Aujourd'hui, il a une prothèse bionique qu'il camouffle sous ses jeans. Il est apprenti tatoueur dans un salon, ce qui lui permet de se maintenir loin des affaires de la famille, mais pour encore combien de temps ?
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Iago Romano
Aprends moi. ( Ziago
Ven 28 Jan - 20:57
Iago retrouve la fraicheur de sa colombe. Cette insouciance s’est fait manquer durant son absence. Il est satisfait de pouvoir retrouver la chaleur de son regard, cet éclat de vie qui rend le jeune homme si unique. Il est tel une bouffée d’air dans son existence. En un battement d’aile, il chasse sa solitude pour faire rentrer de la lumière dans sa journée. Cette sensation d’allégresse n’a pas de prix et il l’embrasse sans se poser de question. Ils reprennent le plaisir d’échanger de vive-voix après avoir passé tant de journées à échanger par des messages interposés, mais avec des périodes de silence qui les ont amenés à se languir de l’autre. Il sourit à l’enthousiasme de la colombe au sujet de ses créations. « Avec plaisir, c’est Alessandro qui me les a inspirés. » Il lui avoue sans fioritures. Il ne cherche pas à lui cacher la vérité. Il ne l’a jamais fait. Il n’a pas à rougir du fait d’éprouver un manque face à l’absence de son frère d’arme, celui qui a su gagner sa place au sein de son cœur au fil des années. Alessandro a fait partie de sa vie durant plus de douze ans. Il a eu tant de rôle dans son existence : il a été un frère d’arme, un ami précieux, un ami intime avant de devenir l’un des hommes de sa vie. Il a quitté New York pour lui laisser une chance de se recentrer sur lui-même, sur son fils, sa femme, sa famille. Le silence radio qu’il s’impose est une torture, mais elle est nécessaire, car il a conscience que ce qu’ils ont vécu, a significativement lié leurs âmes d’une manière qu’ils pourraient s’accrocher éternellement l’un à l’autre, oubliant tout le monde autour d’eux. Il n’approfondit pas le sujet, s’intéresse plus sur cet instant où sa colombe fait acte de présence en le surprenant par la même occasion. Il ne peut pas nier que le fait de l’avoir tout contre lui est une ivresse qu’il voudrait rendre quotidienne. Iago n’a jamais caché ses désirs à son sujet. Il a juste accepté que sa vision ne s’accorde pas à celle de sa colombe, mais sans pour autant que leurs différences n’aient un impact négatif sur ce lien qu’ils ont tissés depuis leur adolescence. Il a appris à se satisfaire de ces instants volés au fil du temps. Des bouts de rêves comme le dit sa colombe pour éclairer des nuits solitaires lorsque le besoin de liberté se fait trop oppressant. L’italien se laisse tenter par l’appel de ce corps tant adoré. Il l’effleure avec délicatesse et révérence. Ses touchers demeurent légers, prodigués avec tendresse. Il met en action cette affection qu’il lui porte sans la rendre incendiaire. Ils ont toute la journée devant eux. Il s’intéresse au projet de sa colombe, son corps solidement ancré au sien. Il observe ce qu’il lui montre avec un intérêt non feint. Il semble se lancer dans la réalisation d’un brunch qui a l’air fort appétissant. « Ça a l’air délicieux, même si je connais quelqu’un d’encore plus délicieux. » Il lui indique avec espièglerie, juste pour le plaisir de lui arracher un rire alors que ses phalanges viennent s’éloigner de son ventre pour juste enrouler son bras autour de ses hanches fines, mais musclées. Il le sent se perdre dans cette étreinte. Son aveu lui arrache un sourire attendri. Il est rare que la colombe mette des mots sur ses émotions. Ils résonnent comme des déclarations sans jamais en prendre réellement la forme. Comment pourrait-il en douter alors que la voix de la colombe se fait plus rauque et troublée ? Cela fait des années qu’il a cessé de vouloir des mots. Il se satisfait de ces instants où il a la certitude de compter autant que la colombe compte pour lui. Il retrouve naturellement le regard de son amant qui se retourne vers lui. Il pourrait se perdre des heures dans ces prunelles qui font tant battre son cœur. Il répond naturellement à son baiser, accentue la pression de ses bras autour de ses hanches pour profiter pleinement de cette étreinte intime qui l’enivre avec intensité. Ce rire qui s’épanche des lèvres de la colombe sonne comme une symphonie. Il se laisse ensorceler par cette sonorité qui lui soutire un rire à son tour. « Tu es juste facilement déconcentré. A moins que tu ais un gros faible pour moi ? » Il le taquine dans un sourire qu’il rend charmeur. Ses prunelles brillent de malice alors qu’il l’observe avec intensité. Il l’écoute religieusement lui parler de son dernier emploi. Il est satisfait que ce soit bien passé pour lui. Il sait à quel point il est parfois compliqué pour sa colombe de se plier aux règles de leur société. Cette paie va pouvoir lui permettre de refaire le plein de ses bombes et survivre un temps. Iago ne dit mot, mais il aurait sans doute préféré qu’il garde cet argent pour lui. Il lui est pénible de le savoir vivre avec cette incertitude permanente qui est pourtant ce à quoi aspire la colombe. Il se promet de profiter pleinement de ce repas, et de s’assurer qu’ils auront d’autres occasions de se voir durant les prochaines semaines pour qu’il puisse se sustenter convenablement à ses côtés. Il le laisse s’échapper de ses bras alors qu’il vient sagement retrouver son cahier de dessin qu’il compte s’emparer. Sachant qu’il risque de rester dans une position statique, il prend la décision de retirer sa prothèse afin de soulager son moignon. Il le fait naturellement sans se poser de questions. Zephyr lui a déjà prouvé qu’il acceptait cette part de lui. Il finit par récupérer son cahier de dessin et son crayon en s’installant sur le canapé. Cette place sera parfaite pour voir évoluer Zéphyr dans son appartement et se nourrir de la grâce de ses mouvements. « Je suis toujours sage. La preuve, je vais sagement dessiner durant que tu prépares tout. » Il lui indique dans un petit sourire. « D’autant plus qu’ici, j’ai une vue parfaite sur ton corps d’éphèbe. » Il ajoute dans un petit rire alors qu’il laisse glisser son regard sur son corps qu’il trouve magnifique. « Je suis content que tout se soit bien passé. Tu as déjà des idées pour tes prochaines œuvres ? » Il le questionne naturellement, curieux de découvrir ses nouvelles courbes pleines de couleurs qui orneront bientôt la façade d’un nouveau bâtiment. De son côté, ses mains viennent retrouver le papier pour retoucher une esquisse, la rendre plus précises. Il se perd dans sa création, appréciant la présence de cette âme qui allège sa solitude, fait prendre vie cet appartement qui semble parfois trop froid.
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Zéphyr Ucello
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• âge : 33
• pronom : Il
• côté ♥ : Perdu entre un coeur auquel il se sait déjà attaché et un coeur qui va lui falloir apprivoiser.
• orientation : Il aime les hommes comme les femmes, l'essentiel c'est le plaisir éprouvé et donné. Bi sexuel assumé.
• occupation : Strett artist mais pour vivre obligé de faire plein de petits boulots
• quartier : Pas de domicile fixe, dort à la belle étoile quand le temps le permet. Ne supportant pas d'être enfermé.
• avatar : Ho-seok Lee (Wonho)
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Zéphyr Ucello
Aprends moi. ( Ziago
Sam 29 Jan - 10:49
ft Iago
cette vision de la douceur d'une vie à deux d'une vie avec toi.
Son souffle sur ta peau fait naître des frissons.
Son odeur t'enivre de doux horizons.
Tu se sens bien là. blotti entre ses bras accueillant.
A ta place, celle dont tu ne dois pas douter.
Celle à qui tu pourrais donner une saveur d'éternité.

Et tu restes là contre ton Iago, toi le courant d'air épris de liberté, à cette seconde être piégé de cette façon ne t'incommode pas. Bien au contraire, tu en éprouves le besoin, un besoin violent qui te couperait même le souffle. Le manque et le vide laissés par son absence durant ces longs mois, c'est répandu durant cette semaine. Pourtant tu savais quand tu allais le retrouver, mais la douleur éprouvée était la même. Et ces sensations te bousculent, même si tu ne les avoues pas. Elles renforcent le sentiment profond et ancré en ton cœur depuis bien longtemps. Et tu savoures avant de venir sur un autre sujet, par peur de ne plus vouloir t'envoler.
Tu devines peu à peu que cette émotion.
Ne serait pas douloureuse.
Mais tu as besoin de temps.
Sachant qu'il est toujours à double tranchant.


Mais aujourd'hui tu es là aux côtés de ton Iago, et tu comptes t'investir dans ces secondes à vous, juste à vous. Dans ce moment précieux qui s'installe et dessine une vie à deux. Quand le prénom de Alessandro roule entre les lèvres de ton amant, un instant ton cœur se serre. Tu aurais certainement, dans d'autres circonstances, été pris d'une envie de fuir. Idiot  que tu es. Mais là tu restes parce que tu ne veux pas le quitter pas avant d'avoir comblé le vide.
« Il te manque. »
Petite voix qui se fait entendre mais qui comprend les sensations éprouvées. Tu vis les mêmes. Cette déchirure accablante qui tiraille l'être quand la distance se creuse et que l'absence sonne comme une évidence incontrôlable. Mais tu apprécies son honnêteté et sa franchise. De toute façon ton Iago ne t'a jamais rien caché au sujet de ce frère d'arme qui partage avec toi son cœur. Tu as parfois la sensation qu'Alessandro te vole certaines de ses pensées, mais il doit lui aussi ressentir la même chose à ton sujet.
Enfin il est loin.
Et à cet instant Iago est tout à toi.
Juste à toi.

Alors tu te concentres sur ta tâche, sur cette mission que tu t'es donné et que tu comptes exécuter du mieux possible. Avec le magazine et ses explications tout devrait bien se passer. Même si ton Iago s'amuse sur ta peau, ce qui fait naître des idées qui n'ont rien à voir avec la préparation d'un brunch. Il faut dire que son corps a manqué au tien et que ses baisers et ses caresses sont de vraies sucreries dans laquelle croquer avec plus d'appétit te tenteraient. Bien plus que des œufs brouillés ou une salade de fruits frais. Mais tu veux faire durer le moment pour rendre la noyade charnelle encore plus enivrante. Enfin si tu résistes à son appel. Car Iago sait murmurer le chant des sirènes et il est même plus attirant.
« Ah bon !! Tu connais quelqu'un de plus délicieux ? »
Voix qui se fait curieuse alors que tu sais parfaitement de qui ton Iago parle.
« Qui sait ? Éclaire mon esprit  que je sache si oui ou non il serait plus délicieux que ce que je vais te préparer. »
Tu souris, heureux de jouer à ce petit jeu. Et puis avoir quelques compliments cela ne fait pas de mal. Au contraire, ils titilleront ton appétit et tes envies. A cet instant vous ressemblez plus à des adolescents qui se taquinent tout en cherchant à éveiller les désirs. Les touchés de ton amant sont grisants au point que tu laisses parler son cœur, avouant avec pudeur le partage du manque. Et tes iris viennent retrouver ses iris avant que tes lèvres s'emparent des siennes. Instant délicieux que tu prolonges.
« Moi facilement déconcentré. Non pas du tout monsieur, je suis un garçon sérieux voyons. »
Et ton rire éclate rejoint par celui de ton Iago, comme le bonheur est plaisant quand il est si puissant.
« Avoir un gros faible pour toi ?? »
Interrogation dans le timbre de ta voix. Même si tu sais que la réponse est oui, tu te plais à faire l'étonné face à cette demande.
« Peut être !! Mais ce n'est pas une raison suffisante pour me détourner de mon but premier. »
Même si au fond tu ne dirais pas non à des caresses plus intimes, à des baisers plus gourmands. Parce que la fièvre est là, puissante et vorace dans le creux de tes reins, de ton bas ventre, sur ta peau. D'ailleurs ta main posée contre la nuque de ton Iago descend dans son dos et finit sur ses fesses avant de passer sur sa hanche et de frôler son entre jambe.
« Je te promets que tout à l'heure je serais très concentré sur toutes ces parties là. »
Voix qui se charge de notes érotiques.
Regard qui se fait provocateur et prometteur.
Avant que tu ne redeviennes sage.


Parler du boulot que tu as fais, te permet de laisser s'échapper un temps toutes ces pensées torrides. Fuir les bras de ton amant, apaise ce feu devenu trop brûlant. Tu le regardes faire, n'étant nullement gêné quand il ôte sa prothèse. Tu as appris à dompter cette part de lui, car elle ne change rien à l'essence de ton homme. Et tu te mets à l'ouvrage, cherchant le matériel de cuisine pour tout préparer. Ton Iago lui attrape son cahier pour se continuer ses croquis.
« Toujours sage ?? Hum pas si sur !! Et j'ai une belle vue aussi. »
Et l'un comme l'autre vous faites glisser vos regards sur vos courbes. Divine vision que tu imagines déjà effeuiller du bout des doigts.
« J'ai un peu chaud. »
Et voilà que tu quittes ton haut, te retrouvant torse nu, de quoi donner à ton  amant une vision bien plus émoustillant de son éphèbe préféré. Oui tu aimes être taquin, mais avoir chaud t'arrive souvent. Et encore plus quand tu es en sa compagnie. Tu relis bien les recettes et tu décides de préparer en premier la pâte pour les petites crêpes. Comme ça elle reposera pendant que tu tiras les fruits frais, kiwis, bananes, pommes et fraises.
« Oui moi aussi. Dommage que ce soit un peu loin. Mais c'est mieux que de faire la plonge dans un restau et puis je peux être dehors et ça ça me plaît. »
Tu fais chauffer le lait pour qu'il se mélange mieux.
« Tu sais Iago .. parfois je me dis qu'une maison à la campagne cela pourrait me plaire. Je pense que je pourrais supporter des murs si j'avais de l'espace et de la terre à travailler. »
Parce que chaque fois que tu bosses dans une ferme, c'est moins problématique pour toi d'accepter de passer quelques heures enfermées.
« Et toi ça te tenterais  de vivre à la campagne ? On pourrait avoir des chiens et des chats, des chèvres  .. »
Tu inclus Iago dans cette idée de vie en plein air, même si tu te doutes que pour lui cela pourrait être plus compliqué. Surtout pour sa jambe voir son métier.
« Enfin c'est juste une idée,en plus je n'ai pas d'argent ..  j'aime bien L.A mais la campagne offre plus de liberté .. »
Puis tu t'attaques aux fruits, les pelant et les coupant soigneusement. Tu prends une grosse fraise et tu t'approches de ton Iago regardant par la même occasion ce qu'il dessine.
« Pas mal .. j'aime beaucoup même si ce n'est pas moi qui t'ai inspiré. »
Aveu sincère. Tu t'accroupis pour être à sa hauteur.
« Tiens goûtes. »
Tu places la fraise entre tes lèvres et tu viens l'offrir aux siennes. Alors que tes doigts glissent sous son haut, petite parenthèse que tu t'octroies. Aussi douce et sucrée que la fraise que vous partagez.
« Délicieux. »
Et une fois la fraise croquée, tu retournes à tes occupations, rangeant avec goût les fruits dans les coupelles que tu as sorti.
« Et je pense que ma prochaine œuvre pourrait bien ouvrir des horizons sur un paysage de campagne. Un grand champs de fleurs sauvages, des arbres, le tout caressé par un doux alizé. »
Tu sais que le projet est ambitieux et complexe car avec une bombe certains dessins sont plus difficiles à faire qu'avec des pinceaux. Mais cette idée te plaît, mettre un peu de nature sur les murs abandonnés de la ville.

vmicorum.
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Iago Romano
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• âge : 35
• pronom : il.
• côté ♥ : C'est compliqué. Officiellement célibataire, il prétend être le plus hétéro des hommes. Il a conscience du dégout que son homosexualité peut représenter dans son milieu. Il enchaine les conquêtes féminines pour camoufler les apparences. Son cœur est partagé entre deux hommes : son meilleur ami, celui avec qui il a tout expérimenté et celui qui lui a sauvé la vie sur le champ de combat.
• orientation : Hétérosexuel en apparence, homosexuel en réalité.
• occupation : Ancien sergent dans l'armée de terre. Il a quitté les rangs de l'armée à la suite d'un attentant en milieu hostile. Il y a perdu sa jambe gauche. Aujourd'hui, il a une prothèse bionique qu'il camouffle sous ses jeans. Il est apprenti tatoueur dans un salon, ce qui lui permet de se maintenir loin des affaires de la famille, mais pour encore combien de temps ?
• avatar : Andre Hamann
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Iago Romano
Aprends moi. ( Ziago
Lun 31 Jan - 21:39
Il te manque. Il met des mots sur ce qu’il ressent et Iago se contente d’approuver. Il ne s’épanche pas sur le sujet, car il a conscience que le faire pourrait appesantir le cœur de sa colombe et il ne souhaite pas que cela soit le cas. Il veut profiter de cet instant en sa compagnie, qu’importe si le besoin de voir son Bello se fait violente. Il doit vivre avec cette croix sur son épaule. Il est prêt à le faire pour s’assurer qu’il retrouve le bonheur avec celle qu’il a épousé et qui lui a offert un fils. Pour son bonheur, il est prêt à vivre une vie de solitude, seulement ponctuée par les venues de sa colombe. Il le vit comme une chance qu’un fardeau. Du moins, il essaye de le faire à défaut d’y parvenir totalement. Il chasse ses pensées pour profiter de l’instant présent. Il s’empreigne de l’odeur et de la chaleur du corps de sa colombe au creux de ses bras. Il titille ses sens, car il est friand de cet exquis pouvoir qu’il a sur son épiderme. Il est magnétique et le militaire se satisfait de cela, sans jamais en abuser. Les deux amants se taquinent naturellement, appréciant d’être en compagnie de l’autre, s’en nourrissant pour leurs prochaines nuits en solitaire. Il sourit aux propos de la colombe qui feint de ne pas comprendre de qui il est question. Il en rit même alors que sa colombe se fait plus provocante. « C’est un jeune homme plutôt grand, aux muscles ciselés, la peau tannée d’être restée au soleil. Il a des traits asiatiques, une gueule d’ange et il a des mains douées lorsqu’on lui met une bombe de peinture ou un pinceau dans les mains. Il a un sourit aussi brillant que le soleil et des prunelles qui racontent mille et une histoires. Il dégage une odeur fruitée et boisée, reflet de sa vie de bohème dont j’adore m’enivrer. » Il lui indique dans le creux de son oreille avant que la colombe ne se retourne pour plonger ses pupilles dans les siennes avant de s’emparer de ses lèvres. Le baiser se fait lent et langoureux. Iago s’envire de ce contact tout en accentuant sa prise autour de ses hanches sans chercher à rendre le contact plus intime et aliénant. Il veut pleinement profiter de cet instant, se nourrir de ces petites parenthèses qui ne feront qu’accentuer le désir qu’ils ont pour leur partenaire. Ce sont des terrains propices à leurs provocations qui ne manquent pas de leur soutirer des rires à l’un et à l’autre. Des touchers qui ne laissent présager aucun doute sur l’ambition qui les dévore au contact de l’autre, mais qu’ils gardent muselée pour profiter pleinement de l’instant sans brûler des étapes. Iago finit par abandonner ses espiègleries charnelles pour rejoindre le canapé situé non loin du plan de travail de sa cuisine. Cela ne l’empêche pas de jouer de ses mots. Suffisamment pour pouvoir profiter pleinement de la vue de ce buste aux muscles parfaits. Sa colombe est une créature magnifique et le tatoueur prend toujours énormément de plaisir à savourer la perfection de ses courbes à chaque occasion qu’il lui est donné. D’ailleurs, il ne peut masquer l’attrait qu’il a pour son corps, pour cette vision enchanteresse qu’il lui offre. Il se rend compte que ce tableau lui plait affreusement. Il serait doux de partager ce genre de quotidien avec lui. La colombe n’aime pas la routine, mais il se dit que ce genre d’habitude ne pourrait que les rendre heureux. Une nouvelle fois, il garde ses mots pour lui. Il ne veut pas gâcher cet instant de désirs qui pourraient être étouffants pour la colombe. Il se complait dans sa contemplation tandis qu’ils échangent autour du travail de son amant. Iago l’écoute silencieusement, prend note de l’ensemble de ses déclarations. Il sait à quel point la colombe a du mal à trouver un métier qui peut lui convenir. Zéphyr a besoin d’avoir un emploi manuel, à l’extérieur de préférence pour qu’il n’est pas la sensation d’être enchainé. La confidence que son amant lui fait le surprend. Il ne dit mot, mais l’image que la colombe dépeint lui convient totalement. Il est certain que cet environnement lui conviendrait totalement. Lorsqu’il l’implique dans ses projets, il sent son cœur rater un battement. Une émotion profonde vient s’immiscer dans sa poitrine. C’est une idée, mais elle n’est pas anodine. Elle est significative d’un changement en sa colombe. C’est une forme d’aveu en soit, de l’amour qu’il lui porte et de sa volonté de le prendre en compte dans ses projets. Son stylo reste en suspens sur sa feuille. Son esprit est bien trop happé par les images que la colombe met en lumière dans son esprit. La colombe s’approche de lui. Son regard s’attarde sur ses dessins. Il apprécie ce qu’il voit, mais n’oublie pas ce qui l’inspire. Iago ne dit mot, lui offre juste un sourire alors que la colombe vient lui offrir une fraise qu’il vient déposer tout contre ses lèvres. Il le laisse le nourrit alors qu’il déguste la saveur sucrée du fruit dont il est friand. Sa peau frisonne sous le passage des phalanges de la colombe sur son épiderme. Un instant délicieux qui affriole ses sens alors qu’il le laisse s’échapper de nouveau pour rejoindre le plan de travail. Il lui annonce son prochain projet de création. Apporter un peu de nature dans ces surfaces en béton de la ville. « J’ai hâte de la découvrir. De voir quel genre d’endroit ma colombe souhaiterait pouvoir se poser. J’aime voir les choses sous ton regard. » Il lui indique avec douceur, un sourire paresseux sur les lèvres. « Concernant ton idée. C’est un beau projet également. Elle me plait beaucoup. Si je suis revenu à Los Angeles, c’est pour toi. » Il lui indique avec sa franchise qui est parfois désarmante. Ce n’est pas un secret. C’est sa vérité. Il est revenu, car il avait besoin de s’assurer que sa colombe se portait bien. Il voulait le revoir, pouvoir retrouver ce sentiment d’ivresse et de candeur qu’il avait toujours expérimenter à ses côtés. Si Zéphyr s’était envolé loin de Los Angeles, Iago l’aurait surement recherché, aurait fini par le trouver, car il n’aurait pas pu faire autrement. « S’il le faut, je te suivrais au bout du monde si tu le désirais. » Il lui indique avec douceur avant de replonger son attention dans ses dessins. Il n’attend pas de réponses particulières à ses aveux. Il voulait juste qu’il le sache, qu’il s’empreigne de cette vérité.  
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Zéphyr Ucello
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Zéphyr Ucello
Aprends moi. ( Ziago
Jeu 3 Fév - 9:37
ft Iago
cette vision de la douceur d'une vie à deux d'une vie avec toi.
Évidence dans les mots prononcés.
Évidence qui te fait trembler.
Pour réponse tu n'obtiens que son silence.
Et un geste d'approbation.
Mais ils sont moins douloureux.
Que des paroles.

Parce que tu as conscience que toutes les secondes qui les séparent depuis son retour sont comme des lames affûtées dans le cœur de ton Iago. Tu voudrais avoir le remède pour mettre fin à cette torture. Tu sais que ta présence l'apaise, mais elle ne comble pas le manque que l'absence de l'autre creuse au fil des jours. Mais c'est la vie et elle n'est faite que de cruautés gratuites. Alors tu veux que ce moment pour vous réveille les étoiles endormis de ses beaux yeux et pour ça tu es prêt à tout. Et vos sens s'éveillent comme le jour sous le soleil, c'est doux et chaud. Enivrant et envoûtant.
Griserie que tu teinterais bien d'autres couleurs.
Mais pas tout de suite. Pas trop vite.
Tu veux prendre ton temps et en savourer chaque seconde.


Et tu taquines jouant l'ignorant quand ton Iago parle de toi. Pas que tu cherches à avoir des compliments, ils s'écrivent de toute façon dans ses yeux. Mais cela t'amuse d'écouter la description qu'il fait de toi. Et son souffle contre ta peau est une caresse divine, exquise. Une promesse d'un plus toujours plus enchanteur. Ton cœur tambourine et une chaleur intense se diffuse dans ton être irradié par les sensations qui renaissent. Tu deviendrais gourmand de cette folie que Iago distille avec patience et passion.
« Je vois. Il me semble être top ce garçon. Je comprends que tu craques pour lui. Je pourrais presque en être jaloux. »
Ce mot sort rarement de tes lèvres parce que tu ne veux pas éprouver ce sentiment, vu que tu te perds dans d'autres bras. Même si l'intensité n'a pas d'égal avec celle que tu éprouves entre les bras de ton Iago. C'est juste une façon de consommer ta liberté. De ne pas t'attacher alors que tu sais au fond que tu l'es déjà et ce depuis des années. De toute façon tu partages Iago avec l'autre. Alors la jalousie n'a; pour le moment; pas sa place entre vous.
Pourquoi un jour l'aurait-elle ?
Alors qu'il y a des kilomètres entre l'autre et toi.
Loin des yeux, loin du cœur.

Même si dans cette situation c'est loin d'être vrai. La preuve Alessandro occupait les pensées de ton Iago avant que tu n'arrives. Mais c'est avec toi qu'il est à cet instant T et tu comptes bien tout faire pour dérober son âme et son cœur tant que tu seras à ses côtés. Tu vas l'envoûter et l'embarquer pour un voyage.
Tu seras vent et lui sera nuage. Et tous les deux ..
Vous voguerez bien au delà des murs de son appartement.

En attendant se sont des baisers sucrés, des touchés délicats, des rires éclatants qui vous titillent. Aiguisant vos sens et votre appétit. Tout à l'heure tout se fera plus charnel, plus vorace.
Mais là c'est juste une aube qui se lève.

Puis Iago prend place sur le canapé pour continuer à dessiner et toi tu t'occuper en suivant bien les recettes, des divers préparatifs. Bien sur la taquinerie reste la ligne de conduite de l'instant. Tu offres une vision plus enchanteresse à ton amant, voulant sublimer ces secondes. Les rendre éternelles. Et tu parles de ces quelques jours de boulot ou la stabilité s'est fait maître. Toi qui ne supporte pas les attaches, toi qui as besoin d'espace. Il semble que dans ce lieu tu es trouvé pour un temps ta place. Ce qui a éveillé ton intérêt pour un projet. Bien sur ce ne sont que des idées, des envies aussi. Même si souvent tu les gardes secrètes, là tu les dévoiles. Iago il fait parti de ta vie, qu'importe si parfois tu t'en éloignes. Qu'importe si parfois c'est le silence que tu laisses derrière toi.
Il est ton port d'attache.
Et il le restera.
Et tu reviens toujours au port.

Tu ne peux rester longtemps loin de lui. Tu viens lui offrir un fruit, observant son œuvre. Celle que l'autre inspire. Tu t'y attardes à peine dessus, mais tu ne peux t'empêcher de la trouver belle. Parce que tu sais que cet amour qu'il éprouve pour Alessandro est aussi beau et vrai que celui qu'il éprouve pour toi. Même si bien des souffrances l'entourent.
Des souffrances qui crient la nuit.
Et qui soulignent sous regard.

« Faut que je trouve le bon mur, je dois faire du repérage avant. »
Et une fois trouvé tu y poseras tes idées d'espace de liberté ou le vent caressera l'herbe haute, ou les arbres se coloreront de feuille et de fleurs. Ou le ciel sera d'un bleu intense. Un endroit où il ferait bon vivre. Et tu retournes sur le plan de travail, tu finis la salade de fruits et tu l'arranges dans deux jolies coupelles pour la mettre au frigo. Puis tu t'occupes de la cuisson de tes crêpes. Tu te tournes vers ton Iago sourire aux lèvres.
« Je suis content que l'idée te plaise  .. Et je sais que tu es revenu pour moi. J'aime cette idée et j'aime te l'entendre dire. »
Pourtant les doutes face au silence pesant se sont souvent glissés dans tes pensées embrouillées. Tu as souvent partagé ces douleurs avec ton ami Tao. Il a été l'épaule de soutien quand tu pensais ne plus pouvoir faire face au vide et à l'absence. Et tes doutes se sont effacés depuis que ton Iago est revenu. Et parfois tu te dis qu'il mérite d'être heureux. Que son âme a besoin de paix, de stabilité. Et que ton comportement d'enfant amoureux de la liberté, empêche cette paix de trouver le chemin de son cœur malmené par toutes les horreurs encaissées.
Mais tu manques encore de force.
Pour vraiment te poser.
Peut être que dans cet ailleurs.
Dont tu dépeints les contours, tu le pourrais.
Tu pourrais être à jamais à ses côtés.

Et tu te retournes à nouveau pour surveiller la cuisson de tes crêpes, cuisson qui délivre des odeurs de sucre vanillé.
« Mon bout du monde c'est toi. »
Murmure doux qui s'envole. Vérité cachée à demi dévoilée.
« Je ne pourrais pas vivre dans un monde où tu ne serais pas. »
Tu l'as expérimenté un temps quand Iago blessé gisait sur un lit d’hôpital, quand à ses côtés un autre, tout autant important que toi, était là où toi tu n'étais pas. Tu as expérimenté ce monde et jamais, jamais plus tu ne veux le voir à nouveau se dessiner.
Tout y était si froid.
Tout y était si fade.
Tout y était sans vie.
Même la vie.

Et pour ne pas te laisser perdre par ces moments douloureux, tu agites le fouet dans la pâte. Tu retournes les crêpes et tu les montres à ton Iago.
« Pas trop mal pour une première. »
Et un sourire s'empare de tes lèvres, le vent ne plie pas face à la rudesse de la vie. Il faiblit parfois mais il reste le maître de son destin. Et tu poses à nouveau de la pâte dans la poêle. Et au fil des secondes qui s'égrainent les crêpes gonflent la pile sur l'assiette.
« Bon je pense qu'il y en a assez. Je vais préparer la table et puis je m'occuperais de la cuisson du bacon et des œufs. Tu les voudras comment les tiens brouillés ou au plat ? »
Tu feras de ton mieux pour réussir l'un comme l'autre en tout cas tu restes concentrer et méticuleux, rangeant tout ce que tu déranges et nettoyant les dégâts que tu fais. Tu veux vraiment que ton Iago soit fier de toi. Même si tu sais qu'il l'est déjà, tu le vois dans ses yeux quand ils croisent les tiens.

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Iago Romano
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• orientation : Hétérosexuel en apparence, homosexuel en réalité.
• occupation : Ancien sergent dans l'armée de terre. Il a quitté les rangs de l'armée à la suite d'un attentant en milieu hostile. Il y a perdu sa jambe gauche. Aujourd'hui, il a une prothèse bionique qu'il camouffle sous ses jeans. Il est apprenti tatoueur dans un salon, ce qui lui permet de se maintenir loin des affaires de la famille, mais pour encore combien de temps ?
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Iago Romano
Aprends moi. ( Ziago
Lun 7 Fév - 15:16
Le paysage dépeint par la colombe semble agréable et repesant. Il trouvera tout à fait sa place dans une cité telle que Los Angeles. Il ne doute pas que la colombe trouvera le lieu idéal pour trouver une place de choix pour sa fresque. Par le passé, à leur adolescence, il lui aurait naturellement proposé d’arpenter les rues en sa compagnie pour trouver. Depuis son départ pour l’armée, Iago évite de trainer dans les rues de Los Angeles. L’idée de retomber sur des anciennes connaissances ne lui plait guère. Ugo s’efforce toujours de le garder loin du business familial, mais il sait que ses parents n’aspirent qu’à le voir retourner au bercail et s’allier à son frère. « Je ne doute pas que tu lui trouveras la meilleure place qu’il soit. » Il lui indique dans un doux sourire avant que les déclarations de la colombe ne le prennent de court et enchante son cœur, car il prend conscience du poids qu’elles ont. C’est un aveu qu’il lui fait tel une offrande et le tatoueur en est enchanté. L’idée évoqué semble prometteuse et il n’hésite pas à lui faire comprendre. Il le suivrait au bout du monde, car si sa route a repris le chemin jusqu’à Los Angeles, c’était dans la seule volonté de le retrouver, de ne pas avoir perdu une part de lui-même. Ce dont la colombe semble avoir connaissance puisqu’elle n’hésite pas à te le révéler. Son sourire arrache le sien. Sa colombe est belle et il meurt d’envie de se relever pour s’emparer tendrement de ses lèvres, mais il n’en fait rien. Il se contente de l’observer avec une intensité dans son regard qui ne laisse aucun doute sur l’affection qu’il lui porte et l’attrait qu’il a pour cet homme qui est un véritable bol d’air dans son quotidien. La colombe se retourne pour continuer ses préparations et le tatoueur repart dans la réalisation de ses croquis. Pourtant le murmure de Zéphyr résonne en lui comme un cri. Mon bout du monde, c’est toi. Cette annonce retentit comme un véritable coup de feu. Il l’ébranle, car si Iago s’est envolé loin de Los Angeles à ses dix-huit ans, c’était parce qu’il avait craint qu’il ne serait jamais suffisant pour sa colombe et que le jour où il la perdrait, il n’y aurait rien qui lui donnerait envie de fuir ce destin qui devait être le sien. Je ne pourrais pas vivre dans un monde où tu ne serais pas. Le timbre de la voix révèle de nouveau cette fêlure que son absence silencieuse a eu sur l’existence de sa colombe. Ces paroles lui tordent les boyaux alors qu’une émotion vive vient envahir sa poitrine. Il abandonne son dessin pour retrouver la silhouette de son amant en sautillant sur sa jambe valide. Son corps vient naturellement se coller à la silhouette de la colombe pour l’étreindre au creux de ses bras. Il dépose un baiser contre son omoplate. Un geste de profonde affection et de remerciement. Il chérit ces mots, leur teneur et il les accepte silencieusement pour ne pas agiter plus intimement la colombe. Il sourit lorsque ce dernier lui montre la pâte des crêpes qu’il a battu. Pas de grumeaux à première vue, ce qui se révèle être un bon exploit. « Félicitation, chef. » Il lui indique avec humour alors qu’il s’éloigne de lui pour lui rendre sa liberté. Il se dirige naturellement vers la table, tire la chaise pour venir s’assoir dessus. Il regarde la silhouette de la colombe agir dans son environnement. Il ne se lasse pas de cette vision qu’il lui offre. Il reste silencieux, songeur sans le lâcher du regard. Ses émotions sont à fleur de peau et il ne peut pas les laisser le submerger. Il doit juste profiter de ce qu’on lui donne, sans chercher à obtenir plus qu’il ne le peut. Il est chanceux que Zéphyr soit toujours dans sa vie, qu’il n’ait pas quitté Los Angeles durant sa longue absence. Cette vérité, il ne l’énonce pas à haute voix, car il craint toujours que la profondeur de son amour effraie la colombe. « Au plat, ce sera parfait. » Il lui répond alors qu’il se laisse servir comme un roi. Il faut quelques minutes de patience pour voir apparaitre assiettes et couverts. Très rapidement l’odeur alléchante des œufs et des bacons emplissent la pièce et s’ajoute à celle des crêpes. Iago sait qu’il va se régaler. Il ne doute pas que les mets préparés seront délicieux. « Eh bien, j’ai droit à un véritable table de roi. J’ai été si sage que ça pour le mériter ? » Il questionne de manière malicieuse alors que son regard brille de douceur. Il attend que Zéphys s’installe à ses côtés pour piocher dans les différents plats, ajoutant selon sa convenance les mets à ceux qui sont déjà dans son assiette. « Cela a l’air délicieux, mio passerotto. » Il lui indique en venant déposer un baiser sur sa joue avant de piocher une bouchée dans son assiette pour la porter à ses lèvres. Il laisse son palais se satisfaire de l’explosion de saveur, ce subtil mélange de sucré-salé qui lui plait assurément. Il ne peut contenir un gémissement de plaisir alors qu’il déguste son assiette. « C’est délicieux. Je valide. Tu peux venir me refaire ce plat quand tu veux, mio passerotto. » Il lui indique dans un sourire chaleureux alors qu’il lui tend sa fourchette pour qu’il goute à ce qu’il mange. Il l’observe se saisir du contenant de sa cuillère, suivant le mouvement hypnotique de ses lèvres charmeuses qui ont toujours été la source de son attention lorsqu’elles sont proches des siennes. Du bout du doigt, il vient doucement essuyer une trace laissée par le met avaler qu’il vient porter à ses lèvres. Il le pourlèche avec un sourire complice et taquin, conscient que ce geste a obtenu toute l’attention de sa colombe. Alors, il n’hésite pas à venir se rapprocher de son visage pour venir à la recherche de ses lèvres qu’il embrasse avec dévotion, savourant sur sa chair l’explosion de saveur. Le baiser se fait doux et lent, mais gagne rapidement en appétit alors que sa main se glisse dans sa chevelure noire, cette couleur qu’il préfère dans la panoplie des couleurs de cheveux de sa colombe. « Ti amo, moi passerotto. » Il murmure à l’orée de ses lèvres avant d’ajouter. « Ti seguirei fino alla fine del mondo, se necessario. » Un aveu dans sa voix maternelle parce qu’il avait besoin de le dire, sans vraiment avoir besoin qu’il le comprenne. Il lui offre un doux sourire avant de déposer un baiser sur sa joue et de retourner à son assiette et savourer pleinement son assiette. « Tu as prévu quoi de beau pour nous après ce bon petit déjeuner ? » Il le questionne avec détachement, résolument curieux de connaître les plans de sa colombe puisqu’au aujourd’hui, c’est lui qui est aux commandes.  
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Zéphyr Ucello
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• âge : 33
• pronom : Il
• côté ♥ : Perdu entre un coeur auquel il se sait déjà attaché et un coeur qui va lui falloir apprivoiser.
• orientation : Il aime les hommes comme les femmes, l'essentiel c'est le plaisir éprouvé et donné. Bi sexuel assumé.
• occupation : Strett artist mais pour vivre obligé de faire plein de petits boulots
• quartier : Pas de domicile fixe, dort à la belle étoile quand le temps le permet. Ne supportant pas d'être enfermé.
• avatar : Ho-seok Lee (Wonho)
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• date de naissance : 15/12/1990
Zéphyr Ucello
Aprends moi. ( Ziago
Sam 12 Fév - 9:12
ft Iago
cette vision de la douceur d'une vie à deux d'une vie avec toi.
En toute honnêteté tu exprimes tes pensées.
Cette idée de poser sur un mur de la ville.
Des teintes de campagne, de grands espaces.

Bien sur tu vas devoir trouver, avant de laisser parler ton talent, le support sur lequel tes couleurs s'étendront dans un accord parfait. Une quête qu'à regret tu vas devoir faire seul. Cela serait trop pénible pour ton Iago d'arpenter la ville. Surtout que tu cours un peu partout quand tu cherches l'endroit qui servira de toile à ton futur tableau. Mais en même temps tu ne peux te résoudre de partir dans cette quête seul, tu aimes avoir l'avis de ton amant et puis cette future trace de tes envies tu veux qu'il y participe.
« J'ai une idée je prendrais en photo les endroits que je pense bien pour accueillir mon futur chef d’œuvre. »
Tu fais un peu le fier en disant tes mots avant de rire pas sérieux du tout. Tu es conscient que tu as du potentiel entre les mains, certains diraient même du talent mais tu n'es pas du genre vantard à ce sujet.
« Et je viendrais te les montrer comme ça tu me diras ce que tu en penses. Et on pourra choisir le lieux ensemble. »
Une manière aussi de l'inclure dans cette nouvelle trace que tu vas laisser sur les murs de la ville. Et pris dans l'instant tu laisses parler ton cœur. Dévoilant tes ressentis pesant, ceux qui t'ont traversé durant son horrible absence. Tes ressentis fait de manques, de peurs, de doutes, de souffrances, de cris et de larmes. Tu en as même maudit dieu et prié le diable tellement la douleur imposée était intense et insurmontable. D'ailleurs elle te terrasse encore quand tes pensées se perdent dans ces secondes vides de tout sens de la vie.
Sans ton Iago tu n'es pas entier.
Et son absence te l'a bien fait comprendre.

Et les aveux se font plus doux, alors que tu n'oses le regarder. La peur qu'il lise jusqu'aux tréfonds de ton âme. Qu'il y voit cet amour déposé sans que tu ne le laisses s'envoler. Privilégiant ta liberté à tes sentiments. Mais la peur de l'attachement est vorace, et tu as encore du mal à la maîtriser. Mais tu restes un homme franc et honnête, de toute manière tu sais que ton Iago voit bien au delà des mots que tu laisses sortir.
Et vivre dans un monde sans lui.
Te serais impossible.
Tu finirais par t'effriter.
Et t'envoler dans le souffle du vent.
Pour aller le retrouver où qu'il soit.
Même l'enfer ne te ferait pas peur.
Si c'était là que tu devais rejoindre.
Ton Iago.


Et il y a cette étreinte douce comme du miel, puissante comme une vague, chaude comme le soleil. Elle te cueille, t'accueille. Et tu frissonnes tout en laissant le corps de ton amant s'inviter contre le tien. Son geste est rassurant car il délivre un message, celui de la patience, la compréhension, l'amour aussi. Et ses lèvres contre ton omoplate nue, tu souris tellement que tu es heureux, d'être là au creux de ses bras. Là à ta place même si parfois tu la laisses vide. Tu sais que tu peux y revenir sans te soucier qu'elle ne soit prise par un autre. Même si au fond un autre existe.
Tu l'aimes ton Iago.
D'un amour sans limite.
D'un amour épris de liberté.
Qu'à cet instant tu laisses prisonnier.
Entre ses bras.

Et tout en parlant tu continues la préparation du brunch, appliqué et impliqué tu y mets tout ton cœur. Faisant bien attention à ne pas faire d'erreurs, de ne rien oublier. Car tu veux que tout soit parfait.
« J'aime beaucoup le titre de chef. »
Et tu rigoles pour te dédouaner de toutes les émotions intenses qui t'ont traversé, qui te traversent encore. La patte à crêpe finit dans la poêle, puis c'est au tour des œufs et du bacon. Ton Iago choisit au plat et toi tu les prends brouillés. Entre les cuissons tu installes ta table pour lui donner un air de fête, ton amant y est déjà installé. Tu sors de jolis verres dans lesquels tu verses le jus d'oranges pressées, des couverts, des assiettes dans lesquelles tu poses les œufs et le bacon. Puis tu récupères les coupes de salade de fruits au frigo. Tu ajoutes l'assiette de crêpes. Tu allumes les bougies et tu mets au bout le bouquet de fleurs. Et tu souris, fier de toi.
« On dirait une table pour un dîner romantique. »
C'est sur que cela vous change des serviettes posées sur le sable et des repas vite faits.
« Ce n'est pas exceptionnel mais ça en jette tu ne trouves pas ? »
Tu fais celui qui réfléchit quand ton Iago utilise le mot sage.
« Tu n'as pas été un ange, mais oui tu le mérites. »
Tu le taquines et tu t'installes à ton tour, juste en face de lui.
« Et j'espère que ça n'en a pas que l'air mon Iago. Sinon je rends mon tablier. »
Tu lui souris.
« En tout cas j'ai trouvé ça amusant. Si c'est bon je retenterais l'expérience. Et puis .. »
Tu marques une pause avant de laisser glisser tes yeux dans les siens.
« Et puis j'ai bien aimé les petits câlins pendant que je préparais ce délicieux repas. »
Avoir senti ton Iago contre toi durant ces instants, tu fais encore frissonner. Et il valide les préparations ce qui te met en joie, ton sourire se fait plus grand et tes yeux se mettent à briller.
Le bonheur à l'état pur.  
Il est là entre vous à cet instant.
Et tu le caresses de la plus belle des façons.
En rendant heureux l'homme que tu aimes.


« Si tu continues à être sage peut être que .. »
Tu sais que ton Iago ne dirait pas non à voir ta silhouette hanter sa cuisine tous les jours de la semaine. Et puis tu as vraiment pris du plaisir à tout faire.
La vie à deux ressemble t-elle à ce moment tout le temps ?
« Bon appétit. »
Et toi aussi tu attaques ton assiette, un peu affamé, car l'odeur des préparations ont affûté ta gourmandise. Gourmandise qui s'égare au bord de ta bouche. Le doigt de Iago vient doucement récupérer la saveur oubliée avant de finir léché par sa bouche. To regard s'attarde sur ce geste sensuel, qui fait accélérer ton cœur. Et puis c'est un baiser qui enflamme ta peau en faisant naître une ribambelle de frissons. Et tu sens le brasier qui t'habite ravager ton être tout entier. Et ses mots chantant même si tu ne saisis pas tout, tu comprends le sens profond. Et quand ton Iago reprend sa place tu es encore tout chamboulé par ce baiser au goût exquis, au goût de trop peu même. Tu passes tes doigts sur tes lèvres enivré de cette dose de passion.
« De te dévorer toi. »
Une évidence puissante car l'envie c'est faite plus imposante. Et puis il t'a manqué et tu ressens le besoin de lui appartenir, comme tu as envie qu'il t'appartienne. Tes yeux planté dans les siens glissent sur son visage, s'arrêtant sur sa bouche, avant de s'aventurer dans son cou et sur son torse, le reste étant caché par la table.
« Double dose de dessert personnellement je ne pourrais y résister sauf si tu as quelque chose de mieux à proposer ? »
Petite provocation dans ta voix. Puis tu lèves et tu viens te placer derrière ton Iago embrassant son cou, alors que tes mains se perdent sur son torse et descendent jusqu'à son ventre.
« Pour le moment je comble lui .. »
Puis elles s'aventurent plus bas.
« Mais je ne dois pas oublier celui là qui doit également être affamé après ce temps d'absence. »
Tes mains passent doucement sur l'entre jambe, frôlant juste ce qu'il faut alors que tes lèvres continuent à déposer des baisers contre sa nuque et son cou.
« Je veux me délecter de cette gourmandise là après si tu n'es pas contre bien sur. »
Tes mains passent sur ses cuisses et puis remontent sur ses hanches avant de lâcher prise. Un dernier baiser et tu retrouves ta place.
« Tu penses quoi de mon programme ? »
Innocence dans la voix comme si tu parlais d'une balade alors que tu te saisis d'une crêpe. Audace dans le regard qui s'invite. Provocation quand tes lèvres s'attaquent à l'aliment. A ton tour de taquiner ton amant.
Et tu adores ça.

vmicorum.
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Iago Romano
Iago Romano
Iago Romano
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• âge : 35
• pronom : il.
• côté ♥ : C'est compliqué. Officiellement célibataire, il prétend être le plus hétéro des hommes. Il a conscience du dégout que son homosexualité peut représenter dans son milieu. Il enchaine les conquêtes féminines pour camoufler les apparences. Son cœur est partagé entre deux hommes : son meilleur ami, celui avec qui il a tout expérimenté et celui qui lui a sauvé la vie sur le champ de combat.
• orientation : Hétérosexuel en apparence, homosexuel en réalité.
• occupation : Ancien sergent dans l'armée de terre. Il a quitté les rangs de l'armée à la suite d'un attentant en milieu hostile. Il y a perdu sa jambe gauche. Aujourd'hui, il a une prothèse bionique qu'il camouffle sous ses jeans. Il est apprenti tatoueur dans un salon, ce qui lui permet de se maintenir loin des affaires de la famille, mais pour encore combien de temps ?
• avatar : Andre Hamann
• crédits : @Eilyam
• messages : 233
• date de naissance : 25/11/1988
Iago Romano
Aprends moi. ( Ziago
Ven 25 Fév - 17:56

On dirait une table pour un diner romantique. La remarque lui arrache un sourire qu’il adresse à la colombe. Zephyr n’a jamais réellement conscience du sens profond de ses actions. Cette partie romanesque de sa personnalité qui s’exprimer parfois à ses côtés. Iago n’a jamais douté de l’affection de sa colombe à son égard. Il sait que ses sentiments sont réciproques depuis leur adolescence. Cet amour est là, empreigne chacun de ses regards, de ses sourires, de ses caresses, de ses actions. Il est incapable de l’exprimer verbalement, mais tout son être l’exprime librement. L’italien en a pleinement conscience et ne cherche pas à l’emprisonner. Il a arrêté de le vouloir. Il a appris à accepter la colombe telle qu’elle est, sans chercher à la faire rentrer dans un moule conventionnel. Il hoche naturellement la tête aux propos de la colombe. Il rit à ses propos. « Il n’y a pas de raison que cela ne soit pas bon. » Il lui indique avec douceur alors qu’il vient découvrir du regard les différents mets qui sont à sa disposition. Tout a l’air délicieux. Son sourire se renforce aux propos de la colombe. J’ai bien aimé les petits câlins pendant que je préparais ce délicieux repas. Il aime entendre cela. « Moi aussi. J’ai adoré pouvoir t’en faire, mio passerotto. » Un murmure glissé à son oreille telle une confidence. Une vérité qui n’a nulle intention de l’enchainer, juste de lui révéler le plaisir qu’il a de l’avoir à ses côtés et qu’il pourrait avoir plus souvent si la colombe était prête à lui offrir ces instants-là pour la choyer. Ils se lancent dans la découverte de ces nombreux mets. Les saveurs explosent dans son palais et il les déguste sans modération. Il ne tarit pas d’éloges pour son amant. C’est vraiment bon et il profite pleinement de ce repas partagé en compagnie de l’être aimé. Bien sûr, le manque de l’autre ne disparait pas, mais durant quelques heures, il profite pleinement de celle qui partage cet instant en son compagnie. Il a l’habitude de se sentir incomplet, mais à savourer ce qu’on lui donne, sans trop en vouloir. Il ne résiste pas à la tentation de venir nettoyer le visage de la colombe, ni de titiller ses sens. Il aime voir ce trouble envahir les rétines de la colombe. Ce pouvoir est exquis et il aspire à le détenir aussi longtemps que possible. Tant que la colombe voudra bien de lui, il n’hésitera pas à en abuser, car dans cette intimité qu’ils partagent, les mots deviennent superflus et leurs âmes fusionnent pour se consumer dans cette ivresse terrestre qui les ravage à chaque fois. Il sourit à la suite du programme énoncé par la colombe. Son regard attendri vient retrouver celui de la colombe. Son expression se fait taquine alors qu’il sent son regard glisser sur lui. Il ne se dérobe pas de sa contemplation. Il adore sentir le poids de son désir se mouvoir sur ses traits. Il se sent désirable et cette sensation est exquise. Les sous-entendus évoqués lui arrachent un sourire. « Mieux qu’une double dose de dessert ? Cela me semble difficile de proposer mieux. » Il lui indique avec chaleur alors que ses prunelles brillent de cette affection qu’il lui porte. « C’est toi le maître de cette journée. Je me plierais à tes volontés. » Il lui indique dans un murmure qui se vient dans l’oreille de sa colombe. Une colombe qui vient se poser derrière lui, frôle ses traits de ses mains agiles en embaumant son être de ces touchers affriolants. Iago le laisse agir sans le restreindre. Sa respiration s’alourdit, sa peau frisonne sous ces caresses qui aiguisent ses sens. Il sourit de manière amusée, soumis à ses désirs sans chercher à le restreindre. Il inspire profondément lorsque le contact cesse et qu’il laisse derrière lui un début d’érection qu’il ne cherche pas à contenir. Sa respiration est moins sereine. La colombe joue avec ses sens avec expertise et elle le sait. Il rit naturellement à son petit jeu. Il abdique en bon joueur. « C’est un bon programme, mio passerotto. » Il lui indique dans un sourire alors qu’il se redresse pour reprendre contenance. Son regard se fait pénétrant alors qu’il vient se saisir de sa nuque de manière plus franche. Il approche ses lèvres à l’orée des siennes, laisse leurs souffles se frôler. Il ne l’embrasse pas. Il lui donne l’illusion avant de déposer un baiser contre son front avant de s’en éloigner. « Mais laisse-moi déguster ces crêpes tranquillement. Tu as ouvert mon appétit. » Il lui indique dans un clin d’œil mutin alors qu’il vient porter sa crêpe à ses lèvres pour la dévorer. Il laisse la saveur sucrée exploser dans son palais alors qu’il lâche un léger gémissement de plaisir. « Elles sont exquises. » Il le provoque gentiment en venant se pourlécher les lèvres, jouer avec son appétit comme il a joué avec le sien. « Mais il faut que je garde un peu de place. Il serait dommage que je sois repu, non ? » Il le taquine dans un sourire enjôleur alors qu’il mort dans une nouvelle crêpe par pure provocation. « A moins que tu préfères que je reste totalement sage ? » Il le questionne en replonger ses iris dans les siennes avant d’ajouter en se penchant contre son oreille. « Comme ça tu pourras me dévorer comme tu le veux. Je serai sage comme une image. » Sa voix devient un murmure alors qu’il vient embrasser la peau située sous son oreille. Il laisse la saveur salée de sa peau se mêler à celle sucrée qui perdure dans son palais. « Divorami, moi passerotto. » Il ajoute dans un ton suave dans le creux de son oreille avant de conclure : « Fammi ardere di desiderio per te. » Une demande qui prend la forme d’un ordre. Aujourd’hui, il veut laisser les rennes à la colombe pour qu’il puisse le faire sien, le rendre ivre de ses caresses, de ses baisers et de son être. Il a envie de lui appartenir, de s’oublier dans ses bras avant de le faire sien à nouveau, de se l’approprier également afin qu’ils deviennent deux âmes confuses, fusionnées en une seule et même unité.  
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Zéphyr Ucello
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• orientation : Il aime les hommes comme les femmes, l'essentiel c'est le plaisir éprouvé et donné. Bi sexuel assumé.
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Zéphyr Ucello
Aprends moi. ( Ziago
Jeu 3 Mar - 9:40
ft Iago
cette vision de la douceur d'une vie à deux d'une vie avec toi.
Il y a cet amour profond, intense.
Que tu caches.
Qui à cet instant pare tes yeux.
De vérité.
Qui à cet instant donne à tes mots.
Des évidences.

Tu l'aimes même si la peur, la pudeur, ton esprit libre t'empêchent de le dire vraiment. Iago tu l'aimes de tout ton cœur, de tout ton être, de toute ton âme. Tu l'aimes plus que ta propre vie. Et cet instant se grave et t'émeut, il te montre combien vivre à ses côtés tous les jours de ta vie serait exquis, serait facile. Gourmandise dans laquelle tu croquerais bien à chaque seconde. Tu as parfaitement conscience de ce fait que tu distilles à petite dose dans les moments où vous êtes ensemble. Mais le manque rend vos retrouvailles plus troublantes et l'amour ressenti s'écrit avec plus de force. Tu l'exprimes à ta manière, en prenant soin de lui. En dévoilant ton besoin de lui. Même si tu sais que ton Iago sait ce que tu éprouves. Et respecter tes choix de vie, montre combien le sien est encore plus grand.
Et le festin est déposé sur la table joliment dressée.
Les odeurs viennent titiller l'appétit.
Tu es fier de la tache accomplie.
Tu es heureux de voir le bonheur dans les yeux de ton Iago.

« Oui aucune raison. »
En plus tout a été fait avec amour. Des frissons s'invitent sur ton épiderme à la confidence de ton amant. Tu aimes tellement ces sensations divines.
« Je me suis bien rendu compte que tu prenais plaisir à taquiner ma peau. »
Tes mots sont dits dans un sourire mi charmeur, mi joueur. L'instant est révélateur du lien profond qui vous unit depuis votre première rencontre, lien qui n'a fait que se renforcer au cours du temps écoulé. Et ni les embûches, ni les coups durs, ni l'absence n'ont tari cette source précieuse.
Et les douces saveurs s'égarent sur la langue.
Alors que vos regards s'entrecroisent.
Alors que tout ce qui s'y écrit dévoile la suite.

Le programme énoncé est alléchant, tout comme cet instant que vous partagez. Et tu viens doucement distiller tes caresses, tes baisers, ton envie de lui, de te donner et de le posséder. Ce besoin irrésolu de céder à l'appel de la chair, de ne faire qu'un pour sublimer encore votre lien. Dans ces instants là, tu en oublierais presque de respirer tellement toutes les sensations éprouvées sont déroutantes et puissantes. Iago t'enivre de mille délices juste en effleurant sa peau du bout de la tienne.
La sensualité se dessine.
Traçant l'érotisme.
La brise se ferait presque tempête. Ouragan.
Sous cette chaleur intense.
Le désir est là, et vos corps ne le cachent pas.


Puis tu reprends place face à ton Iago autant troublé que lui par cette mise en bouche, par cette énonciation de la suite. Par les images sublimes qui sont venues titiller ton esprit alors que tes mots caressaient ta langue. S'il t'enivre de mille sensations, tu l'as envoûté de mille émotions. Tu le sais, tu le vois. Son regard danse de flammes. Et son corps s'est gorgé d'appétit vorace. Et le voilà qui à son tour se joue de toi avec délicatesse et provocation.
Juste retour des choses.
Et tu le dévores du regard alors que la crêpe subit sans sourciller son sort. Et tu t'imagines te faire dévorer de la sorte avec cette délectation qui te fait saliver.
« J'aime quand tu es affamé de la sorte. »
Et tu jettes le même sort à ta crêpe prenant le temps de la déguster comme tu dégusterais les lèvres de ton Iago. Comme tu dégusterais son corps, sa virilité. Tu as d'un coup beaucoup plus chaud et sous ta taille le volcan gronde avec force.
« Oui elles sont exquises. »
Voix sensuelle et plus chaude avec un brin de malice dans les yeux, tu rajoutes.
« Toi aussi tu es exquis. »
Alors que la langue de Iago frôle avec provocation ses lèvres. Ta main vient effleurer un bout de sa peau. Envies qui se renforcent, violentes et indécentes. Audacieuses aussi, mais que pour le moment vous ne laissez pas totalement s'échapper.
« Il faut en effet penser à la suite qui sera tout autant exquise. Peut être même plus. »
Et tu exploses de rire à ses mots et à ton tour tu viens doucement murmurer à son oreille.
« Toi rester sage ? Je ne sais pas si tu en serais capable. Peut être qu'il faudrait que je t'attache pour avoir cette sagesse. L'idée est osée mais demande que je l'étudie. »
Et tu lui souris, imaginant les poignets de ton Iago accrochés au haut du lit pendant que tu serais entre ses jambes à dévorer sa virilité de ta bouche et son intimité de tes doigts avant de le faire tien. Et si ton amant a embrassé la peau sous ton oreille toi tu mordilles la sienne avant de venir t'emparer de ses lèvres. Sa langue natale vient donner à l'instant encore plus d'érotisme. Ta main descend doucement sur sa cuisse, se dirigeant vers son entre jambe et si tu avais été discret dans ton touché tout à l'heure. Là tes doigts malgré le tissu s'emparent de l'objet de ton désir, le pressant de tes ardeurs que tu ne veux plus museler.
« Et si tu me laissais t'offrir le clou de ce repas. Cette gourmandise ultime. Sachant qu'elle va se décliner d'abord avec mes doigts, puis avec ma langue avant l'apothéose. J'ai envie de toi mon Iago. Terriblement envie et je n'en peux plus d'attendre. Je te veux. »
Et tu te lèves pour venir voler des baisers passionnés témoins de ton désir impatient. Puis tu le prends dans tes bras pour l'aider à se lever et l'entraîner dans sa chambre ou tu le poses avec douceur sur le lit avant de t'allonger sur lui.
« Tu es beau quand le désir s'invite sur ta peau et dans tes yeux. »
Et tu l'embrasses avec fièvre alors que tes mains partent à la conquête de son corps, de sa peau. Il t'a manqué, horriblement manqué , un instant ce manque te replonge dans ces moments liés à son absence. Et le besoin présent, urgent de le faire tien revient en force.
Féroce.
Virulent.
Puissant.  

Et ton bassin se colle au sien, brûlant de cette appartenance, impatient de cette dépendance. Et les peaux se découvrent et le désir se dévoile d'avantage.

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Iago Romano
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• pronom : il.
• côté ♥ : C'est compliqué. Officiellement célibataire, il prétend être le plus hétéro des hommes. Il a conscience du dégout que son homosexualité peut représenter dans son milieu. Il enchaine les conquêtes féminines pour camoufler les apparences. Son cœur est partagé entre deux hommes : son meilleur ami, celui avec qui il a tout expérimenté et celui qui lui a sauvé la vie sur le champ de combat.
• orientation : Hétérosexuel en apparence, homosexuel en réalité.
• occupation : Ancien sergent dans l'armée de terre. Il a quitté les rangs de l'armée à la suite d'un attentant en milieu hostile. Il y a perdu sa jambe gauche. Aujourd'hui, il a une prothèse bionique qu'il camouffle sous ses jeans. Il est apprenti tatoueur dans un salon, ce qui lui permet de se maintenir loin des affaires de la famille, mais pour encore combien de temps ?
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Iago Romano
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Dim 13 Mar - 14:42
Il use de l’érotisme de sa langue natale pour envouter sa colombe. Quand bien même ce moment partagé avec Zéphyr est fort agréable, il ne peut pas totalement lutter contre ce désir qui le dévore pour cet homme. Le manque dû à son absence a été vif. Le bonheur de le retrouver exacerbe ce besoin de le retrouver dans une intimité plus charnelle que celle qu’ils partagent à cet instant. Il lui fait part de ses desseins, car il ne peut plus les réprimer. Ce jeu sensuel est une délicieuse mise en bouche, mais il ne peut lutter contre l’ambition de se laisser ravager par les flammes du désir et griser par la danse de leurs deux corps. La colombe semble avoir saisie ses intentions. L’échange se fait plus sensuel. Chacun trace les bases de la suite de leur rencontre. L’idée d’abandonner le contrôle à l’autre et devenir sa victime est énoncée. Cette pensée est enivrante. Elle le séduit même s’il n’en dit mot. Il y a une légère crainte tapie en lui qui craint de ne pas parvenir à satisfaire son fantasme. Iago a conscience que son esprit a été énormément malmené sur le champ de bataille. Abandonner le contrôle, c’est devenir vulnérable et prendre le risque de ne pas pouvoir se défendre en cas d’attaque. Ce genre de mécanisme est difficile à contrecarrer, mais il espère un jour pouvoir y parvenir, satisfaire cette idée qui se loge dans les pensées lubriques de son partenaire. Il ne revient pas dessus afin de lui faire comprendre qu’il n’est pas contre l’idée, mais qu’il n’est pas encore sûr d’y parvenir. Le contact franc de ses doigts autour de sa virilité lui arrache un grognement approbatif. Il lui est impossible d’être insensible à ce toucher. La voix rauque de son amant met en exergue l’homme sauvage qui se cache derrière ces traits d’apparence enfantin. Un homme qu’il désire depuis son adolescence et dont il est follement amoureux. Il aime admirer ses prunelles s’embrumer de ce désir qu’il ne peut pas taire. Il le veut et cet aveu est aphrodisiaque. Cette impatience est une décideuse adrénaline qui vient accroitre son ambition. Iago le laisse prendre les commandes. Il répond naturellement à ces baisers enflammés qui accentuent cette combustion qui s’opère au creux de ses reins. Leurs lèvres se cherchent, se trouvent et s’embrasent au contact de leurs comparses. Leurs souffles se mêlent, se meurent et s’emballent dans une parfaite harmonie tandis que leurs mains s’activent à redécouvrir les traits de l’autre. Zéphyr l’aide à se relever et l’entraine jusqu’à sa chambre tout en prenant soin à ce qu’il ne perde pas son équilibre. La douceur de la colombe est un délicieux contraste avec l’ambition qui teinte ses prunelles alors qu’il se retrouve allongé sur son lit, surplombé par l’échine de son amant dont le poids est un délicieux stimulant. « Anche tu, moi passerotto. » Il murmure au creux de ses lèvres alors que ses comparses s’emparent des siennes dans un baiser plein de fièvre. Ses doigts viennent naturellement retrouver son dos pour arpenter chaque ligne de ses muscles ciselés. Sa colombe est une œuvre d’art vivante. Il est un éphèbe taillé dans la pierre aux courbes parfaite dont il se délecte sans honte. Ses doigts glissent le long de sa colonne vertébrale, glisse sous le tissu du pantalon pour poursuivre son expédition sur cette silhouette dont le contact s’est tant fait désirer. Il savoure chaque frison qu’il soutire à cette peau ouverte alors que sa cuisse vient se loger contre la hanche de son partenaire pour accentuer le contact étroit entre leurs deux bassins. La sensation de sa virilité ferme et tendue tout contre la sienne au travers des tissus est exquis. Il ne résiste pas à la tentation de rejoindre la ceinture du pantalon pour la défaire et faire glisser le tissu pour obtenir un meilleur champ d’action. Ils se retrouvent dans cette intimité tant désirée. Il n’y pas d’hésitation ou de pudeur dans le moindre de leurs gestes. Ils connaissent chaque parcelle de l’épiderme de l’autre et ne cesse pas de la chérir à la moindre occasion. Sa main vient naturellement retrouver cette protubérance pour savourer son poids dans le creux de sa main. « Perfetto ! » Il murmure contre sa joue qu’il vient embrasser en venant rejoindre sa mâchoire, son cou qu’il mordille avec plaisir. Il savoure le grognement qui s’extirpe de cette gorge qu’il prend plaisir à parsemer de ses attentions. « Ti voglio così tanto. » Il poursuit alors que le bout de ses phalanges s’attarde sur la pointe de sa virilité pour lui arracher un autre grognement. « Et si tu me faisais découvrir cette gourmandise ultime, mio passerotto ? Je te sens tellement impatient et j’aime tellement être victime de cette tempête qui s’abat dans tes prunelles. Marques-moi, mio passerotto. » Il lui murmure au creux de l’oreille avec un sourire paresseux alors qu’il abandonne ses caresses pour glisser ses mains au niveau de sa tête, lui abandonnant le contrôle. « A moins que tu souhaites que je ne sois pas sage ? » Il le taquine naturellement alors qu’il redresse sa tête pour déposer un baiser au coin de ses lèvres. Son regard brille de cette excitation qui le dévore mais où il est perceptible cette douceur qu’il le possède pour cet homme. Même dans le feu de l’acte, l’âme de Iago se fait tendre pour son amant.
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Zéphyr Ucello
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• âge : 33
• pronom : Il
• côté ♥ : Perdu entre un coeur auquel il se sait déjà attaché et un coeur qui va lui falloir apprivoiser.
• orientation : Il aime les hommes comme les femmes, l'essentiel c'est le plaisir éprouvé et donné. Bi sexuel assumé.
• occupation : Strett artist mais pour vivre obligé de faire plein de petits boulots
• quartier : Pas de domicile fixe, dort à la belle étoile quand le temps le permet. Ne supportant pas d'être enfermé.
• avatar : Ho-seok Lee (Wonho)
• crédits : thepsthings (avatar) vmicorum. (sign)
• messages : 329
• date de naissance : 15/12/1990
Zéphyr Ucello
Aprends moi. ( Ziago
Lun 21 Mar - 8:37
ft Iago
cette vision de la douceur d'une vie à deux d'une vie avec toi.
Vos mots se font caresses.
Envoûtantes et enivrantes.
Alors que vos corps s'appellent.
S'attirent. S'aimantent.

Pris dans le délicieux piège du désir. Tu veux juste te laisser couler et emporter dans cette exquise noyade ton Iago. Tu veux frôler son être tout entier avant de te perdre complètement en lui. Cette envie tu l'as muselé durant votre séparation, mais là elle s'épanouit entièrement, ne laissant transparaître que l'essence précieuse et unique du lien qui vous unit. Tu ne diras pas les mots, tu as cette retenue que parfois tu trouves idiote, mais contre laquelle tu ne peux lutter. Tu sais qu'un jour ces lettres seront prononcés, doucement, avec lenteur, parce que ton cœur crie ce mot depuis bien des années.
Et que le temps passe.
Et que ton Iago l'attend
.
Même s'il ne t'en tient pas rigueur, qu'il sait quel épris de liberté tu es. Épris de liberté qui peu à peu offre son corps moins souvent. Un jour il n'y aura que Iago qui effleurera tes courbes. Un jour tu ne seras qu'à lui. Tu sais que jamais il ne fermera la porte de la cage dans laquelle l'amour doucement te met. Mais en attendant tu lui donnes cet instant. Tu en as autant besoin que lui. Le manque a été conséquent. Et même si ton esprit était occupé par le boulot, une part ne pouvait s'empêcher de penser à cet instant.
A ce moment ou vos lèvres se rejoindraient.  
A ce moment ou vos mains enflammeraient.
A ce moment ou vos corps fusionneraient.

Et si le repas a été délicieux, la suite le sera encore plus. Parce que tu as faim de lui, comme il a faim de toi. Vous n'allez pas que nourrir vos corps impatients, mais aussi vos cœurs et vos âmes. Communion entière qui va mener vers un horizon ou le feu fera rage, ou les vagues seront immenses, avant que la jouissance m'apaise cette tempête et cet incendie qui vous ravagent. Viendra alors le calme que vous trouverez dans les bras l'un de l'autre essoufflés mais comblés. Et tu l'entraînes dans sa chambre, voulant découvrir son corps nu, voulant l'avoir sous ta coupe. Voulant le voir chavirer sous tes baisers, tes caresses. Voulant l'envelopper dans cette bulle que l'union de vos corps va faire naître.

Et vous voilà allongés. Fébrilité dans les gestes qui se perdent sur vos peaux en attente, en demande, d'un plus enchanteur. Vos yeux se kidnappent dessinant déjà le ciel vers lequel vous allez chavirer. Et vos corps frissonnent comme des vagues, prémices de cette bourrasque qui va vous secouer. Le désir est là, il a pris d'assaut vos chairs tendues, les gorgeant de mille délices qui se distillent à peine elles se frôles. Effusion des sens en émois, palpitants qui s'affolent, souffles qui s'unissent. Et les chairs se frôlent affamées, envoûtées, enivrées.
Les tissus glissent.
Les peaux se dénudent.
Les regards se font plus intenses.
Le désir plus brûlant.

« Tu es si beau mon Iago. »
Un sourire pare ton visage de douceur, alors que tes pupilles s'enflamment sous les impulsions du plaisir. Vos lèvres redécouvrent vos peaux, alors que vos doigts retracent des chemins si souvent empruntés. Et pourtant chaque caresse est une nouvelle saveur plus suave que la précédente. Vos mains laissent leurs traces, augmentant le feu, rendant le jeu plus sensuel avant qu'il ne devienne érotique quand vos doigts s'attardent avec délice sur vos virilités. Tu gémis sous l'attraction de ce touché. Tu te tends d'avantage sous cette pression audacieuse et exquise.
Les mots se font plus provocants.
Alors que l'objet du désir est délaissé.

Tu mordille le cou de ton Iago, avant de t'attarder sur le lobe de son oreille, puis sa mâchoire.
« Moi impatient. Jamais. C'est plutôt toi qui est impatient. »
Tu emprisonnes les lèvres de ton amant avec provocation faisant danser vos langues. Indécentes elles valsent. Alors que ta main se serre sur sa chair tendue. Et un sourire malicieux né sur tes lèvres.Tu regardes ton Iago qui a déjà ses mains posées sous sa tête, prêt à subir tes assauts.
« Non reste sage. Du moins pour le moment. Laisse moi m'occuper de toi. Après pas sur que tu résistes à mes assauts. »
Et ton sourire se fait plus grand alors que tes lèvres partent à la conquête du corps offert. Tu joues soufflant sur la peau, la lâchant avant de la mordiller et de l'embrasser.
Tu prends ton temps.  
Faisant augmenter le feu.
Rendant l'instant plus torride.
N'oubliant aucune parcelle.
De cette peau que tu parsèmes de ta trace.
Marqué à vie ton Iago.
De ta présence. De ton essence.

Et tu finis entre ses cuisses, le regard accroché à sa virilité. Tes doigts l'effleurent avec lenteur et douceur. Avant de venir la titiller avec plus d'audace. Glissant sur la courbe comme si tu la découvrais pour la première fois. Et tes yeux remontent le long du corps, s'embrumant d'émotion. C'est intense et ça te transperce. Te bouleverse. Tu captes le regard de ton amant. Ému et troublé par tout ce que tu ressens. Puis tes lèvres viennent cueillir ce fruit délicat.
D'abord
Douceur.
Et l'étau glisse sur la chair.
Puis.
Lenteur
Pour que chaque vas et viens s'impose.
Enfin.
Chaleur.
Quand les lèvres se font prison.

Au début délicates, elles se font avec les secondes qui s'égrainent plus voraces. Affamées de ce délice qui s'invite en leurs seins. Ta langue s'entoure et envoûte. Gestes calculés puis provocants. Tu enflammes d'avantage ta victime. La rendant plus sensible. Tes doigts venant ajouter leurs touches de caresses avant d'aller titiller cette chair qui deviendra le royaume de ton épée une fois préparée. Tes yeux se ferment pour que le plaisir soit encore plus enivrant. Tu gémis en entendant ton Iago gémir. Parce que ce plaisir que tu lui offres tu le partages. Il te prend aux tripes alors que tu sens son plaisir se faire plus conséquent. Ta main libre joue sur ses hanches, son ventre, son torse cueillant les frissons que tes caresses font naître.
Entre tes cuisses.
Ton épée se meurt d'impatience.
De conquête.
De le faire tien.
Mais pas tout de suite.
D'abord.

Tu veux délivrer des tourments endiablés, le voir complètement sombrer. Avant de le posséder.

vmicorum.
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Iago Romano
Iago Romano
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• âge : 35
• pronom : il.
• côté ♥ : C'est compliqué. Officiellement célibataire, il prétend être le plus hétéro des hommes. Il a conscience du dégout que son homosexualité peut représenter dans son milieu. Il enchaine les conquêtes féminines pour camoufler les apparences. Son cœur est partagé entre deux hommes : son meilleur ami, celui avec qui il a tout expérimenté et celui qui lui a sauvé la vie sur le champ de combat.
• orientation : Hétérosexuel en apparence, homosexuel en réalité.
• occupation : Ancien sergent dans l'armée de terre. Il a quitté les rangs de l'armée à la suite d'un attentant en milieu hostile. Il y a perdu sa jambe gauche. Aujourd'hui, il a une prothèse bionique qu'il camouffle sous ses jeans. Il est apprenti tatoueur dans un salon, ce qui lui permet de se maintenir loin des affaires de la famille, mais pour encore combien de temps ?
• avatar : Andre Hamann
• crédits : @Eilyam
• messages : 233
• date de naissance : 25/11/1988
Iago Romano
Aprends moi. ( Ziago
Jeu 7 Avr - 12:13
Aprends moi. ( Ziago 111402504
Retrouver cette intimité est exquis. Il ne le dit pas, car il ne souhaite en aucun cas mettre des chaines à cette âme vagabonde, mais ses absences le laisse orphelin d’une félicité qu’il ne ressent qu’aux côtés des deux hommes qui se sont emparés de son cœur. Par le passé, la distance était plus supportable, car il avait à ses côtés Alessandro, qui par son amitié et par la suite son amour ont su l’aider à faire face à ce sentiment de vide qui pouvait l’habiter dès lors qu’il s’éloignait de cet homme. Sans Alessandro à ses côtés, il a la sensation d’errer dès lors que la colombe s’éloigne de son champ de vision. La routine lui laisse un gout âpre qu’il s’efforce de tronquer en se plongeant corps et âme dans son art : le tatouage. Il attend sagement le prochain passage de sa colombe et lorsqu’elle apparait et inonde son existence de sa joie communicative, il en oublie ces journées où il n’est pas à ses côtés. Il savoure simplement l’instant présent, se nourrit de ces instants qui lui offre un bonheur au gout d’éternité. D’autant plus lorsque leurs corps cherchent à se découvrir de nouveau dans une étreinte lente et passionnée. Iago se soumet obligeamment aux volontés de son amant. Il est prompt à tout lui donner. Il s’abandonne naturellement entre ses bras, car il n’a aucun doute sur le fait qu’il prendra soin de lui. Il ne doute absolument pas de l’affection qu’il lui porte. Il l’a toujours vu dans l’éclat pénétrant de ses regards, dans la douceur de ses caresses et la langueur dans laquelle il l’enferme dès lors que leurs épidermes se connectent. Il l’aime. Il en a la certitude, mais il demeure une âme qui a besoin de sa liberté. Il ne peut tolérer d’être enchainer. Iago a appris à l’accepter. Aussi douloureux que cela a pu l’être pour lui lorsqu’adolescent, il n’envisageait que lui dans sa vie amoureuse. Il a abandonné l’idée de l’enfermer dans une cage quand bien même elle aurait pu être confortable. Il est parti, pensant pouvoir se détacher de sa colombe, amoindrir cet amour qui manquait de lui arracher son souffle, mais il n’y ait pas parvenu. La colombe a toujours été son oxygène. Il a toujours eu besoin de lui pour se sentir pleinement à sa place. La distance n’a absolument rien changé. Pas même encore à ce jour. Encore moins maintenant qu’il s’est éloigné d’Alessandro où il apprend à vivre sans lui, sans ce socle qui a tant été indispensable à son équilibre. A cet instant, dans cette intimité, Zephyr lui offre un second souffle. Ses caresses enflamment son épiderme, ses baisers envoutent ses sens alors qu’il ne masque aucun des effets qu’il a sur lui. Sa respiration est courte. Ses prunelles luisent d’une ivresse qu’il savoure sans en rougir. Ses lèvres dévoilent des sourires doux, parfois éhontés, complices. Il retrouve le bonheur d’être de nouveau avec lui et profite pleinement de chaque seconde. « Je n’ai jamais su résister à tes assauts, mio passerotto. » Il murmure à l’orée de ses lèvres alors qu’il le sent partir à la conquête de son corps. Enfin, il retrouve la sensation de lui appartenir. Zephyr connait la partition de son corps à la perfection. Il sait où l’effleurer avec ses doigts ou son corps, où attarder ses lèvres pour qu’il se perde dans les méandres du plaisir. Il ne lutte pas. Il se soumet pleinement à ce musicien qui sait si habilement jouer de son talent sur lui. Sa respiration est vive, des soupirs d’aises se transforment peu à peu à des gémissements. Il sait que ce n’est que le début, que l’ascension sera d’autant plus vertigineuse. Zephyr prend son temps, avec cet érotisme qui lui colle à la peau. Ses lèvres redonnent vie à ses sens. Ce surnom tant chéri s’épanche de sa gorge sans qu’il cherche à le contenir. Il l’invite à se rendre plus aventureux, plus gourmand, car il le désire si ardemment qu’il n’a pas envie que tout s’arrête. Il veut être la partition dans laquelle il se perd. Zephyr accapare son épiderme et le soumet à ses volontés. Il titille sa chair sensible, la rend d’autant plus fébrile à son contact et lentement ses soupirs deviennent des gémissements, parfois même des grognements tandis que le rythme de la mélodie qu’il joue se fait plus intense et passionnée. Le désir inonde le creux de ses reins. Ses reins se cambrent, viennent à la rencontre de cette bouche et de ses phalanges qui explorent une partie plus secrète de son anatomie. Il ne l’empêche pas. Au contraire, il l’invite à se montrer plus conquérant, à le découvrir comme il a envie de le faire. Sa respiration est hachée. Sa virilité suinte de ce méat qu’il ne peut contenir. Son esprit s’évade, s’envole dans des contrées nébuleuses. Il ne masque aucune de ses réactions. Il a conscience que son amant n’attend que cela : son abandon absolu. Cet abandon qu’il lui offre sur un plateau d’argent après avoir tenter de l’en informer pour la forme. L’explosion de ses sens et si intense qu’il perd le fil de l’instant, de la mélodie. Son rôle guttural apporte une note finale à cette mélodie qui vient s’évanouir dans ses dernières notes. Son regard brumeux se perd dans les rétines de sa colombe. Un sourire paresseux ourle ses lippes alors que cet homme vient remonter vers lui, admirer le résultat de ses attentions. Leurs lèvres se retrouvent dans un échange lent et langoureux. Il retrouve sa saveur avec délectation sur le bout de cette langue friponne qui lui arraché son orgasme. Le baiser d’abord paresseux se fait peu à peu vorace. L’appétit de la colombe n’est nullement satisfait et il faut bien avouer que malgré l’ivresse qui le tenaille, il n’en a pas assez. Il a envie de plus, de lui au creux de ses reins alors il n’hésite pas à venir retrouver cette virilité qu’il emprisonne dans une poigne experte. Il vient la mêler à la sienne dans une caresse lascive, lui offrant ce contact humide pour leur permettre de s’effleurer avec naturel et facilité. Il savoure ce grognement impatient qui vient s’épandre hors de la cage thoracique de son amant. La fermeté de sa virilité tout contre la sienne est un exquis aphrodisiaque. Ses mouvements de poigné se font experts. Il le caresse sans ménagement tout en l’empêchant de s’éloigner de ses lèvres. Lorsqu’il le sent sur le point de basculer, il relâche la pression de ses doigts et de ses lèvres. Il lui offre un sourire mutin alors que ses prunelles se perdent dans celles si ombrageuses de son amant. Il est magnifique. « Mio passerotto… » Il murmure dans un ton à la fois doux et possessif. Il s’efforce de lui communiquer toute l’émotion qui le possède à cet instant. Quelques secondes seulement avant de rendre l’instant plus léger. « Désolé, il semblerait que je n’ai pas pu résister. » Il le taquine dans un sourire complice et éhonté. « Prendimi. Possiedimi. Ti voglio così tanto. » Il murmure en venant lui mordiller la mâchoire, laissant ses mots échouer au creux de son oreille. Ses mains quant à elles ont remontées le long de son dos dans une lente caresse avant de s’échouer de nouveau sur le matelas. « Promis, je vais tâcher d’être sage. » Il lui indique dans un rire enroué, car il est encore dans l’emprise de sa jouissance. Pourtant son ambition est claire. Il veut qu’il le possède, qu’il l’emprisonne de ses bras et de son poids pour se perdre de nouveau dans cette ivresse. Une ivresse qui lui offre la sensation d’être entier et à sa place.  
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Zéphyr Ucello
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• âge : 33
• pronom : Il
• côté ♥ : Perdu entre un coeur auquel il se sait déjà attaché et un coeur qui va lui falloir apprivoiser.
• orientation : Il aime les hommes comme les femmes, l'essentiel c'est le plaisir éprouvé et donné. Bi sexuel assumé.
• occupation : Strett artist mais pour vivre obligé de faire plein de petits boulots
• quartier : Pas de domicile fixe, dort à la belle étoile quand le temps le permet. Ne supportant pas d'être enfermé.
• avatar : Ho-seok Lee (Wonho)
• crédits : thepsthings (avatar) vmicorum. (sign)
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• date de naissance : 15/12/1990
Zéphyr Ucello
Aprends moi. ( Ziago
Mer 20 Avr - 9:24
ft Iago
cette vision de la douceur d'une vie à deux d'une vie avec toi.

Aprends moi. ( Ziago 111402504

Et le temps suspend sa course.
Alors que vos peaux se retrouvent.
Instant magique qui se grave dans vos mémoires.
Vos cœurs s'emballent. Vos souffles se mêlent.
Chaque parcelle de chair est honorée.
De baisers, de caresses, d'amour.
Il est à toi, rien qu'à toi ton Iago.
Et tu es à lui, tout à lui. Même si tu gardes le silence sur cette vérité.

Et ta raison se perd autour de cette horizon que tu possèdes. Ta bouche se fait gourmande et tu savoures cette chaleur entre tes lèvres. Tu savoures son goût, avide de le voir se répandre jusqu'au fond de ta gorge. Avide de sentir sa substance enivrer l'étau que tu offres avec douceur et lenteur. Et puis l'envie de fait vorace, elle te prend et te fait augmenter le rythme de tes vas et viens alors que tu sens le feu devenir brasier au bas de tes reins. Alors que ton épée rêve de pouvoir et de conquête. Et tu n'en as qu'une en tête, celle du royaume de ton Iago. Tu veux le faire tien. Mais avant de venir le marque de toute ta puissance tu lui offres la délivrance. Et de cette douceur maintenue durant la caresse intime ne reste que l'audace et le besoin d'indécence. La passion dévorante qui vient t'envelopper arrachant des soupirs de plaisir et des gémissements de frustration. Même si tu sais que cette frustration sera éphémère.
D'ailleurs Iago déjà t'attire vers lui.
Et vos lèvres se retrouvent.
Les tiennes sont encore gorgées de son goût.
De cette saveur particulière que tu affectionnes.
Et vos corps se collent.
Alors que vos bassins s'aimantent impatients.
Le désir vous accapare et vous embrasse.
Et l'instant est délicieux.


Collé l'un contre l'autre, ton épée réclame le combat et son du. Elle a faim, faim de sa chair. Faim de sa chaleur. Faim de son intimité que tu frôles sans la pénétrer. Excitant encore l'entré avant d'y accéder. Audace volontaire pour le rendre plus accro de la suite de la lutte. Mais ton Iago n'est pas en reste, voilà que sa main aventureuse vient se glisser entre vos corps. Elle s'empare de ta virilité, la serrant et la malmenant tout en donnant à ces secondes une saveur d'éternité. Et le plaisir est là, il te frappe  augmentant ton souffle, les battements de ton cœur et tes gémissements.
Tu le maudis de cette audace.
Autant que tu l'aimes de la mettre en place.

Tu vibres de tout part. Et ton bassin entre dans une danse sensuelle, que tu ne veux que rendre plus érotique. Et vos virilités se frôlent et s'affolent.
« Tu me rends digne et tu m'affames mon Iago. »
Et ta faim se voit jusque dans tes pupilles que tu plonges dans les siennes. Tes lèvres se font plus quémandeuses s'emparant des siennes comme si ta vie en dépendait. Et dire que tu lui as demandé d'être sage.
« Tu vas finir attaché si tu continues sur cette lancée. »
Et tu lui souris avant de mordiller son cou. Tu as envie de t'abandonner à cette caresse à la fois tortueuse et délicieuse. Mais tu as aussi envie de plus, de beaucoup plus. Et il semble que ton Iago le comprenne. Parce que son corps t'a manqué et pas que son corps c'est son être tout entier.
Ce vide que son absence laisse dés que tu t'éloignes.
Tu ne sais pas comment le combler loin de lui.

Et quand il relâche la pression, quand il te délivre de son étau, tu pars à la conquête de son royaume. Avec lenteur et douceur. Même si tu dois te retenir pour ne pas céder à ton désir.
« J'aime aussi quand tu n'es pas sage. »
Et tu le pénètres dans un gémissement long alors que tes lèvres viennent cueillir les siennes dans un baiser passionné et exigeant. L'amour il est là dans tous tes gestes, dans toutes tes attentions, dans ton regard égaré qui retrouve sa route quand il se pose dans celui de ton Iago. Et tu l'embrasses en a perdre le souffle alors que ton corps se soude au sien.
« Comme ça m'a manqué. Comme tu m'as manqué. »
Mots murmurés entre deux baisers. Alors que ton bassin va et vient entre ses cuisses. L'abandon est total, la soumission aussi. Tu te donnes entièrement alors qu'il s'offre également. Deux corps unis qui ne font plus qu'un dans une danse charnelle sensuelle et torride.
Plus qu'un besoin.
L'essence même de vos vies.


« Je pourrais passer ma vie à te faire l'amour à longueur de journée et de nuit. »
Tu pourrais en vivre de ce besoin là, il pourrait te suffire. Vous pourriez être seul au monde que jamais tu ne te lasserais de son corps. De cette peau que tu sens frissonner sous la tienne. De ce feu que tu alimentes de tes baisers, de tes caresses. Et pourtant parfois tu te perds. Mais n'est ce pas au final pour mieux le retrouver. Pour mieux l'aimer.
L'aimer entièrement.
L'aimer totalement.
Sans oser l'avouer.

Et les secondes se perdent, s'étirent, alors que vos corps ne cessent de se désirer. Le rythme change et s'emballe. Puis redevient calme. Avant de s'affoler. Vos corps s’emboîtent à la perfection. Et tu souris à cette image de luxure parfaite. Vos courbes s'épousent. Vos soufflent s'allient. Vos cœurs chantent. Et tout s'accorde. Et tu te laisses aller, profitant de chaque seconde qui s'égraine et qui se teinte d'éternité. Profitant de l'homme que tu aimes parce que tu sais que c'est de l'amour même si tu ne l'as jamais avoué.
Osmose parfaite.
Bercée de vagues imparfaites.
Qui fait naitre votre jouissance.

Et c'est épuisé que vous finissez, vidés, mais remplit d'amour, comblés au point d'en avoir le souffle coupé. Tu restes en lui ayant peur de voir tout s'envoler alors que ton regard c'est embrumé d'un horizon délicieux. Ton coeur bat si vite que tu ne sais pas s'il va se calmer. Ta peau chaude et humide ne veut se décoller de celle de ton Iago. Étreinte que tu prolonges parce qu'à cet instant tu es bien. Parce qu'à cet instant tu n'es pas perdu, tu es chez toi.
Parce que ton Iago.
Au fond c'est ta terre d'asile.
Ta terre promise.
Celle où ton cœur peut se poser.
Sans crainte de se voir abîmé.


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