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New date, new chance, just let it come [Laumie #3]

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New date, new chance, just let it come [Laumie #3]
Ven 26 Juin - 11:14

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La plaisanterie était facile à faire. Trop facile. Pour l’instant, c’est la phase d’apprentissage. Cette période où on découvre l’autre, grâce à un jeu de question et réponse, mais aussi en observant, et en analysant les réactions. Dans le cas présent, Laurel montre qu’elle n’aime pas rester sur quelque chose de négatif, à savoir cette confrontation avec son ex-mari. Cet épisode n’était certainement pas prévu dans le programme du jour, alors elle serait bien idiote de le garder en travers de la gorge, et ainsi “gâcher” la suite de la journée. Non, le vertige ne fait pas parti de ses faiblesses. La hauteur ne l’impressionne pas. Au contraire, elle procure un sentiment de liberté, et un certain pouvoir aussi. C’est difficile à expliquer, mais ça a un côté exaltant. De ce petit numéro, Laurel peut en tirer une information au sujet de Jamie : il est bon joueur. Ce n’est pas la première qu’elle se joue de lui, qu’elle teste ses réactions, et jusque là, ça n’a jamais été négatif. Plus d’un homme serait vexé de se faire berner plus d’une fois. L’égo. Toujours l’égo. Lui non. C’est un bon point à ajouter à la liste des bonnes impressions à son sujet. Il lui demande alors ses intentions concernant les gains du pari, et cette fois-ci, il semblerait que ce soit elle qui gagne des points, sans chercher à en avoir. Il est vrai que sa réponse semble trop parfaite, digne d’un discours qu’une future miss dirait. La paix dans le monde. Résoudre les problèmes de pollution. Que la faim soit éradiquée. Pourtant, Laurel ne fait que dire la vérité, sans chercher à impressionner qui que ce soit. La preuve, il n’y a qu’eux sur la terrasse. « Il ne faut pas exagérer. J’estime avoir réussi professionnellement parlant, et je ne manque de rien. N’est-ce pas ce que le bon sens devrait dicter, de partager avec ceux qui sont dans le besoin ? » Laurel n’attend pas forcément une réponse de la part de l’homme, elle exprime seulement sa façon de voir les choses. Elle vit seule dans une immense villa, sans animaux ou enfant. Il n’y a qu’elle, avec déjà tout ce dont elle a besoin. Garder précieusement son argent pour elle, sur un compte à la banque, ça ne va rien lui apporter. Ce n’est pas le concours de celui qui aura le plus gros montant au moment de rencontrer son Créateur. Il n’y a pas un prix à gagner, et si tel est le cas, ça n’intéresse pas la jeune femme. Elle est de l’ordre qui préfère participer plutôt que de gagner.

La bonne humeur fraîchement retrouvée est toutefois mise à mal par le sujet amorcé par Jamie. Joseph, son ex-mari. Oui, il a encore de l’emprise sur elle. Laurel parvient à s’améliorer pour l’avenir, mais lui est dans le passé, et encore un peu dans le présent. C’est pas aussi simple de calquer sa nouvelle attitude à son ex-mari, car les anciennes habitudes reviennent. S’écraser plutôt que chercher un conflit qui ne fera aucun écho chez lui. Laurel est seulement réaliste, elle a compris il y a bien longtemps que Joseph n’est pas un adversaire pour elle. Il préfère la fuite plutôt que l’affrontement. Combien de fois a t-elle parlé contre le vent, sans qu’il ne réagisse ? Trop pour les comptabiliser. Désormais, elle préfère abdiquer plutôt qu’user sa salive pour une personne à l’esprit ailleurs. Elle voudrait dire à Jamie qu’elle ne crains pas son ex-mari, mais elle se ravise au dernier moment. Pourquoi ? Car ce serait un mensonge. En fait, il y a bien une forme de crainte, bien qu’elle soit incapable de la définir. Comme s’il avait encore un droit de regard sur sa vie, un avis à donner. Laurel a fait en sorte de l’effacer, à commencer par la décoration de la villa pour la mettre à son image, à son goût pour gommer Joseph des lieux. Or, ça reste de la poudre aux yeux. C’est superficiel. L’effet fonctionne qu’en surface, pas en profondeur. Pour cet aspect, seul le temps et la persévérance pourront y faire quelque chose.

Les paroles de Jamie sont sages. Il est vrai que la blonde n’a jamais pensé à voir les choses sous cet angle. Plutôt que voir ce qu’elle a perdu, elle devrait faire la rétrospective de ce qu’elle a gagné. À l’aube de ses trente-six ans, Laurel sait ce qu’elle veut, et ce qu’elle ne veut plus. Elle a gagné de l’assurance, de la volonté, des objectifs… oui, finalement, ce mariage n’a pas apporté qu’un lot de déceptions. Il y a aussi eu de bonnes surprises. Laurel ne répond pas aux mots de Jamie. C’est inutile. Parfois, il faut savoir écouter, comprendre, et réagir, sans forcément utiliser des mots. Elle se laisse aller contre lui, constate que c’est peut-être ce dont elle avait besoin sans le savoir. Un peu de la douceur et du réconfort d’une étreinte. Le témoignage silencieux d’une présence sur qui compter. Dans les bons comme les mauvais moments. Car Jamie aurait pu fuir. Après tout, il a eu son lot de désagréments par le passé, lui-même ayant connu un divorce. Il peut vouloir profiter de la vie sans gagner de nouvelles prises de tête. Mais il est encore là. Et ça, ça touche la jeune femme. « Tu pourrais être coach de vie avec d’aussi jolies phrases. » dit-elle, alors qu’elle est encore contre lui, un rire discret s’échappant de ses lèvres. Il a raison. Il faut que Laurel trouve le moyen de couper toutes les connexions néfastes qu’il reste autour d’elle. Elle doit ne penser qu’à elle-même, prendre soin de cette indépendance, la chérir profondément. Rien ne l’empêche de se lier à quelqu’un, si elle garde à l’esprit qu’elle sera toujours une entité propre. Il y aura toujours un je, même si un jour il se retrouve derrière un nous. Une situation qui pourrait arriver plus tôt qu’elle ne le pense, maintenant qu’un détail lui revient à l’esprit. Doucement, elle s’écarte de Jamie, prenant soin de ne pas renverser la coupe de champagne toujours présente dans sa main. Son expression change, bien décidée à mettre ce sujet de côté, pour en aborder un autre. « Dis-moi. Sois le champagne commence à me monter à la tête après seulement une gorgée, ce qui serait de mauvais présage pour la marque. Sois j’aurai juré déceler une demande dans tes dernières paroles. » Le ton léger mais avec une certaine pointe de taquinerie est volontaire. Si Laurel aime aller droit au but, elle apprécie par moment de faire durer le suspense. Le plaisir s’en retrouve décuplé. « Je pensais que tu disais toujours ce que tu penses clairement. Que tu demandais la permission ou prenais les choses sans détour. Me serais-je trompée à ton sujet ? » dit-elle, un sourire se dessinant sur ses lèvres, avide d’avoir une réponse.
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Jamie Ukhar
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• occupation : Ma fille, Maé, ma princesse. Mais aussi businessman, investisseur, je possède plusieurs établissements rentables mis en gérance
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Jamie Ukhar
New date, new chance, just let it come [Laumie #3]
Ven 26 Juin - 18:12

L’altruisme de Laurel ne retire rien à son charme, vraiment. Elle fait même partie de celles qui pourraient en un instant, me faire tourner la tête. En dehors de sa beauté évidente, il y a tout un aspect intérieur, généreux, et tout ce qui va avec, qui la rend si belle. Je n’ai pas peur de le formuler ainsi. Ne serait-ce qu’avec quelques années de moins, j’aurais pu me laisser aller comme un adolescent, et tomber droit dedans. En même temps, n’est-ce pas ce que je suis en train de faire ? De me laisser charmer, griser, sans qu’elle n’ait le moins du monde à insister ? J’ai toujours la tête froide, mais avec elle, c’est compliqué.
« Il ne faut pas exagérer. J’estime avoir réussi professionnellement parlant, et je ne manque de rien. N’est-ce pas ce que le bon sens devrait dicter, de partager avec ceux qui sont dans le besoin ? » « Tu aurais été communiste à une autre époque. » Je constate, simplement, avec un petit sourire et une ironie franche et sincère. Je ne juge pas. Mais sans doute aurait-elle était la première à tendre la main au premier nécessiteux, et c’est un côté qui me plaît chez elle. Je donne aussi dans les bonnes œuvres, mais j’y trouve un intérêt malgré tout.

Je tiens à la rassurer sur tout un tas de choses, mais surtout en le fait qu’elle soit ce qu’elle est grâce à elle, pas à une tierce personne. Aucun homme ne fait d’une femme ce qu’elle est si elle ne l’a pas en elle. Mais à contrario, je pense qu’une femme peut élever un homme. Ça n’est pas le débat, pourtant, elle est devenue bien plus forte depuis qu’elle a eu le courage de quitter son ex-mari visiblement. Et j’aime la femme que j’ai rencontré. Je l’avais aperçu, il y a quelques années, de temps à autre, dans des dîners et des galas de charité. Je n’ai jamais été insensible à sa beauté, mais elle n’était pas grand-chose à côté de ce qu’elle est une fois qu’on prend le temps de l’aborder. Je la savais mal mariée, mais ça ne me regardait pas vraiment. J’évite de donner des conseils que je ne suis pas foutu de tenir. J’évite de donner des conseils tout court, en fait. D’une manière générale…
« Dis-moi. Sois le champagne commence à me monter à la tête après seulement une gorgée, ce qui serait de mauvais présage pour la marque. Sois j’aurai juré déceler une demande dans tes dernières paroles. » « Une demande ? » Elle est joueuse, je me méfie, je commence à comprendre qu’elle est un adversaire redoutable. Alors je dois me méfier, je dois avouer que ça me fait sourire. « Je pensais que tu disais toujours ce que tu penses clairement. Que tu demandais la permission ou prenais les choses sans détour. Me serais-je trompée à ton sujet ? » D’accord, je commence à comprendre son petit jeu. Finement décelé, je dois le reconnaître. Elle me pousse dans mes retranchements, et d’habitude je n’ai pas besoin qu’on m’y pousse. Alors à moi de la surprendre, si elle veut jouer ce jeu-là. Elle qui pose son regard au loin, je la retourne face à moi, et, son menton entre mes doigts, je capte ses yeux bleus, des miens, tout aussi bleus. « Je veux tout essayer avec toi. Comme ça, sans avoir besoin d’y réfléchir. Je veux la maison, je veux sans doute les enfants qui vont avec. Les galères et les moments qui font qu’on aime être ensemble. Ceux qui feront qu’on s’appellera « ensemble »". Mais t’as encore le choix, de dire oui ou de dire non. Mais je suis quelqu’un d’entier, je veux pas d’un à peu près. Je te l’ai dit je veux tout. » En tout cas elle, entièrement, et tout ce que ça comporte. Défauts, qualités, habitudes, besoins, tout ça à la fois, sans détour. « Maintenant c’est toi qui a le choix. Je te demande juste de faire le bon. » Levant un sourcil, la défiant même du regard. Alors, cap ou pas cap ?
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Sam 27 Juin - 14:26

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Laurel se sent vraiment bien aux côtés de Jamie. Elle a stoppé le compte des fois où il a su être présent pour elle, quand elle en avait grandement besoin. Ça fait pas si longtemps qu’ils se connaissent, à peine quelques semaines ? Et pourtant, il y a un petit quelque chose qui fonctionne. Il s’adapte à ses besoins à elle, est capable de changer ses plans. Il est aussi d’une grande écoute quand elle a besoin de parler, une épaule sur laquelle se reposer, et même un soutien face à son ex-mari. Elle pourrait presque dire que tout est trop parfait. Que ça doit cacher quelque chose. Mais non. Ce n’est pas du tout ce qu’elle pense. Au contraire. Elle se dit qu’elle a eu de la chance, et que le destin l’a placé sur son chemin au bon moment. Que la roue tourne enfin, et qu’il est temps de passer à autre chose, et de vivre pour elle, sans se soucier de l’opinion des autres. Car il y en aura toujours. Aucune décision ne peut recevoir les faveurs d l’opinion générale. C’est impossible. Il y aura toujours quelqu’un pour penser le contraire, et cracher son venin. Mais est-ce que Laurel vit avec cette personne ? Non. Doit-elle rendre des comptes au peuple ? Non. Peut-elle faire ce dont elle a envie, ce qu’elle juge bon pour elle, tout en restant indifférente aux réactions des autres ? Absolument. Elle a été bien trop longtemps dans une relation d’image, où chaque comportement, chaque décision était scrutée. Il est temps d’envoyer balader tout ça, et de vivre pour elle. Uniquement pour elle.

C’est ce nouvel état d’esprit qui l’incite à parler plus qu’elle ne l’aurait fait avant, sans craindre la moindre réaction. Les oeillères et la muselière ne sont plus qu’un lointain souvenir. Elle est seule maîtresse de son corps, de son esprit, de ses mots… Laurel, elle ose mettre les pieds dans le plat, quitte à subir une humiliation. C’est déplaisant, mais loin d’être mortel. On peut s’en remettre si on s’en donne les moyens, alors pourquoi se restreindre volontairement. La trentenaire est loin d’être naïve au point de ne pas relever une information dans les mots prononcés par Jamie. Ce ne sera peut-être pas moi l’homme qu’il te faut. Mais je vais tenter ma chance. a t-il dit. Pour la jeune femme, c’est plutôt clair, même si ce n’est pas dit directement. Alors, fidèle à elle-même, elle cherche à avoir la vérité, sans détour, même si elle ne se refuse pas de jouer pour parvenir à ses fins. La vie est beaucoup trop sérieuse pour l’être continuellement. Laurel, elle veut aussi pouvoir souffler, surtout avec le métier qu’elle fait, où il y a plus de souffrance que de réjouissance. Si elle devait être constamment droite dans ses attitudes en dehors des locaux du 911, son moral ne pourrait pas être au top. À force, il n’y aurait plus que noirceur et dépression. Alors oui, en dehors - et notamment quand elle est avec Jamie, elle aime jouer. Et elle sait qu’il est adepte de cette pratique. Toutefois, en allant sur ce terrain, la jeune femme ne s’attendait pas à une telle réaction. Sa réponse est d’une honnêteté bouleversante. Elle qui faisait une allusion à une relation exclusive - pour commencer, lui parle du pack complet, des grands projets, ceux qu’on fait avec une personne qui ne sera définitivement pas de passage dans la vie. C’est flatteur, Laurel aime les sensations que cela procure en elle, mais elle ne peut fermer les yeux sur une très légère crainte qui se forme. Il y a cette sensation de sauter les étapes, d’aller un peu trop vite. Mais ce n’est peut-être qu’une mauvaise compréhension. Ce ne serait pas la première fois. Elle ne dit rien, reste silencieuse et attentive à tout ce qu’il lui dit. La vache. En acceptant ce second rendez-vous, Laurel ne pensait pas recevoir une aussi belle déclaration, car à ses yeux, c’en est une. On ne sort pas à la première personne qui passe dans la rue qu’on souhaite tout avoir avec elle. On dit ces choses à une personne spéciale. À la fin, quand la parole lui semble être donnée, elle ne peut retenir un discret rire nerveux. « Tu me demandes de faire le bon. Tu as le chic pour mettre la pression à quelqu’un toi. » Ce n’est pas un reproche, seulement une façon de lui faire remarquer que ses mots peuvent être assez fort pour mettre dans l’embarras. Par chance, elle n’est plus une adolescente qui peut perdre ses moyens à cause de jolis mots. Laurel a les pieds sur terre, et la réactivité nécessaire pour s’adapter à toutes les situations, sans perdre de temps. « Dès le premier soir où nous nous sommes officiellement rencontrés, tu m’as fait une forte impression. Car tu as été sincère, tu as été authentique avec moi, quand d’autres aiment mettre un masque hypocrite. » Dans ce milieu, la nouvelle d’un divorce ne reste pas secret très longtemps. Bien que ce soit du ressort de la vie privée, les gens ne peuvent s’empêcher de donner un avis, de prendre un parti. Laurel a eu toutes les réactions possibles. Ceux qui ont eu de la peine pour Joseph, ceux qui l’ont mis dans la catégorie de croqueuse de diamant (comme si l’argent de son ex-mari avait de l’importance), ou au contraire, ceux inquiets pour elle, car une femme de trente-cinq ans divorcée, sans enfant qui plus est, c’est triste. Bref, toujours d l’hypocrisie, de la retenue. Plusieurs réactions qui la pousse à se tenir éloignée des événements de grande envergure. Pourtant, elle a assisté au gala de charité donné par Jamie, et elle ne regrette pas ce choix. Elle aime croire que c’est un coup de pouce du destin. En tout cas, ce soir-là, il a été lui-même. Il a traité Laurel comme n’importe quelle autre femme, sans la juger sur son histoire. C’est ça qu’elle a apprécié. Car ça faisait bien longtemps que personne n’avait eu un comportement pareil à son égard. « Tu m’as demandé de te faire confiance, de me laisser guider. Chose que je ne pensais plus pouvoir faire sans me forcer. Et pourtant, ça s’est fait naturellement avec toi, sans que je ne puisse l’expliquer. Un bon feeling peut-être, ou simplement le sentiment que tu me voyais moi, et pas l’enveloppe. Mais rien que pour ça, je peux déjà te remercier. » Elle hausse légèrement des épaules, car ce n’est qu’un détail sans importance. Le résultat l’est beaucoup plus. « Tout ça pour dire que ce sont tous ces petits détails qui me donne envie d’aller dans ton sens. Et de voir ce que ça peut donner entre nous, sur le plan affectif. » Pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué, n’est-ce pas. Dans tous les cas, si les mots ne sont pas assez explicites, Laurel vient sceller cette relation naissante en effaçant la distance entre son visage et celui de Jamie, pour échanger un baiser. Elle ne sait pas ce que l’avenir réserve, mais elle est disposée à le découvrir par elle-même, avec lui à ses côtés. « Par contre, ôtes-moi d’un doute, tu n’as pas l’intention de me demander en mariage dès le troisième rendez-vous ? Car je suis d’accord avec le fait de vouloir me jeter tête la première avec toi, de n’avoir peur d’aucune expérience. Par contre, la maison… les enfants… c’est un peu précipité. Essaye déjà de me supporter pendant vingt-quatre heures avant d’envisager de passer le restant de ta vie avec moi. Car tu ne sais pas dans quoi tu t’embarques. Il ne faut pas se fier à ce petit minois innocent, tu as dû le remarquer. » dit-elle en posant un sourire sur ses lèvres. Ce n’est pas dans ses intentions de l’effrayer, de le pousser à faire machine arrière. Elle veut juste être honnête avec lui, et ne pas cacher qu’elle peut avoir ses humeurs, comme tout le monde, comme il doit en avoir. Qu’il est peut-être préférable de tester, avant de poser une option d’achat dessus.
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Jamie Ukhar
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Jamie Ukhar
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Mar 30 Juin - 18:14

J’accepte volontiers de me mettre à l’épreuve, de rentrer en compétition avec d’autre, pour conquérir Laurel et ses faveurs. Alors sans doute que j’aurais des moments de doutes et que je ferais des erreurs. Les humains et les mecs remis en cause font des erreurs. Je suis de ces hommes qui ont quelque-chose à gagner, une épreuve à affronter. Pas que je vois Laurel comme une épreuve mais la rassurer, être là pour elle, autant que ça me paraisse naturel, peut aussi être un enjeu. Celui de pouvoir la perdre et de l’effrayer. Je vais faire ce qu’il faut, je ne me pose plus la question de savoir si elle en vaut la peine, oui, je suis conquis, c’est fait, c’est acquis. Peu importe ce qu’elle tentera pour me tenir à l’écart, je vais le tenter et même mieux que ça, je montrerais les dents s’il le faut.
Je ne suis pas violent, mais je suis malin et c’est parfois d’autant plus redoutable. Je n’aime pas non plus la concurrence. Encore que je ne l’ai pas vue m’en imposer une quelconque. Laurel a l’air de ces femmes droites qui ne cherchent pas leur bonheur partout, mais qui se fixent un objectif et s’y tiennent. Et ces femmes-là ne doivent généralement leur bonheur qu’à elles même.
« Tu me demandes de faire le bon. Tu as le chic pour mettre la pression à quelqu’un toi. » « Surtout pas de pression, le bon ce sera de toute façon moi. Tu le sais maintenant. » Je lui adresse un sourire complice. Pas de pression, non. Mais j’aime bien jouer les petits cons, et j’ai comme le sentiment que là tout de suite, ça peut fonctionner. Alors ça me fait rire. Laurel n’est pas du genre à se laisser déstabiliser du tout. Au contraire. Et pourtant il m’est facile de le faire aujourd’hui… ça ne va sans doute pas durer.
« Dès le premier soir où nous nous sommes officiellement rencontrés, tu m’as fait une forte impression. Car tu as été sincère, tu as été authentique avec moi, quand d’autres aiment mettre un masque hypocrite. » « Ca n’aurait pas fonctionné avec toi. De jouer un rôle j’entends… » Elle est bien trop lucide et sincère pour ça. Elle sent les gens qui ne le sont pas et j’ai comme dans l’idée que j’ai bien fait de rester moi-même. Quoi qu’il en soit, partir sur de mauvaises bases ne m’aurait pas porté bonheur. Au contraire, ça m’aurait sans doute beaucoup desservi. Ça fait partie des choses que je comprends chez elle, sans qu’elle n’ait à les dire, que c’est une femme pleine de convictions, de sincérité, et qui ne fonctionne que comme ça.
« Tu m’as demandé de te faire confiance, de me laisser guider. Chose que je ne pensais plus pouvoir faire sans me forcer. Et pourtant, ça s’est fait naturellement avec toi, sans que je ne puisse l’expliquer. Un bon feeling peut-être, ou simplement le sentiment que tu me voyais moi, et pas l’enveloppe. Mais rien que pour ça, je peux déjà te remercier. » Je me contente de la regarder, de la laisser parler, ça me fait du bien de l’entendre parler, de la voir s’exprimer et m’exprimer à moi ce qu’il en est, ça veut dire qu’elle a assez de confiance pour ça. C’est plutôt de bonne augure, n’est-ce-pas ? « Tout ça pour dire que ce sont tous ces petits détails qui me donne envie d’aller dans ton sens. Et de voir ce que ça peut donner entre nous, sur le plan affectif. » « Laisse les choses se faire, on n’a pas d’impératif, si ce n’est celui d’être bien ensemble. » Je n’use pas d’humour pour une fois. Je suis cash mais c’est important qu’elle sache ce qu’il en est. Je ne conçois par exemple pas qu’il y ait des tabous, ou des questions qu’elle n’ose pas poser. On doit apprendre à se connaître, j’en suis conscient, mais ça peut être une bonne chose…
« Par contre, ôtes-moi d’un doute, tu n’as pas l’intention de me demander en mariage dès le troisième rendez-vous ? Car je suis d’accord avec le fait de vouloir me jeter tête la première avec toi, de n’avoir peur d’aucune expérience. Par contre, la maison… les enfants… c’est un peu précipité. Essaye déjà de me supporter pendant vingt-quatre heures avant d’envisager de passer le restant de ta vie avec moi. Car tu ne sais pas dans quoi tu t’embarques. Il ne faut pas se fier à ce petit minois innocent, tu as dû le remarquer. » J’esquisse un petit sourire, me grattant l’arrière de la tête. « Non, en fait, pour ça, j’attendrais plutôt le quatrième, ne t’inquiète pas, je suis un homme prudent, qui prend son temps. » Un sourire complice plus tard, nous explosons de rire. C’est plutôt bon signe, non ?
Nous passons le reste de la soirée ensemble, et je me promets de lui offrir un troisième rendez-vous digne de ce nom, puisque c’est son anniversaire…
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