• côté ♥ : love is in the air • occupation : vous aimer un peu plus chaque jour • crédits : loudsilence. • messages : 1360
glitter in the air
• contexte 6 : espace d'un instant
Jeu 15 Aoû - 21:13
burning man 2k19 « espace d'un instant »
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]A la nuit tombée, les notes de musique s’égrènent, offertes au monde par un(e) musicien(ne) ayant envie de partager son art. Un attroupement ne tarde pas à se former, attirant plusieurs festivaliers transportés par les sonorités qui envahissent la nuit. Si l’ensemble de la foule se met à vibrer, une personne ne tarde pas à se détacher du groupe. Se rapprochant en quelques pas du/de la musicien(ne), la silhouette ne tarde pas à se mouvoir, telle une flamme vibrant au rythme des notes. L’acrobate se met alors à danser, laissant leurs deux arts se rejoindre pour une prestation poétique.
(nombre de places : 2)
Précisions : • HRP le festival se déroule du 25.08.19 au 02.09.19 // INRP il vous est déjà possible de rp dans l'optique du festival. • Il n'y aura pas de sujet commun pour ce sujet, mais plusieurs [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] sont à votre disposition dans le forum dédié à l'event. /!\ premier arrivé, premier servi. • Privilégiez les rps courts ! • On ne vous interdit pas de poster pour plusieurs contextes mais laissez en un peu pour les copains. De plus, si vous postez dans un contexte ce n'est pas pour délaisser votre partenaire au bout d'une réponse alors on pense à ses disponibilités et on accepte tout le monde. Après tout c'est dans l'idée du festival. • Il vous est possible d'ouvrir des rps privés à côté pour le reste du festival. • Si vous avez des questions, n'hésitez pas à mpotter l'une des admins (comptes présents sur la PA).
let's go !
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• contexte 6 : espace d'un instant
Sam 17 Aoû - 18:11
❝ Espace d'un instant ❞
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] Isobel & Alicia
Can I get a connection ?
Habituellement, isobel profite des vacances scolaires pour travailler un peu plus. Elle va bientôt faire sa rentrée en cinquième et dernière année de psychologie criminelle, l’année décisive qui lui permettra ensuite, pourquoi pas, de travailler avec la police ou autre. Mais ce sera aussi le moment où elle devra décider de potentiellement abandonner sa double vie. Alors, la brune a décidé d’en profiter cette année. Parce que c’est sans doute la seule fois où elle pourra le faire sans risque, sans que personne ne puisse le lui reprocher. Cette année, la canadienne a décidé de s’échapper pour le Burning Man. Elle a cherché pendant un moment quoi faire sur le thème des Métamorphoses. Et puis elle a fini par opter pour une tenue différente et extravagante pour chaque jour, changeant chaque fois de peau telle le caméléon qu’elle est. Ce soir ne fera pas exception à la règle. Elément coloré ou symbole animalier ? Telle est la question pour la belle qui ne sait déjà que choisir. Ce qu’elle sait, c’est qu’elle ne manquera pas de faire une performance si les idées lui viennent de manière suffisamment fluide, parmi la foule qui a décidé de s’amasser en plein désert.
Les nuit ont beau être plus fraiche, Izzy s’en moque. Vêtue d’un soutien-gorge décoré d’écailles d’argent et d’une longue jupe noire fendue jusqu’au haut de sa cuisse, la brune s’avance. Ayant transformé ses bras en ailes aussi blanche que la neige, elle arbore un maquillage la rendant mi-femme mi-chimère. Elle profite de la musique, commence à se laisser entrainer. La Tremblay laisse alors peu à peu ressortir la totalité de son art. Certes, pour son job elle sait charmer. Mais en réalité, elle sait faire tellement plus que cela. Elle finit par se laisser totalement porter par la musique. Elle ondule, telle une flamme sur laquelle on soufflerait, parfois avec un peu trop d’insistance. Tel un feu follet, elle se laisse aller, sauvage. Ses mouvements sont tantôt fluides, tantôt saccadés, suivant ce rythme qui l’entraine toujours plus loin, qui la guide pour tirer d’elle tout ce qu’elle n’a jamais pu donner jusqu’à maintenant. Elle n’est pourtant pas sous l’emprise de substances illicites. La musique est sa drogue, la danse n’est que la réponse muette de son corps.
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• contexte 6 : espace d'un instant
Sam 24 Aoû - 22:51
Isobel & Alicia
Event Burning Man - Espace d'un instant... Come! Connect to my soul
"- ON VEUT DES RÉPONSES!!! TU VAS PARLER, OU JE TE JURE QU'IL NE RESTERA PLUS RIEN DE TOI!!" T'entend de me calmer, mon père s'en prend à son tour à l'homme, l’exhortant à dire tout ce qu'il sait. Huit mois, huit mois entier que mikeal et dana avaient disparu de la surface du globe; Huit mois à chercher à comprendre comment Georgio Iavarone avait fomenté leurs kidnappings, mais surtout comment depuis celui ci il était parvenu à rester en dessous de nos radars malgré les moyens colossaux déployés. Dès le premier mois de leurs disparitions, il était devenu évidant pour tous qu'une ou plusieurs taupe(s) avaient infiltré nos rangs, mais jusqu'à hier nous n'étions parvenus à en dénicher aucune... "(Rire sournois) Je ne vous dirai rien... (Crachant du sang) C'est ça la grande famille zorsini?! (rire narquois) Putin avec des familles comme vous, la Camorra à du souci à se faire!" Balançant une droite bien tassé à ce connard, mon père s'écarte sur ordre de mon grand père qui plus "pondéré" tente d'instaurer un dialogue sans grand succès. Au bout d'une demi-heure, nous décidons de lui laisser le temps de réfléchir seul à sa situation, que cette bonne vieille amie du nom d'angoisse nous mâche un peu le travail. Du moins était-ce ce qui avait été convenu, mais s'était sans compter la bêtise humaine ou un subit désir de suicide de la part de notre "hôte"... "(imitant une voix féminine censée appartenir à dana) Licia! Licia vous fera payer au centuple! Elle vous tuera tous!" Freinant net mon pas, je m'efforce de réfréner cette rage en moi, je sais ce qu'il cherche à faire et pourtant son rire me transperce de part en part, tout comme ses provocations lorsqu'il se mue en une dana sous l'emprise de la torture. Un pas, un pas me sépare de cette porte; je n'ai qu'a tendre la main et faire un pas, mais son "Je l'aurai bien baisé avec les autres, mais y'avait plus de place" fait sauter toutes mes barrières, et c'est sous la veine tentative de mon père pour se saisir de moi que je ferme la porte face à moi à clé, et me tourne vers l'objet de ma fureur... "(frappant tous deux à la porte) LICIA NON! LICIA! LICIA OUVRE LA PORTE!" Sourde à leurs appels, je retourne à notre hôte son sourire narquois et me saisi du marteau posé sur la table....
Assise près d'un feu de camp, bercée par les accords harmonieux d'un violoncelle, je ferme les yeux me gorgeant de cet instant de paix. Je n'ai plus vraiment de souvenir de ce qui s'est passé dans cette pièce, je me souviens juste du bruit de la porte qu'on enfonce et du regard de mon père à la vue du corps gisant au sol, ou du moins ce qu'il en restait. Ayant pris la décision contre ma volonté qu'il me fallait prendre quelques jours de recul face à tout ce qui se passait, j'avais été déposée aux portes de cette ville éphémère crée spécialement pour le Burning Man 2k19. Cela faisait deux jours que j'y étais et bien que je me sentais peu à peu reprendre pieds, mes pensées étaient toujours tournées vers mon cousin et ma meilleure amie que nous ne parvenions à ramener à la maison... Applaudissements, je me joins au groupe sourire amer en coin de lèvres, ramassant ma guitare afin de regagner ma tente... "Tu nous joues un morceau?" Surprise par la demande de mon voisin suivit de suite par celles des autres membres du groupe, je finis par céder et branche mon instrument au mini ampli...
Respirant un grand coup, je laisse mes doigts courir sur les cordes, mon cœur s'ouvrir sous fond de ces accords aux tonalités douces amers... Et alors que je mets à nu mes sentiments, partage ce passage à vide dans ma vie, invitant mes voisins à pénétrer mon univers et la noirceur l'accompagnant, je vois surgir devant mes yeux une stryge, vêtue d’un soutien-gorge décoré d’écailles d’argent, d’une longue jupe noire fendue jusqu’en haut de sa cuisse, ses bras ailés s'élèvent avec grâce à chaque caresse de cordes. Intriguée, tout comme l'auditoire je ne tarde pas à être captivée aussi bien par le personnage que la danseuse. Accélérant le rythme, frappant des cordes, je l'invite à se laisser balloter, submerger et recracher par les flots de mon âme mise à nue. Mais loin de s'y noyer la brune tient le cap, tantôt soumise aux caprices des déferlantes courbant son corps en de gracieux arcs, tantôt rebelle repoussant les rouleaux par des gestes lestes et fluides. Sous influences ou danseuse aguerrie, l'inconnue n'en reste pas moins envoutante, celle ci semblant comprendre sans un mot, mes maux... Le crépuscule laisse place à la nuit, rendant la scène plus irréelle qu'elle ne l'est déjà. Sous les flammes ronflantes du feu de camp, le maquillage de l'inconnue lui confère une aura féérique, chimère aux ailes d'une blancheur hivernale, la brune se tord, s'étire, tourbillonne sur les fils de mon âme. J'en viens à en vouloir plus, la pousse dans ses extrémités cherche à mon tour à pénétrer son monde. Et tandis que tous silencieux s'émerveillent, s’établit à leur insu un dialogue silencieux sous fond d'accords, une connexion sans pré-accord, une rencontre comme il s'en fait rarement au delà des murs des burning man...
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Isoble ne sait pas pourquoi elle danse de la sorte. Elle sait juste qu'elle se laisse emporter par ce son qui la guide. Chaque parcelle de son corps arrive à se mouvoir d'une manière dont elle n'avait même pas conscience jusqu'ici. D'habitude, les accords un peu électriques de ce genre ne sont pas son fond de commerce. La brune danse sur n'importe quel son évidemment, pour peu qu'on le lui demande. Mais elle le fait parce que c'est son gagne pain. Là, elle le fait parce qu'elle en a envie, parce qu'elle se laisse porter par le son. Izzy ne serait pas surprise qu'on la croit sous influence de n'importe quelle drogue. Parce qu'ici, elle s'arrange pour ne pas être reconnue sous son maquillage et ses tenues extravagantes que personne ne lui a jamais vu. La Canadienne en devient presque une vile tentatrice, agitant chaque parcelle de peau visible sous les yeux de l'assistance. Elle n'en est pas à son coup d'essai, elle sait que son corps est capable d'attirer. Juste que lorsqu'elle est à Los Angeles, il est ce qui lui permet de payer son loyer. Ici, elle l'offre volontiers. On pourrait presque croire qu'elle est une succube qui aura décidé de se mettre en chasse alors que ce n'est pas le cas. Elle aurait pu s'arrêter à proximité de n'importe quel groupe peuplant la zone. Mais c'est cette musique torturée qui l'a attiré, ce son qui vous ballotte dans tous les sens, prêt à vous jeter contre les rochers d'un récif sans le moindre ménagement.
Isobel se laisse guider par la mélodie. Elle se courbe et tournoie comme jamais encore elle ne l 'avait fait, elle ne se savait même pas capable de ployer à ce point pour ensuite se redresser fièrement, telle une valkyrie. La danseuse coule un regard à la musicienne avant de reprendre son balai envoûtant. Peu à peu, elle dévoile de son âme, lâche une partie de ses souffrances à qui saura les comprendre. Sa danse raconte son histoire pour qui sait la lire. Petit à petit, les cicatrices enfouies ressurgissent. La musique fait écho aux souffrances que la jeune femme a eu a endurer pendant une période de sa vie. Elle se laisse haper par cette noirceur que transmet la guitariste. C'est a qui poussera l'autre dans ses retranchements. Et Izzy n'abandonne jamais, repoussant sans cesse ses limites. Elle provoque, ose une danse un peu plus lascive en s'approchant de la belle. Si elle ne jouait pas, elle aurait sans doute pu s'approcher encore plus, initier un contact physique avec elle. Elle n'en fait pourtant rien, emporter par ce contact de l'esprit. Une connexion établie d'abord par cet accord du son et du corps. Mais la belle n'en reste pas là et ose plonger son regard dans celui de sa musicienne d'un soir, se demandant avec avidité ce qu'elle pourra y voir.
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• contexte 6 : espace d'un instant
Jeu 26 Sep - 20:02
Isobel & Alicia
Event Burning Man - Espace d'un instant... Come! Connect to my soul
Son regard coule sur moi, ses iris se teintant de ce rougeoiement du au feu de camp. Je peux en sentir la brulure, celui ci scannant ma personne toute entière. Désagréable sensation que de se sentir ainsi sonder par une inconnue, mais également excitation toute palpable que cette corrida improvisée. Qui est donc le taureau? La belle aux plumes enneigées ou la musicienne torturée? Qui de nous deux se verrait à la fin fléchir genoux et mise à mort? Mes doigts grattent plus vigoureusement les cordes, le rythme s’accélérant. La défiant de pouvoir ainsi tenir le rythme, la brune répond avec plus de grâce et d'abandon. C'est alors que les blessures se révèlent, que les fissures apparaissent sous ce maquillage parfait et que sa beauté n'en est que plus éclatante. Je peux le sentir dans chacun de ses mouvements, dans chaque gestes gracieux, dans ces regards qu'elle me glisse entre deux arcs tendus. Elle est abimée, sa noirceur répondant à la mienne, scarifiée elle m'expose ses blessures de guerre aussi bien celles cicatrisées, que celles encore ouverte. Quelles histoires recèlent elles donc? Quels baumes miracles les feraient disparaitre?
Une douce chaleur autre que celle de l’âtre m’envahis... Est ce sa danse de plus en plus lascive ou ces contacts visuels de plus en plus prolongés, ou alors ce corps exquis ondulant sous mes doigts?! Mes doigts.... Passant en un éclair, je l'imagine s'arquer sous mes doigts, lorsque provocatrice elle danse au plus près de moi. Me sentant peu à peu hors de ce lieu et du temps, mes lèvres s'entre ouvre sous la beauté de son chant inaudible aux privilégiés que la vie a épargné. De nouveau ses iris rougeoient, son regard défiant le mien. Andromède n'a guère besoin de Thésée pour la sauver, exerçant son empire sur ces flots agités, elle en calme les ardeurs de son regard ardant. Dernières notes, derniers gestes lestes et le silence... Les applaudissement s'élèvent en un lointain écho, nos corps n'ayant esquisser le moindre geste, préservant ce contact visuel. Me redressant guitare en main, j'adresse un signe de tête en remerciement de ce public inattendu et contourne le feu pour venir à la rencontre de l'inconnue. De plus près, elle n'en est que plus mystérieuse sous ses atours de plumes et d'écailles... "Alicia... enchantée" La prudence aurait voulu que j’emprunte mon deuxième prénom comme je tends à le faire à l'accoutumé. Mesure de protection essentielle à la vie que je mène; Mais la vérité a coulée sans que je ne puisse y mettre barrière. Jusqu’où ira t'elle, telle est la question!
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Isobel semble ne plus avoir le contrôle de son corps. La mélodie prend possession d’elle, l’utilise comme une marionnette. Elle devient l’objet qui dévoile la noirceur. La brune se reconnait dans cet air. Cela lui permet de ne pas sombrer, de naviguer en toute confiance. Là où personne d’autre n’ira jamais. Personne ne connait sa véritable noirceur. Très peu connaissent la double vie qu’elle mène, celle qui lui permet de ressentir la montée d’adrénaline parfois. Certaines ne comprennent pas qu’elle étudie la psychologie criminelle, pensant que c’est trop dangereux, que c’est risquer de se retrouver face aux pires monstres que cette terre ait portée. Mais la burne navigue tout en confiance. Plus rien n’a d’importance. Rien d’autre que ce son, rien d’autre que ce regard qui suit ses mouvements fluides. Cachée par ses plumes et ses écailles, la jeune femme se permet des incartades, agit comme si le lendemain n’existait pas et qu’il fallait vivre cet instant à fond. Alors, elle continue de sa danse lascive. Elle joue avec les ombres que le feu dessine autour d’elle et sur sa peau, elle les utilise à son avantage. La jeune femme se surprend à vouloir charmer bien plus que d’habitude. Certes, pour son job il faut qu’elle charme. Mais cette fois, elle ne le fait pas avec un but précis. Le serpent qui ondule devient charmeuse de reptile, se mue en quelque chose d’encore inconnu. Quelque chose qui n’effraie pas la belle, elle tente plutôt de se l’approprier, de l’apprivoiser en totalité. Ce n’est que lorsque la musique s’arrête qu’elle se rend compte qu’elle a tout donné, sans rien attendre en retour.
Seul sa poitrine, qui se soulève au rythme de son souffle rapide, trahi l’énergie que cela a nécessité. La canadienne se moque bien des applaudissements, ses prunelles accrochées à celles de la musicienne. Elle tente de lire dans ce regard qui semble capable de l’emmener loin, aussi loin que la musique produite quelques instants plus tôt. Isobel esquisse un petit sourire charmeur lorsque la belle se présente. Ressortant une main de son enchevêtrement de plumes, elle la lui tend. « Izzy, enchantée également. » Elle aurait pu utiliser son prénom. Mais la danseuse se refuse toujours à le donner, encore plus dans ce genre de circonstance. On ne sait jamais qui l’ont peut croiser. Son pseudonyme de danseuse devient son identité pour toute la durée du Burning Man, tout comme ses tenues, bien que légères, ne reste que des masques, qu’elle change au gré de ses envies. « Vous avez un talent certain pour la musique. Bon nombre ne sont pas capables d’accomplir ce genre de prouesses. » Passant une main dans sa chevelure, la brune retrouve de son souffle, sa respiration s’apaise. Peut-être ne le fait-elle que pour un temps, une courte période avant qu’elle ne se retrouve à nouveau entrainée dans une danse endiablée. Alors, la jeune femme profite d’avoir quelques curieux qui se sont éloignés pour s’installer auprès du feu. Assise à même le sol, la voilà qui s’étire, fait rouler ses muscles qui lui permettent de produire des effusions d’émotions.
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• contexte 6 : espace d'un instant
Dim 20 Oct - 18:11
Isobel & Alicia
Event Burning Man - Espace d'un instant... Come! Connect to my soul
"Alicia... enchantée" Yeux ancrés aux miens, la nymphe semble épuisée, sa respiration haletante attestant des efforts fournis. Quant à moi je l'observe, la dévisage, enregistre les moindres détails qui pourraient m'en apprendre un peu plus sur sa personne ou sa profession; Et je crois pouvoir dire sans me tromper, au vu de sa performance qu'elle a soit étudié la danse, soit pratiqué celle ci à haut niveau, à moins que cette souplesse et grâce ne soient choses innées... « Izzy, enchantée également. » Serrant délicatement sa main tendue, mon intérêt pour sa personne n'en n'est que décuplé sous son sourire charmeur renforçant ce coté sirin conféré par son costume.... « Vous avez un talent certain pour la musique. Bon nombre ne sont pas capables d’accomplir ce genre de prouesses. » Un compliment tombant directement à mes chevilles... Que voulez vous, nous les zorsini nous sommes dès la naissance pétris de talents et charmes!!! Plus sérieusement, venant d'une personne aussi talentueuse qu'elle, son petit compliment a une saveur particulière. Passant une main dans sa chevelure, la brune s'assoie auprès du feu s’étirant afin de dénouer ses muscles mis a rude contribution. Quant à moi, je suis le mouvement m’asseyant à mon tour prêt du foyer, quelque peu plus légère après ce tango soutenu... "Votre compliment me va droit au cœur... Et que dire de cette prestation dont vous nous avez fait honneur... vous... " M’arrêtant au beau milieu de ma phrase, je réalise que je n'ai guère l'envie de jouer un rôle ou discourir comme alicia brooke se doit de le faire! Ici je peux être moi, alicia zorsini et surtout l'alicia dévorée par la rage, n'ayant pas le temps pour les faux semblants et les grands discours. brut de décoffrage, sans filtre, voila ce que je désire être en ce lieu! Au contraire de ma sirin, je veux avancer visage découvert, m’ heurter au rejet, à la peur, à l’incompréhension, provoquer, déranger voila tout ce que je souhaite, tout ce que je m'interdis au quotidien... Voix plus grave et légèrement plus basse, mon regard se fait plus insistant. C'est à mon tour de la scanner, de dénicher les mensonges à venir dans sa réponse à venir... "Que fais tu ici? Qu'es tu venu chercher entre ces murs éphémères? (sourire amer en coin de lèvres) Moi j'y ai été contrainte, j'avais apparemment besoin de repos..." Passant arrangeant à mon tour ma chevelure... "Et à dire vrai, si je joue de la sorte c'est en grande partie grâce à mon grand père. Nous sommes de Palerme et c'est un peu une tradition familiale que de savoir jouer au moins un instrument pouvant accompagner le maranzano et le friscaletto lors de nos chants traditionnels. Le premier je ne saurai te le décrire il faut le voir, le deuxième c'est une sorte de petite flute... Ajoutons à cela que j'ai suivis des études de musiques et tadammm, ca donne une joueuse de flute 2.0; A défaut des rats, j'attire les nymphes et autres créatures mythiques à plumes et écailles..." A défaut d'attirer les emmerdes et amonceler les cadavres!
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Jeu 15 Aoû - 21:13
De plus, si vous postez dans un contexte ce n'est pas pour délaisser votre partenaire au bout d'une réponse alors on pense à ses disponibilités et on accepte tout le monde. Après tout c'est dans l'idée du festival. 
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