Caught between a strong mind, and a fragile heart. » Ella & Eleanor.

Mer 5 Déc - 18:10

Caught between a strong mind, and a fragile heart.

Les voix écharpées par les grésillements de la radio emplissaient l’habitacle, débitant nombres et analyses sur un énième projet de loi.
Concentrée sur la route, Eleanor écoutait d’une oreille distraite, naturellement intéressée, mais le cœur déjà aux retrouvailles qui se faisaient de plus en plus proches au fur et à mesure qu’avenues et rues se succédaient autour d’elle. La perspective d’une soirée passée en compagnie d’Ella libérait son esprit de ses inquiétudes constantes liées au travail, rendait son palpitant plus léger et ses pensées enjouées. L’impatience crispait par moments ses doigts sur le cuir du volant, dopait les battements qui résonnaient dans sa cage thoracique ; ses lèvres s’éprenaient de sourires discrets sans raison particulière –sans autre moteur que le simple bonheur de revoir très prochainement l’une de ses amies les plus proches et de partager un moment en sa compagnie. Cela faisait un moment qu’elles ne s’étaient pas vues, et la blonde regrettait définitivement la distance qui les avait séparées même si elles gardaient contact à travers des messages réguliers.
Parfois (souvent), le travail prenait le pas sur tout le reste. Elle savait qu’Ella connaissait cela, le comprenait, et pourtant, elle ne pouvait réprimer la culpabilité légère qui tourmentait l’organe aux sursauts grisant de vie dans sa poitrine.
Et quoi de mieux qu’une belle soirée de Décembre à partager ensemble autour d’un repas pour effacer ces dernières semaines d’éloignement ?

Elle coupa finalement le moteur de sa Tesla ébène devant un joli loft. Orientant un instant le rétroviseur intérieur vers son visage, elle vérifia son maquillage léger plus par habitude que par inquiétude, passa ses doigts dans sa chevelure courte, puis elle délaissa ses lunettes de vue dans sa boite à gants pour s’emparer de sa veste ouverte afin couvrir ses épaules en partie nues. Elle venait certes de son lieu de travail, mais y gardait toujours quelques tenues pour des occasions autres, certaines plus élégantes et d’autres plus décontractées comme la robe crème qu’elle arborait en ce moment-même, ce qui une nouvelle fois lui avait bien servi étant donné qu’elle avait de nouveau cédé à l’appel des heures supplémentaires, tout en veillant néanmoins à libérer Penelope. La pensée de son assistante embellit son sourire d’une tendresse aux douceurs-faiblesses, et elle agrippa plutôt la bouteille de champagne et les sucreries qui reposaient sur le siège passager, avant que ses pensées ne l’entrainent en terrains glissants.
Cela n’arrivait que trop souvent lorsqu’elle songeait à celle qu’elle avait connu dans ce Starbucks anonyme de la capitale Française, et qu’elle côtoyait à présent au quotidien.
Déliant ses jambes, elle apprécia la courte marche qui la séparait encore de son amie, à l’aise dans ses escarpins mais les muscles un peu trop ankylosés d’avoir été assise toute la journée. Quelques coups discrets sur le battant d’une porte, et Ella lui apparut, toujours aussi resplendissante.
« Bonsoir Ella. » la salua-t-elle avec chaleur.
Un sourire pétillant fissura les lèvres alors qu’elle enlaçait l’autre femme, respirant les épices familières de son parfum, retrouvant l’étreinte de sa présence avec bonheur.
Ses prunelles plongèrent sans crainte ni retenue dans celles de l’autre femme, alors que l’odeur alléchante du repas lui effleurait les sens.
« J’ai préféré les macarons et le champagne aux fleurs, j’espère que tu ne m’en voudras pas. » plaisanta-t-elle en pénétrant cet endroit qu’elle avait de nombreuses fois visité.
Elle n’était venue que peu de fois depuis le divorce d’Ella, préférant l’inviter à sa résidence à Silverlake ou lui changer les idées en l’entrainant dans des restaurants un peu atypiques qu’elles n’avaient pas encore eu l’occasion d’essayer.
Elle délaissa sa veste sur un porte-manteau, appréciant la chaleur doucereuse qui régnait, son attention un instant distraite par le charme du loft, avant qu’elle ne se tourne naturellement vers son hôte.
« Comment vas-tu ? » s’enquit-elle, concernée, le ton doux.
Son regard glissa sur son visage, redessina les boucles charmantes qui dansaient autour de ses joues.
Son cœur jamais rassasié de sa présence apaisé par la tendresse des retrouvailles.

Caught between a strong mind, and a fragile heart. » Ella & Eleanor.

Sam 26 Jan - 0:54

J'ai la tête qui va exploser. Les fins d'années c'est toujours compliqué dans l’événementiel. Beaucoup de fêtes à organiser, beaucoup de monde à satisfaire. Je ne suis pas du genre à abandonner, loin de là. Mais ce n'est plus boire du café qu'il me faut à ce stade là, c'est carrément me l'injecter en transfusion. Directement dans le sang. Pour être certain que la caféine fasse son effet. Je soupire pour la énième fois de la journée, si proche du but et pourtant si loin. Les changements de dernière minute sont les pires, surtout en ce qui concerne les plans de table. Ne pas mettre un tel à côté de l'autre, faire en sorte que celui-ci soit proche des toilettes à cause de sa prostate mais pas trop loin du buffet pour ne pas avoir à trop se déplacer. C'est un casse-tête constant. Et pourtant j'adore ça, vraiment. C'est juste l'angoisse de bien faire, que tout soit parfait. Parce qu'il n'y a pas de place pour l'imperfection dans ce genre de travail. Les clients payent pour un service et il doit être conforme à la demande. Tout fonctionne par le bouche à oreille. Un client content va nous recommander à un autre et les contrats s'enchaîneront. J'ai déjà un bon fichier et pas le loisir de m'ennuyer mais il ne faut pas que je m'endorme sur ce que j'ai. Toujours plus loin, toujours plus haut, toujours plus fort. Je ne vais pas me laisser aller. Pas là dessus.
Le plan de table terminé, je me pose enfin, souris et surtout respire. Pour ce soir ce sera suffisant. De toute façon faut que je me prépare, Elie ne va pas tarder à débarquer. Je sais que ce n'est pas forcément son surnom mais j'ai quelques soucis de modestie à l'appeler Ella. Puis ça me fait bizarre surtout. Comme l'impression de m'appeler moi même. Quoiqu'il en soit je suis contente de la voir ce soir. J'ai déjà tout prévu, commandé des plats traiteur pour ne pas passer trois heures en cuisine. Pour moi bien sur, parce que je n'ai pas forcément le temps. Mais surtout pour elle. L'empoisonner ce n'est vraiment pas envisageable. Je préfère passer la soirée avec elle chez moi qu'à l'hôpital à me confondre en excuses. Enfin bref, tout ça pour dire qu'un assortiment de plats indiens nous attend dans la cuisine, juste à réchauffer le tout pour le déguster.
Je sors de la douche, une douche salvatrice, enfile un pantalon léger malgré la température extérieure, une blouse fluide et mes chaussons. De quoi trancher totalement avec mon look mais porter des talons pour être dans le canapé à boire un verre avec elle ça me paraît juste être stupide. Je veux bien faire un effort mais je suis loin d'être de celles à l'aise dans ces engins de torture. Il n'y a vraiment que les hommes pour créer ce genre de choses, obligé. Zach est de sorti, on a la maison pour nous, c'est parfait. J'ai demandé à la femme de ménage de passer ce matin pour être certaine que tout soit clean et de vérifier pour la énième fois si le parquet de ma chambre l'est également. Faut dire qu'il y a environ trois semaines, il était quand même pas mal recouvert de crème chantilly et de gâteau. Merci Avalon pour la redéco des lieux. Je ne vais pas m'en plaindre, c'était quand même une surprise fortement appréciée pour mon anniversaire.
Je suis en train d'installer les trucs à grignoter sur la table du salon lorsque j'entends la sonnette retentir. La voilà. La soirée va pouvoir commencer. " Bonsoir Ella. " Sourire qui prend place sur mes lèvres et qui s'élargit lorsque je l'ai dans mes bras. " Salut beauté. " Je me décale pour la laisser entrer et fermer la porte avant que la fraîcheur de l'air ne regagne l'intérieur chauffé. Ce n'est pas un hiver très froid qu'on a ici mais je suis quelque peu frileuse. " J’ai préféré les macarons et le champagne aux fleurs, j’espère que tu ne m’en voudras pas. " Je réceptionne le tout en rigolant légèrement. " Tu sais parler aux femmes toi y'a pas à dire. " Je la taquine légèrement et la remercie d'un signe de tête. Ce sera parfait pour le dessert. Je la laisse se défaire de son manteau le temps de placer les macarons dans le frigo et le champagne dans la cave. Je sors le vin d'ailleurs et l'ouvre avant de la rejoindre au salon. Tout est ouvert, c'est comme si je ne l'avais jamais quitté finalement. " Comment vas-tu ? " La fameuse question. Elle peut paraître anodine comme ça, presque automatique. Pourtant il n'en est rien dans le cas présent. " Fatiguée ou devrais-je dire exténuée mais impatiente de passer cette soirée avec toi. " Je m'installe et l'invite à faire de même servant nos verres de notre vin favori. Avec le temps, les habitudes s'installent. " T'as quelque chose à fêter pour avoir apporté le champagne ou c'est juste pour le plaisir de boire des bulles ? " Non pas que ça me dérange mais ces derniers temps on n'a pas vraiment eu le temps de converser longuement.

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Dim 19 Mai - 13:58

Caught between a strong mind, and a fragile heart.

Ella était une bouffée d’oxygène dans son quotidien à cent à l’heure.
Eleanor adorait son travail –comment en aurait-il pu être autrement, alors qu’elle y avait consacré des années entières et entendait encore lui en dédier bien d’autres, entre sacrifices et ambitions ?- mais parfois, souffler un peu s’avérait nécessaire. C’était même indispensable à son équilibre ; elle ressortait de ces pauses-là reposée mentalement et donc bien plus efficiente par la suite, la seule difficulté, en son cas, consistait à savoir quand s’arrêter. Elle chérissait ces instants qu’elle passait parfois seule, à simplement apprécier un bon bouquin pendant quelques heures ou bricoler dans son atelier, mais qu’elle préférait le plus souvent partager avec d’autres, en particulier ses proches. Et Ella tenait une place unique parmi les rares êtres qui comptaient véritablement pour elle. Une amitié tissée dans le temps et les épreuves, marquée également pour une compréhension mutuelle qu’Eleanor expérimentait peu au quotidien. Car la brune comprenait. Elle comprenait l’importance, voire même l’omniprésence, du travail dans une vie ; elle comprenait le dévouement qui naissait dans l’épanouissement personnel et professionnel au sein d’une activité.
Elle saisissait l’ambition qui pouvait embraser l’âme et pousser parfois aux sacrifices.
Mais Ella avait réussi là où la blonde n’avait fait qu’effleurer ce rêve du bout des doigts avant de s’en détourner. Concilier vie professionnelle prenante, exigeante, et vie personnelle riche et pleine de ses challenges mais aussi de ses bonheurs.

L’odeur des épices berçant agréablement ses sens, Eleanor céda un sourire complice lorsque la brune complimenta son choix d’un ton léger et taquin, appréciant cette légèreté dans l’atmosphère, cette aisance dans leurs rapports. Elle ôta ses talons aussitôt délaissée des macarons et du champagne par son hôte tout en se délectant du sentiment de liberté et de soulagement qui accompagnait toujours ce moment. Elle ne souffrait plus depuis longtemps d’en porter à longueur de journée (et rivalisait de petites astuces en ce sens), aussi à l’aise qui s’il était question de baskets, mais elle les abandonnait sans regret aucun dès qu’elle en avait l’opportunité.
Et assise dans le canapé d’Ella, à ses côtés, un verre de leur vin favoris à la main, elle savourait ces instants avec bonheur.
« Le travail ? Ce doit être la folie avec les fêtes de fin d’années. » laissa-t-elle entendre quand son amie lui avoua être fatiguée.
Elle ne put s’empêcher de sourire avec douceur, consciente que l’impatience de ces instants passés ensemble était vivement partagée. Un soupir de bien-être batailla sur ses lèvres alors qu’elle sentait peu à peu ses muscles se détendre dans l’ambiance chaleureuse qui régnait. D’aussi loin qu’elle se souvienne, elle s’était toujours sentie un peu comme à la maison entre ces murs. Même si elle se doutait que cela avait plus à faire avec Ella elle-même et leur amitié qu’avec l’aspect du loft en lui-même.
« Trinquons à ces retrouvailles, alors. » proposa-t-elle avec un regard plus chaleureux, presque tendre pour la brune.
Peu à peu son esprit laissait les inquiétudes de côté, se désolidarisait du travail, s’orientait uniquement sur l’instant présent, happé par ce regard fauve, attiré dans la chaleur du moment qui se faufilai jusqu’à son cœur. Et c’était un soulagement, malgré tout.
« Rien de particulier, non, répondit-elle sincèrement. Il n’y a pas beaucoup de causes pour les célébrations ces derniers temps, mais si tu veux porter un toast à quelque chose, je t’en prie, ce serait avec plaisir. » lui concéda-t-elle avec malice.
Le plaisir de partager des bulles, plutôt.
Le vin était délicieux contre ses papilles.
« Ça fait du bien de prendre un break du boulot, mais surtout, ça me fait plaisir de te voir. »
Avec l’arrivée de Penelope dans l’entreprise, qui l’assistait pour énormément de tâches, Eleanor n’avait pas moins de travail mais se retrouvait à se consacrer aux choses qui réclamaient véritablement son attention.
« Tu as fait quelque chose de spécial pour ton anniversaire finalement ? » s’enquit-elle, curieuse.
Eleanor lui avait envoyé un message (une année de plus, ça ne s’oubliait pas), et avait cru comprendre qu’Ella n’avait pas grand-chose de prévu ce jour-là, préférait peut-être profiter de la journée qu’elle avait prise pour se détendre. Ou peut-être avait-elle passé la soirée avec ses enfants ? La blonde se trouvait malheureusement à l’autre bout du pays ce jour-là (et elle était restée à New-York une bonne semaine pour le travail) ; elle n’aurait pas manqué cette occasion autrement.

Spoiler:

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Mar 28 Mai - 4:21

elle ne met pas longtemps avant de se mettre à l’aise et c’est tout à fait normal. je lui en aurai voulu de ne pas le faire bien sur. parce qu’elle est ici chez elle. même si la maison je ne l’ai pas depuis longtemps, ce n’est pas grave. je la partage avec les gens que j’aime. plus petite que l’ancienne, j’aime ce nouvel espace défini. plus cocooning, plus agréable. et surtout décoré par moi, pour moi. et un peu zach mais il n’a pas trop eu son mot à dire sauf pour sa chambre. ma fille également même si elle ne vient pas souvent. la discussion est compliquée avec elle. y’a comme une barrière qu’on n’arrive pas à franchir. enfin moi je n’arrive pas à la franchir parce qu’elle, je n’ai pas l’impression qu’elle le veuille réellement. mais voilà, ça reste ma vie. la chaire de ma chaire et elle aura toujours sa place chez moi. pour le moment je veux juste profiter de cette soirée bien méritée. elie est installée non loin de moi. verres en main, on trinque, on signe le début de ce moment partagé. je lui ai expliqué que j’étais fatiguée mais ça doit se voir sur mon visage je pense. je n’ai rien fait pour le cacher. je laisse de temps en temps ma peau respirer. parce que dans la journée, c’est du placo plâtre que j’ai sur le visage en ce moment. il faut bien ça pour paraître impeccable. heureusement que les artifices tels que le maquillage existent. ça sauve des vies. ” le travail ? ce doit être la folie avec les fêtes de fin d’années. “ je hoche la tête, percée à jour. ” exactement ça, tu as tout compris. “ c’est la folie, c’est le mot. la folie. et ce genre de moments un peu à part sont une bénédiction. alors autant revenir à ça, à nous, à cet instant. à quoi trinque-t-on donc. ” trinquons à ces retrouvailles, alors. “ je laisse échapper un léger rire avant de faire tinter mon verre contre le sien. ” à nos retrouvailles. “ même si je reste fixée sur cette histoire de champagne. j’adore ça mais ça cache parfois des nouvelles. des choses auxquelles on ne s’attendait pas. des surprises en gros. j’aime bien les surprises. quand ça ne me concerne pas. c’est un peu compliqué mais on s’y retrouve. je préfère les organiser, ça par contre j’adore. voir le visage des protagonistes lorsqu’ils découvrent ce qui leur a été réservé c’est un véritable plaisir. rendre heureux les gens est de toute façon un super pouvoir. ça devrait être récompensé ça. ” rien de particulier, non. il n’y a pas beaucoup de causes pour les célébrations ces derniers temps, mais si tu veux porter un toast à quelque chose, je t’en prie, ce serait avec plaisir. “ oula alors de mon côté… non y’a rien. enfin si. mais non. ” et bien on va continuer sur notre lancée, c’est pour nous, pour cette soirée, à cette soirée. “ c’est déjà une raison bien suffisante pour ouvrir la bouteille et la partager à deux. des fois il n’y a pas besoin de plus que ça. ” ça fait du bien de prendre un break du boulot, mais surtout, ça me fait plaisir de te voir. “ je prends une gorgée de mon verre et acquiesce vigoureusement en avalant le vin. ” et c’est réciproque. le temps passe trop vite et on ne s’en rend compte que lorsqu’on se voit à chaque fois. ça craint un peu. “ même si l’on ne s’en tient pas rigueur. fort heureusement d’ailleurs. j’aime bien elie pour ça. tout est simple, sans prise de tête. même si on passe plusieurs jours, semaines, mois sans se parler ou très peu, ça ne change rien. on est toujours ravies de se revoir et les potins sont là pour alimenter nos conversations. nouvelle gorgée que je manque de recracher lorsque j’entends sa question. ” tu as fait quelque chose de spécial pour ton anniversaire finalement ? “ je toussote et me redresse pour laisser de la place à l’air. ” hum… oui. mais c’était pas vraiment prévu. “ comment balancer l’info sans passer pour une dégénérée ? ” on m’a livré un gâteau. un énorme gâteau. très bon le gâteau d’ailleurs mais c’était le genre avec une surprise à l’intérieur. tu sais les cadeaux qu’on cache et qu’on ne voit qu’après. et bien voilà… sauf que là le cadeau c’était la pâtissière. “ avalon est particulière, elle a ses idées, ses folies. difficile de composer avec mais je commence à m’y faire. même si j’étais à deux doigts de l’arrêt cardiaque. ” j’ai donc eu le gâteau, la pâtissière et le cadeau tout ça en même temps. c’était plutôt agréable et avalon est de bonne compagnie. “ le tout était agréable. puis surtout la soirée qui en a découlé. ” et toi du coup ton anniversaire était comment ? “ on a quatre ans de différence mais nos anniversaires, seuls trois jours les séparent. une période agitée, voilà pourquoi aussi on n’a pas pu se voir pour les fêter. d’ailleurs avant qu’elle ne réponde, je lève à nouveau mon verre. ” voilà à quoi on va trinquer. aux années qui passent. et puis faut avouer qu’on se bonifie avec le temps non ? “ la modestie également oui. mais je sais qu’elle m’aime comme ça.

Spoiler:
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