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half of the moon (twins)

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half of the moon (twins)
Jeu 1 Nov - 19:29
Je me redresse de mon lit et m’étire de tout mon long, sentant les rayons du soleil caresser mon corps totalement nu. Un regard sur le côté, Nolan dort toujours, cette marmotte. J’enjambe le corps de la jeune femme en tentant au mieux de ne pas la réveiller, et fais quelques pas pour rejoindre la ‘cuisine’ de ce logement hippie. J’aime ma caravane, elle paye pas de mine, mais c’est chez moi. Depuis le temps, j’ai réussi à l’aménager de manière pratique, avec quelques bricolages efficaces. Il a juste suffit que je trouve un terrain sur lequel rester quelques temps, payer un petit loyer pour avoir l’eau et l’électricité, et tout est parfait. Je fais couler du café pour réveiller les narines de Nolan, et sors, totalement nue, pour aller prendre une douche à l’arrière de la caravane, sous un pommeau aménagé par mes soins. Ici, aucun vis à vis, de la forêt tout autour, il doit bien y avoir quelques passants parfois, quelques vélos, j’ai même vu passer des chevaux, mais rien de bien folichon, et puis franchement, je ne suis pas pudique, alors si quelqu’un doit me voir en train de prendre ma douche, j’en ai bien rien à faire. Une fois terminée, je m’essuie, enfile une culotte et une petite robe légère, et m’installe à l’extérieur pour prendre mon café. Nolan ne tarde pas à me rejoindre et nous profitons de cet instant avant qu’elle n’aille travailler. Quant à moi, je suis de corvée lessive. En général, j’arrive assez facilement à laver mon linge à l’eau claire ici, avec un peu de savon biologique, mais une fois de temps en temps, j’aime aller à la laverie pour faire une vraie machine de mes affaires, mes serviettes etc… J’enfourne tout dans un sac à dos et grimpe sur mon vélo pour rejoindre le centre ville. Je ne me dépêche pas, je ne suis pas pressée. Je zigzague, virevolte entre les obstacles, monte et descends des trottoirs, n’emprunte pas les voix cyclistes, et me rends compte que je viens de passer devant chez ma soeur. Hop, demi-tour. J’attache mon vélo à un lampadaire en bas de chez elle et monte les étages qui me mènent jusqu’à son appartement, avant de frapper quelques coups à la porte. « Indiana Pandora Moon, un coli pour vous ! » Je frappe à nouveau mais n’ai pas terminé de frapper le dernier coup que la porte s’ouvre sur le visage de ma jumelle, et un sourire étire largement mes lèvres. « Salut p’tite soeur ! » J’adore la taquiner avec ça. Je viens la serrer tendrement contre moi et entre chez elle sans en demander la permission. Après tout, tout ce qui est à elle est aussi à moi, et inversement. J’ai inventé cette règle, je l’avoue. « Ça va ? Je viens squatter ta machine à laver, je peux ? » Et je lui offre un large sourire de chat potté. Elle ne pourra qu’accepter.
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half of the moon (twins)
Ven 2 Nov - 10:04

indiana & cheyenne
half of the moon
La sonnerie est stridente, la lumière du téléphone assassine. Le visage entremêlé de cheveux, le réveil est difficile pour Indie. Les couvertures chaudes sont un doux cocon loin de toute angoisse, elle ne veut pas en sortir, elle ne sait pas comment elle y arrive. Elle jette un coup d’œil à l’heure, il est 10h32, elle a l’impression d’être sortie d’un coma de douze ans. Sa tête est lourde, vide, elle se sent épuisée déjà et elle n’a pas bu hier. Le week-end ne fait que commencer. Elle ne sait pas ce qu’elle va faire, l’idée tapie dans l’inconscience de l’ennui l’effraie si bien qu’elle se lève péniblement. Elle aussi, elle dort nue. Et c’est nue toujours qu’elle entame les premiers réflexes du matin, allumer la cafetière, ouvrir la fenêtre, griller une clope. Camel 100’s. Elle désactive le mode avion de l’iPhone 6S, tout de suite des notifications du New York Times, un RT sur Twitter – elle compte 63 abonnés –, un nouvel abonnement sur Instagram – elle ne fait pas le compte, le nombre doit tenir sur les doigts de la main, elle a 3 photos publiées – et des messages en pagaille qu’elle ne lira que plus tard, et elle a bien tort. Les chats, qui sont six à ce jour, qui seront sept à partir de mercredi car elle adoptera une petite chatte engrossée qui a la queue cassée et un œil borgne, mais elle ne le sait pas encore ; tournoient autour d’elle en réclamant attention, caresses et surtout croquettes. C’est les yeux encore collés, visage bouffi et chiffonné, qu’elle se penche sur leur gamelle, la cigarette toujours entre l’index et le majeur. Elle laisse derrière elle des traînées de fumée blanchâtre comme une comète. Elle baille. Elle pense enfin à vérifier le téléphone. Le « chef » lui a laissé douze messages. Elle lit à voix haute sans comprendre, sans intonation ni ponctuation, elle processes. Dispo ce matin deux points d’interrogation j’ai besoin de toi acheter cadeau d’anniversaire épouse il ne peut pas déplacement affaires important. Il lui revaudra ça tout ce qu’elle peut trouver il la remboursera un vêtement chandail couleur type vert d’eau. Elle soupire, l’anxiété quotidienne la reprend, celle-là même qu’elle souhaite toujours laisser sur le pas de la porte le vendredi soir et qui pourtant, lui ressaute au visage dès le samedi matin, toujours. Aussi rendre dossier aux bureaux au patron il l’exige aujourd’hui même pas le choix tenue correcte attention. Sexy si tu veux qu’on empoche gros. Elle soupire plus fort. Elle a un moment d’abattement, elle hésite, elle veut l’insulter ou l’ignorer, mais elle le sait, en réalité, elle va faire ce qu’il lui dit. Quelque chose lui murmure qu’elle n’a pas le choix, ce depuis des mois qu’elle a commencé en tant que secrétaire, mais elle n’a pas encore compris pourquoi. Dans la brume toujours, ses yeux errent dans sa chambre. La lumière du soleil est grande ce matin, elle fait éclater en or tout ce qu’elle touche. Son regard, finalement, tombe sur les mémoires de Tennessee. Le livre est abîmé d’avoir été lu cent fois. Elle sourit, la douceur de son visage est retrouvée grâce à un dramaturge excentrique et décédé. Elle ne sait pas pourquoi, non plus, c’est la vision simple d’une couverture qui lui donne la force de se doucher, se brosser les dents, enfiler un tailleur jupe crayon noir, qui allongent ses jambes déjà interminables. Chemisier fluide en satin, petit blazer. Elle ne cherche pas trop à dompter sa chevelure, elle imagine un chignon négligé pour le côté sexy, improvise un maquillage simple mais délicat pour rester toujours professionnelle. Ses gestes sont lents d’être alourdis par la mauvaise humeur. Elle entend qu’on frappe, ne se retourne pas tout de suite, puis « Indiana Pandora Moon, un colis pour vous ! » Elle ne reconnaît pas immédiatement sa voix. Elle fait claquer sévèrement ses talons dans un mouvement d’impatience, elle n’a rien commandé et ne devrait rien recevoir, encore cette conne de voisine qui lui demande de recevoir ses colis quand la concierge peut très bien le faire ; ou le facteur, this little piece of shit. Ca toque encore, ça l’agace, elle ouvre la porte à la volée. Son visage est d’abord insensible, son regard froid et fixe qui ne comprend pas ; mais c’est sans compter le grand sourire lumineux qu’on lui adresse. Elle laisse tomber un « Chey’ ». Son arabe semble plus abrupte que d’habitude. C’est qu’elle n’avait pas prévu ça. « Salut p’tite sœur ! » De bon matin déjà, à peine levée, Indie se sent agressée par tant d’enthousiasme. Elle se retourne et rentre vers l’intérieur de l’appartement avec un geste désinvolte et las qui signifie que sa sœur peut entrer. De toute façon, elle ne l’aura pas attendu pour le faire. Ce qu'est à elle est à moi. P’tite soeur. Indie a toujours trouvé stupide ce jeu de Cheyenne et de la famille Moon. Ca n’a pas de sens de parler d’aînée ou de cadette chez des jumelles. Mais elle ne dit rien car dans le fond elle s’en fout. « Ca va ? Je viens squatter ta machine à laver, je peux ? » Non ça va pas. Son sourire n’accepterait aucun refus et de toute façon, Indiana s’en fout toujours. A nouveau, un geste nonchalant et fatigué, un peu dépassé : oui, elle peut. Il est trop tôt encore pour que l’aura solaire de Cheyenne vienne percer les nuits constantes, sans lunes, infinies, qui entourent Indiana. Immédiatement, les chats viennent se réunir autour de Cheyenne comme pour la réalisation d’un rituel solennel et sacré : ils l’adorent. Ils se collent et se frottent à ses jambes, enroulent leur queue autour de la cheville et dirigent vers elle des prunelles d’adoration. Indiana hausse des épaules comme des sourcils : soit. Alors que Cheyenne, son panier sous le bras, se dirige vers la cuisine où se trouve la machine, Indiana s’appuie placidement contre le chambranle, les bras croisés. Elle n’a pas encore souri une seule fois. « Vas-y mais j’ai des choses à faire ce matin, donc soit tu restes ici pendant ta machine, soit tu m’accompagnes. Je dois faire une course et passer au bureau. » Elle a un ton un peu autoritaire, il ne faut pas lui en vouloir : la mauvaise humeur pèse lourd et endolorie la nuque.

Indiana s’allume une deuxième cigarette.

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half of the moon (twins)
Lun 5 Nov - 11:16
La porte s’ouvre, dévoilant le visage de ma jumelle, visiblement encore un peu endormie, peut-être un peu de mauvaise humeur aussi. Il faut dire que depuis un certain temps, j’ai du mal à cerner mon double, du mal à comprendre sa manière de se laisser aller moralement, se laisser sombrer dans des abysses desquelles elle ne semble même pas avoir envie de remonter. « Chey’ » lâche-t-elle dans son singulier accent arabe dont je n’ai jamais saisi les origines. Toujours de bonne humeur, solaire, je reste égale à moi-même dans mon attitude et face à ma soeur qui semble quasiment prête à aller bosser. Je crois que j’arrive à temps. Je laisse glisser sur sa silhouette mon regard, parce que je ne comprends pas comment des gens peuvent s’imposer un style aussi strict et serré que le tailleur qu’elle porte. L’angoisse. Je demande la permission de me servir de sa machine à laver, mais c’est une question rhétorique, en réalité, je ne lui laisse pas vraiment le choix. C’est ma soeur, elle me doit bien ça. Elle pourrait dans l’autre sens me demander absolument tout ce qu’elle aurait envie, je lui donnerai le Bon Dieu sans confession. C’est ma soeur, ma jumelle, mon double, la moitié de moi même, ça me semble logique. Je suis accueillie par la horde de chats de ma frangine qui se colle autour de mes mollets, et je leur parle dans une langue incompréhensible, un truc mêlant sorcellerie et termes indiens. J’ai toujours parlé comme ça aux animaux. « Vas-y mais j’ai des choses à faire ce matin, donc soit tu restes ici pendant ta machine, soit tu m’accompagnes. Je dois faire une course et passer au bureau. » Quelle humeur, on adore. Son ton est sec et cassant, elle a l’air super heureuse de me voir, ça fait peur. Je me dirige sans broncher vers la cuisine où se trouve la machine, et enfourne mes affaires à l’intérieur. Un peu de lessive, même si j’aime pas trop ça, et je referme, lançant sur le cycle éco, que ma soeur n’a peut-être encore jamais essayé jusqu’à présent. Je me retourne pour finalement lui répondre. « Je suis pas venue que pour la machine, je suis venue passer du temps avec toi. Tu vas pas me laisser seule ici avec les chats ? » Je lui adresse un sourire, qui ne semble pas avoir le droit à une réponse ou à un écho sur les lèvres de ma jumelle. « Tu devrais arrêter de fumer. C’est pas bon pour la santé. J’ai de l’herbe si tu veux. C’est médicinal, ça au moins ça te fera pas de mal. » J’arque un sourcil et me dirige vers elle pour plaquer un baiser sur sa joue, furtivement avant qu’elle me repousse. « T’es pas trop serrée dans cette jupe ? T’arrives à respirer ? » Je sais qu’Indiana déteste par dessus tout mon naturel et ma manière de me foutre un peu de tout. Mais je me fous pas d’elle. Jamais. Je l’aime plus que n’importe qui, n’importe quoi sur cette Terre. Plus que la Terre elle-même. Je sais juste pas comment me comporter avec elle…
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half of the moon (twins)
Ven 9 Nov - 13:43

indiana & cheyenne
half of the moon
« Je suis pas venue que pour la machine, je suis venue passer du temps avec toi. Tu vas pas me laisser seule ici avec les chats ? » La ride du lion d’Indie se creuse un peu. Son visage se fissure légèrement. Culpabilité. Mais ça ne dure qu’un temps car : « Tu devrais arrêter de fumer. C’est pas bon pour la santé. J’ai de l’herbe si tu veux. C’est médicinal, ça au moins ça te fera pas de mal. » Indiana lève les yeux au ciel et lui tourne le dos. Ca y est, elle recommence. Dans un esprit de défi, elle reprend une taffe. Mais le dos tourné, elle réfléchit : elle doit admettre que sa sœur n’a pas tort. Elle sait toute la merde qu’il y a dans ces tubes de nicotine et elle est tout à fait d’accord pour dire que commencer n’a pas été la meilleure de ses idées. Ce serait stupide qu’elle refuse sa proposition simplement parce qu’un matin, elle est arrivée au mauvais moment. Et puis, comme elle le dit : ça ne peut pas lui faire de mal. « Ok, pourquoi pas. » Cheyenne obtient sa première victoire. Indiana regarde pensivement sa cigarette quand un baiser fugace s’écrase sur sa joue et la surprend. Elle aurait pu être touchée si tout de suite, Cheyenne n’avait pas embrayé sur une autre remarque moralisatrice : « T’es pas trop serrée dans cette jupe ? T’arrives à respirer ? » Elle soupire encore, lève encore les yeux au ciel. Elle jette un œil à l’horloge du micro-onde : 11h22 seulement. La mauvaise humeur reprend ses droits et le visage à nouveau froid, un fusil dans le regard, Indiana rétorque : « Je travaille. J’ai des études, un appartement, des factures, ça va pas se payer tout seul. Si je dois porter une insupportable jupe pour ça, alors... » Elle finit sa phrase par un geste, encore. Car en réalité, dans le fond, Indiana était d’accord avec sa sœur : elles détestaient toutes les deux. Mais l’une avait le courage d’assumer ses convictions quand l’autre se pliait au sens commun. En cela, Indiana a toujours beaucoup admiré sa sœur. Mais plutôt crever que de l’admettre… « Et je te ferais dire que c’est toi qui débarque sans prévenir ! T’aurais pu envoyer un message, ou je sais pas ! J’ai des obligations, c’est pas de ma faute ! Alors soit tu m’accompagnes, soit tu restes là à raconter ton charabia aux chats. Et me dit pas que ça te dérangerait... » Car Cheyenne comme Indiana adorait les chats. « Ta lessive ne sera pas finie avant que nous ayons terminé ce que j’ai à faire, de toute façon. Aller décide-toi. »

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half of the moon (twins)
Mar 13 Nov - 19:08
J’aime pas voir Indiana fumer, parce que je sais qu’avec ces conneries, elle se détruit la santé. Avec bien d’autres choses d’ailleurs, mais chaque chose en son temps. Je déteste la voir aussi mal, je me souviens encore de notre adolescences, ces moments d’innocence. Indie a toujours été presque diamétralement opposée à moi, c’est étonnant quand on sait qu’on est jumelles. Mais peut-être que le ‘fausses’ devant ‘jumelles’ tient alors son importance. « Ok, pourquoi pas. » Elle capitule, chose qui n’arrive pas souvent. On est deux têtes fortes, avec nos idées bien ancrées, bien que différentes. J’essaie toujours de passer des messages, de lui dire ce que je pense, alors qu’à l’inverse elle se terre dans son silence. Un regard sur ma soeur et je fais une réflexion sur son tailleur, rien qu’en la regardant j’ai du mal à respirer. La pauvre. Indie soupire et lève les yeux au ciel, ce qui veut dire qu’elle en a marre de mes réflexions. J’ai l’habitude, si je devais me vexer à chaque fois qu’elle fait ça… « Je travaille. J’ai des études, un appartement, des factures, ça va pas se payer tout seul. Si je dois porter une insupportable jupe pour ça, alors... » Ça me fait mal au coeur de voir qu’elle a l’air d’avoir oublié tous les principes que nous ont inculqué nos parents. Elle a balayé toutes les choses acquises lors de notre enfance, et surtout cette légèreté que j’ai l’impression d’avoir pour deux. « Et je te ferais dire que c’est toi qui débarque sans prévenir ! T’aurais pu envoyer un message, ou je sais pas ! J’ai des obligations, c’est pas de ma faute ! Alors soit tu m’accompagnes, soit tu restes là à raconter ton charabia aux chats. Et me dit pas que ça te dérangerait... » Je me contente d’arquer un sourcil en voyant ma soeur perdre une énergie folle à s’énerver pour rien du tout. Je hausse à peine les épaules, m’accroupissant pour donner quelques caresses aux félins. « Au moins eux ils ont l’air contents de me voir.. » Celle là était gratuite, j’en suis pas fière. « Je sais bien que t’as des obligations Indiana, mais justement. Si je viens pas te rendre visite, c’est pas toi qui le fera. Et puis franchement ? T’envoyer un message ? Pour quoi ? Ne pas avoir de réponse ou pire un truc qui dirait ‘j’ai pas le temps’ ? » Nouveau haussement d’épaules, Indie reprend la parole avec son air en colère. « Ta lessive ne sera pas finie avant que nous ayons terminé ce que j’ai à faire, de toute façon. Aller décide-toi. » Je hoche la tête, capitulant. « C’est bon, je viens. Si t’as pas peur que je fasse tâche à côté de toi… » Je tente un sourire et retrouve finalement ma gaieté, me mettant sur la pointe des pieds pour imiter des talons et tirant sur les plis de ma robe pour qu’elle ressemble à la jupe serrée de ma soeur. « Regarde, je peux même faire un effort… » J’espère toujours faire naître un sourire sur les lippes de ma frangine, mais des fois je me rends bien compte que c’est peine perdue…
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