one two three drink ft keala.

Je ne résiste pas à l’envie d’aller plus loin, j’ai l’impression que cette envie est partagée, et ça me donne des ailes. J’attire Nikita avec moi dans un coin reculé du bar et ne perds pas de temps pour venir chercher ses lèvres à nouveau dans un baiser appuyé et lourd de sens. Je lui laisse quelques secondes pour m’arrêter si vraiment il n’en a pas envie, sait-on jamais, loin de moi l’idée de le forcer à quoi que ce soit. Et alors que son pantalon se trouve déboutonné et ma main se faufilant à l’intérieur, je sens sa main tenter de retenir mon poignet, mais trop tard. Je me rends compte avoir été dupée, en quelque sorte, et ne peux retenir la surprise sur mes traits. « ouai, ça surprend toujours. » lâche-t-il presque amèrement, alors que je n’ai pas retiré ma main de son pantalon, main qui se trouve être pour le moment totalement immobile, arrêtée par la surprise de cette découverte. « j'comprendrais que tu préfères que ça s'arrête là. » Il me faut une seconde pour prendre réellement conscience, me rendre compte à quel point il semble mal à l’aise, et mon regard ancré dans le sien, je lui offre un léger sourire pour le rassurer. Secouant légèrement la tête de gauche à droite, je finis par lui dire avec beaucoup de bienveillance. « Non, ça me dérange pas, c’est juste que… je m’y attendais pas, mais j’ai aucun soucis avec ça. Vraiment. » Je suis pansexuelle, il n’était pas censé savoir après tout, mais au moins maintenant il sait. J’imagine bien que ça doit être compliqué pour lui de trouver des filles qui acceptent ce qu’il est. Je ne pose pas de questions, ce n’est pas le moment, mais l’envie n’est pas redescendue, elle, et je reviens l’embrasser, peut-être avec un peu moins de précipitation, mais pas moins de désir. « Si tu as encore envie, on peut aller chez moi… »

tu as l'impression de perdre le contrôle de la situation et ça ne te plaît pas vraiment, tu dois l'avouer. tu te mords l'intérieur de la joue, devrais sans doute lâcher prise, mais bon. elle a rien demandé, la russe. et t'as aucune idée de comme elle peut réagir. un soupir s'échappe de tes lèvres et vient s'écraser contre les siennes, tandis qu'un nouveau baiser vous rapproche de nouveau et tu peux sentir les doigts de la jeune femme venir déboutonner ton jean. t'es pas assez rapide pour arrêter son geste, et sa main se retrouve dans ton jean. tu te pinces les lèvres un instant, pas franchement à l'aise dans cette situation. et la blonde s'en rend bien rapidement compte, de quoi il en ressort vraiment. un léger soupir s'échappe de tes lippes et tu termines par éloigner un peu sa main. un soupir s'échappe de tes lippes. non, ça me dérange pas, c'est juste que... je m'y attendais pas, mais j'ai aucun soucis avec ça. vraiment. tu te pinces les lèvres de longues secondes et retiens un petit soupir, ta main venant glisser contre ton visage et dégageant tes cheveux de ton front. tu te mords l'intérieur de la joue un instant. tu comprends pourquoi j'suis un mauvais dragueur. tu souffles doucement, répondant à son baiser en venant glisser ta main contre sa hanche. et en général, les gens, ils n'ont pas cette réaction-là, quand ils s'en rendent compte ou quand tu leur dit. tu fermes les yeux un instant. si tu as encore envie, on peut aller cher moi... tu laisses tes lippes revenir contre les siennes et tu attires la jeune femme contre toi, avec clairement moins de retenue qu'avant. elle sait, maintenant. et c'est pas la peine d'en faire un drame. pas ce soir. ça fait du bien, au fond. ouai. tu souffles contre ses lèvres. t'habites loin ? tu demandes en venant faire glisser tes doigts contre ses fesses, un sourire taquin sur le coin de tes lippes.

C’est la surprise, mes yeux ne mentent pas cette fois, j’aurai eu du mal à faire comme si de rien n’était, alors que je m’attendais à glisser ma main dans un sous-vêtement bien plus rempli que ça. Mais ça ne me dérange pas, je ne m’arrête pas à ça, quand l’attirance est là, peu importe le sexe de la personne en face de moi, et je ne manque pas de le dire à Nikita qui semblait avoir envie de me fourrer dans un trou de souris. « tu comprends pourquoi j'suis un mauvais dragueur. » Je souris largement, amusée par sa réplique, et hoche la tête, à peine, avant de récupérer ses lèvres dans un baiser langoureux. « Ce soir tu as de la chance… » Que j’ajoute entre deux baisers. Et sans plus tarder, je lui propose d’aller chez moi. J’ai pas assez de thunes pour aller à l’hôtel, et même si mon appartement est un peu loin, on devrait y arriver. La tension est palpable, ça devrait le faire. « Ouais » Qu’il répond avec moins de retenue qu’un peu plus tôt, et je sens déjà ses mains glisser sur mes fesses, ce qui me fait doucement sourire. « t'habites loin ? » « Un peu, mais c’est pas grave. » Je mordille sa lèvre inférieure et prends sa main à nouveau pour nous faufiler à l’extérieur par la porte de service. Nous sautons dans un taxi et volontairement je me mets au milieu pour être proche de lui, glissant ma main sur sa cuisse. Je donne l’adresse de mon appartement au chauffeur, le coeur battant. Si ça ne tenait qu’à moi, je crois que je lui sauterai dessus, là, dans la voiture. Je penche ma tête pour murmurer à son oreille, amusée. « T’as déjà fait ça dans un taxi qui roule ? » Ma main remonte un peu plus le long de sa cuisse, dangereusement. C’est clair qu’avec un mec et tous ses attributs, ce serait moins facile. Mais là, y’a moyen de faire quelque chose de grisant.

tu te mords l'intérieur de la joue, tu sais pas trop ou te mettre, en réalité. pas toujours à l'aise avec la situation même, alors que ça ne t'as jamais dérangé outre mesure de parler de ta transidentité. tu retiens un petit soupir et glisses tes doigts dans ta nuque. ce soir tu as de la chance... tu ris un peu en répondant à son baiser, fermant les yeux en la serrant doucement contre toi malgré tout. et ouai, sans doute que tu as de la chance. tu viens mordiller doucement sa lèvre inférieure, avant de la laisser souffler quelques mots, tandis que tu acquiesces à sa proposition. allez chez elle, c'est bien tentant, en réalité. tu te mords l'intérieur de la joue. tu glisses une main contre ses fesses. un peu, mais ce n'est pas grave. tu hoches la tête, respires un peu plus fort, tandis qu'elle vient attraper ta main. tu la laisses t'attirer avec elle en direction de la sortie du bar. et tu t'en fiches bien, de la soirée que t'étais censé passer avec tes potes. tu te pinces les lèvres un instant. tu laisses la jeune femme grimper dans un taxi et la rejoins rapidement, esquissant un sourire, la laissant s'asseoir contre toi. elle vient se pencher contre ton oreille. t'as déjà fait ça dans un taxi qui roule ? un petit rire t'échappe et tu tournes un peu la tête. parce que t'as fais ça dans un taxi qui roule pas, toi ? tu demandes, taquin, laissant sa main remonter contre ta cuisse, franchement plus à l'aise que tout à l'heure. mais pour répondre à ta question, non. tu souffles doucement, venant mordiller le lobe de son oreille. ça peut être bien, ouai. tu ajoutes en glissant, à ton tour, une main entre ses cuisses, sans doute un peu trop haut pour la bienséance. mais t'en as rien à foutre, de la bienséance. tu reviens embrasser la blonde un peu plus fort.

Le trajet ne devrait pas être si long que ça, mais je ne suis pas du tout du genre patiente. Alors Une fois installés à l’arrière du taxi, je profite que le chauffeur se soit excusé au profit d’une conversation téléphonique, pour glisser quelques mots coquins à l’oreille de Nikita. « parce que t'as fais ça dans un taxi qui roule pas, toi ? » Je ris un peu, faut dire que ma question était pas très claire, entre l’alcool et le désir qui me brouille les pensées. Mais après tout, oui, un taxi pourrait être à l’arrêt, j’en sais rien, il aurait pu coucher avec quelqu’un qui possède un taxi dans sa propre voiture non ? On peut tout imaginer. « mais pour répondre à ta question, non. » Intéressant. Je souris, le laissant venir mordiller le lobe de mon oreille tout en glissant de nouveaux mots au creux de cette dernière. « ça peut être bien, ouai. » La main du jeune homme remonte le long de ma cuisse et je me contracte légèrement sous le flot d’adrénaline qui me submerge. Je me concentre au maximum pour ne pas lâcher un grognement qui traduirait mon désir, ou un gémissement d’envie ou que sais-je. Nous échangeons un baiser un peu plus appuyé et ma main remonte finalement au niveau de son entre-jambes pour effectuer une pression à cet endroit, bien que ça ne me semble pas suffisant. Je profite qu’il n’ait pas pris le temps de reboutonner son jean, fais glisser doucement la braguette et glisse à nouveau ma main à l’intérieur de son pantalon. Je le sens se contracter à nouveau alors que sa main est elle aussi remontée plus haut. Je crois que c’est pas une bonne idée finalement, je vais avoir envie de l’allonger sur la banquette. Je garde une oreille alerte à la conversation téléphonique du chauffeur, l’air de rien, et glisse mes doigts finalement sous le boxer de Nikita, sentant immédiatement à quel point on est au même seuil du désir. Je souris contre ses lèvres et continue de l’embrasser. « Pitié qu’on soit bientôt arrivés » que je murmure contre sa bouche.

tu ris un peu, ne peux pas t'empêcher de taquiner un peu la russe par rapport à ses mots, tandis que tu la laisses se rapprocher un peu plus encore de toi. tu viens glisser ta main à l'intérieur de sa cuisse. parce qu'ouai, maintenant qu'elle t'en as parlée, ça te donne bien trop envie. ce goût d'interdit, cette adrénaline bouillonnant au fond de tes veines. tu te mords l'intérieur de la joue et soupires doucement contre ses lippes tandis que vous échangez un nouveau baiser. tu viens glisser ta seconde main sur sa hanche que tu serres doucement entre tes doigts. la main de la blonde remonte contre tes cuisses, avant de glisser à l'intérieur de ton boxer. tu étouffes un léger grognement contre ses lèvres et reprends ton souffle le plus discrètement possible. tu viens, à ton tour, glisser ta main sous le sous-vêtement de la russe. pitié qu'on soit bientôt arrivés. tu hoches la tête à ses mots, fermes les yeux un instant en venant bouger doucement ta main. ouai. tu souffles. je crois. tu ajoutes, sans trop savoir ce que tu racontes, au fond. tu sais pas trop, t'es plus perdu dans ton désir qu'autre chose. tu viens emprisonner la lèvre inférieure de la blonde entre tes dents, respirant plus fort contre ses lèvres, tandis que tu viens finalement l'embrasser. tu fermes les yeux un instant, te concentres vraiment pour rester discret. tu viens glisser ta main libre contre les fesses de la russe, ton regard revenant croiser le sien. brûlant. et, finalement, peut-être que t'as bien fait de sortir avec tes amis, de les laisser te convaincre. un rire s'échappe finalement de tes lèvres, et tu viens éloigner un peu la blonde de toi quand tu sens le taxi ralentir. tu refermes rapidement ton pantalon, te mordant l'intérieur de la joue. ouai, t'es bien trop impatient.

Nikita n’est pas le plus à l’aise du monde je le sens bien, faut dire que faire ce genre de truc avec la peur d’être surpris d’un moment à l’autre, c’est pas fait pour tout le monde. y’a des gens plus téméraires que d’autres. Mais quand je sens sa main glisser dans mon sous-vêtement, je suis obligée de me mordre la lèvre inférieure si fort que je sens presque s’inviter le goût du sang contre mes papilles. Etouffer les prémices de mes gémissements de plaisir est encore le mieux si on ne veut pas se faire prendre. Nous continuons un instant notre petit jeu d’adolescents en manque d’adrénaline, jusqu’à ce que la voiture commence à ralentir et le chauffeur terminer sa conversation téléphonique. « On arrive, c’est quel numéro ? » Je m’empresse de retirer ma main du pantalon de Nikita avant de répondre, tentant de faire comme si de rien n’était, même si ma voix me trahit un peu. « 12. Juste un peu plus loin. Merci. » Je lui donne de quoi payer la course et nous quittons la voiture à la hâte. Je prends la main du jeune homme et me précipite vers mon immeuble. Ça craint un peu ici, mais là tout de suite, j’en ai bien rien à foutre. Je glisse la clé dans la serrure, ouvre la porte de mon appartement et tire Nikita à l’intérieur. Il n’a pas vraiment l’air d’être le genre à prendre les devants alors je le fais pour lui. L’attirant à moi, je viens chercher ses lèvres pendant que je le destitue de sa veste, tout en le poussant vers le clic clac. Je n’aurai pas la force de le mettre en lit, tant pis. Je pousse le jeune homme pour qu’il s’asseye sur le canapé et m’assieds à califourchon sur lui, cherchant à nouveau ses lèvres. « Je te propose à boire ou on s’en fout ? » Je ricane un peu et laisse mes mains parcourir son torse de haut en bas, et remontant finalement sous son t-shirt pour découvrir sous mes doigts un piercing au téton. Intéressant.

un soupir de frustration s'échappe de tes lèvres quand la main de la russe quitte finalement ton sous-vêtement. tu te mords l'intérieur de la joue tandis que le chauffeur ralenti en demandant à la jeune femme le numéro ou il doit s'arrêter. tu profites de cet instant pour venir reboutonner ton pantalon. 12. Juste un peu plus loin. merci. tu la laisses payer la course, fronçant un peu les sourcils et essayant de te souvenir, demain matin ou plus tard dans la nuit de lui proposer de la payer. ou au moins la moitié. tu sors de la voiture et ne te prives pas pour venir la suivre en direction de son appartement, vos esprits s'échauffant rapidement, vos corps aussi. tu retrouves ses lèvres bien rapidement tandis qu'elle vient retirer ta veste dans un même temps. tu fermes les yeux un instant, viens agripper ses hanches entre tes doigts tandis que la blonde vient te pousser sur le canapé. tu relèves la tête, un sourire au coin de lèvres, tes mains retrouvant rapidement son corps quand elle grimpe sur tes cuisses. je te propose à boire ou on s'en fout ? tu arques légèrement un sourcil quand elle vient faufiler ses doigts sous ton t-shirt, contre ton torse. tu manques un petit frisson, ses doigts sont froids. tu te pinces les lèvres un instant, tandis que sa main rencontre le piercing que tu portes depuis plusieurs années maintenant. je suis plein de surprise. tu souffles doucement, en riant un peu, avant de te contenter de te redresser un peu pour venir l'embrasser durement, ta langue glissant contre la sienne pour un baiser appuyé. ta main glisse dans sa nuque et tu serres ses cheveux entre tes doigts, soupirant doucement contre ses lippes. tu t'éloignes et viens l'observer un instant, te réinstallant au fond du canapé. finalement je veux bien un verre. tu souffles, taquin, tandis que tu viens glisser tes doigts glissant à leur tour sous son haut, à même sa peau, remontant contre son ventre et en direction de sa poitrine. t'en as rien à foutre de boire un quelconque verre. tu viens attraper doucement sa lèvre entre tes dents, la mordillant doucement, cherchant simplement à faire grimper la température un peu plus.