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i'll be there for you, cause you're there for me too (lealyn 2)

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i'll be there for you, cause you're there for me too (lealyn 2)
Mer 16 Jan - 15:52
Je vois dans le regard de mon meilleur ami que je viens de trouver une très bonne action. Puisqu’il se moque de mon incapacité à manger avec des baguettes, autant que ça me serve ! Un mal pour un bien finalement. Il ne faut d’ailleurs pas plus d’une minute pour que ma maladresse sévisse et Leah tombe le t-shirt. Je l’ai déjà vu des tas de fois torse nu, ça n’a rien de gênant entre nous, mais ça reste un bonheur pour mes yeux sans doute encore plus avec la désinhibition due à l’alcool. C’est son tour de choisir ce que je dois faire, je m’attends à une vengeance mais il reste assez soft en m’ordonnant d’aller me mettre en pyjama et ça sans tricher. Je pose mes baguettes et me lève, tanguant un peu « Maiiis je n’ai rien à cacher très cher ! » certains de mes pyjamas peuvent être un peu honteux, mais la tenue que je portais hier n’a rien d’exceptionnelle. Je prends la direction de la salle de bain, mon meilleur ami m’indiquant au passage de réfléchir à une vérité pour lui, j’esquisse un sourire mais il ne le voit pas puisque je suis de dos. Non sans un peu de difficulté à cause de la perte de précision de mes mouvement ainsi que de mon équilibre, j’arrive néanmoins à m’affubler de mon pyjama à savoir un débardeur plutôt ample et un short en coton plutôt court. Je reviens dans le salon, Leah en train de manger en savourant de ne pas encore être à poils. « Tadam. » je fais une sorte de défilé pour lui montrer mon pyjama « Une vérité donc, hein ? » dis-je en me réinstallant sur le canapé. Je laisse planer un instant de suspens tout en reprenant mes baguettes et mon repas « Est-ce que t’as déjà eu envie de moi ? » je pouffe de rire « Après m’avoir vu dans cette tenue, si tu dis non c’est que t’es un menteur. » dis-je pour le taquiner alors que je le vois déjà rougir. Forcément ça me fait rire et les quelques nouilles que je tenais retombe dans le plat « Oups. » allez Monsieur O’Malley, faut retirer autre chose…
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Ven 18 Jan - 15:32
« Maiiis je n’ai rien à cacher très cher ! » Oui, enfin j’espère vraiment qu’elle va pas me sortir un petit ensemble de lingerie ou un truc dans le genre, ce serait vraiment super gênant quand même. Ses pas ne sont pas très précis, et je me fous un peu d’elle en ricanant. Je continue de manger le temps qu’elle se change et une fois qu’elle est revenue, je tourne la tête vers elle, amusé par son ‘tadam’. Mon regard glisse sur son corps peu vêtu, faut dire qu’elle est franchement pas désagréable à regarder. Elle me fait son petit défilé et j’me sens presque mal à l’aise de laisser traîner sur elle un regard un peu différent de d’habitude, plus masculin, peut-être. Je coupe le défilé en lui disant mon choix entre action et vérité. Elle reprend place près de moi tout en réfléchissant et reprend finalement la parole. « Est-ce que t’as déjà eu envie de moi ? » Demande-t-elle en me faisant écarquiller les yeux. Quoi ? Elle est sérieuse ? « Après m’avoir vu dans cette tenue, si tu dis non c’est que t’es un menteur. » Elle rit et j’en fais de même, essayant de réfléchir à une réponse à lui donner, mais cette nouille fait tomber ses nouilles. Son ‘oups’ n’en est pas vraiment un, on dirait qu’elle fait exprès, mais je me doute qu’avec l’alcool, ses mouvements sont plus très bien coordonnés. Je soupire un peu en la regardant en coin. On applique la règle du ‘une chaussette ça compte’ ou pas ? »[/color] Au strip poker, il y a les règles dites légères où on peut comptabiliser le moindre petit vêtement comme étant un vêtement à proprement dit, ça fait durer le jeu plus longtemps. Mais au vue du regard réprobateur de Jazz, je comprends que les chaussettes ne comptent pas, et je me lève alors pour retirer mon pantalon, chaussettes incluses du coup, je déteste la sensation d’avoir les jambes nues avec des chaussettes au pied. « Et pour répondre à ta question, oui. » Cette fois c’est son regard qui est un peu plus surpris et je souris en coin. « Bahhhh tu sais à l’adolescence, amie ou pas, ça change pas grand chose. T’as toujours été franchement jolie, et loin d’être bête, c’était deux ingrédients qui suffisaient à me donner des idées pas très chastes… » Je mentirai si je disais que ça m’était pas arrivé depuis, parce que ça m’a effleuré l’esprit plus d’une fois, mais à chaque fois je me donnais une claque intérieure en me disant que c’était pas du tout une bonne idée et que ça finirait par détruire notre amitié si précieuse à mes yeux. Je me racle un peu la gorge après cette réponse un peu gênante. « Et toi alors, t’as déjà eu envie de moi ? Après m’avoir vu dans cette tenue, si tu dis non c’est que t’es une menteuse ! » Je retourne la question, amusé, reprenant ses propres termes. On s’éloigne du jeu initial, mais c’est plus fort que moi, j’ai moi aussi envie de savoir, la curiosité est trop importante.
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i'll be there for you, cause you're there for me too (lealyn 2)
Dim 20 Jan - 9:50
Je le sens bien que l’alcool me monte à la tête, je crois qu’on peut même dire que j’ai franchi le pas vers l’ivresse. Mais sans doute qu’il me fallait ça ce soir, pour éloigner le chagrin durant quelques heures. C’est avec une réelle approximation au niveau de l’équilibre que je rejoins ma chambre pour exécuter l’action donnée par mon meilleur ami. Je reviens quelques minutes plus tard, j’ignore combien, ma notion du temps s’est fait la malle. C’est un pyjama tout à fait banal que je porte, pas franchement sexy d’ailleurs, enfin je ne crois pas. Je retrouve Leah qui choisit de dévoiler une vérité. Il me faut peu de temps pour trouver une question, mes sens autant que ma raison étant un peu altéré par le rhum je lui demande s’il a déjà eu envie de moi, plaisantant sur mon accoutrement actuel. Dans le fond cette question je me la suis posée de nombreuses fois, sans jamais oser la formuler… c’est chose faite. Je ris, amusée de voir la tête de mon meilleur ami, surpris par cette question puis blasé par une nouvelle maladresse de ma part. Il invoque la règle des chaussettes mais mon regard fait s’évanouir tout espoir de sa part. A poils O’Malley, à poils ! Il quitte son pantalon et ses chaussettes, ce qui me fait rire, je le connais je sais pourquoi il les a retiré. C’est ce moment qu’il choisit pour me répondre, avec moins d’hésitation que je ne l’aurais pensé, que oui il a déjà eu envi de moi. J’écarquille les yeux face à cette réponse si franche et honnête de sa part, même pas une tentative d’esquiver la question, je suis impressionnée. Il sourit et m’explique que ça date de l’adolescence. Si j’étais moins bourrée je pense que je rougirais, mais là je trouve ça juste drôle. Du moins jusqu’au moment où il me retourne la question et que je m’étouffe à moitié avec les nouilles que j’avais enfin réussi à porter jusqu’à ma bouche.
Je le regarde en m’essuyant la bouche avec une serviette en papier « Petit malin ! ». Je reprends contenance posant mes baguettes et avoue avec un air détaché « Oui pareil à l’adolescence… Ah les hormones ! » je ris, heureusement que j’ai encore assez de lucidité pour ne pas lui dire que depuis je n’ai en fait jamais cessé de le désirer… pire que ça de nourrir des sentiments plus qu’amicaux à son égard. D’un geste de la main je le désigne de haut en bas « T’es pas trop mal et pas trop idiot. Ça suffit. » je me reprends rapidement « …ait. Suffisait. ». « Raison vs curiosité. Arg pas toujours facile, surtout quand on est ado. » je hausse les épaules « Heureusement qu’on a jamais dérapé. T’imagine ? Ça aurait été super bizarre, hein ? » disant ça je fixe mon regard dans le sien sans même me rendre compte que je me rapproche de lui.
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Lun 28 Jan - 13:58
Je suis sincère, c’est ma meilleure amie, je n’ai rien à lui cacher, je ne l’ai jamais fait et je ne vais pas commencer ce soir. Elle me demande si j’ai déjà eu des pensées peu catholiques à son sujet, je n’esquive pas et lui réponds sans l’ombre d’une hésitation. J’imagine que l’alcool doit aider, peut-être que dans une autre configuration, un autre soir, je n’aurai pas été si direct dans ma réponse. Mais les choses sont ce qu’elles sont. Jazz a toujours été très jolie, et très intelligente. J’ai toujours du mal à croire qu’elle n’est pas en couple alors qu’il n’y a rien qui cloche chez elle, hormis peut-être son amour un peu trop prononcé pour son métier. Je retourne la question et souris malicieusement en voyant qu’elle s’en étouffe. « Petit malin ! Oui pareil à l’adolescence… Ah les hormones ! » Mon rire se mêle au sien avant qu’elle le reprenne, me montrant de haut en bas pour me désigner dans mon entièreté. « T’es pas trop mal et pas trop idiot. Ça suffit.…ait. Suffisait. Raison vs curiosité. Arg pas toujours facile, surtout quand on est ado. » Je l’écoute avec attention, et mets ses bugs de diction sur le compte de l’alcool, mais j’ai comme l’impression que quelque chose a changé dans l’air soudainement. « Heureusement qu’on a jamais dérapé. T’imagine ? Ça aurait été super bizarre, hein ? » finit-elle par lâcher alors que son regard est ancré dans le mien. C’est moi où y’a un truc bizarre là ? Bizarre. C’est elle qui l’a dit, c’est vrai que c’est particulier, mais étrangement pas franchement désagréable. « Ouais… » que je souffle alors que je sens déjà mon coeur qui s’accélère. « C’est vrai que ça aurait été… bizarre. » Je peux sentir son souffle ricocher sur mon visage, et voilà que mon regard oscille entre ses yeux et ses lèvres. Pourquoi ? Est-ce que c’est le rhum qui me fait devenir dingue ? Pourquoi je sens cette putain de boule de chaleur naître dans mon bas ventre. C’est quoi ce bordel ? Faut qu’elle arrête de me regarder comme ça ou d’ici quelques secondes je ne vais plus répondre de moi. En fait, je crois que c’est déjà trop tard. « C’est quand même assez étonnant qu’on ait jamais pensé essayer… » Pourquoi je dis ça moi ? Putain ça y est c’en est fini. Je réfléchis plus, je laisse parler mon corps, je sais que je devrais pas, que je risque de le regretter ou me sentir mal après. Mais après c’est après, et pour le moment j’en ai envie. Je m’approche encore, sentant cette fois son souffle sur mes lèvres et je ferme les yeux une seconde pour essayer de me canaliser, d’arrêter mes conneries mais c’est trop tard, la machine est lancée. Je réduis finalement la distance entre nous, glissant ma main dans la nuque de ma meilleure amie alors que le baiser se trouve être bien moins tendre que je l’aurai voulu. Mais je suis pas tout seul, j’ai presque l’impression de ressentir une frustration qu’elle essaie d’évacuer, et je vais pas m’en plaindre…
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Mar 29 Jan - 12:18
L’alcool, la tristesse, la présence réconfortante de Leah, ce jeu débile, mes sentiments enfouis tout se mélange dans ma tête et je ne crois pas que ce soit pour le mieux. Ou peut-être que si justement ? Parler d’attirance mutuelle avec mon meilleur ami créé inévitablement le trouble. Je lui offre la même réponse que la sienne, mettant en avant l’adolescence et tout ce qui l’accompagne… sans lui avouer que depuis rien n’a vraiment changé et ce peu importe mes tentatives à me défaire de mes sentiments. Mais franchir ce pas entre nous serait des plus étrange, ce serait prendre un risque de tout gâcher. Je m’en suis convaincue, nourrissant cette peur de perdre mon meilleur ami pour m’aider à mettre de côté ce que je peux ressentir à son égard. Pourquoi faut-il qu’il soit aussi parfait ? C’est une torture. Je crois que ma volonté à y résister s’est fait un peu plus la malle à chaque verre de rhum ingurgité. Je sens mon esprit embué tout autant que cette désinhibition qui me pousse à me rapprocher de Leah. Si j’avais trop lutté ? Tout peut s’arrêter si vite… j’en ai l’exemple douloureux avec la perte de ma sœur. A quoi bon s’interdire de vivre. Si je meurs demain se sera sans doute avec des regrets. Pourtant sentir son souffle contre mes lèvres est tout aussi grisant qu’effrayant. Nous n’avons jamais été si proches, si près de franchir ce cap interdit par la valeur de notre amitié. Parce que oui… ça serait bizarre… terriblement bizarre et pourtant j’en ai terriblement envie. « J’y ai pensé… » soufflé-je, avec une franchise propre à mon état actuel. Mon cœur bat fort dans ma poitrine, je veux que Leah comble ces derniers centimètres entre nous ou je le ferai moi. Comme s’il lisait dans mes pensées je sens les lèvres de mon meilleur ami contre les miennes. Délivrance. Je soupire tout contre, de soulagement, pour relâcher cette pression trop longtemps accumulée. Je réponds à ce baiser sans retenue aucune, l’appuyant même d’avantage, pour assouvir une envie trop longtemps repoussée. A cet instant j’oubli qu’il s’agit de mon meilleur ami, il est juste cet homme qui m’attire, passant ma jambe par dessus les siennes, créant d’avantage de proximité entre nos corps. Je quitte ses lèvres, embrasse son cou, mordille sa peau, m’enivre de sa texture et de son odeur. Sentir ses mains sur moi me fait perdre encore un peu plus pied, je déconnecte totalement, portée par l’instant. Après plusieurs minutes, je me lève, tirant sur sa main pour l’inviter à faire de même et retrouver aussitôt ses lèvres, nous guidant, malgré notre équilibre précaire en direction de ma chambre.
***
Putain c’est quoi cet écho… je sors difficilement de ma torpeur, j’ai la sensation qu’un marteau me frappe le crâne et cette foutue sonnerie de téléphone n’aide en rien. Machinalement je me retourne rapidement vers l’autre côté de mon lit et suis stoppée dans mon élan par le corps de Leah. Oh… c’est vrai il est venu me réconforter hier. Nous avons bu et… je fronce les sourcils, il a l’air à minima torse nu et baissant les yeux sur mon propre buste je me rends compte que moi aussi. What the fuck ? Léger moment de panique. Je fous quoi littéralement à moitié à poils au lit à côté de mon meilleur ami ? On a déjà dormi ensemble… mais là c’est complètement inédit comme situation. Je remonte le drap sur moi tout en cherchant du regard de quoi m’habiller un peu plus. Je vois le haut de mon pyjama plus loin dans la pièce. Je m’apprête à aller le chercher quand je perçois du mouvement à côté de moi. Je me remets aussitôt sous les draps, et ferme les yeux pour faire semblant de dormir encore. Merde, merde, merde… qu’est-ce qu’on a fait ? Je ne me souviens de rien.
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Jeu 14 Fév - 14:28
Jazz avoue avoir déjà pensé à déraper. J’ai un eu de mal à ce que l’information circule jusqu’à mon cerveau, le rhum a bien fait son effet comme demandé. Je devais seulement accompagner ma meilleure amie dans sa peine, et nous voilà quasiment à poil en train de.. merde. Dérapage. Elle s’approche et je ne peux me retenir de fondre sur elle, cherchant le contact de ses lèvres. C’est idiot, complètement immature, irrationnel, irréel. Et pourtant tellement délicieux. Elle fait glisser une jambe au-dessus de moi et de mes mains je l’accompagne, cherche une proximité plus importante. Mes doigts se font plus aventureux, cherchant le contact de sa chair, de ses formes que je n’avais jamais envisagées de la sorte jusqu’à aujourd’hui. Mon souffle se perd, je frissonne sous les baisers qu’elle dépose dans son cou telle une lionne affamée. Et j’ai bien peur d’avoir très très envie de la laisser me dévorer. Ou de la dévorer à mon tour, qui sait. Jazzlyn se lève et agrippant ma main, elle me guide jusque dans sa chambre. Je ne réfléchis plus, mon cerveau est totalement court-circuité, je n’ai aucune idée à quel point on est en train de faire une connerie. Je le fais parce que j’ai bu, mais surtout parce que j’en ai foutrement envie.

***

Le réveil est difficile, ça cogne dans toute ma boîte crânienne, je grimace et cherche doucement à prendre conscience avec la réalité. Ouvrant légèrement les yeux que je peine à garder ouverts d’ailleurs, je les frotte légèrement et me mets sur le dos, continuant la friction sur tout mon visage pour me forcer un peu à me réveiller. Il me faut quelques secondes avant de prendre conscience que je ne suis pas chez moi. Premier constat. Un regard autour de moi, je reconnais la chambre de ma meilleure amie. Très bien, j’ai dû rester dormir ici, après la soirée qu’on a passée, ça m’étonne qu’à moitié. Je tourne la tête et remarque Jazz étendue là, endormi à côté de moi. Sur le moment rien d’alarmant, c’est pas la première fois qu’il nous arrive de dormir ensemble surtout après une soirée arrosée. Mais c’est lorsque je me décide à quitter le lit pour aller pisser que je me rends compte que je suis nu comme un vers. Là ça devient inquiétant. Mon coeur s’emballe d’un seul coup et je fais discrètement le tour du lit, cherchant des yeux mon foutu boxer. Une fois trouvé je l’enfile et quitte la chambre pour prendre une grande inspiration. C’est pas possible, on a pas fait ça ? Je me souviens de rien bordel !!! Je sens une vague d’angoisse me saisir et tourne en rond quelques secondes. Faut que je sache, elle doit savoir. Quoi qu’elle avait bu autant que moi mais dans le doute, elle se souvient peut-être de plus de trucs que moi. Je retourne dans la chambre et en la voyant encore endormie, je me résigne à la réveiller pour lui demander un truc pareil. Je récupère mon pantalon et alors que je l’enfile, je l’entends bouger, et remarque qu’elle a les yeux ouverts. « T’es réveillée ? J’allais chercher les croissants… » Mon cul.
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Sam 16 Fév - 20:57
Aussi courageuse que téméraire en voyant Leah bouger à côté de moi je fais semblant de dormir encore. Je ne suis pas prête à vivre ce moment ultra étrange où on va se regarder avec gêne et incompréhension alors que ce n’est jamais arrivé durant toutes ces années d’amitié. Putain mais qu’est-ce qu’on a foutu ? Je le sens bouger, il se lève discrètement pour ne pas me réveiller en ignorant que je le suis déjà. J’ouvre un œil mais le referme aussitôt. Qu’est-ce qu’il fait totalement à poils ? Mon cœur s’accélère, j’ai toujours mal à la tête et en plus maintenant j’ai la nausée. Je flippe de comprendre ce qu’on a peut-être fait. J’entends la porte grincer légèrement, il est sorti. Je rouvre les yeux, me redresse et profite de son absence pour regarder sous les draps et par terre autour du lit en quête d’indice sur le dénouement de la soirée. Pas de traces de préservatif, mais vu notre état si je ne me souviens pas de la soirée qui sait si on s’est protégé. L’idée me glace le sang. Bordel de merde on a quand même pas fait ça ? Pas le temps de continuer à réfléchir ou paniquer, j’entends mon meilleur ami qui revient et opte à nouveau pour la solution de facilité en fermant les yeux. Tel un chat ne dormant que d’un œil j’observe Leah récupérer ses affaires. Allez Jazz, t’as plus le choix. Je pourrais continuer de faire semblant de dormir mais c’est nul, non ? J’ouvre les yeux, m’étire légèrement, il perçoit le mouvement et se retourne vers moi tout en s’habillant. Il allait partir comme ça ? Il parle de croissant, je me redresse en prenant bien soin de tirer sur le drap pour ne pas me retrouver avec la poitrine à l’air et secoue la tête à la négative « T’embêtes pas, j’ai vraiment pas faim. Tout ce que je peux avaler c’est de l’aspirine. ». On a clairement abusé hier soir, j’ai des remontés de rhum et je ne sais même pas si je vais arriver à me retenir d’aller finir la tête dans les toilettes. Le stress n’y est pas pour rien non plus, j’angoisse un peu de ne me souvenir de rien… mais j’ai tellement la tête en vrac. Au moins je n’ai plus pensé à la disparition de ma sœur le temps d’une soirée, mais à quel prix ? J’espère au moi qu’elle rit si elle me voit de là où elle est, même si pour moi la situation n’est pas vraiment drôle. J’ai peur d’avoir perdu Leah avec nos conneries, cette ambiance étrange qui plane dans la chambre ça ne nous ressemble pas mais je n’ai pas envie d’avoir une discussion à propos de ce qu’il s’est peut-être passé, pas maintenant. « Je… Je crois que je vais rester là et cuver… peut-être jusqu’à de que mort s’en suive. » je ris légèrement, tentant un trait d’humour un peu foireux « Merci encore… pour… euh le soutien. » je lui souris « On s’appelle. ». What ? Mais ça c’est un truc qu’on dit à un mec qui se barre après un coup d’un soir en sachant très bien qu’on le fera jamais ! Leah n’a rien du coup d’un soir, j’sais même pas si coup il y a eu… et si c’est le cas je ne m’en souviens même pas. Mais quelle conne ! Qu’est-ce qui m’a pris ? Il sort, je me roule en boule sous la couette, je vais rester là pour une durée indéterminée.
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