• salle de bain du château marmont

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] ll fait encore plus froid ici, la fenêtre claque, pourtant il n'y a pas de vent dehors. C'est immense et décoré avec goût, marbre au sol, dorures au plafond, mais l'ambiance halloween qui a été rajoutée dans le coin n'est pas plaisante pour autant. Il y a quatre cabines, la salle de bain est mixte. Tout est fait pour vous faire sursauter, jusqu'au sang qui coule des lavabos avant que l'eau ne soit finalement claire. Le savon n'est pas très mousseux, il est même plutôt gras et laisse des résidus accompagnés d'une odeur putride. On ne peut pas dire qu'on se sente vraiment bien ici, surtout quand la porte n'a plus l'air de vouloir s'ouvrir sur l'extérieur. Vous allez vraiment restés coincés là ? On dirait bien, jusqu'à ce que le dé vous en sorte, il faut croire...

NB : Avant de poster à la suite de ce sujet, assurez-vous que votre personnage ait au moins fait un saut dans le sujet commun, fait connaissance avec les invités. Votre personnage peut se rendre dans la salle de bain simplement pour une envie pressante, ou parce que le dé l'y a conduit. Dans tous les cas, il peut venir seul, ou proposer à quelqu'un de l'y accompagner, avec ou sans sous-entendus  


Précisions :
• INRP la soirée se déroule évidemment le 31 octobre, mais vous pouvez commencer à jouer dans ce sujet dès aujourd'hui !
• Le [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] pourra vous inciter à changer (encore) de pièce, n'hésitez pas à poster un petit mot ici-même avec le lien de l'autre sujet pour préciser que votre personnage s'est déplacé (au cas où il discute avec un autre personnage).
• PRIVILEGIEZ LES RP COURTS
• Vous pouvez toujours pimenter votre jeu grâce au [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien].
• Si vous avez des questions, n'hésitez pas à mpotter l'une des admins (comptes présents sur la PA).  

C’était avec un pas assuré, ne se doutant pas encore de la galère dans laquelle elle les conduisait, qu’anka traina son amante dans la salle de bain, pour lui prouver qu’elle ne rêvait pas, ni ne se droguait. Et elle ne croyait pas aux fantômes, et à la magie, alors il n’y avait aucune raison qu’on lui joue des tours. Du moins, elle l’espérait. Mais à peine dans la nouvelle pièce qu’elle déglutit. La décoration était vraiment dingue, et le froid vint l’envahir immédiatement, alors qu’elle ne portait pas tant de tissus sur elle. après tout, elle était une victime, son déguisement, avec du sang. Elle ne se pensait pas forcée de rajouter une petite veste, puisque pour elle, le château était chauffé. Mais non, pas dans la salle de bain. Avec cette fenêtre qui battait, sans que le vent ne rentre, cette allure lugubre, et cette idée de décrépi qu’elle n’aimait pas forcément. Elle tira lenny jusqu’au lavabo, avant de faire couler l’eau et de s’écrier de surprise en voyant que c’était rouge. putain, ils vont loin ! bien vite, cependant, l’eau redevint translucide, et elle mouilla les lèvres de sa belle, sans vraiment lui donner l’occasion de refuser, avant de prendre le savon en main. erk ! mais c’est… brrr… j’aime pas. elle frotta un peu, et l’odeur était vraiment horrible. mais c’est quoi ce savon ? bon, tant pis lenny, tu vas puer. elle éclata de rire, avant de frotter les lèvres de son amante. Pour enlever le maquillage, ou ce qu’elle croyait être le maquillage de la moustache. Mais rien ne partait. Pourtant, ce n’était pas une fausse moustache, puisqu’elle ne sentait pas les poils. Que se passait-il ici ? elle n’y comprenait plus rien, elle frottait, frottait, et rien ne se passait. Abandonnant, elle vint rincer la bouche de sa belle, avant de dire ok… ta moustache est vraiment bizarre… j’y comprends plus rien. puis elle s’aperçut qu’elle avait barbouillé son amie pour rien. pouah, ça pue ! désolée. elle se marrait, intérieurement, pouffait de rire, tout en essuyant sa belle. et pour se faire pardonner, elle vint lui coller un baiser sur la bouche, sentant l’odeur putréfiée du savon, mais aussi la chaleur d’une lenny qui la regardait bizarrement. Et alors que le baiser s’intensifiait, elle se décida à agir. attends, je vais fermer cette fenêtre, on sera plus tranquille. plus facile à dire qu’à faire. Anka se mit sur la pointe des pieds, tenta d’attraper la fenêtre, mais en vain. boooon… dans ce cas, on peut peut-être se trouver un endroit plus chaud ? il fallait dire qu’un simple baiser avec cette belle prostituée pouvait toujours la chauffer, et elle voulait désormais laisser partir cette frustration qui lui brûlait les reins. Alors elle attrapa la poignée de la porte de la salle de bain… en vain. qu’est-ce que ? et elle poussa. Tira. S’efforça. euuuuh… c’est quoi ce bordel ? c’est coincé ! et là, elle commençait à paniquer.
La prochaine fois, elle lui ferait l’amour avec la moustache. Et la barbe. Et tous les poils qu’elle voulait, même. bordel.

La salle de bain était encore plus terrifiante que l'entrée du château. Tout était bien ajusté, pensé pour faire peur. Mais Lenny n'avait pas vraiment le temps d'admirer la décoration, elle était perturbée par cette histoire de moustache. Si Anka la faisait marcher, elle jouait vraiment bien le jeu et si ce n'était pas le cas, la française allait vraiment commencer à croire qu'elle était défoncée. Lorsqu'elle vit l'eau rouge couler du robinet, elle ne fut pas dégoûtée, non, elle fut prise d'un fou-rire inexplicable. Elle regardait l'eau puis Anka à tour de rôle, ne sachant pas s'arrêter de rire et ce fut encore pire quand l'odeur, ou plutôt la puanteur du savon vint lui chatouiller les narines. C'est vraiment dégueulasse. dit-elle entre deux rires. Les gens vont tous me fuir avec cette odeur ! Et elle riait de plus belle. Elle n'en pouvait plus. Y avait-il réellement des substances illicites dans ces doigts ? Elle commençait à penser que oui même si elle savait pertinemment qu'il était interdit de droguer les gens à leur insu. Elle continuait de rire pendant qu'Anka frottait sa moustache inexistante en étalant au passage tout le maquillage qu'elle avait mis un temps fou à élaborer. ok… ta moustache est vraiment bizarre… j’y comprends plus rien. Lenny se pinça involontairement les lèvres, laissant une quantité infime de savon entrer dans sa bouche mais qui suffisait à embaumer tout l'intérieur de celle-ci de cette puanteur ignoble. Erk erk erk ! C'est horrible je vais mourir ! Et tu vois y avait pas de moustache ! Une fois la bouche rincée, l'odeur persistait mais le baiser aussi agréable qu'inattendu vint réconforter Lenny qui répondit présente. T'as toujours envie de m'embrasser, même quand je pue ? demanda-t-elle contre ses lèvres entre deux baisers. Puis le baiser s'intensifia et Anka voulut fermer la fenêtre, sans succès. Un courant d'air glacial planait dans l'air mais, après ce baiser, Lenny avait chaud. C'était bizarre. Bizarre parce qu'elle venait d'embrasser la jeune femme hors du cadre du travail. Elle ne savait pas vraiment ce que ça signifiait, mais elle avait bien d'autres soucis à ce moment précis, comme la porte qui ne voulait plus s'ouvrir. Tu me fais encore une blague ? demanda-t-elle en essayant d'ouvrir la porte. Non, ce n'était pas une blague. Enfin si, une blague de la part des organisateurs de cette étrange soirée. Pas de panique, ça va sûrement s'ouvrir dans quelques minutes, c'est fait exprès pour nous faire peur. Elle s'approcha d'Anka, la prit dans ses bras en laissant leurs visages à seulement quelques centimètres l'un de l'autre. Je connais un bon moyen pour te réchauffer. Elle colla ses lèvres contre les siennes dans un baiser enflammé de quelques minutes avant de descendre dans son cou, parsemant sa peau de quelques coups de langue. Ça va mieux comme ça ?

C’était un fou rire qui s’évadait des lèvres de sa belle, et elle ne comprenait pas comment elle pouvait éclater ainsi, alors qu’elle avait du savon putride sur elle. mais sa joie était contagieuse, et anka riait aussi. Avant de l’embrasser, une fois son petit tour terminé. Un baiser, malgré la puanteur. Elle sourit en entendant lenny le surligner. ben oui. Et même quand t’as une moustache. elle rit doucement, avec elle, tandis qu’elle se sentait bien plus chaude qu’à l’entrée dans la salle de bain. L’endroit lugubre ne lui faisait plus vraiment peur, ni ne la repoussait, parce que sa belle – et son maquillage saccagé par le petit passage au savon d’anka – était là. et elle avait le corps qui chauffait rien qu’en la regardant, se bouchant néanmoins le nez pour lui faire croire qu’elle allait s’évanouir, s’évadant dans un nouveau fou rire avec elle, avant de décider de fermer la fenêtre. Chose impossible. Alors elle se mit en quête de trouver un autre endroit, au sein du château, bien plus chaud, pour qu’elle puisse s’envoyer en l’air avec cette femme qui gagnait de plus en plus de place dans son cœur. Sauf que la porte était fermée. nan, c’est pas une blague ! essaie, tu verras. elle laissa la française tenter sa chance, en vain, avant d’entendre son explication. ils auraient pu, au moins, réchauffer la pièce. On gèle ici ! d’où pouvait venir ce froid ? il n’y avait pas de vent, il ne pouvait pas y avoir de climatisation avec une fenêtre ouverte. Elle commençait à détester cette salle de bain, quand lenny lui attrapa le visage, avec la promesse de la réchauffer. Et le baiser eut un effet ravageur, elle s’y laissa prendre avec joie, répondant avec plus de passion qu’elle n’aurait pu le penser, tandis qu’elle sentait ensuite les lèvres de la prostituée bouger, la langue passer dans son cou, un gémissement atteindre ses lèvres. ah… j’avoue que… elle avait chaud, oui. Avec les actions de lenny, qui réveillait son brasier intérieur. Sauf qu’elle semblait réveiller autre chose. Un picotement au début bien agréable dans sa culotte. hmmm… continue… elle adorait cela. Sauf que sa culotte, non. Bordel, mais c’était quoi encore ce délire ? elle avait l’impression que ça grattait. Beaucoup trop. Que son sous-vêtement était en laine, et que, comme la plupart des pulls qu’elle avait un jour essayé, il s’amusait à la rendre folle. ah putain… cela pouvait être confus, perturbant. Lenny devait penser être à l’origine de ce « putain », et elle l’était en partie. attends… elle s’écarta un peu, à regrets, avant de plonger sa main entre ses jambes, par-dessus ses vêtements. c’est pas drôle ! déclara-t-elle alors que la française éclatait de rire. ça m’gratte. C’est quoi ce bordel ? ça grattait. Beaucoup trop. attends… elle commença à se déshabiller… elle n’avait pas honte, devant lenny, qui l’avait déjà vue dans le plus simple appareil plus d’une fois. Et elle retira sa culotte, avant de la jeter au loin. ah putain, ça fait du bien. puis, elle entendit un grincement, comme si la porte de la salle de bain s’ouvrait. Avec un cri effrayé, et parce qu’elle avait le bas du corps complètement nu, elle sursauta, et se colla à sa belle comme pour se cacher d’un éventuel voyeur. Mais non, rien. la porte restait fermée. et anka, collée à la femme qui continuait d’affoler son palpitant. j’suis sûre que c’est toi… elle gonfla ses joues, avant de venir l’embrasser à nouveau. tu sais, miss moustache… si tu voulais me voir à poil, tu pouvais trouver autre chose que du poil à gratter hein… et alors qu’elle remontait son bas, elle s’arrêta avant de le reboutonner. oh ? tu voudrais peut-être continuer à en profiter ? hmmm… je me demande si… et elle l’embrassa à nouveau, tandis qu’elle laissait le champ libre à lenny.
Cette fête d’halloween était vraiment perturbante.
Mais bien amusante.

L'euphorie était passée, le fou-rire terminé et elles avaient élucidé le mystère de la moustache même si Lenny y avait laissé la moitié de mon maquillage et qu'Anka semblait toujours y croire dur comme fer. Malgré le froid glacial qui régnait dans la pièce, l'ambiance se réchauffait quand les deux jeunes femmes échangèrent un baiser passionné, ce qui annonçait un très bon moment à venir... avant qu'elles ne se rendent compte, en essayant d'ouvrir la porte pour se rendre dans une pièce plus chauffée, qu'elles étaient enfermées dans la salle de bain. Ce qui n'était pas un drame en soi, en tout cas pas pour la française qui se dévoua pour réchauffer la brune à sa manière. Et cette manière ne semblait pas lui être déplaisante. hmmm… continue… Alors elle continuait à embrasser la peau de la belle, fermant les yeux pour apprécier ce goût délicieux et ce parfum enivrant. C'était étrange mais Lenny se semblait pas encore s'en rendre compte. Anka avait tout le loisir de la découvrir, elle, la vraie Lenny. Pas la prostituée, pas celle qui portait ce masque toutes les fois où elles avaient partagé un lit. C'était vraiment elle, et elle la voulait. Elle ne la voulait pas pour de l'argent cette fois-ci, elle la voulait pour ce qu'elle était. Sauf que la brune mit fin à ce moment en se reculant au grand regret de la française. c’est pas drôle ! ça m’gratte. c’est quoi ce bordel ? Ça gratte ? demanda Lenny en arquant un sourcil, en la regardant se déshabiller. Qu'est-ce que tu fais ? Elle éclata de rire, l'euphorie semblait la gagner de nouveau. Elle ne comprenait vraiment rien à cette soirée. Anka avait retiré sa culotte, c'était une scène des plus comiques qui se déroulait dans cette salle de bain de l'horreur. Et alors qu'elle riait, Lenny entendit grincer la porte. Oh merde ! Vite vite cache-toi ! Elle faisait de son mieux pour la cacher derrière elle, pour éviter qu'on ne la voit en tenue d'Eve. Fausse alerte. dit-elle en voyant que la porte ne s'ouvrait finalement pas. Ça voulait dire qu'elles étaient toujours coincées dans cet endroit morbide, mais ça voulait aussi dire que c'était un bon prétexte pour que la brune ne remette pas ses vêtements. tu sais, miss moustache… si tu voulais me voir à poil, tu pouvais trouver autre chose que du poil à gratter hein… La française secoua la tête. Je te jure que j'ai rien fait ! C'est cet endroit, il est carrément bizarre. Puis elle attrapa doucement la main de la jeune femme qui s'apprêtait à reboutonner son bas. oh ? tu voudrais peut-être continuer à en profiter ? hmmm… je me demande si… Elle n'eut pas le temps de répondre, leurs lèvres furent scellées une nouvelle fois, et Lenny plaqua doucement la brune contre le mur pendant qu'elle laissait traîner sa main vers son bas ventre qui glissa ensuite vers son intimité pour venir lentement éveiller son désir. Imagine si quelqu'un nous surprend... souffla-t-elle entre deux baisers, contre les lèvres de la belle, en reprenant en même temps sa respiration. Je trouve ça excitant, pas toi ? Elle lui souriait, et sa main descendait encore un peu, s'aventurant à caresser cette partie intime qu'elle connaissait déjà trop bien. Quelques minutes plus tard à peine, il y eut un nouveau grincement et cette fois, la porte s'ouvrit. Lenny retira sa main dans un geste réflexe et recula d'un pas alors que des inconnus entraient dans la salle de bain. Elle avait envie de rire, déposait un baiser sur les lèvres d'Anka avant de se précipiter pour tenir la porte avant qu'elle ne se referme. Viens vite, il faut qu'on sorte de là. Et vous, je vous déconseille d'utiliser ce savon, il sent le cadavre ! dit-elle en s'adressant aux inconnus, toute souriante, en se gardant bien de leur préciser qu'ils allaient rester coincés ici pendant un petit moment.