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dancing in the dark with you between my arms • jolene

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dancing in the dark with you between my arms • jolene
Mar 30 Avr - 15:58
Les dernières semaines ont été plutôt intenses. Depuis le rendez-vous chez le médecin avec Jaxon, j'ai l'impression que... tout va bien. J'ai préféré arrêté d'insister à propos de sa femme, de la mettre au courant et compagnie. Je le laisse gérer. Et j'ai profité des moments où il était là pour... simplement passer de bons moments. Tisser des liens. On s'est occupés de la [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien], enfin plus lui que moi à vrai dire. J'ai un peu aidé. Mais disons que "je suis trop occupée à fabriquer une vie" est une super excuse pour s’asseoir devant Netflix et siroter du thé glacé. Bon après c'est pas de la mauvaise volonté ! J'suis tellement grosse maintenant... j'ai genre triplé de volume, je suis tout le temps fatiguée, je vais au toilettes toutes les cinq minutes, je ne trouve pas de position confortable pour m'endormir, et quand je commence à m'endormir mon cher bébé décide que c'est le bon moment pour remuer dans tous les sens. Etre enceinte c'est incroyablement dur, plus dur que je l'aurais imaginé. Mais je suis heureuse, et impatiente de rencontrer enfin ce petit être et de le tenir dans mes bras.

Il est tard. Ou tôt selon le point de vue. Quand soudain je suis réveillée par une vive douleur. Heureusement ça ne dure pas. Une simple contraction. Visiblement c'est ce qui arrive plus on se rapproche du terme. Mon corps se prépare à affronter l'accouchement et me fait des petites contractions d'essai. Super. Je me lève, difficilement, et j'attrape mon bocal de cornichons dans le frigo avant d'aller me poser devant Netflix. Ce n'est qu'une fois assise que je me rends compte qu'il n'y a plus qu'un seul cornichon. J'essaie de me rationaliser pendant quelques minutes mais finalement je craque. Je prends mon téléphone et je cherche Jax' dans mon répertoire. « Jax ? Désolée de t'appeler si tard je... j'ai eu une contraction et... j'ai plus de cornichons. Du coup si tu pouvais m'en ramener... et de la chantilly aussi. S'il-te-plait. Ce serait génial. » Est-ce que j'abuserais pas un peu ? Peut-être. Je sais pas. J'suis plus du tout rationnelle ces derniers temps. Je pourrais très bien me mettre à pleurer parce que j'ai plus de cornichons. Hier j'ai pleuré dans le bus parce qu'une mouche s'était engouffrée par la fenêtre et que "elle ne reverrait plus sa famille de mouches". Oui. Je sais. « Encore désolée ! Si tu trouves du poulet frit j'dirais pas non, non plus. Non oublie, désolée, j'aurais pas du appeler, je te dérange sûrement, pardon. »

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dancing in the dark with you between my arms • jolene
Sam 4 Mai - 10:41
Tout est arrivé si vite. Solène a chamboulé ma vie un nombre de fois supérieur à la moyenne. Et j’en suis le plus heureux des hommes, même si c’est difficile à gérer, même s’il y a des choses qui demandent plus de réflexion, ou plus de discipline, ou surtout plus de courage. Je n’ai jamais été amoureux de Charlotte, j’ai développé une certaine affection pour elle mais ça s’arrête là. Je lui ai souvent laissé entendre, mais elle a des oeillères, je crois qu’elle se fie trop à cette image que nous sommes obligés de renvoyer pour nos familles. Mais depuis que je sais que je vais être père, tout ça me passe au dessus. Je veux trouver le bon moment c’est vrai, parce que je ne veux pas la blesser outre mesure, alors j’attends. Mais je sais cette fois avec certitude que c’est la meilleure chose à faire. Pour moi, pour Solène et pour notre enfant à venir. Il est évident que j’espère quelque chose de plus, qu’on vivra cette fois cette histoire qu’on mérite, mais je ne sais pas si c’est ce qu’elle veut elle aussi. En attendant, je suis présent chaque fois qu’elle me le demande. Le jour et… la nuit. Mon téléphone vibre sur la table de nuit et me réveille. Il est trois heures passé. Je regarde l’écran avec difficulté pendant que Charlotte grogne à mes côtés. C’est le prénom de Solène qui s’affiche et je me redresse d’un bond. S’il lui arrivait quelque chose ? « C’est l’hôpital, je dois répondre. » Je me lève et décroche en lâche un ‘allo’ un peu paniqué, alors que je me dirige dans le salon en prenant soin de fermer la porte de la chambre. Lorsque j’entends la voix de Solène au bout du fil, je me rassure immédiatement. Ça a l’air d’aller. A part une soudaine envie de… cornichons ? Vraiment ? Et de chantilly. Bah voyons. Je ne peux retenir un petit rire, parce que c’est ridicule. Alors il y a du nouveau sur la liste, du poulet frit. Nous voilà bien. « Non oublie, désolée, j'aurais pas du appeler, je te dérange sûrement, pardon. » Elle est adorable. En même temps, une femme enceinte sans envies de femme enceinte, ce serait quoi hein ? Je passe ma main sur mon visage un peu endormi et finis par lui répondre. « Je vais essayer de trouver ça. Si jamais tu changes d’avis en cours de route appelle moi, que je re ramène pas une commande dépassée. »[/color] Je raccroche et file m’habiller, prétextant une urgence à l’hôpital. Je fais quatre supérettes avant de trouver tout ce que Solène a demandé, j’espère qu’elle va pas m’appeler au dernier moment pour me dire qu’elle a changé d’avis. Je sonne chez elle, et lorsqu’elle ouvre je lui tends le sac. « Je suis parfait. Je sais. » Un large sourire, même si la gueule encore un peu enfarinée, et je m’approche pour l’embrasser. « Comment ça se fait que tu dors pas à cette heure-ci ? »
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dancing in the dark with you between my arms • jolene
Sam 4 Mai - 20:31
Je me sens idiote. J'aurais pas du appeler Jaxon. Je l'imagine répondre au téléphone... sa femme endormie à côté de lui. Je fais de mon mieux pour ne pas penser à ça. Parce que si je me met à y penser je vais me transformer en vraie furie et entrer dans une colère noire, et je suis pas certaine que ce soit bon pour le bébé ce genre d'émotions négatives. Bien sûr que ça m'énerve qu'il soit encore le cul entre deux chaises et que je sois de nouveau reléguée au rang de misérable maîtresse dans l'ombre. Non, j'ai dit que je ne voulais pas penser à ça. Pensées positives. Pensées positives. Je me cale devant Netflix. Après mon séjour prolongé en Bolivie, j'en ai des séries à rattraper ! Je suis calée devant un épisode de Queer Eye quand quelqu'un sonne à la porte. Vu l'heure, et vu le coup de fil que j'ai passé peu de temps auparavant, je n'ai aucun doute sur l'identité de mon visiteur nocturne. Je me lève difficilement et ouvre la porte. Jaxon tient un paquet dans les bras et je ne doute pas qu'il ai trouvé tout ce que je lui ai demandé. « Et modeste avec ça ! Ça va les chevilles ? » je réplique avec un petit sourire en plaquant mon doigt sur ses lèvres d'un air espiègle. En vérité je suis pas trop d'humeur à jouer au petit couple heureux. Je savais bien qu'il fallait pas que je pense à sa femme et à tout ça ! « Aboule la nourriture ! » Je lâche un franc sourire et j'attrape le paquet avant de me diriger vers le canapé. Je ne lui dit pas de faire comme chez lui, il a l'habitude à force. Il est venu plusieurs fois ces derniers temps pour la chambre du bébé et compagnie, alors je le laisse refermer la porte et me rejoindre. C'est là qu'il me demande pourquoi je suis réveillée. Ah s'il savait ! « J'ai beaucoup de mal à dormir la nuit. En général, c'est son moment favori pour s'agiter dans mon ventre. » je réponds en désignant mon énorme bedaine du doigt. J'ouvre le paquet et sort la chantilly. J'attends même pas une seconde pour l'ouvrir et m'en mettre directement dans la bouche. Franchement qui n'a jamais fait ça ? C'est certainement la meilleure façon de manger de la chantilly. « Mais cette nuit c'était pas le bébé. Enfin si mais non. C'était une contraction. » je réponds nonchalamment en haussant les épaules. J'attrape la bol sur la table - autrefois contenant des olives - et le remplit de chantilly avant d'ouvrir le bocal de cornichons. Enfin d'essayer. Le couvercle ne bouge pas d'un iota, ça m'empêche pas de m'acharner dessus comme une dingue. « C'est juste... le signe que... j'arrive bientôt... à terme... » je lâche difficilement entre deux tentatives d'ouverture de bocal de cornichons. « Si tu étais si parfait tu l'aurais pré-ouvert pour moi ! » je m'exclame finalement en lui tendant le bocal. Ah les taquineries ne cesseront jamais ! « D'ailleurs en parlant de contractions, à terme et tout, fin je voulais juste que... je sais pas, que tu sois au courant ? Merde, ça paraissait plus clair dans ma tête. Mais bien sûr que tu sais déjà que c'est pour bientôt ! Y a des fois j'ai l'impression de pas être finie, les hormones, je sais, ça m'soule, j'en ai marre d'être enceinte ! » Oh non. Non. Non. Ne pleure pas. Je respire et je me calme. C'est que je commence à prendre le coup de main à force. « Ah et pour l'accouchement, hum... est-ce que tu seras là ? »
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dancing in the dark with you between my arms • jolene
Jeu 16 Mai - 18:49
« Et modeste avec ça ! Ça va les chevilles ? » demande-t-elle après que j’ai dit être parfait. Ok, c’était une plaisanterie ! En même temps, on est quand même au milieu de la nuit et je suis allé lui chercher ce dont elle avait envie, je suis pas certain que tous les futurs pères cèdent aux envies soudaines de la future mère de leurs enfants. Enfin bref. Je m’approche pour l’embrasser mais me fais refouler à l’entrée. Génial, ça commence bien. Elle récupère la nourriture, on dirait une lionne affamée, ça ferait presque flipper. Finalement, elle s’échappe avec le butin. Je soupire un peu, et hésite presque à retirer mes chaussures pour rester, pas certain qu’elle en ait envie. Finalement, je ne retire pas mes chaussures, dans le doute, et m’approche du canapé, m’asseyant sur l’accoudoir. Je lui demande ce qu’elle fait réveillée à cette heure, la réponse ne tarde pas. « J'ai beaucoup de mal à dormir la nuit. En général, c'est son moment favori pour s'agiter dans mon ventre. » Je grimace un peu. C’est merveilleux la maternité, mais vu de loin je crois. Je suis pas sûr que j’aimerai avoir un truc qui tourne dans mon bide jour et nuit. Je la regarde mélanger les saveurs avec un poil de dégoût et une légère grimace, quand elle ajoute « Mais cette nuit c'était pas le bébé. Enfin si mais non. C'était une contraction. » Immédiatement mes sourcils se froncent. « Déjà ? » Je ne me rends pas bien compte à vrai dire. Elle me rassure en me disant que c’est simplement qu’elle arrive presque à terme. Tout en essayant de forcer pour ouvrir le bol de cornichons. Je lui demanderai bien si elle a besoin d’aide mais j’ai un peu peur de me faire remballer. Parce que girl power tout ça, elle peut le faire seule. Hum. « Si tu étais si parfait tu l'aurais pré-ouvert pour moi ! » Je ris un peu en voyant qu’elle me demande de l’aide et tends la main pour récupérer le bocal que j’ouvre assez facilement. « J’avais peur que tu m’engueules parce que je te mâche le travail. Il parait qu’il faut pas trop te ménager. » Ils sont en bonne santé, le terme est pour bientôt, et il n’y a rien d’alarmant, heureusement. Solène se met finalement à débiter quelques mots les uns à la suite des autres, ne formant pas tout à fait des phrases complètes, encore moins compréhensibles. Pourtant je suis concentré, même pour 4h du matin, mais là, rien ne me vient. Et visiblement elle a envie de pleurer. Merde. Je glisse près d’elle, au cas où j’en sais rien, qu’elle ait besoin de réconfort, d’une simple étreinte ? « Ah et pour l'accouchement, hum... est-ce que tu seras là ? » Je lui offre un sourire adorable. « Bien sûr que je serai là, je vais pas louper l’arrivée de mon fils ! » Je viens chercher la main de la rouquine sur sa cuisse et la serre délicatement dans la mienne. « Eh, ça va aller ok ? J’suis là. Et on va s’en sortir, j’en suis sûr. » C’est juste une question d’organisation, et j’ai besoin d’un peu de temps. Mais je n’ai pas envie de parler de Charlotte avec elle. Pas maintenant. « D’ailleurs. On a toujours pas trouvé de prénom à ce p’tit monstre ! » lachais-je gaiement en posant ma main sur son ventre avec précaution.
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dancing in the dark with you between my arms • jolene
Mer 22 Mai - 17:47
Ok c'est vrai que je suis un peu distraite. Distraite par mon énorme ventre, mes hormones, cette grossesse interminable, bref. Je crois que je me répète un peu, non ? « J’avais peur que tu m’engueules parce que je te mâche le travail. Il parait qu’il faut pas trop te ménager. » « Pas trop, mais un peu quand même ! » je réplique avec une petite moue. Il ouvre le pot et me le tends alors que je blablate des mots incompréhensibles sur l'accouchement qui, de toute évidence, ne devrait plus trop tarder. Je me tais et je trempe un cornichon dans la chantilly. Ouais, ça à l'air dégueulasse je le reconnais, pourtant je ne pense qu'à ça depuis des heures. Et mon dieu, je ne suis pas déçue. Je me régale. Jaxon m'assure qu'il sera là pour la naissance de notre fils, il essaie de me rassurer. A ce moment précis, je ne suis pas en panique totale. Mais je sais que ça va venir. Je sais que je vais m'affoler. Accoucher c'est terrifiant ! J'ai vu des femmes accoucher, et ça n'a vraiment pas l'air d'être une partie de plaisir. Heureusement, mon cerveau est comme anesthésié grâce à mes "cornichons-chantilly", alors je ne me laisse pas submerger par les pensées effrayantes. « Peut-être qu'avant de parler du prénom... il faudrait parler de son nom de famille... » je réponds d'une voix douce. J'essaie de ne pas utiliser de ton accusateur ou quoi que ce soit. C'est difficile, mais je me maîtrise. « Pour lui donner ton nom, il va falloir que tu le reconnaisses, officiellement. Ce qui veux dire en parler à ta femme, ce qui n'est toujours pas fait. J'essaie pas de te brusquer ou quoi que ce soit mais... disons que... que toi ou moi le voulions vraiment, il y a une deadline à respecter... » En soit, ça ne me dérangerait pas que notre fils porte le nom Chateaubriand. Mais quelque chose me dit que Jax' n'apprécierait pas vraiment. Sauf que s'il ne prend pas les dispositions nécessaires... il n'aura plus son mot à dire. « Et pour ce qui est du prénom, je pensais à quelque chose de français. Pour honorer mes origines. Comme... Jules, Robin ou Timothée ? »
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dancing in the dark with you between my arms • jolene
Ven 24 Mai - 9:58
Solène ne sait plus trop comment gérer ses émotions, ça se sent, ça part dans tous les sens à cause des hormones. Mais même si c’est un peu bizarre parfois, ça ne me dérange pas, c’est comme ça que ça fonctionne, je ne m’en formalise pas. Pourtant, quand je sens qu’elle est au bord des larmes, j’ai juste envie de la soutenir, lui dire que je suis là, que je serai là, et c’est ce que je fais. Mais lorsque je parle du prénom de notre bébé, la jolie rouquine rétorque sans attendre. « Peut-être qu'avant de parler du prénom... il faudrait parler de son nom de famille... » Wow. Ok. Celle là je l’attendais pas, pas comme ça en tout cas. J’ai un petit geste de recul, ou du moins je me redresse légèrement, presque un peu sur la défensive. Je me protège simplement, par peur qu’elle en vienne au sujet qui fâche. « Pour lui donner ton nom, il va falloir que tu le reconnaisses, officiellement. Ce qui veux dire en parler à ta femme, ce qui n'est toujours pas fait. J'essaie pas de te brusquer ou quoi que ce soit mais... disons que... que toi ou moi le voulions vraiment, il y a une deadline à respecter... » Je sais qu’elle a raison, mais ça n’en est pas moins difficile. Je soupire un peu et retire ma main de sur la sienne pour la glisser dans mes cheveux. Mon regard devient plus fuyant, juste un instant. « Je.. sais. Et bien sûr que je veux le reconnaître, je veux qu’il porte mon nom. Je li en parlerai avant la naissance, j’ai pas le choix, et je sais aussi que c’est dans pas longtemps, c’est juste… difficile. » Et ça l’est aussi et surtout parce que je suis pas le gars le plus téméraire qui soit. Mais je vais le faire, pour elle, pour lui, pour nous. Parce que c’est ce qui est juste, c’est ce qui est bien, même si je sais que je vais faire du mal à Charlotte, je dois le faire. Pour mon bonheur, et celui de ma famille, dont Charlotte ne fait plus partie. « Et pour ce qui est du prénom, je pensais à quelque chose de français. Pour honorer mes origines. Comme... Jules, Robin ou Timothée ? » Un léger sourire étire mes lèvres lorsqu’elle énonce les quelques prénoms dans son accent français absolument adorable. En anglais, les deux premiers prénoms passeront sans souci, avec juste la prononciation différente. Le dernier aurait été décliné en Timothy ici. Mais j’adore la manière dont elle le prononce. « Répète le dernier pour voir ? » Je la laisse répéter et je souris de plus belle, ça me fait fondre. Ok. Si je peux entendre ce prénom sorti de ses lèvres jour et nuit, je signe dans la seconde. « Je suis pas sûr que j’arriverai un jour à le dire aussi bien que toi, mais ça me plait. Timothée. » C’est pas gagné, mais j’y mettrai du coeur à l’ouvrage, je me le promets. A cet instant précis, je ressens l’envie de venir l’embrasser, j’ai pourtant un moment d’hésitation, elle m’a déjà foutu un vent en arrivant. Mais je tente quand même, sur un malentendu…
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dancing in the dark with you between my arms • jolene
Ven 24 Mai - 18:36
Je ne sais pas si je ne veux pas le brusquer ou si je veux simplement éviter d'aborder les sujets qui fâchent maintenant. Dans tous les cas, je préfère embrayer sur les prénoms. J'admets avoir du mal à imaginer donner un prénom parfaitement Américain à mon enfant. Je ne sais pas, c'est... bizarre. Enfin, je peux faire des compromis c'est certain, mais de là à aller jusqu'à Bryden, Jereth ou Brock... Faut dire que niveau prénoms, les américains n'ont pas peur d'aller chercher loin... Enfin, je suppose que c'est toujours le sentiment qu'on a envers les prénoms d'autres langues. D'ailleurs il trouve peut-être les prénoms que j'ai proposés complètement dingues ? Si j'en crois son expression, ça n'a pas l'air de lui déplaire, il me demande même de répéter le dernier, ce que je fais, avec un petit sourire. Je ne peux m'empêcher de lâcher un petit rire quand il prononce le prénom "Timothée" dans son accent 100% anglophone. Mon dieu, ce qu'il est craquant... Je m'en veux un peu de fondre comme une vraie guimauve. On va mettre ça sur le compte des hormones et de ma libido en folie. Même si je sais que ça ne fait qu'exacerber mes sentiments pour lui, mais parler sentiments me fait penser à amour, et ça me fait penser à sa femme, et ensuite c'est plus si mignon et joli dans ma tête. Alors oui, je met ça sur le compte des hormones. Et de la libido. « C'est trop mignon quand tu le dit ! » je lance avec un grand sourire, n'hésitant plus à me perdre dans ces yeux. Oh et puis au diable les états-d'âmes ! Tant pis si tout n'est pas parfait, si tout n'est pas clair, net et précis, tant pis s'il y a encore des millions de choses à régler entre nous. Je veux simplement profiter de ce moment, pendant qu'on est dans notre petite bulle. Alors je franchis la distance qui nous sépare et je scelle nos lèvres. Ma main vient se poser naturellement sur sa joue. Instinctivement, malgré mon énorme ventre de femme enceinte, mon corps veut se rapprocher du sien. Je veux le sentir contre moi. Me dire qu'il n'y a que lui et moi, rien d'autre. Même si je sais que c'est faux. Juste un mensonge, avant que les vraies complications ne nous envahissent. Je veux simplement qu'on reste dans cette petite bulle, le plus longtemps possible, qu'on en profite. Avant qu'elle n'éclate. « On peut aussi couper la poire en deux. J'adore la façon dont tu prononces Timothée mais... sinon, Timothy c'est joli aussi. Et on peut dire que c'est à la fois français et anglais. Un peu comme toi et moi, comme notre bébé... »
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dancing in the dark with you between my arms • jolene
Lun 27 Mai - 19:46
Sujet qui fâche. Merde. Je me dépatouille du mieux que je peux, j’ai un peu de mal, mais je m’en tire plutôt bien au final. Solène enchaîne, je suis bien content qu’elle ne cherche pas à m’enfoncer un peu plus. Je sais que c’est difficile pour elle aussi que je prenne autant de temps, mais je lui suis reconnaissant de ne pas enfoncer le clou. Elle propose quelques prénoms à consonance française, et le dernier ravit totalement mes tympans. L’entendre parler français est un délice, plus encore quand il s’agit du futur prénom de notre bébé. Je tente de répéter après elle, mais c’est de suite moins exotique. « C'est trop mignon quand tu le dit ! » Je souris un peu et le répète, parce que j’aime bien quand je fais quelque chose qui lui plait. Autant en profiter. Je m’approche d’elle, prêt à me prendre à nouveau un vent monumental, mais au lieu de ça je me sens rassuré de sentir qu’elle s’approche aussi, et enfin je peux sentir ses lèvres contre les miennes. Je soupire contre sa bouche et laisse glisser mes mains tendrement sur con ventre, à sa taille qui n’est plus marquée que par la rondeur de son ventre. Ma main libre vient se nicher sur sa joue, tendrement, alors que je mets légèrement plus de sentiments dans l’échange de ce baiser. J’ai besoin qu’elle sache que je suis bel et bien là, et certainement pas prêt à les abandonner tous les deux. Je sens son ventre bouger et je ris un peu, séparant mes lèvres des siennes, glissant alors ma main sur l’endroit où les coups de pieds sont encore présents. « On peut aussi couper la poire en deux. J'adore la façon dont tu prononces Timothée mais... sinon, Timothy c'est joli aussi. Et on peut dire que c'est à la fois français et anglais. Un peu comme toi et moi, comme notre bébé... » Je relève les yeux sur elle. Je n’ai jamais aimé personne comme je l’aime, et étrangement, plus encore maintenant qu’elle porte le fruit de notre union. « Timothy c’est parfait. Un mélange entre nous. » Je l’embrasse à nouveau, tendrement, mais pas aussi longtemps que tout à l’heure. Je m’abaisse finalement pour parler à mon fils. « Tu entends ça mon p’tit bonhomme ? Tomothy, c’est comme ça qu’on va t’appeler. Ça te plait ? Timothy Parker. » Je fais glisser ma main, dépose un baiser sur son ventre et vient y coller mon oreille. « Tu verras, on va bien s’occuper de toi c’est promis. » A cet instant précis, j’ai l’impression que rien ne pourrait gâcher cet instant. J’aimerai même qu’il dure encore un long moment, pour l’apprécier à sa juste valeur.
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dancing in the dark with you between my arms • jolene
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