Mirage n’était pas de bonne humeur. Elle attendait depuis bientôt deux heures, l’arrivée d’un client. Un client soi-disant trop important pour l’ignorer. Foutaises, s’était-elle dit. Foutaises. Mais elle ne pouvait pas passer à côté si c’était juste. Et s’il était vraiment ce qu’il prétendait, la présence de la reine suffirait à le mettre en confiance, et à le détrousser – légalement ou non – de tous ses biens. Alors elle attendait. Vêtue simplement, ce qui était rare. Elle attendait, à l’aéroport. Ses mains dans ses poches, son jean bien serré, bien moulant, impeccable et sans aucun trou – elle détestait cet effet de mode –, son chemisier bleu fermé par quelques boutons d’or, ses cheveux détachés, et son regard azur plongé sur le panneau d’affichage. Il était censé arriver d’Amsterdam. Mais le vol était retardé. Il était censé arriver d’Amsterdam. Mais l’avion avait atterri quelques dizaines de minutes plus tôt. Que faisait-il donc ? Etait-ce là réellement une farce, une blague malsaine destinée à mettre Mirage en rogne ? ou était-ce un imprévu désastreux ? Quoiqu’il en fut, elle n’en pouvait plus. Elle aurait dû envoyer un larbin. Parce que chaque minute, chaque heure passée en dehors du casino l’éloignait de ses proies. L’éloignait de son royaume. Elle n’était pas toute puissante, dans cet aéroport. Elle n’était pas omnipotente, entre ces murs. Elle détestait. Elle qui avait réussi à s’élever, redescendre de son piédestal l’horrifiait. Totalement.
Bientôt trois heures. Bientôt trois heures qu’elle attendait. Bonne poire, assurément. Naïve, à son grand regret. Elle ne pouvait pas croire qu’elle était tombée dans un tel abîme, dans une telle farce. Elle ne pouvait pas croire qu’elle avait laissé le sol s’ouvrir sous ses pieds de monarque pour l’engouffrer ainsi. Il s’était forcément joué d’elle. Ou… Ou alors, il avait été saisi. S’il était si important, pour les affaires de Mirage, peut-être son domaine s’élevait jusqu’à celles de Midas ? Auquel cas un contrôle trop hargneux, trop ciblé, pourrait l’emmener droit entre les barreaux du commissariat. Etait-ce le cas ? Nul ne pouvait le dire, même la dorée. SI bien qu’elle décida que quelque fut la raison, elle avait assez attendu. Ah quelle idiote. SI seulement elle était restée sur son « foutaises »…
Alors que Pia se dirigeait vers la sortie, à vive allure, mais sans courir, elle attrapa son téléphone pour envoyer un message à sa fiancée, la prévenant qu’elle n’aurait pas dû y aller, la prévenant qu’elle arriverait au casino d’ici quelques temps, le temps d’attraper sa voiture pour filer. Sauf que. Sauf qu’elle était toujours le nez dans son portable, et les yeux rivés sur son écran, lorsqu’elle se sentit bousculer quelqu’un. Un grognement déplaisant s’échappa de ses lèvres, alors qu’elle murmurait Ne pouvez vous pas faire attention ?, à l’attention de la personne qu’elle venait de bousculer. Personne qu’elle daigna regarder droit dans les yeux, comme si elle n’avait absolument rien à se reprocher. Personne qui allait la rendre encore plus en retard.
J’étais à l’aéroport de L.A j’attendais mon avion revenir, pas que je devais partir à quelque part. Mais je devais rencontrer quelques personnes aujourd'hui, trois heures passèrent. Je me rends ensuite dans l’autre partie de l'aéroport, pour continuer d’attendre. Je regarde un moment mon portable tout en regardant le tableaux de départs et arrivées. Après quelques minutes, j’aperçois qu’elle allait atterrir mais rendu à la porte je me fais dire qu’elle allait faire un atterrissage d’urgence. Cela commençait plutôt assez mal la journée. Je sors sur le bord du tarmac pour assister à la scène, assez impuissant.
Une fois l’avion dans une position assez mal, je m’approche de moi-même, voir si tout le monde était correct. Effectivement, il avait eu plus de peur que de mal. Heureusement, l’aéronef n’avait pas subi de dommages trop important. Une fois tous au sol je me rends alors à l’intérieur auprès d’eux et je parlais de ce qu’on devait parler. Une fois la rencontre finit, je les salue pour ensuite leur dire bonne journée. J’allais ensuite du côté de l'aéroport des passagers, pour ensuite me prendre quelque chose à manger. Je mange et je bois rapidement pour ensuite me rendre vers la porte de sortie.
Quand soudainement une fille qui regardait son portable me bouscule, je recule rapidement et je la regarde. Non mais elle ne pouvait pas regarder devant elle celle-là. Elle pouvait au moins s’excuser au lieu de me parler ainsi. Déjà, que j’avais presque perdu des personnes qui travaillait à mes côtés devant mes yeux, je n’allais pas trop. Mon humeur était assez moyenne actuellement et je sais que je devais me calmer, elle ne devrait pas commencer à m’énerver. Je deviens alors légèrement rouge et je dis d’un ton assez énervé.
Désolé,mais c’est vous qui m’avez rentré dedans vous étiez sur votre portable.
Je regarde autour de moi, il avait l’air à ne pas trop avoir de regards sur moi,c’était bon signe alors. Je regarde toujours la jeune fille de mes yeux verts, j’espérais qu’elle n’allait pas me draguer ou autre. Je me recule légèrement pour ensuite reprendre mes esprits, j’espère que cette rencontre allait bien commencer. Surtout, que j’étais auprès d’une fille. Je finis par m’asseoir sur un banc qu’il avait près d’elle, pour ensuite regarder droit devant moi. Je me demandais si elle savait, j’étais qui je ne voudrais pas me faire parler de cet incident, qui a mené à mon congédiement partiel de mon travail d’acteur. Surtout, que j’étais dans un endroit public et je ne voulais pas la blesser involontairement, car elle m’aurait parlé de cela. Je me demandais si ce soir, j’allai dormir dans une ruelle ou bien chez moi. À bien y penser, j’allais dormir dans le confort de ma villa, je crois bien. Je prends mon portable dans mes mains pour ensuite regarder une photo de ma soeur et mon frère, je me demandais bien ce qu’ils faisaient dans cette ville actuellement. Je range aussitôt mon téléphone pour ensuite me demander encore ce qu’il aurait pu bien se passer avec l’avion.
Mirage détestait cela. L’attente, le monde, l’impuissance. C’était au dessus de ses forces, et elle n’avait plus envie d’attendre. Trois heures, c’était déjà énorme pour Pia. Elle n’aurait pas dû attendre une seule minute. Reine qu’elle était, elle se sentait telle une roturière, privée de son royaume. Elle détestait cela. Alors elle s’en allait. C’était avec un dégoût certain plongé sur ses lèvres qu’elle heurtait ce mec, connard qu’il était. Pourquoi connard ? Oh, non, il ne l’était pas réellement. Mais pour Pia, c’était de sa faute. Et si c’était de sa faute, elle l’insultait dans sa tête. Parce qu’elle était comme ça, Pia. Une Reine prétentieuse, hautaine, la langue de vipère pendant d’entre ses lèvres. Et cet homme ? Oh, le pauvre n’avait juste pas eu de chance de tomber face à elle. S’il avait pu être ailleurs, sûrement qu’il s’en serait mieux porté, puisque le regard incendiaire de Mirage se posa sur lui, et d’un ton dédaigneux, elle l’accusa complètement de cette bousculade. Sauf que le gus ne voulait pas s’excuser. Pas pour la bousculade dont il était innocent, en tout cas. Le regard de la dorée se leva, tandis qu’elle pestait Bien sûr… Et après vous allez dire que c’est moi qui ai mangé vos yeux ? Bon sang, mais vous pouviez regarder autour de vous, non ? Elle était en colère. Vraiment. Cet homme n’était déjà plus qu’un visage qu’elle haïssait pour l’avoir défiée. Il avait intérêt à se rattraper, parce que cet inconnu, elle ne le désirait plus dans son champ de vision.
Elle était comme ça, Pia. Un véritable dragon. Qui n’hésitait pas à cracher le feu. Une véritable vipère. Qui empoisonnait de par ses mots, qui détestait, et persiflait. Non, vraiment, pour l’apprécier, il fallait un mental solide, parce que cette prétentieuse était tout sauf docile. Elle aurait même été prête à faire un scandale, si son casino ne l’appelait pas. Alors elle regarda un instant cet homme. Homme qu’elle détestait déjà. Puis commença à tourner les talons.
Pia, elle ne restait jamais là où elle ne voulait pas être. Et si cet homme voulait regagner son affection si tôt perdue, il allait devoir se bouger le cul, et la rattraper. Ou la laisser filer, et espérer ne jamais avoir envie d’entrer dans le casino, car il serait recalé directement.
Pia, c’était une Reine. Dans sa tête. Une Reine qui avait tous les droits, et absolument jamais aucun tort. Elle avait cette arrogance, cette prétention. Une femme de glace, qui n’aimait pas. Une femme de glace, dont le regard avait cette particularité d’être dénué d’amour. Comment aurait-elle pu en avoir, elle qui ne retrouverait jamais la femme de ses rêves ? Comment aurait-elle pu apprendre à aimer, elle qui ne se souvenait que des barreaux la séparant de Raven. La séparant de sa promise. Non. Clairement. Pia était une femme que l’on pouvait qualifier d’imbuvable, une femme qui n’avait pas une once de gentillesse envers les inconnus, sauf s’ils l’intéressaient. Elle était une femme d’intérêt, n’agissant toujours que pour son propre bien, et jamais celui d’autrui. Une femme détestable. Mais narcissique, s’aimant assez elle-même pour ne pas avoir besoin de l’amour d’un autre.
Je soupire non mais, je regardais où que j’allais même si je pensais à l’incident avec l’avion. Moi je n’avais rien fait et elle étais en colère contre moi, vraiment elle était bizarre. Je devais vraiment garder mon calme maintenant face à celle-ci. Elle essayait de me chercher, bien j’espère pour elle qu’elle ne va pas réussir à me trouver car elle allait vraiment le regretter. Je regarde autour de moi, pour ensuite la regarder longuement. Elle avait peut-être passé une mauvaise début de journée comme moi, mais elle devait tout de même pas être ainsi auprès de moi. Surtout que je n’étais plus très à l'aise auprès des filles après mon incident lors d’une scène, que je devais tourner dans le passé et tout ce qui c’est suivi par la suite. Ils me manquaient terriblement tout d’un coup, je voulais vraiment les voir, j’espérais que cela allait arriver bientôt tout de même. Je restais tout de même sur mes garde avec cette fille, car visiblement elle ne m’aimait déjà pas trop. J’espérais pour mon avion il va plus avoir d’accident de ce genre.
Écouter je ne vais déjà pas trop bien, il m’est arrivé une situation ce matin que je n’est pas aimé. Je suis déjà assez attentif autour de moi ainsi, même trop je dirais. Alors c’est bien vous alors arrêtez de m’accuser pour rien.
Si l’envie de me frapper lui prenait, elle allait bien voire qu’elle avait choisie la mauvaise personne pour le faire. Une chance non plus que je n’avais pas mais gardes du corps à mes côtés non plus, car je savais qu’elle aurait payé bien avant déjà à me parler ainsi. Après quelques minutes je me lève pour ensuite regarder autour de moi et je la vois aussitôt partir. Non cela n’était pas vrai elle allait avouer qu’elle m’avait bousculé je ne pouvais laisser cela ainsi. En temps normal oui je serais déjà partie, mais je ne sais pas il y a un truc qui me dit de rester auprès d’elle, même si je n’aimais pas trop ses filles a la base. De plus je ne savais même pas son nom, je devais au moins le savoir c’était la base après tout selon moi. Alors que j’allai lui répondre j’ai eu soudainement un blocage je regarde longuement la fille et je me rappelais, de ce moment horrible lors de cette scène. On voyait très bien que je n’allais pas trop bien actuellement, d’accord j’avais un assez gros problème maintenant avec elles.
Je m’appelle Tyler et vous .
J’étais devenue hyper nerveux tout d’un coup et je n’allais pas trop bien. J’avais besoin d’être seul un moment et me calmer. De plus, j’avais vraiment envie de pisser. Mais j’avais décider de la suivre fille mais, on voyait que je n’allais vraiment pas. Elle devait vraiment me trouver bizarre cette fille, mais ce n’était tout de même pas ma faute tout ce qui m’étais arriver dans le passé et surtout il y a quelques minutes ici même avec l’avion. Je n’étais pas chanceux dans la vie malgré, les millions à cause de mon métier d’acteur et mon autre métier de barman. Je me sentais assez regarder d’un coup, j’aurais tellement aimé que ma sœur et mon frère soient présent à mes côtés actuellement. Je la regarde d’un regard vraiment intense et vide d’un coup.
Désolé je passe vraiment pour un idiot actuellement...
Qu’est-ce qu’elle pouvait le détester, cet innocent qui n’avait rien fait à part se trouver sur son chemin. SI son regard avait pu être dévastateur, ce mec serait déjà mort à l’heure qu’il était. Mais non. Elle n’avait malheureusement pas ce genre de pouvoir, ni même la force dans les muscles pour le renverser, ce gaillard trop costaud. De plus, elle ne s’intéressait pas à la violence. Elle avait des gens pour ça. Des sbires employés à cause de leurs gros muscles et de leur tendance à frapper tout ce qu’elle désignait. Non, franchement, elle n’allait pas le frapper. Elle s’en foutait déjà, de lui, de sa vie, de sa misère. Et lorsqu’il rétorqua qu’il n’allait pas bien ? Pia eut un rictus malsain. J’en ai rien à foutre. lâcha-t-elle simplement, avant de tourner les talons. Parce que franchement, elle n’en avait rien à faire que cet homme n’aille pas bien. Elle n’en avait rien à faire qu’il se plaigne, qu’il soit dans le mal. Même s’il était blessé, même s’il était mourant, elle l’aurait laissé crever, sans une once d’empathie.
Parce que Pia, elle ne s’intéressait pas à lui. C’était un visage dans la foule, c’était un individu dans le néant. C’était un homme qu’elle allait rayer de son esprit en plus de le rayer de la liste des clients acceptés dans son casino. C’était un déchet, selon elle. Un cloporte dont elle n’accorderait aucune once d’intérêt, désormais. Sauf que ce petit con la rattrapa. Bon sang. Ne pouvait-elle donc pas être tranquille ? Allait-il réellement la faire attendre encore plus ? Non, hors de question. Il avait beau être innocent, gentil, faire des efforts, elle ne le voyait que comme une gêne, et ne s’arrêta pas. Il voulait lui parler ? Bien, elle ne l’écouterait pas, ou ne l’écouterait que d’une oreille, si jamais il s’excusait, et marcherait toujours. Il n’avait qu’à marcher avec elle.
Et alors qu’elle s’attendait à des excuses, elle n’en eut pas. Elle roula les yeux en l’air, tandis qu’elle atteignait les portes coulissantes de l’aéroport, et elle l’entendit se présenter. Elle n’allait pas lui donner le plaisir de s’intéresser à lui. J’en ai rien à faire. lui répondit-elle. Il allait mal le prendre ? pas grave. Il voulait son nom ? il ne l’aurait pas. Il semblait mal dans ses basquettes ? Elle s’en foutait royalement. Royalement, comme la reine qu’elle était, qu’elle croyait être. Elle ne lui jeta qu’un regard de plus lorsqu’il avoua passer pour un idiot. Ah ! Enfin une chose sur laquelle elle pouvait être d’accord. Etrangement, ce fut ce mot qui la fit s’arrêter. Pas bien longtemps, elle allait repartir bien vite. Mais elle s’accorda un instant pour dire Oui. Puis elle reprit sa route. Elle l’avait vu. Il semblait vraiment mal, mal dans sa peau, ou déprimé. Mais elle n’était que de marbre, Pia, et son cœur était de glace. Il aurait pu brûler qu’elle aurait détalé. Allait-il encore la suivre ? Allait-il s’excuser ? Ou allait-il abandonner ?
electric bird.
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(PS : les insultes ne sont que dans la tête de Pia. )
D’accord visiblement elle ne voulait plus rien savoir de moi, elle se doutait vraiment de moi celle-là. Un autre que cela ne me surprenait pas qu’elle ne m’aimait pas. Cela me rendais assez en colère si on pouvait dire mais, bon je devais faire sûrement avec. Devrai-je m’excuser tout de même pour qu’elle devienne plus gentille avec moi, si j’allai le faire je ne sais encore. Elle se foutait vraiment de mon état celle-là, je ne sais ce que j’allais lui dire et encore. Arriver aux portes je marchais toujours tout en laissant une espace entre elle et moi. Elle allait voir que je n'abandonnerais pas aussi facilement, même si parfois cela était le cas, mais actuellement pas vraiment. J’arrive aussitôt à sa hauteur pour ensuite me demander où qu’elle allait ainsi. Avoir su j’aurais bien plus appeler mes gardes du corps au cas avec cette fille, mais j’allais m’arranger moi-même. Soudainement je viens mette une main, sur son épaule pour avoir l’attention et je la regarde droit dans les yeux.
Écoute je... Je suis désolé d’accord, si je dois m’excuser ...
J’espérais qu’elle allait être mieux avec moi aussi non qu’elle aille voir ailleurs j’aurais bien d’autre rencontre à faire, mieux qu’elle que je faisais actuellement, enfin j’espère. Je reçois alors un message j’écris alors celui-ci rapidement, pour ensuite le ranger. Si cette fois elle n’allait pas bien réagir j’allais partir, j’avais bien d’autre chose à faire qu’à rester avec une personne comme elle après tout. Surtout qu’avec les filles, je n’étais pas trop bien auprès d’elles en partants. Je me plie soudainement en deux et je me mords la lèvre, d’accord je crois bien que je devrais la laisser bientôt tout de même, mais je veux lui parler tout de même un peu. Je regarde autour de moi pour ensuite observer et je soupire légèrement.
Vous n’aviez sûrement pas beaucoup d’amis...
Soudainement j’attends des fans hurler mon nom, je me retourne légèrement pour ensuite marcher encore plus vite. Tout en suivant celle-ci, je ne voulais pas les voir en ce moment, surtout qu’eux elles avaient l’air assez hors d’elles je ne voulais pas me taper ce genre de fan aujourd’hui. D’accord j’étais assez beau et célibataire, mais qu’elles se calment tout de même celles - là. Je me demandais d’ailleurs si elles étaient au courant de ma dernière histoire je n’espérais pas tout de même car j’en voudrais pas m’en faire parler. Mais de tout façon je semblait les avoir semés.
S’il s’excusait, elle l’écouterait d’une oreille. D’une oreille seulement. C’était ce qu’elle s’était dit. C’était ce qu’elle lui avait secrètement promis. A ce crétin, qui ne comprenait pas qu’elle n’en avait rien à faire de sa petite vie. Qu’il soit illustre ou non, elle s’en foutait totalement, elle n’avait pas un gramme d’empathie pour lui, et s’il crevait sur place, qu’il le fasse, mais sans la gêner. Elle n’avait pas envie d’être cette bonne poire écoutant les problèmes des autres. Elle n’avait pas envie d’avoir à faire à un tel con, niais au possible. Elle voulait juste s’en aller. Et elle marchait sur le parking, en direction de sa voiture, belle décapotable rouge qui faisait son effet auprès des passants, ce qui était évidemment le but. Elle avançait, plus concentrée sur son portable que sur ce cloporte qui la suivait alors même que tout son langage corporel lui indiquait qu’elle l’oubliait et l’effaçait complètement de ses pensées. Mais elle ne s’attendait absolument pas à son geste suivant. Cette main, posée sur son épaule, qui fit sortir un regard de glace à son encontre, et un mouvement brusque pour le repousser. Si vous vous étiez juste excusé, j’aurais passé l’éponge. Mais comment osez vous me toucher ?! Elle était froide. Elle était froide, et elle le montrait. Elle ne laissait pas croire qu’elle était une gentille petite fée venue pour le secourir. Elle n’écoutait même plus, presque plus. Il n’avait pas d’excuses, il avait osé poser sa main sur elle. Et Pia n’était pas le genre de fille à accepter un contact. C’était pareil pour presque tout le monde, pas juste lui. Peu importe l’importance du personnage, l’on ne touchait pas la reine si elle ne le voulait pas. Et les seules personnes à pouvoir poser ainsi la main sur elle se comptaient sur les doigts d’une main. Elle était furieuse. Une colère indifférente. Désormais, c’était fini. Il n’avait plus aucune chance de se rattraper. Vermisseau perdu sur un parking, à courser ce qu’il ne pourrait jamais avoir. Il laissa une dernière phrase passer la barrière de ses lippes, et un rictus malsain laissa place aux lèvres pulpeuses de Mirage. Et alors ? les amis ne rapportent pas d’argent. froid. Toujours froid. Direct. Parce qu’elle ne voyait pas pourquoi elle tournerait autour du pot. Surtout que ses pas étaient plus rapides. Et qu’elle allumait à distance sa voiture, qui bipait en retour. Elle n’avait plus qu’à faire cinq mètres, et elle serait libre de ne plus avoir ce pot de colle près d’elle. Et qu’il crève, qu’il vive, qu’il se courbe, qu’il baise, qu’est-ce qu’elle en avait à foutre ? hein ? en plus, il semblait qu’il avait des groupies cheloues. Autant qu’il aille les voir elles, et la laisse donc tranquille. Elle était sûre que ces filles sauraient lui accorder l’attention qu’il voulait. Une fois montée dans la voiture, le bruit de moteur se faisant entendre dans un rugissement, elle lâcha Vous devriez aller voir ces filles. Je suis sûre qu’elles s’intéresseront à vous, elles. Et la voiture démarra. Et Pia partit. Enfin tranquille.
electric bird.
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(PS : les insultes ne sont que dans la tête de Pia. )
(PS 2 : sorry... faut dire que ma Pia est particulière... donc quand Darren l'a touché, c'était fini xS je sais que ma Pia est difficile. enfin bref. plus tard, si tu veux, on se refera un rp.)
Invité
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loosing time - libre
Sam 18 Mai - 17:20
(C’est pas grave j'aime ce genre de rp et tu joue ton personnage comme tu veux :) )
Je me fis aussitôt pousser par elle d’accord, je devais vraiment partir. J’avais resté assez surpris et après tout cela ne se faisait pas. J’avais envie de répliquer,mais non,j’allais laisser faire. Je vais plutôt partir de mon côté, je crois bien j’avais quelques trucs assez urgents à faire. Visiblement,cette fille n'allait pas être amis avec moi bon, j’allais devoir m’arranger avec cela maintenant si j’avais à le recroiser. Pourquoi je l’avais touché, je ne savais pas trop un automatisme peut-être rien de plus. Je la regarde d’un regard assez froid et en colère à ses paroles. Très bien j’avais un peu trop compris son message, je soupire pour ensuite marcher. Mais je m’arrête aussitôt à ses paroles une chance que j’étais loin d’elle, car elle aurait regretté ses autres paroles. Après quelques minutes, on vient me chercher je restais en silence dans la voiture. Ses dernières paroles me résonnait en moi, comment elle avait osé dire cela. Non,je n’étais vraiment pas bien surtout que j’avais de la difficulté avec l’amour maintenant je ne courais pas trop après ses filles voir vraiment pas, même parfois si l’envie me venait. Ce côté-là de ma vie allait vraiment me poser des problèmes et je ne le voulais pas. Arrivé chez nous, j’allais alors pisser et j’allais aussitôt dans ma chambre remplir quelques papiers et après cela, je me jette alors dans mon lit assez mal et je m’endors d’un coup,j’allais porter ses papiers plus tard quand j’allais être mieux je ne voulais pas y aller ainsi. Car c’était des plans encore pour que je me fais questionner et je voulais simplement avoir la paix.
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Mer 26 Déc - 8:31
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