expérience parallèle : thème marvel/dc n°1

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]Sur l’île de naissance de Diana Prince, les amazones restent livrées à elles-mêmes. La mère de la célèbre Wonder Woman s’inquiète de la sécurité de l’île, craignant que des personnes mal intentionnées se mettent à la chercher pour découvrir les points faibles de la super héroïne. Elle indique au reste des amazones de redoubler d’efforts lors de leurs entraînements, écarte les doutes de beaucoup lorsque celles-ci se mettent à croire que cela ne sert à rien. Et elle le fait à raison. Dix années après le départ de Diana Prince, d’énormes bateaux accostent sur l’île. Cette terre normalement introuvable semble avoir laissé entrevoir une faille. Alors que des régiments de militaires accostent sur l’île, les amazones vont devoir se battre pour se sauver.

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Rappel intrigue :
• l’expérience du rêve ne dure que deux heures pour votre personnage rp, alors qu’il dure une journée complète dans la vie du personnage fictif.
• le personnage fictif incarné par votre personnage rp n’est pas obligé de lui ressembler. vous pouvez changer de sexe, de personnalité, de physique, tout est permis.
• tout ce qui se passe dans l’univers alternatif pourra avoir une incidence sur la vie de votre personnage rp, mais ce n’est pas obligatoire (il peut se souvenir de tout, ou pas.)
• votre personnage fictif peut disparaître à tout moment si votre personnage rp se réveille avant la fin de l’expérience.
• votre premier post devra commencer par le code ci-dessous afin d'aiguiller vos partenaires sur votre personnage :

Code:

<div class="cadrescena"><img src="https://images2.imgbox.com/bd/cd/QrXK8KL0_o.png" style="width:80px; padding:5px;" align="left"><abc>[size=18]nom du personnage ft. avatar[/size]</abc><div class="sep"></div><ava>description du personnage :</ava> écrire ici une description rapide.
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• pour toute question n'hésitez pas à mpotter une admin & enjoy !

Ses pupilles étaient rivés sur le Général Antiope, sœur de la reine Hippolyta, tante de Wonder Woman. Cette dernière motiva la troupe. Des hommes avaient réussi à mettre les pieds sur l’île Themyscira. Venelia ne comprenait pas trop comment ils avaient réussi à fouler leur terre sacrée mais il n’y avait pas de questionnements à avoir. Les éclaireuses avaient bien mentionné qu’ils avaient beaucoup d’armes et étaient prêts à combattre. Elle inspira, faisant soulever sa poitrine protégée par son armure. Ses yeux transpiraient de la combativité. On l’avait entraîné depuis petite à faire la guerre. Ce moment là était inévitable pour elle et elle savait qu’elle allait devoir verser le sang. Ce n’était pas quelque chose qui la déroutait. Au contraire, Venelia était plutôt une guerrière qui n’allait laisser aucune chance aux étrangers qui voulaient souiller leur paisible habitat. Parce que c’était sûrement ce que cherchaient ces hommes qui avaient accosté sur leur plage. Le Général Antiope finit son discours et  toutes les amazones brandirent leur arme en l’air, hurlantes. Venelia donna de la voix, elle aussi. Elle était prête pour ce combat. Elle allait tout faire pour protéger la reine ainsi que ses compères. Non, il ne fallait pas qu’elles perdent. Elles n’avaient pas le choix. Pour leur sécurité et celle de Wonder Woman. Si ces hommes arrivaient à les vaincre, le monde connaîtrait un nouveau tournant où le chaos y régnerait. Elle fronça les sourcils rien que d’y penser. Il fallait qu’elles gagnent cette bataille.

Agápē entendait sa respiration pulser à ses tympans. C’était comme si elle avait attendu ce jour toute sa vie. Prête à se battre, prête à défendre. Son cœur tambourinait dans sa poitrine, martelant ses côtes avec fureur. Elle ne savait pas comment ces hommes avaient trouvé une faille dans leur protection divine. Elle ne savait pas comment ils avaient fait pour parvenir sur les berges de leur île. De leur foyer. Leur petit coin de paradis. Elle ne savait pas et ça lui était égal. Son devoir était de défendre sa terre, son peuple. C’était ce pour quoi elle s’était entraînée si ardemment pendant toutes ces années. À suer sang et eau sans jamais compter les heures. Sans jamais compter les douleurs. Du coin de l’œil, elle observe ses sœurs, sa famille. Elle aperçoit Venelia et sourit avec satisfaction. Avec toutes les autres Amazones, elle hurle pour se donner courage. Pour retrouver le sentiment d’union. Rien ni personne ne parviendrait à détruire ce qui les liait. Rien ni personne ne viendrait détruire leur monde. « Quels sont les ordres ? elle demande, l’air concentré. » Elle était prête. Elle était prête depuis des mois.

« C’est le moment de mobiliser tes troupes, Antiope. » Les mâchoires serrées, je jette un dernier regard à ma soeur, avec cette simple conviction que je me battrai jusqu’à la mort pour défendre nos terres, et ma famille. Je suis née pour combattre, j’ai formé la plupart des amazones de cette contrée et j’en suis fière. Pourtant, même si mon allure et ma froideur portent à croire que je n’ai aucune émotion, la réalité est toute autre. La rage qui sévit en moi inonde tous les pores de ma peau, et l’adrénaline monte peu à peu à mesure que mon cheval s’approche de ma troupe de guerrières. Elles sont là, toutes ou presque, d’autres arriveront plus tard pour prendre la relève. « Je compte sur vous toutes, j’ai foi en chacune d’entre vous, si vous avez été choisies pour mener ce combat, c’est parce que vous méritez votre place et que vous tenez la prospérité de ces terres en vos mains. Soyez fortes. » Je courage a toujours été le maître mot. Nous devrons aujourd’hui tuer tous ces hommes pour qu’il n’en reste aucun, et garder nos terres pures de l’attaque de ces intrus dorénavant. Que le champs de bataille soit ouvert. Je laisse les éclaireuses partir devant et m’arrête au niveau d’Agápē qui vient d’arriver. C’est la dernière recrue, la plus jeune, mais pas la moins forte. « Comment tu te sens ? » Je l’ai formée, depuis qu’elle est enfant. Un regard finalement à Venelia qui vient comme en protection de la plus jeune. « Essayez de rester groupées, un maximum. »

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]Elle tourna son visage et vit à ses côtés Agápē qui lui sourit. Elle était jeune Agápē. Nouvelle recrue, certes, mais très prometteuse. Venelia en savait quelque chose puisque la jeune fille était son disciple, même si Antiope les avaient formé toutes les deux – comme la plupart des amazones -. La guerrière lui rendit son sourire. Elle était fière de voir dans son regard toute sa combativité quant à cette bataille contre ces Hommes venus souiller leur terre sacrée. C’était bien. C’était ce qu’il fallait. D’ailleurs dans les yeux de ses sœurs, la même rage s’y reflétait. Faisant echo dans les pupilles de leur Général, triomphante sur son cheval qui s’approcha des amazones, vers Agápē. Venelia se joignit à elles. « Essayez de rester groupées, un maximum. » elle hocha de la tête. « Bien Général. » dit-elle d’un ton sérieux. Un ton qu’on n’avait pas l’habitude d’entendre, vu que Venelia était toujours d’humeur blagueuse. Cependant, il y avait un temps pour tout et l’amazone le savait pertinemment. « Est-ce qu'on sait comment ils ont pu atterrir ici ? » parce que normalement leur île était protégée. « La princesse Diana doit être en danger... » finit-elle par murmurer, plus pour elle que pour partager ses craintes. Parce que c’était tout de même étrange que des Hommes aient pu accoster sur Themyscira.

Entourée de ses deux mentors, Agápē se sent plus courageuse, plus vigoureuse que jamais. Elle oublie la peur, les questions ; elle oublie les envies de rebrousser chemin. Il n’y a plus qu’un objectif à son esprit : défendre sa terre. Défendre son peuple. C’est pour ça qu’elle s’est entraînée si dur, c’est pour ça qu’elle s’est brisé le corps à force d’efforts. Agápē s’est donnée corps et âme pour servir son peuple. « Prête. Déterminée, elle répond à Antiope, l’air concentré. » Elle observe, à la fois curieuse et sérieuse, les éclaireuses qui se dispersent devant elle. Chacune d’entre elles était prête à donner sa vie pour leur terre. Pour la protéger des attaques extérieures, d’une invasion qui les menacerait. Agápē ne se souciait pas de comment ou de pourquoi, ces hommes étaient les ennemis. C’était tout ce qu’elle avait besoin de savoir pour se tenir prête pour la bataille. « Si la Princesse était en danger, ne le saurions-nous pas ? elle demande, soudainement submergée par l’inquiétude alors qu’elle entend le murmure de Venelia. » La jeune femme ne voulait pas imaginer le pire. Diana était son héroïne. Son modèle. Elle avait grandi en rêvant de suivre ses traces, de devenir comme elle. Parfois, elle rêvait d’explorer le monde au-delà de leurs frontières comme elle l’avait fait. Mais la simple vue de ces hommes débarquant sur leurs plages lui faisait changer d’avis. Car rien n’était plus important que son peuple. Ses sœurs. « En capturons-nous un ou deux pour les interroger et savoir ce qu’ils savent de nous, de notre île ? »

Le coeur battant, les veines saillantes et l’envie de vaincre plus puissante que jamais, je garde les yeux rivés sur la côte un instant avant de m’adresser à mes filles, mes soeurs, mes alliées les plus puissantes dans cette guerre qui va se jouer sous nos yeux. Nous en seront les actrices premières, face à ces assaillants. Je sais mes guerrières volontaires et prêtes à tout pour défendre nos terres. « Est-ce qu'on sait comment ils ont pu atterrir ici ? » Je secoue la tête avant de poser mon regard sur l’auteure de la question. « Non. Mais ils ne doivent pas avancer plus que ce qu’ils ont déjà franchi. » Mon visage est froid, je ne vais pas tarder à donner l’assaut, j’essaie de vérifier toutes les options possibles de mon simple regard aguerri. « Si la Princesse était en danger, ne le saurions-nous pas ? » Ma gorge se serre en entendant la discussion à propos de ma propre nièce, mon sang, la princesse que nous devons avant tout protéger bien qu’elle soit en position de faire reculer bien des hommes de ses simples pouvoirs. « Pour le moment, la princesse n’est pas en danger, mais nous devons faire en sorte que la situation ne dégénère pas. » En ce qui la concerne, en tout cas. Pour nous guerrières, c’est une autre paire de manches. « En capturons-nous un ou deux pour les interroger et savoir ce qu’ils savent de nous, de notre île ? » Je regarde cette fois ma petite pouliche face à son intervention pertinente. « Si vous y arrivez oui. Mais le principal pour le moment, c’est qu’ils n’avancent pas plus. Je les préfère morts plutôt que de chercher à en garder quelques uns en vie pour les informations qu’ils détiennent. »

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]C'était une situation pas banale mais elles étaient préparées pour cette bataille. Elles n'avaient fait que se préparer pour ça. C'était dans leur veine, l'âme guerrière. Donc personne ne savait comment ces hommes avaient pu entrer dans leur terre sacrée. C'était incompréhensible. Mais les interrogations n'étaient plus de rigueur, il fallait agir. Elle hocha de la tête face à sa générale qui rétorqua qu'il ne fallait plus que les étrangers n'avancent encore plus dans leur terre. Son regard se porta sur la jeune Agápē qui partageait son inquiétude vis à vis de la Princesse mais Antiope balaya d'un geste cette appréhension qui s'était tapie dans leur esprit. En tout cas, pour Venelia c'était le cas. C'était vrai, la Princesse avait des pouvoirs qui pouvaient terrasser n'importe quel mortel, peu importait leur nombre. Il fallait se concentrer sur le moment. Sur cette guerre qu'elles allaient entreprendre. Protéger leur terre était primordiale. Le fait d'en capturer un ou deux était une bonne idée. Pour avoir des informations sur eux et sur la raison de leur venue. Mais comme dit leur générale, l'important c'était de les abattre avant qu'ils ne puissent coloniser Themyscira. Venelia tourna son visage vers la côte, attiré par des bruits tonitruants dont elle ne semblait pas reconnaître l'origine. C'était peut-être les armes des Hommes ? Une de ses mains passa derrière son dos, prenant la manche de son épée, prête à dégainer et à attaquer lorsque la générale donnera l'assaut. « On fera tout pour qu'ils ne puissent plus marcher. » sortit-elle d'un ton déterminé. Des jambes allaient voler et elle allait s'en donner à cœur joie.

Agápē était prête. Elle était prête à défendre sa terre, défendre ses sœurs. Défendre leur vie ici, sur cette île qui les abritaient depuis une éternité. Toute sa vie, elle a vécu sur ses plages. Toute sa vie, elle n’a connu que ces paysages. Elle chérissait tant son île. Et la voir envahie aujourd’hui était comme une blessure jusque dans son âme. Les mains un peu tremblantes, elle banda son arc, la pointe de sa flèche dirigée droit vers un premier inconnu. Ils étaient encore loin et elle aurait pu se rapprocher pour être certaine de ne pas le manquer mais elle avait le sang qui battait jusqu’à ses tempes et la furie dans le corps. « Y allons-nous, Générale ? elle demande, la voix sourde et sombre. » Elle ne pouvait se résoudre à donner l’assaut sans un ordre clair de la part de sa supérieure. Et pourtant ses doigts la démangeaient. Elle avait comme des picotements sur sa peau. L’impatience la gagnait. La fougue des jeunes années qui la parcourait. Mais le respect de l’autorité était quelque chose qui lui avait été inculqué depuis toute petite. C’était ancré en elle, comme si les mots avaient été gravé sur son cœur.