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Lie me, I bite you! bite me, i ablaze you...[andrea]

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Lie me, I bite you! bite me, i ablaze you...[andrea]
Jeu 16 Aoû - 23:07
Andrea & Alicia
Lie me, I bite you! bite me, i ablaze you...

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Center L.A, Beverley Hill, Domaine de la famille Zorsini...

Trois jours auparavant

- "Donc si je comprends bien nous avons un mouchard, mais personne... et je dis bien PERSONNE, ne sait qui cela peut etre!!" Frottant le canon de mon beretta sur ma tempe, je tentais tant bien que mal de me contenir. Cela faisait deux semaines que j'étais revenue de cette croisière entre Los Angeles et Puerta Vallata, qui m'avait servi de couverture pour livrer une cargaison d'armes automatiques à un cartel mexicain de Guadalajara. Pourquoi une croisière et non pas un de mes réseaux fluviaux? Car je n'avais guère eu le choix... Les revenus d'Everlasting avaient attiré l'attention de l'oncle Sam, et un certain Matthews Ranwson s'était vu chargé de vérifier que mon entreprise était aussi pure et transparente qu'elle le laissait entendre. J'avais donc dû réduire fortement mes déplacements et autres dépenses, ainsi que calmer le jeu sur le blanchiment des revenus plus que substantiels de la lagrima verde au travers d'everlasting, afin de repasser sous le radar. Ranwson trainait derrière lui une réputation de fouille merde et roquet, et croyez moi contrairement à d'autres, il la méritait amplement. Seulement voilà, les affaires n'avaient cure des soucis de loi, et il m'avait fallu tout de même honorer mes contrats et en passer de nouveaux, tant bien que mal. Je m'étais donc lancer dans un jeu de cache cache et faux semblants avec ce petit cul terreux, ce qui m'avait pris autant de temps que d'énergies, deux choses dont je manquais cruellement ces temps derniers! Mais qu'elle ne fut pas mon déplaisir après cette semaine de "détente", de me retrouver avec une autre merde sur les bras, à savoir une putin de taupe dans le réseau de mikeal!! D'un coté, j'étais plutôt soulagée que celle ci ne se trouve pas parmi les miens, mais d'un autre avec tout ce qui se passait dans la vie de miky ces temps ci, je ne pouvais décemment pas lui rajouter un autre problème à gérer; Surtout que celui ci était de taille!! "Si il faisait partie de ton réseau, alors j'aurais déja son identité, mais... le réseau de mikeal est aussi complexe que le tien, et il est très difficile de savoir qui fait quoi et qui est sous les ordres de qui..." Je laissais échapper un soupire de fatigue, relâchant d'un coup la pression. Je ne pouvais pas en vouloir à Roberto. miky dany et moi avions construis nos réseaux de manière à protéger nos identités civiles et identités mafieuses. Aussi, contrairement aux systèmes pyramidaux, ayant en base des officiers définis et à leurs têtes un chef connu de tous; Nos réseaux étaient compartimentés, chaque compartiment se dessinant sur un modele de toile d'araignée... La main d'oeuvre, à savoir les revendeurs et petites frappes travaillaient en free lance. En sommes, ils n'avaient de compte à rendre à personne, seulement une somme définie à remettre à un tiers une fois la marchandise écoulée. Cette tiers personne du nom de "garde fou", était en charge de fournir les marchandises à écouler à la main d’œuvre et récupérer un pourcentage sur le chiffre d'affaire dégagé, tout en gardant à son tour une part de ce pourcentage. Ici se refermait le premier compartiment, le garde fou n'ayant aucune idée de qui lui fournissait les marchandises, et ainsi de suite... Cela permettait en cas d'arrestations et d'aveux, de perdre sans risque un ou plusieurs compartiments, sans que cela ne mette en danger le réseau, qui comme une toile d'araignée reconstruirait les compartiments perdus aussi rapidement que ceux ci avaient été démantelés. Seulement, là ou le bas blessait était que dans le cas d'une taupe, celle ci était plus difficilement localisable, bien que généralement cela ne posait aucun problème au vu de la fragmentation du réseau et de la méconnaissance de chacun sur le ou les roles de X ou Y. Mais comme rien ne paraissait simple ces temps ci, la taupe en question était apparement au fait de l'identité du bras droit du chef de la rosa purpurea, ce qui mettait directement mikeal en ligne de mire... "(soupire) Si seulement mikeal avait bien voulu de l'aide de papa... mais nonnnnnnn... mr voulait une totale indépendance!! (regard suppliant) Il faut que tu la trouves roberto... Emplois tous les moyens, mais trouve moi cette taupe!" Contrairement à mikeal, lorsque papa avait émis l'idée d'inclure roberto son bras droit dans nos réseaux en tant qu'agent libre, j'avais trouvé l'idée formidable. Roberto était un ancien du KGB et était passé maitre dans l'art de tisser des réseaux de surveillances au sein de structures aussi complexes soient elles. Et bien que ses services permettaient à mon père d'avoir une vision détaillée sur mes affaires, de savoir que roberto et ses petits espions veillaient dans l'ombre était une chose plutôt rassurante... "Alicia je ne peux rien te promettre, mais je ferai de mon mieux... (soupirant) C'est déja un miracle qu'un de mes hommes est eu vent de cette information, au détour d'une banale conversation! (souriant) On peut dire que mikeal à une putin de chance de cocu..." Souriant à mon tour... "Et au vu du caractère de sa nouvelle fiancée, crois moi il n'a pas fini d’être chanceux!!"
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South L.A, Crenshaw, entrepot abandonné....

Une semaine plus tard....

-" Ecoutez.... Je... je ne sais pas de quoi vous voulez parler!! Je le jure... (poussant un cri de douleur) JE LE JURE!!!" Recevant une série de coup de barre de fer dans l'estomac et dans les cotes, Larry émit un long râle en quête d'oxygène... "(en larmes) Je vous jure... je vous jure...." Enserrant sa mâchoire entre mes doigts, stabilisant par la même le balancier de son corps suspendu dans les airs... "Larry pourquoi mentir... (secouant la tete) Pourquoi t'infliger toutes ces souffrances?! On sait que c'est toi, et... " Paniquant.. "Non, je..." l'interrompant à mon tour voix caressante... "Chuuuuuut... plus de mensonges larry... On sait que c'est toi, mais si tu me mens encore une fois; Alors j'enverrai mes hommes chez ta mère, et je leur dirai d'en faire de la putin de pâté pour ces chats! (enserrant un peu plus fortement sa mâchoire) Tu comprends ce que je te dis larry?!! (l'homme secouant sa tete) Bien... Maintenant, je veux que tu me dises touuuuuut ce que tu comptais dire, et à qui tu comptais le dire... (pleures) Chuuuuuut, ne pleure pas... C'est bientôt fini! Si tu me dis touuuut ce que je veux savoir, alors je prendrai soin de ta mère... (l'homme paniquant) Du calme... Je veillerai à ce qu'elle ne manque de rien! On lui dira combien son fils était un homme de bien, et je ferai en sorte qu'elle reçoive une belle sommes d'argents. Mais pour ca larry... (caressant sa joue) Pour ça, il faut me parler... D'accord?" Secouant positivement la tete, tremblant de mille feuilles, il finit par se mettre à table....

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South L.A, ruelle arrière d'une boite de nuit...


Présentement....


"Nous devrions partir Mlle, son contact ne devrait pas tarder..." Terminant de positionner le corps livide de larry derrière une benne à ordure, les trois hommes de main s'écartèrent pour voir le résultat... "Je pense que le message sera clair pour tout le monde..." En effet, on ne pouvait pas faire plus clair au vu du "silencio" gravé à la lame sur le front du mouchard... "Oui... on ne peut pas faire plus limpide! (Réajustant ma tenue) Débarrassez vous de la voiture, notre ami à la casse doit vous attendre!" légèrement inquiet... "Et vous?" Souriant, caressant la barbe rousse de mon homme de main... "Moi, je vais prendre un taxi et rentrer comme une grande fille..." Légèrement gêné, rick pris congé non sans s'assurer que je ne resterai pas à attendre le fameux contact de larry. Ce ptit nordique commençait à un peu trop me connaitre... Il faudrait peut etre que je l'affecte ailleurs! En attendant, il n'avait peut etre pas tord... Avec tout ce qui se passait ces derniers temps, ce n'était peut etre pas le moment de se lancer dans une chasse au flic... Sortant mon téléphone portable, je me mis à composer le numéro d'une agence de Ubers, lorsqu'un bruit de pas se fit entendre... "Et merde!" Jouant de suite les filles bourrées, je me mis à légèrement tituber en direction de la silhouette qui venait de face. Tout de noir vêtu, démarche prudente, bonnet sur le crane, j'étais presque sur qu'il s'agissait du rendez vous de larry, chose qui me procura une certaine dose d'adrénaline... Encore quelque pas, et nous sortirions tous deux de nos pénombres respectives pour nous retrouver sous ce rayon rouge fluo, diffusé par le néon situé sur la porte arrière de la boite de nuit... *Approche que je vois qui tu es...* Encore quelques pas et... ANDREA??? Mais... Stoppant net mon avancé, je restais coi. Depuis coachella, il s'était écoulé trois semaines et demi... Trois semaines et demi durant lesquels nous n'avions eu aucun contact. Aussi de la retrouver là, dans cette ruelle, a quelques pas de ce cadavre dissimulé derrière cette benne, benne voilant celle que j'étais réellement; Tout cela était très perturbant...

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Lie me, I bite you! bite me, i ablaze you...[andrea]
Lun 27 Aoû - 19:36
Les jours défilent et je ne pense toujours qu’à elle, son image me hante, j’ai l’impression de devenir folle. Au boulot, je fais n’importe quoi, j’essaie de rester concentrée sur ce putain de cartel, sur l’enquête qui n’avance pas, mais tout le monde a bien remarqué que je ne suis plus aussi à fond que je n’ai pu l’être. Certains sont suspicieux, certains se rendent juste compte que je suis en train de péter un plomb pour x raison. A tel point qu’il y a deux jours, j’ai perdu pieds. Un de nos témoins était encore en cellule, j’ai tenté le tout pour le tout dans un dernier entretien avant de l’envoyer je-ne-sais-où sous haute surveillance. Manque de bol, j’étais dans un mauvais jour, et j’ai bien failli le tuer. Je me suis jetée sur lui, après qu’il se soit encore foutu ouvertement de ma gueule, et je n’ai pas pu arrêter mes poings de venir s’écraser sur sa face de rat. Il a fallu qu’ils s’y mettent à trois pour m’arrêter et me retenir de le tuer. J’en étais pas loin. J’ai complètement vrillé, je sais pas ce qui est en train de m’arriver.

Depuis deux jours donc, j’ai été mise à pieds, et je tourne en rond chez moi, impossible de rester là à rien faire, mais impossible aussi de continuer de bosser sur le dossier à la brigade. Je vais devoir me débrouiller seule de mon côté, tant pis pour les représailles. Il faut qu’on en finisse, il faut qu’on les choppe, que je les choppe, que je fasse quelque chose. Je passe mes journées et mes nuits entières à passer des coups de fil, me rendre dans des endroits plus glauques les uns que les autres. J’ai sur moi une arme que je me suis procurée de manière illégale pour être sûre de n’avoir aucune trace, puisque mon arme de service m’a été retirée. Je suis en train de faire littéralement n’importe quoi, et le pire, c’est que j’ignore pourquoi.

Il est tard, très tard, j’ai pas fermé l’oeil depuis plus de 48h et les cernes qui bordent mes joues me donnent l’allure d’un cadavre. J’ai besoin de me changer les idées, boire, fumer, trouver une fille avec qui passer la nuit, et tout oublier le temps de quelques heures. Voilà ce dont j’ai besoin. Alors je fais un effort, prends une douche, me maquille un minimum pour camoufler mes cernes, même si je ne peux rien faire pour mes yeux rougis par la fatigue et le manque de discernement. Je maquille légèrement mes yeux, enfile un jean près du corps, des bottines, un chemisier en soie duquel je laisse ouverts les premiers boutons pour un effet décolleté garanti, et je file droit vers le centre ville. J’ai assez de jugeote pour emprunter un taxi, sachant que je ne compte pas non plus jouer ma vie en prenant ma voiture après avoir bu un nombre certain de verres.

C’est donc après plusieurs verres, mais pas assez pour ne pas tenir debout, que je décide d’aller fumer une cigarette à l’extérieur. J’avais pourtant arrêté. Tu parles. Pour le moment, aucune fille qui ne semble pouvoir me satisfaire à l’intérieur, je fais le tour des horizons d’un simple regard, lorsqu’un bruit attire mon attention dans la ruelle juste en face. Déformation professionnelle, inconscience, ce que vous voudrez, mais je ne réfléchis pas lorsque je m’avance d’un pas sûr en direction de la ruelle sombre. Une silhouette s’approche, un pas incertain, je plisse les yeux, ralentis mon allure, attendant que la personne approche que je puisse mieux comprendre ce qu’il se passe. Ou pas. La lumière du néon dévoile alors le visage de l’inconnu, qui se trouve être une inconnue. Mon sang se glace lorsque je reconnais Leither. Mes sourcils se froncent instantanément et mon regard se porte plus loin dans la ruelle pour voir ce qu’elle pouvait bien foutre là. Toute seule. En imaginant qu’elle soit tout seule. « Qu’est-ce que tu fous là tout seule dans le noir ? » Ni bonjour ni merde. Pour quoi faire de toute manière, quant on sait comment s’est terminée notre dernière entrevue… « Tu t'attendais à quoi?! A ce que je plie devant toi parce que t'as fait ta pute à coachella?! Manquerait plus que je te remercie pour service rendu...»
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Lun 27 Aoû - 23:51
Andrea & Alicia
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« Qu’est-ce que tu fous là tout seule dans le noir ? » OKKK... Ca commence bien! Après tout fallait il s'attendre à autre chose de la part de cet ours mal léché, sans jeu de mot...?! "(croisant les bras, l'air désinvolte) Je pourrai te rétorquer la meme chose, mais je crains au vu de ta "bonne humeur", de me recevoir une insulte ou un truc du genre!" Bon... y'avait p'tre mieux comme réponse à faire, mais franchement je ne voyais pas lui rétorquer "Ben je viens de buter une balance, et là j'appel un Uber pour aller boire un coup tranquillou dans un bar!" Erfff, cette fille avait un don pour apparaitre à des moments plus qu'inappropriés! Imaginez si elle s'était pointée juste deux minutes plus tôt, ou pire dix, juste au moment ou l'on sortait ce cher larry du coffre! CA aurait été du jolie!!! « Tu t'attendais à quoi?! A ce que je plie devant toi parce que t'as fait ta pute à coachella?!Manquerait plus que je te remercie pour service rendu ?!» La garce! Elle voulait la jouer comme ça... Très bien! Au jeu du "qui avait passé les derniers semaines les plus merdique de sa vie", j'arrivais sans aucun doute à la pole position; Alors si elle voulait la jouer comme ça, j'avais pas mal de tensions à évacuer moi aussi! "(m’avançant sourcils froncés, rictus aux lèvres) Alors oui... Tu pourrais commencer par un "merci leither de m'avoir délivré, car je devenais folle à imaginer cette langue entre mes cuisses!" Et surtout ne prétant pas le contraire... (Sourire satisfait) Tes cris ont largement parlés pour toi! (m'approchant un peu plus) Après tu pourrais ne serait ce que par...humm... politesse, me rendre l'appareil, bien que je t'avouerai que... (légère grimace, air de dédain) Je ne sais pas si le voyage en vaudrait le coup!" Si il y avait bien une chose qui pouvait faire réagir la brune, c'était bien son orgueil... Je crois... Non j'étais certaine qu'elle en avait un bien plus énorme que le mien; Et croyez moi dans la famille Zorsini, l'orgueil était roi!


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Lie me, I bite you! bite me, i ablaze you...[andrea]
Mer 29 Aoû - 23:10
Impossible de rester de marbre, je sais que tout ce qui m’arrive en ce moment, c’est uniquement à cause d’elle. Ah oui, manquerait plus que je me regarde dans un miroir. Non, c’est elle qui me rend dingue, ces putain de rêves, j’arrive plus à dormir, je comprends pas. Faudrait que j’aille voir un psy, sans doute, mais j’ai envie de parler de tout ça à personne. C’est mon jardin secret et j’y tiens, même si ça me rend complètement tarée. « Je pourrai te rétorquer la même chose, mais je crains au vu de ta "bonne humeur", de me recevoir une insulte ou un truc du genre! » Elle me pousse à bout, et ce depuis toujours. Elle cherche à me pousser dans mes retranchements et elle sait qu’elle est douée dans ce domaine. Je déteste cette sensation. Je suis déjà hors de moi à peine ai-je posé mon regard sur elle, mais je me sens vivante aussi, plus que ces dernières 48h. Je lui demande à quoi elle s’attendait, elle croyait pas non plus que j’allais la remercier pour la dernière fois à Coachella ? « Alors oui... Tu pourrais commencer par un "merci leither de m'avoir délivrée, car je devenais folle à imaginer cette langue entre mes cuisses!" Et surtout ne prétends pas le contraire… » Je garde les sourcils froncés alors qu’elle s’approche davantage, à mesure qu’elle fait battre mon coeur plus vite. Mais elle ne le sauta jamais. « Tes cris ont largement parlés pour toi! » « Qui te dit que j’ai pas simulé ? » Evidemment que non, j’avais envie de la tuer à ce moment là, j’aurai pas simulé pour lui faire plaisir. Mais c’est tellement plus facile de me dédouaner de cette manière. Elle s’approche encore et je vais devoir reculer pour ne pas qu’elle soit trop près au risque de m’en prendre à elle. Je suis à bout de nerfs. « Après tu pourrais ne serait ce que par...humm... politesse, me rendre la pareille, bien que je t'avouerai que… Je ne sais pas si le voyage  vaudrait le coup! » « Va te faire foutre ! » Je la pousse de mes deux mains sur mes épaules, avec assez de violence pour la faire reculer d’un pas ou deux. « Tu mérites même pas que je te touche. » Même si j’en meurs d’envie, c’est clair. Mais elle me rend tellement cinglée que je sais plus comment me comporter avec elle. « T’as pas répondu à ma question, qu’est-ce que tu foutais là toute seule dans le noir ? T’étais avec un mec ? » C’est la première explication qui me vient, une sorte de jalousie mal placée que je ne devrais sûrement pas ressentir.
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Jeu 30 Aoû - 0:15
Andrea & Alicia
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« Tes cris ont largement parlés pour toi! » « Qui te dit que j’ai pas simulé ? » J'esquisse un fin sourire sous cette piètre tentative d'écorner à son tour mon orgueil; Malheureusement pour elle, andréa savait tout comme moi qu'elle avait vibré sous cet indécent cuni en public. D'ailleurs, jamais je n'aurai imaginé faire une telle chose entourée de milliers de festivaliers, mais il fallait croire que la colombienne repoussait les limites de ce que je pouvais ou ne pouvais pas faire. M'approchant un peu plus, entrant aussi bien mentalement par mes propos, que physiquement dans sa zone de sécurité, je poursuivis sur le meme ton désinvolte... « Après tu pourrais ne serait ce que par...humm... politesse, me rendre la pareille, bien que je t'avouerai que… Je ne sais pas si le voyage en vaudrait le coup! » « Va te faire foutre ! » De suite, la brune me repoussa violemment du plat de ses deux mains sur mes épaules. Je m'attendais certes à une réaction, mais peu etre pas à une aussi vive... "Ouhhh... doucement (regard plus fauve) Je ne voudrai pas abimer ce jolie minois..." Car en terme de réactions vives, je n'étais pas en reste; Et les tensions accumulés au fil de ces semaines ajoutés à celles que faisait naitre la brune n'aidant en rien, j'étais tout comme elle une bombe à retardement... « Tu mérites même pas que je te touche. » *Ohhh que si je le mérite... je le mérite pour tout ce que tu sais que je peux te faire; pour tout ce que tu sais que je peux te faire ressentir! * Elle m'énervait à se la jouer sainte ni touche, alors que son regard... hsss... oui son regard me disait tout le contraire!  « T’as pas répondu à ma question, qu’est-ce que tu foutais là toute seule dans le noir ? T’étais avec un mec ? » Je... Quoi?! Éclatant de rire, je me reculais de deux pas en prévoyance d'une nouvelle attaque d'andrea. Je sais... je sais... Rire comme ça au nez de la brune, n'était pas le meilleur moyen de faire redescendre la tension, mais il y avait tout de meme de quoi rire; Car en effet j'étais avec un "mec", sauf que la colombienne était à mille lieux de la raison pour laquelle j'étais dans cette ruelle sombre avec ce dit "mec"... D'ailleurs, pourquoi tout de suite penser à un homme? Était ce pour elle impensable que je puisse m'amuser avec une autre femme qu'elle?! Calmant mon fou rire, je m'approchait de ma panthère mesurant tout à fait le risque que je prenais... "(moqueuse) Un homme hein...?! Donc pour toi je suis bi... ou une hétéro curieuse peut être?! (réduisant l'espace, regard ancré au sien) Ou peut être est ce trop difficile pour toi de m'imaginer avec une autre, à peine quelques semaines après avoir été si... hsss...proche de toi?!" L’ambroisie de sa jouissance me revenait en bouche, éveillant de nouvelles envies, mais de la voir ainsi hors d'elle, de jouer avec ses nerfs, tirer sur cette corde fine et tendue m'excitait encore plus que d'enfouir à nouveau ma langue en elle... Regard pétillant de malice, voix chaude et ton insolent, je poussais un peu plus loin... "Et si je te disais que j'étais avec une autre... comme j'ai été avec toi?! (reduisant la distance) Que tout comme toi, elle a glissé ses mains dans mes cheveux... ses doigts se refermant sous l'emprise de son plaisir... (mordant ma lèvre inférieur) son bassin ondulant tout comme le tien sur cette bouche gourmande... sous cette langue experte! (corps se frolant) Que ressentirais tu? Préfèrerais tu que se soit un homme? Une fellation passerait t'elle mieux à tes yeux?" Je ne sais pas pourquoi, ou du moins je ne le sais que trop bien la raison pour laquelle, à peine ma phrase achevée; je m'imaginais à genou dans cette ruelle noire, prenant en bouche un inconnu sous le regard de la brune. Et bien que cela soit plus que tortueux, cette vision m'excitait au plus au point, sachant que cela déclencherait autant de dégout que de jalousie, et de rage chez la colombienne...



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Jeu 30 Aoû - 11:53
Je l’insulte, la pousse, j’en peux plus. Je déteste ressentir ce que je ressens pour elle, je déteste cette attirance, cette jalousie malsaine. Rien que d’imaginer qu’elle était en train de partager un truc sexuel avec un mec ou n’importe qui d’autre d’ailleurs, ça me dégoûte, ça me rend folle. Elle éclate d’abord de rire, avant de s’approcher à nouveau telle une panthère. Je reste pour ma part immobile, la mâchoire serrée, les yeux rivés dans les siens, menaçante. Qu’elle ne s’approche pas trop. Je suis remontée. « Un homme hein...?! Donc pour toi je suis bi... ou une hétéro curieuse peut être?! Ou peut être est ce trop difficile pour toi de m'imaginer avec une autre, à peine quelques semaines après avoir été si... hsss...proche de toi?! » Je sais pas ce qu’elle est, mais elle me tape sur le système. Je déteste cette manière qu’elle a de vouloir se sentir supérieure, de croire qu’elle a tous les droits. Elle croit sans doute que je suis sa proie, qu’elle décide, qu’elle peut jouer. Mais je ne suis pas en mesure de jouer. Pas maintenant. Pas après ce que je viens de vivre depuis quelques jours, surtout que j’estime qu’elle n’y est pas pour rien. Elle me vrille le cerveau, cette conne. « Tu crois vraiment que je peux être jalouse d’une potentielle femme à qui tu donnerais du plaisir ? » Je ris, cyniquement, pour lui montrer qu’elle prend ses rêve pour une réalité. Je ne suis pas sa chose. « Et si je te disais que j'étais avec une autre... comme j'ai été avec toi?! Que tout comme toi, elle a glissé ses mains dans mes cheveux... ses doigts se refermant sous l'emprise de son plaisir... son bassin ondulant tout comme le tien sur cette bouche gourmande... sous cette langue experte! Que ressentirais tu? Préfèrerais tu que se soit un homme? Une fellation passerait t'elle mieux à tes yeux? » Je plisse les yeux en la regardant, elle s’approche encore et je lui donne un coup de tête. « Mais qu’est-ce que tu imagines Leither ? » Mon regard jongle entre ses yeux, je ne suis pas du tout dans le même état d’esprit qu’elle. « Tu crois que tu peux jouer avec tout le monde, manipuler tout le monde ? Tu crois que le désir et le sexe sont la clé de tout ? » Cette fois c’est moi qui m’approche, menaçante, pour la faire reculer. « Tu baises avec qui tu veux, j’en ai rien à foutre. Mais ça renforce juste l’idée que j’ai de toi. Cette petite trainée qui se prend pour une reine. Tu me dégoûtes. » Elle veut jouer, je peux jouer aussi…
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Jeu 30 Aoû - 17:35
Andrea & Alicia
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« Mais qu’est-ce que tu imagines Leither ? Tu crois que tu peux jouer avec tout le monde, manipuler tout le monde ? Tu crois que le désir et le sexe sont la clé de tout ? » Hmmm non... il y avait également l'argent et les relation, ainsi que le pouvoir que ceux ci procuraient. Mais je m'abstins tout de meme de le lui rétorquer, la brune étant passablement à cran. D'ailleurs, elle ne tarda pas à renverser la vapeur s'approchant menaçante, me forçant par la meme à légèrement reculer. Non pas que j'avais foncièrement peur d'elle, mais il se dégageait un telle tension de sa personne que j'étais presque sur qu'elle pourrait, si je lui en donnais l'occasion, lâcher les chaines... « Tu baises avec qui tu veux, j’en ai rien à foutre. Mais ça renforce juste l’idée que j’ai de toi. Cette petite trainée qui se prend pour une reine. Tu me dégoûtes. » Tiquant, je battis des cils sous la brutalité de ses propos... Une quoi?! Une trainée???? C'était moi la trainée????!!! Sourcils froncés, yeux plissés, toute trace de raillerie s’effaça de mon faciès pour ne laisser place qu'à une sombre colère mal contenue. Elle se prenait pour qui??? Madame débarquait de nul part avec son "mon amour, je t'ai vu au beau milieu d'un reve", à foutre mon train train en l'air et empoisonner mes nuits et en plus elle se permettait de m'insulter?! Si ce n'était pas elle, je lui aurai déja foutu mon poing dans la gueule... "(colère contenue) C'est moi la trainée??? (rictus de dégout) Qui m'a sauté dessus en m'embrassant dans une ruelle? Qui m'a abordé par la suite au bar en prétextant me connaitre? Qui m'a emmené chez elle? Qui était prête à s'envoyer en l'air avec une parfaite inconnue? (voix plus dure et sarcastique) Qui a ouvert ses cuisses en plein milieu d'un concert sans se soucier de qui pouvait bien regarder ou filmer? (m'approchant menaçante à mon tour) Qui est de nouveau là, à me questionner sur qui je baise et ou, faisant semblant de s'en carrer quand ses propos transpire la jalousie mal placée!!" Poussant à mon tour la brune de mes mains sur ses épaules, je l'envoyais tutoyer le mur sous la force mise... "(réduisant l'écart) Quant à savoir qui est la trainée entre nous deux, je pense que tu gagnerais haut la main les votes du publique! (ton rageur, regard noir) Tu me dégoutes! TOI et tes faux semblants, TOI et ta manière de vouloir te faire passer pour une victime!! (grognement sourd) Tu es une victime andréa?? C'est comme ça que tu te vois? Faible et sans défense face à une trainée?!" J'avais une furieuse envie de lui rentrer dedans, mais je ne voulais pas lui faire se plaisir. Si elle voulait partir à l'affrontement, qu'elle fasse le premier pas... J'étais prete à l’accueillir!

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Lie me, I bite you! bite me, i ablaze you...[andrea]
Sam 1 Sep - 22:47
Je ne mâche pas mes mots, je ne l’ai jamais fait avec elle, c’est ce qui nous rapproche et nous éloigne, depuis que nous nous sommes trouvées, retrouvées. Je sens que mes propos ne lui plaisent pas, ils n’étaient pas faits pour ça. Le but de notre relation a toujours été de nous faire monter en pression autant l’une que l’autre, à celle qui aura le dernier mot, à celle qui sera la plus acerbe. Je gagne le premier point, mettant la blonde dans tous ses états. « C'est moi la trainée??? » Je souris légèrement, cynique, attendant qu’elle s’emporte et entre dans la partie que je viens d’ouvrir volontairement. Elle commence, s’énervant tout seule alors que je reste stoïque, ce sourire qu’elle déteste pendu à mes lèvres, tellement faux, tellement provocateur. Elle s’approche, je la laisse faire, ne bouge pas d’un centimètre, ne la lâche pas des yeux. La voilà qui parle de jalousie mal placée et cette fois je ris. Elle me pousse et je la laisse faire, jouant les poupées de chiffons que rien n’atteint. C’est encore ce qui la mettra le plus en colère, j’ai compris. Mon dos heurte le mur, j’y prends presque plaisir. La voilà qui rapplique, je ne quitte pas son regard, le mien empli d’une distance qu’elle ne connaissant peut-être même pas. Si elle croit m’atteindre… « Quant à savoir qui est la trainée entre nous deux, je pense que tu gagnerais haut la main les votes du publique! Tu me dégoutes! TOI et tes faux semblants, TOI et ta manière de vouloir te faire passer pour une victime!! Tu es une victime andréa?? C'est comme ça que tu te vois? Faible et sans défense face à une trainée?! » Je me mords la lèvre inférieure en souriant, ne lui donnant sûrement pas ce qu’elle attend de moi, à savoir un élan de colère comme j’en ai le secret. Je joue alors davantage, abattant une nouvelle carte dans notre jeu. « Bouhou… oui, je suis la victime… sans défense et face à une traînée. » Je fais une petite moue faussement triste, comme une enfant qui fait semblant de bouder pour avoir ce qu’il désire. « Moi et mes faux semblants, moi qui pose les questions, moi la méchante qui ait voulu m’envoyer en l’air avec une inconnue le premier soir… Ouhlala oui ça fait de moi une très vilaine traînée… » Je ricane alors que je sens qu’elle va m’exploser à la gueule comme une bombe à retardement. J’en ai rien à foutre, je n’ai plus rien à perdre, au point où j’en suis. « Allez chérie, va jouer ailleurs. Par contre, je vais aller faire un petit tour par là, si tu veux bien. » Je mentionne l’allée par laquelle elle est arrivée l’air de rien, et de manière hautement suspicieuse. Je glisse ma main à sa taille pour la faire se décaler de mon chemin et me dirige alors d’un pas décidé vers l’intérieur de la ruelle sombre. Si elle n’a rien à se reprocher, elle ne m’en empêchera pas. Dans le cas contraire…
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Lun 3 Sep - 7:18
Andrea & Alicia
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"... (grognement sourd) Tu es une victime andréa?? C'est comme ça que tu te vois? Faible et sans défense face à une trainée?!" J'avais une furieuse envie de lui rentrer dedans, mais je ne voulais pas lui faire se plaisir. Si elle voulait partir à l'affrontement, qu'elle fasse le premier pas, j'étais prête à l’accueillir! Sauf que contrairement à ce dont je m'attendais, la brune préféra jouer la carte de la surenchère se feignant d'un large sourire moqueur, sa voix se faisant nasillarde... « Bouhou… oui, je suis la victime… sans défense et face à une traînée. » Machoire serrés, yeux un peu plus plissés, je me contenais pour ne pas lui foutre mon poing dans la gueule sachant pertinemment que c'était la réaction qu'elle attendait de moi; Manque de peau pour elle, je ne comptais pas lui faire ce plaisir! sauf que je ne lui ferai pas ce plaisir! « Moi et mes faux semblants, moi qui pose les questions, moi la méchante qui ait voulu m’envoyer en l’air avec une inconnue le premier soir… Ouhlala oui ça fait de moi une très vilaine traînée… » *Tout doux andréa! Tout doux!* Oui qu'elle se calme un peu, car si leither était du genre à se perdre en de longs discours, alicia elle partait au quart de tour! Son ricanement, sa fausse moue boudeuse, son regard condescendant, tout était mis en place pour que j'explose; Mais j'avais également appris à me contrôler et bien que j'étais au bord de faire voler en éclat cette "identité", quelque chose m'en empêchait ou du moins quelqu'une...« Allez chérie, va jouer ailleurs. Par contre, je vais aller faire un petit tour par là, si tu veux bien. » Pointant l'allée de son index, elle glissa sa main sur ma taille pour m'écarter de son chemin, sa démarche sur témoignant de sa détermination à satisfaire sa curiosité malsaine. J'étais dans de beaux draps! Si je partais à l'affrontement, cela ne ferait qu'augmenter sa suspicion, et si je ne faisais rien alors elle risquerait de découvrir qui se cachait réellement sous cette "douce étudiante" en arts et musicologie... *Que faire?!* Je n'étais pas prête à ce que la brune me voit sous mon vrai jour, et encore moins si tel était le cas à agir, de manière à me préserver. Pourquoi fallait il que tout soit si compliqué avec elle!! "(feignant indifférence) Tchipp... fais ce qui te chante andréa... Et pendant que tu iras te rassurer sur qui je baise ou ne baise pas, en bonne trainée que je suis, je vais me chercher quelqu'un de bien réel avec qui je pourrai me vautrer dans la puterie!" Tournant les talons énervée aussi bien par cet échange que par le fait de ne rien pouvoir contrôler aux faits et gestes de la brune, je me dirigeais vers l'autre sortie de la ruelle ayant choisi pour chute la boite de nuit derrière laquelle nous nous trouvions. Vexée et frustrée  je n'avais qu'une idée en tete, boire et m'envoyer en l'air avec la première venue... Après tout j'étais une trainée, non?!

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Mar 4 Sep - 8:59
Je ne la connais que très peu, voire pas du tout d’ailleurs, puisque le portrait qui a été dépeint dans mes rêves est peut-être même plus erroné que je ne veux bien me l’avouer. Pourtant, elle a cette impulsivité qui je sais pourrait exploser en un quart de seconde. Après un sourire, un rire cynique, une parole de travers. Elle se contient, je joue avec le feu, je n’ai pas peur d’elle. Je n’attends que le moment où elle passera de l’envie à l’action. Je jubile, manie les mots pour faire grimper en elle la colère. Je vois sa mâchoire devenir carrée à force de serrer les dents, j’adore ça. Je joue la carte de la femme détachée, et tente le tout pour le tout en lui proposant d’aller voir ce qu’elle pouvait bien faire là bas. Je sens dans son regard qu’elle ne veut pas. C’est encore plus jubilatoire. « fais ce qui te chante andréa... Et pendant que tu iras te rassurer sur qui je baise ou ne baise pas, en bonne trainée que je suis, je vais me chercher quelqu'un de bien réel avec qui je pourrai me vautrer dans la puterie! » Si elle croit m’avoir avec ça, elle se fourre le doigt dans l’oeil et jusqu’au coude. Je ricane une nouvelle fois et continue mon chemin alors qu’elle en fait de même en sens inverse. Je me retourne une fois au niveau des bennes à ordure et suis alertée par une odeur de métal significative. Du sang. Leither n’est plus là, elle a sans doute fui très loin. Je fouine un peu mieux et découvre le corps d’un homme, avec une inscription lacérée sur le front. Evidemment, il est mort. Je grogne un peu et réfléchis une seconde. Je n’ai aucun intérêt à me laisser couler dans l’enquête, j’ignore si Leither a quelque chose à foutre là dedans et l’espace d’un instant, j’ai cette envie étrange de la protéger même si je ne connais pas tout ça. Le plus difficile dans tout ça, c’est que je suis mise à pied. Je pourrai aussi ne rien dire à personne. Je suis partagée et je déteste cette sensation. Finalement, mon métier me rattrappe, à moitié. Je retourne vers là où il y a du monde, et choppe un mec bourré au passage. « File moi ton téléphone, c’est pour appeler les flics. » Il baragouine un truc genre il veut pas avoir à faire aux flics et je lui montre ma carte. Il fait moins le malin. J’appelle alors police secours en prenant soin de ne pas tomber sur ma brigade et annonce sèchement qu’il y a un cadavre dans une rue. Je donne la position et raccroche. Finalement, je redonne son téléphone au gars en question, avec une tape sur l’épaule, et rentre dans le bar dans lequel j’étais un peu plus tôt Je commande une bière et entends déjà les sirènes. Mon regard croise celui de Leither, elle n’est pas partie. Pourtant, les bagnoles de flic commencent à entourer le quartier. Je me dirige d’un pas nonchalant vers elle et lui glisse à l’oreille. « J’espère que tu n’as rien à te reprocher… »
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Mer 12 Sep - 23:04
Andrea & Alicia
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 " Tchipp... fais ce qui te chante andréa... Et pendant que tu iras te rassurer sur qui je baise ou ne baise pas, en bonne trainée que je suis, je vais me chercher quelqu'un de bien réel avec qui je pourrai me vautrer dans la puterie!"  Marchant à grandes enjambées passablement énervée par le ricanement exagéré de la colombienne, je suis à deux doigts de revenir sur mes pas et de faire moi meme les présentations entre Larry et elle... Sa suffisance, son ton acerbe, son j'en m'en foutisme me mettaient hors de moi. Si je m'écoutais, je retournerais cette situation en un claquement de doigt. Mais pour une raison qui m'échappe encore, la brune a cette emprise, ce magnétisme qui fait que je laisse couler alors meme qu'elle mériterait une bonne raclée!!! 

"Un shoot!" Sous l'effet de ma colère une simple commande se transforme en un ordre cinglant. La barman stop son élan quelques secondes sous la brutalité du ton employé, avant de faire comme moi, laisser couler et prendre le nécessaire à l'apaisement de mes nerfs... "Mauvaise journée... ou début de soirée?" Bifurquant ma tête sur ma droite, je croise le regard aguicheur teinté de malice d'une jolie rousse... "(tentant d'être "aimable") Les deux!" Me saisissant de mon verre à shoot, je vide celui ci d'une traite et en redemande de suite un autre... "(taquine) Je vois... je me sens d'un coup moins seule!" Sourire avenant, la rousse tente de me dérider sauf qu'il était clair que les phrases bateaux et sourires en coin ne l'aideraient guère à parvenir à ses fins... "(Vidant mon deuxieme shoot) Écoute .... " "Anna" "...Anna... Je ne serai pas une très bonne interlocutrice ce soir, je n'ai pas envie de faire la conversation à qui que ce soit, et..." m'interrompant nonchalamment "C'est parfait car moi non plus!" Quelque peu déroutée, je reste coi quelques secondes, secondes dont profite la rousse pour éclaircir les choses... "Je veux juste boire... (joignant le geste à la parole) et m'envoyer en l'air... Et de celles qui sont entrées, c'est simplement sur toi que mon choix c'est porté! Ca aurait pu etre n'importe qui d'autre, n'y voit pas matière à t'enorgueillir!" Hummm du vocabulaire, un esprit vif et de la répartie... "(sourire en coin) Je note... (levant mon verre vers elle) Aux opportunités d'envoyer chier les journées de merde!" Trinquant sourires aux lèvres, nous commencames à enchainer les shoots...

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"Et..." "c'est comme ça que tu t'es retrouvée dans ce bar..." Acquissant shoot en main.. "Exactement!" Commandant une nouvelle tournée, je levais mon verre à mon tour, alcoolisée mais pas encore saoule... "Et ben... on peut dire que tu mérites laaaaaargement ton bourrage de gueule, eeeeet ta petite sauterie!" Acceuillant mes propos d'un rire franc, la rousse se penche à mon oreille pour y sussurer un... "En parlant de ma petite sauterie... (voix plus chaude) Je crois que l'heure n'est plus à la discussion..." Souriant sous la franchise et l'impétuosité de la jeune femme. Mon sourire s'efface bien vite lorsque je vois venir dans notre direction andréa suivie de son petit nuage noir... "En effet... (soupire d'exaspération) L'heure est aux emmerdes!" Pointant du menton andréa, je commande deux nouveaux shoot et tente de rester focalisée sur anna... "(clés de voiture en main) On a largement dépassé l'heure légale pour etre emmerdés! Qu'en penses tu?" Mon regard bifurque des clés à anna, à andrea avant que je ne lâche un... "Je n'aurai pas dit mieux!" Mais a peine ais je esquissée un semblant de levé, que je vois arriver vers moi andréa, celle ci se glissant derechef entre anna et moi pour me glisser à l'oreille sur un ton suspicieux... « J’espère que tu n’as rien à te reprocher… » Mon regard se fait instantanément plus sombre, ma mâchoire se serrant légèrement sous la colère ressentie... Alors comme ça elle l'avait trouvé! Ce petit cadeau ne lui était pas destiné! C'était comme ci vous aviez cherché méticuleusement quoi offrir à quelqu'un, prenant soin de l'emballer soigneusement; Et qu'une tierce personne s'était jetée dessus sans se soucier de personne! Quel égoïsme!! M'écartant légèrement d'andréa, je plante mon regard dans le sien y mettant tout l'agacement présentement ressenti... "Et que devrais je me reprocher cette fois ci? Après celui de trainée, de quel adjectif qualificatif vas tu encore m'affublée? (regard défiant) Mais quelqu'il soit fait vite s'il te plait... (léger geste de tete en direction d'anna) Je suis légèrement occupée!"

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Mer 19 Sep - 20:01
J’ignore si elle a quelque chose à voir là dedans. Ma raison me hurle que oui, c’est évident, et pourtant, une autre force inconnue me retient d’y croire pleinement. Elle ne peut pas être une meurtrière, ce n’est pas possible. Ni même avoir participé de près ou de loin. Pourtant tout porte à croire qu’elle y est pour quelque chose. J’aurai pu ne rien dire, ne rien faire, mais il me reste un semblant de conscience professionnelle, alors j’ai appelé le commissariat du quartier pour les prévenir. Je ne connais pas les flics d’ici, même s’il arrive que certaines brigades travaillent avec d’autres. Je passe dont inaperçue, ils ne pourront pas retracer l’appel, et le mec bourré qui m’a filé son téléphone n’est pas une preuve en soi.

Je rentre dans le bar et retrouve sans aucun mal la jolie brune, glissant quelques mots à son oreille. Je la provoque, j’ai besoin de savoir si elle a des scrupules, si elle a à voir avec cette enquête sur le point d’être ouverte. Le regard de la demoiselle se fait plus rude, je peine à déceler quoi que ce soit qui pourrait m’aider à me faire une idée de qui elle est réellement. Je vois les muscles de sa mâchoire qui se serrent, j’attends le moindre faux pas de sa part. « Et que devrais je me reprocher cette fois ci ? Après celui de trainée, de quel adjectif qualificatif vas tu encore m’affubler ? Mais quelqu'il soit fait vite s'il te plait… Je suis légèrement occupée! » Son regard bifurque sur la demoiselle qui était à ses côtés. Oh je vois, je dérange. J’en ai rien à foutre. J’arque simplement un sourcil. « Depuis quand tu te soucies de ce que je pense de toi ? » Elle est du genre à en avoir rien à foutre de tout, elle aussi. Ça se porte sur elle, alors qu’elle ne joue pas les saintes nitouche. J’en ai vu d’autres. « Mais je t’en prie, continue ta vie sans faire attention à moi, tu as l’habitude ! » Je glisse quand même ma main sur sa joue avec un sourire carnassier au coin des lèvres. « On verra si on est amenées à se revoir… » Le sous entendu est de taille. Si vraiment elle a quelque chose à voir dans cette histoire, les choses seront différentes, c’est certain. « Je vous dérange pas plus longtemps, reprenez où vous en étiez ! » Je me tourne et adresse un clin d’oeil à la demoiselle avec qui elle discutait, et avec qui elle va très certainement s’envoyer en l’air. Je garde ma jalousie mal placée bien enfouie cette fois. « Et merci de valider ce que je pense de toi ! » Je m’éloigne en levant la main en l’air comme un signe de main pour dire au revoir, mais clairement je-m’en foutiste. Je la provoque, c’est comme ça que ça a toujours marché entre nous.
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Jeu 20 Sep - 18:24
Andrea & Alicia
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"Et que devrais je me reprocher cette fois ci? Après celui de trainée, de quel adjectif qualificatif vas tu encore m'affublée? (regard défiant) Mais quelqu'il soit fait vite s'il te plait... (léger geste de tete en direction d'anna) Je suis légèrement occupée!" Bifurquant sa tete sur sa gauche, la brune n’émet aucun signe d'hostilité envers la rousse, seul un léger mouvement de sourcil déforme les traits de son visage impassible... « Depuis quand tu te soucies de ce que je pense de toi ? » La garce!!! Je déteste quand elle prend ce ton désinvolte qui chez elle s'apparente à un gros "fuck you!"; Mais je déteste encore plus le fait qu'elle vise à chaque fois dans le mille!! Il est clair que ses remarques ou ses opinions - ou du moins une partie de celles ci- me touchent. Pourquoi? Je n'en sais foutrement rien, mais cela commence sérieusement à me faire chier!! Je ne suis pas femme à me laisser marcher sur les pieds et encore moins dé respecter; Et pourtant andrea s'en donne à coeur joie dans les deux domaines sans que je ne me décide à y mettre un terme une bonne fois pour toute. Pireee... j'entre dans son jeu à pieds joins prise entre l'envie de la tuer et le plaisir de jouter! Si seulement je n'avais pas fait ce foutu reve partagé, ce petit air supérieur aurait bien vite disparu de sa personne...  « Mais je t’en prie, continue ta vie sans faire attention à moi, tu as l’habitude ! » Glissant sa main sur ma joue, sourire carnassier en coin de lèvres, la colombienne poursuit ce jeu malsain de qui enverra chier - subtilement ou non - l'autre le plus; Et croyez moi, ce soir elle mène haut la main!! Esquissant un geste de retrait brusque de la tete, regard noir, je tente de ne pas lui sauter à la gorge car de un: ca lui ferait bien trop plaisir, de deux: je risquai de l'étrangler, et de trois: je ne détenais pas le pouvoir de résurrection! Erffff.... Bien qu'elle me sortait pas tous les orifices, cette garce s'imposait à moi sans que je ne puisse rien y faire, et c'était bien là le nœud du problème!! « On verra si on est amenées à se revoir… Je vous dérange pas plus longtemps, reprenez où vous en étiez ! » Je n'esquisse aucun geste, maitrisant encore mes nerfs alors qu'elle mériterait une bonne correction; mais lorsqu'elle balance son.. « Et merci de valider ce que je pense de toi ! » Je ne réponds plus de rien!! Ça allait une fois de se faire traiter de trainée, deux fois c'était limite, mais alors TROIS FOIS dans la meme soirée à a peine trente minutes d'écarts, c'était trop pour l'italienne que j'étais! Avalant d'une gorgée mon shoot, je m'excuse auprès de la rousse pour la soirée avortée avant de me précipité sur andréa, lui attrapant le bras pour la trainer à ma suite... Autant le dire tout de suite, si nous avions été seules, je lui aurai balancer mon verre en pleine tete; mais chance pour elle ce n'est pas le cas et je dois donc me rabattre sur l'option B, à savoir le mode "civilisé". Je n'ai pas besoin de la regarder pour savoir qu'elle jubile, fière comme un paon, je peux sentir ses ondes de satisfaction vriller son aura. J'en rage!! Jamais personne ne m'a ainsi mis hors de moi; ou du moins, je n'ai jamais laissé le temps à quiconque de se jouer ainsi de moi... "DEHORS!" Les deux inconnues me regardes, évaluent les risques d'une plausible confrontation et finissent par opter pour la retraite. Ni une ni deux, je ferme la porte à clé derrière nous, nous enfermant dans ces toilettes que j'imaginais plus glauques... Nonnn sérieusement... Ils ont fait pas mal d'efforts sur la déco, c'est vraiment sympa! En plus ca sent bon, les cabines sont stylisées et c'est clean... Pour sur je reviendrai par ici, mais l'heure n'est pas à la contemplation, mais plus au règlement de compte. D'ailleurs la petite réflexion de la brune réactive le mode "terminator" et c'est sans retenue que j'éclate sous son regard suffisant... " C'EST QUOI TON PROBLÈME?! TU TE FAIS SI CHIER DANS TA VIE QUE TU  T ES SENTI OBLIGE DE VENIR POURRIR LA MIENNE?!!!" Je sais que sortir ainsi de mes gonds est chose jouissive pour elle, mais après ces semaines ou mes nerfs ont été mis à rudes épreuves, je n'en ai rien à faire qu'elle pense mener la danse ou avoir remporter quelque victoire. Tout ce que je sais, c'est que j'ai besoin de relâcher cette pression accumulée, et de préférence par le verbale à défaut d'une manière plus brutale... "JE NE SAIS PAS CE QUI PEUT Y AVOIR DANS TA TETE DE MALADE, NI CE QUI A PU TE TRAUMATISER POUR QUE TU TRAITES TES COUPS D UN SOIR DE TRAINÉE... (rire nerveux, bras ecartés) ET ENCORE ON N A MEME PAS COUCHER ENSEMBLE!!! J IMAGINE MEME PAS L ENFER QUE CA A DU ETRE POUR TOUTES CELLES QUI ONT EU LE MALHEUR DE FROISSER TES DRAPS OU ÔTER TES PETITES CULOTTES!! (la poussant brutalement en arrière) TU ES UNE CINGLÉE, JE NE CROIS PAS AVOIR CROISE PLUS DÉRANGÉE!! IL TE MANQUE JUSTE UNE BITE ET TU POURRAIS ETRE COURONNÉE ROI DES BEAUFS!!!" Essoufflée, hors de moi je fais un effort sur-humain pour ne pas laisser parler la Zorsini en moi. En lieu et place des coups, des armes, des tortures et autres: les mots, la colère et la frustration. En somme la brooke en moi, cette leither étrangère au monde vert et carmin d'alicia; Celle connue que de mon sang, ma moitié et ces fantômes d'un autres temps...

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Jeu 4 Oct - 10:48
Pour une fois, c’est moi qui garde le contrôle, moi qui décide de ne pas céder à la colère qui sévit en moi lorsque cette fille est dans les parages. C’est un enfer généralement, et ce soir, je suis étonnamment calme, malgré ce qui vient de se passer et les doutes que je peux avoir sur elle. Je reviens d’ailleurs dans son champs de vision, et d’un ton presque nonchalant m’adresse à elle de manière à la rendre folle. Elle n’a pas l’habitude que je sois si calme, que ma voix soit si posée, et je crois savoir qu’elle risque de partir au quart de tour en me voyant si peu réactive à ses provocations. J’en rajoute une dernière petite couche et m’éclipse comme si de rien n’était. Je sais qu’elle reviendra, elle en meurt d’envie autant qu’elle a envie de me tuer. Je dois savoir ce qu’elle a dans le bide, qui elle est réellement, et pour ça, rien de mieux que de la pousser dans ses retranchements. Bingo. Ses doigts enserrent mon bras et elle me tire avec elle jusque dans les toilettes. Je n’émets aucune résistance, pire, je souris, jubilant de voir que j’avais raison, qu’elle ne partirait pas avec cette fille avant de montrer son mécontentement face à mon attitude envers elle. Grrr quelle sensation grisante, je sens tout mon corps en alerte. Elle est hors d’elle, elle fait sortir les femmes des toilettes pour nous y enfermer. Hum, jolie déco. « C'EST QUOI TON PROBLÈME?! TU TE FAIS SI CHIER DANS TA VIE QUE TU T’ES SENTI OBLIGE DE VENIR POURRIR LA MIENNE?!!! » Ses yeux sont prêts à exploser sous la colère, et moi je souris. Je n’ai pas peur d’elle, qui qu’elle soit. « Ow chérie… je te pourris la vie ? Vraiment ? A ce point ? Merde alors je pensais pas avoir autant d’influence sur toi pour en arriver là… » Ma voix chante presque et pue le cynisme à plein nez. Je souris, je souris parce que je sais qu’elle va exploser d’autant plus de sentir qu’elle n’a aucun effet sur moi, ou en tout cas, pas celui qu’elle voudrait avoir. « JE NE SAIS PAS CE QUI PEUT Y AVOIR DANS TA TETE DE MALADE, NI CE QUI A PU TE TRAUMATISER POUR QUE TU TRAITES TES COUPS D UN SOIR DE TRAINÉE… » Oui donc visiblement, elle aime pas qu’on la prenne pour une pute. Je note. « ET ENCORE ON N A MEME PAS COUCHER ENSEMBLE!!! J IMAGINE MEME PAS L ENFER QUE CA A DU ETRE POUR TOUTES CELLES QUI ONT EU LE MALHEUR DE FROISSER TES DRAPS OU ÔTER TES PETITES CULOTTES!! » J’ai envie de rire, je me contiens, je souris seulement, me pince les lèvres, mords même ma lèvre inférieure pour me retenir. Elle me pousse en arrière, je la laisse faire, n’émets toujours aucune résistance, je joue les poupées de chiffon. J’ai bien remarqué que pour lui plaire il fallait être à sa hauteur, lui donner du répondant, et ce soir je la pousse simplement dans ses retranchements. « TU ES UNE CINGLÉE, JE NE CROIS PAS AVOIR CROISE PLUS DÉRANGÉE!! IL TE MANQUE JUSTE UNE BITE ET TU POURRAIS ETRE COURONNÉE ROI DES BEAUFS!!! » Voilà. Cette fois je ris elle a gagné. Cette dernière tirade était définitivement la plus pourrie qui soit sortie de ses lèvres. « Merde alors, t’as rien trouvé de mieux pour arriver à me mettre en rogne ? » Je crois que le joint que j’ai fumé tout à l’heure était franchement bien dosé parce que j’ai toujours pas envie de m’énerver. « Je suis peut-être cinglée oui, enfin ce soir, on se demande qui est la plus cinglée de nous deux. C’est quand même toi qui gueule sans raison apparente. » Rictus au coin des lèvres, je m’avance à nouveau vers elle. « Pourquoi t’es venue me chercher si je suis si cinglée ? Hum ? Si je t’énerve à ce point… » Je m’avance encore jusqu’à ce que je puisse sentir son souffle sur ma peau. « Tu pouvais juste aller te défouler dans les bras d’une autre. Mais non. T’es là. Avec moi. » Je fais glisser mon index sur son thorax jusqu’à la naissance de sa poitrine sans la lâcher des yeux. « Qu’est-ce que tu veux, Leither ? »
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Ven 5 Oct - 7:46
Andrea & Alicia
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Son sourire... Son putin de sourire narquois m'irrite au plus au point! Je n'ai pas le souvenir que quelqu'un ait pu me mettre dans une telle rage, ou du moins n'en ais je jamais laissé la possibilité à personne. Mais elle... cette.. cette conasse y parvient avec une telle facilité que ça en est presque vomitif. Elle est belle la zorsini!! Ou se trouve la petite fille d'Alfredo, cette italienne au caractère bien trempé, cette femme d'affaire n'hésitant guère se salir les mains?! Surement pas en ces lieux, et définitivement pas en cette amas de chair beuglante...  « TU ES UNE CINGLÉE, JE NE CROIS PAS AVOIR CROISE PLUS DÉRANGÉE!! IL TE MANQUE JUSTE UNE BITE ET TU POURRAIS ETRE COURONNÉE ROI DES BEAUFS!!! » Je n'ai pour seules réponses qu'un rire et du mépris... « Merde alors, t’as rien trouvé de mieux pour arriver à me mettre en rogne ? Je suis peut-être cinglée oui, enfin ce soir, on se demande qui est la plus cinglée de nous deux. C’est quand même toi qui gueule sans raison apparente. » Une nouvelle claque dans la gueule, comme seule elle sait en donner. Elle poignarde mon orgueil, y remue le couteau, et se délecte de ma mise à bas; Ce rictus en coin de lèvres en est la preuve...  « Pourquoi t’es venue me chercher si je suis si cinglée ? Hum ? Si je t’énerve à ce point… » De garce elle se meut en prédatrice, avançant sans peur sur sa proie. Faisant fi des permissions, elle viole espace et limites, ne laissant pour seule distance qu'un souffle court et chaud... « Tu pouvais juste aller te défouler dans les bras d’une autre. Mais non. T’es là. Avec moi. » Me défouler dans les bras d'une autre?! Pour que madame ait la satisfaction d'obtenir la preuve de ses délires?! *Mais qu'est ce que tu en as a foutre de ce qu'elle pense lei...licia! licia!* Elle en arrive même à foutre en l'air cette frontière entre celle que j'étais et celle que je suis!! Il faut vraiment que je parvienne à m'éloigner de cette fille au plus vite, bien qu'il me reste encore à trouver comment contrer le hasard, et bloquer ces frissons qui naissent au contact de la brune. *Elle le fait exprès... Reste stoïque!* Mais ce doigt qui glisse jusqu'à la naissance de ma poitrine ne m'aide guère, pas plus que ce regard contre lequel je n'arrive toujours pas à ériger des défenses... « Qu’est-ce que tu veux, Leither ? » Sa voix c'est faite plus profonde, plus basse, faisant naitre de nouveaux frissons que je tente de réprimer sans grand succès. Plus que ma perte de contrôle, c'est ma reddition qu'elle désire, mais il n'en est pas question!! Regard ancré au sien, je me pare de ce meme rictus qui ne la quitte plus, et lui rétorque sur ce meme ton sarcastique dont elle use et abuse... "Ca dépend... Tu as combien sur toi?!" Après tout, je ne connais pas une pute qui travaille gratis! Reculant sans la quitter pour autant du regard, je finis par rompre ce contact visuel las de ce petit jeu. Main dans mes cheveux, signe de nervosité chez moi; Donnant mon dos à la colombienne, je peux afin oter le masque et laisser transparaitre ma peine. En cet instant, j'aurai souhaité claquer des doigts, et me retrouver de nouveau dans ce reve ou tout était plus simple. J'aurai souhaité de nouveau manger un space cake et me laisser prendre au jeu des questions réponses; Ou encore, me bourrer la gueule et etre secourue par andrea, pour finir par l'avoir toute à moi! J'aurai aimé me glisser de nouveau dans son lit et l'éveiller à ma manière, tout comme j'aurai aimé partager de nouvelles sessions de douches ou nous n'avions guère besoin d'eau chaude pour embuer la salle de bain...  J'aurai tout simplement aimé qu'ELLE soit réelle, qu'On soit réel! "(ton neutre) Écoute... tu as gagné! Je suis une trainée et tout ce que tu veux y ajouter de plus..." Pivotant sur moi meme afin de lui faire face, je me pare de nouveau de ce masque lisse ne laissant transpirer aucune émotion... "Tu t'es visiblement trompée sur ma personne, et tu n'es définitivement pas..." *Elle* Raclant ma gorge, je tente de maintenir les faux semblants tant bien que mal... "Tu n'es définitivement pas mon genre..." Et merde ma voix c'est légèrement enraillée sur le coup! Feindre l'indifférence ne sert plus à rien, et puis de toute façon je n'en ai plus envie! Fermant quelques secondes mes paupières, sourire amer en coin de lèvres, je finis par faire tomber le masque... "Quand tu m'as embrassé dans cette ruelle... j'ai cru... J'ai cru retrouver quelque chose que j'avais perdu...(sourire doux aigre) Et quand tu m'as embrassé de nouveau sur ton canapé... quand j'ai senti ton corps sur..." Étouffant un rire acre, je m'avance vers la brune, trouvant ainsi le courage de poursuivre... "Quand je t'ai senti contre moi (secouant légèrement la tete) ca a fait ressurgir certaines choses et... j'ai pris peur! Alors j'ai battu en retraite!  (regard ancré au sien) Mais après cette nuit, je sais que ce n'était pas... (raclant ma gorge) que ce n'est pas ce que je croyais..." Après tout, le reve n'est il pas fait pour sublimer la réalité?! Il n'en reste pas moins que me mystère reste entier, sur comment j'ai bien pu transposer la brune dans cette utopique distorsion de la réalité...  Bien que mon regard soit porté sur le sien, je ne peux empêcher celui ci de glisser sur ses lèvres dont je pourrai reproduire un portrait fidèle, et ce meme les yeux fermés. Et bien que la brune ne soit pas la copie conforme de mon andréa, il n'en reste pas moins qu'elles partagent cette même énergie brute, ce meme regard hypnotique, cette même odeur corporel, les similitudes allant jusque dans cette synergie, cette attraction entre nous. Attraction de ma part s'exprimant en cet instant, par un  long soupire suivit de ma main droite se posant sur sa joue, avant que mes lèvres ne coulent sur les siennes... Rien de brutale, rien d'impatient, juste un doux et profond baiser chaste dont je tarde, je dois l'avouer, à y mettre un terme. Reculant légèrement au prise avec mes émotions, je lui souris tendrement, avant que mon visage ne se durcisse et que ma main ne parte avec force... "Et ça... (claque) C'est pour le trainée!" Quitte à ce qu'on se dise adieu, autant que je puisse venger mon orgueil blessé!    

©️ code par Nostaw.
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