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psychotic (charlian)

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psychotic (charlian)
Mer 21 Fév - 22:02
Je me tourne dans mon lit et tends le bras pour vérifier ce que j’avais senti. Lewis n’est déjà plus là, alors qu’il n’est même pas encore huit heures. On est samedi, je me demande bien ce qu’il fabrique. Soupirant légèrement, je décide de me lever, enfilant simplement mon kimono en soie pour cacher mon corps nu. Je déteste dormir avec quelque chose sur moi, je me sens étouffée. Je remarque vite la valise de mon mati dans l’entrée, et le rejoins dans la cuisine. « Tu comptais t’échapper pendant que je dormais ? » Il rit un peu, finissant son café avant de déposer sa tasse dans l’évier. « Bien sûr que non, je serai venu t’embrasser avant de partir. » C’est habituel, ses voyages à l’improviste, il ne me prévient pas toujours, et même quand il le fait j’oublie la plupart du temps. « Tu pars où cette fois, c’était prévu ? » Il vient m’entourer de ses bras et caresse tendrement mes cheveux. « Stockholm pour un colloque. Oui, c’était prévu. J’ai repoussé à ce matin mais je devais partir hier soir normalement… » Je comprends mieux pourquoi son envie soudaine de me sauter dessus hier soir. Heureusement que je lui ai pas sorti la vieille excuse du mal de tête, il l’aurait mal pris. « Et tu rentres quand ? » « Mercredi, ça va aller vite. Tu prends soin de toi en attendant ? » Je hoche la tête et le laisse m’embrasser alors que j’entends déjà le klaxon de son chauffeur dans l’allée. « Je dois y aller. Je t’aime. » Je lui réponds d’un simple ‘hum’ et le laisse filer avant de me glisser sous une douche brûlante.

Vingt-et-une heures, vêtue d’une robe somptueuse que je viens tout juste de m’acheter - du sur mesure, j’adore - je monte dans la berline d’un chauffeur privé après avoir verrouillé la porte de la maison à double tour. Je lui donne alors l’adresse du casino auquel j’adore passer des soirées lorsque mon mari m’abandonne pour son boulot. Je vérifie que j’ai bien dans ma minaudière ma carte de crédit, alimentée par mon cher et tendre, évidemment, et me laisse guider par le chauffeur jusqu’à l’adresse donnée. Une fois sur place, je me fais servir une coupe de champagne et déambule dans les années, cherchant du regard quel jeu sera ce soir à même de satisfaire mon envie de gagner. En général, je choisis la stratégie pour être certaine de rester maître de mon destin, je suis une as du poker, et déteste les jeux de hasard. Mais la soirée n’est pas à mon avantage et je gagne beaucoup plus que je ne perds. Et étant mauvaise perdante, je sens la colère et l’amertume me monter à la gorge, sensation plus que désagréable. Avant de me faire éjecter du casino pour mauvaise conduite, je choisis de quitter l’endroit mais la frustration est grande. Attendant mon chauffeur à l’extérieur, je me fais accoster par un homme vieux et foutrement lourd. Je suis à deux doigts de lui cracher au visage quand enfin la berline s’arrête à mes pieds, et je m’empresse de m’y engouffrer. Il ne m’en faut pas plus pour donner l’adresse de la boîte de nuit que tient Gillian, je crois que j’ai besoin d’un bon remontant ou deux. Je ne suis pas vraiment habillée de circonstance, mais tant pis. La musique est assourdissante, la population divers et variée. Je me glisse jusqu’au bar et commande un gin tonic, cherchant du regard la patronne. Une fois servi, je fais comme chez moi et me faufile dans les couloirs pour finalement entrer dans le bureau de madame la gérante. Elle est là, concentrée, magnifique. « Tu ne te fonds pas dans la foule ce soir ? »
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psychotic (charlian)
Jeu 22 Fév - 1:08

« Anton, t’as checké toutes les commandes ? Y a toute l’équipe de Santa Monica qui descend ce soir. Ils partent gagnants ce soir et si c’est le cas ils vont venir le fêter ici. T’as doublé les stocks ? » « Pour qui tu me prends ? » « Je demande, c’est tout. » Je pars moi-même vérifier en réserve que nous avons de quoi tenir l’after d’un gros match en cas de victoire. Quoi que même sans ça, les fans éconduits et l’équipe malheureuse viendra prendre sa cuite pour oublier. Rien de tel que les ondulations d’une femme pour faire oublier ses malheurs. Je connais mieux les hommes que les femmes, c’est pour dire. Je sais comment et à quoi pense un homme, en dehors du cliché bout de viande sur lequel il veut sauter, je suis persuadée de les connaître bien mieux que mon propre genre, les femmes. Moi-même je ne sais pas comment je fonctionne, c’est pourtant étonnant à mon âge adulte, mais qu’est-ce-que vous voulez que je vous dise ? Je suis sombre et tordue, et accro, à tout un tas de trucs.

Le bar se rempli peu à peu une fois les 23 h passées, certains se foutent du match et viennent simplement tromper mentalement leur femme. Certaines le voient comme une trahison, d’autre comme une récréation quand un homme marié entre dans mon établissement. Je ne suis pas flic, ni psy, ni bonne sœur, je ne donne d’ordre à personne et je ne contrôle personne. Chacun fait bien ce qu’il veut et c’est tant mieux. S’il a les billets pour allonger la tournée alors il est le bienvenue.
J’ai un retard de dingue sur la compta, tout simplement parce que je ne suis pas foutue de me poser tranquillement sur un dossier. J’ai le projet de m’agrandir et peut-être même de faire ouvrir une salle de jeu dans un coin. Je ne sais pas encore si j’en aurais les autorisations mais je dois monter un dossier et j’ai la tête ailleurs la plupart du temps. Cette boite est la seule chose pour laquelle je me lève chaque jour qui passe.

Il ne doit pas être loin de minuit passé maintenant, et la porte de mon bureau s’ouvre, sans même que quelqu’un n’ait frappé et la seule personne que je sais capable de faire ça c’est Charlie. Qui pense que les gens lui appartiennent parce qu’elle est soit pleine de fric, soit mariée à un putain de procureur, soit parce que son cul est à se damner. Soit les trois à la fois. Je dois bien le lui reconnaître. Toujours est-il que je pense qu’entre nous il y a un truc qui nous fait peur à toutes les deux, autant qu’il nous attire et on ne veut pas poser de mot dessus, parce qu’on risquerait de le perdre au moment où on le saisira. « Tu ne te fonds pas dans la foule ce soir ? » « Non, ce soir j’ai des projets. » Je ne relève même pas la tête, concentrée sur mon document, lunettes sur le nez. Et puis elle a foutu en l’air toute ma concentration, alors je soupire et les retire, me levant. Je marche jusqu’à elle, d’une démarche féline et la toise de haut en bas. « Ton mari t’as donné la permission de sortir, ou tu t’es échappée ? » J’aime la provoquer, nos rencontres commencent souvent par un jeu de provocation bien à nous. Je lui lance un regard aguicheur et me retourne, allant derrière mon bureau chercher un verre de scotch que je me sers sans vraiment le doser. « Tu sens la défaite et la frustration jusqu’ici, combien tu as perdu ce soir ? » Je dois avouer que moi qui n’ait jamais rien eu et encore moins d’argent jusqu’à présent, les sommes qu’elle peut claquer chaque soir m’excitent complètement.
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psychotic (charlian)
Mar 27 Fév - 18:21
J’entre, elle ne lève même pas les yeux pour me regarder, elle sait que c’est moi, je suis incapable de dire comment ou pourquoi, mais elle sait que c’est moi. « Non, ce soir j’ai des projets. » J’arque un sourcil, sentant ma boule de colère grossir un peu plus en mon centre de gravité. « Des projets. » Je déteste quand elle s’adresse à moi sans me regarder. Je suis sûre qu’elle le sait et qu’elle fait exprès. Heureusement, elle finit par me donner un peu d’attention, retirer ses lunettes et se lève, posant enfin ses yeux sur moi. Son regard me sonde, me réchauffe, me brûle presque mais Dieu que c’est bon. « Ton mari t’as donné la permission de sortir, ou tu t’es échappée ? » J’esquisse un sourire un peu mesquin. « Tu sais très bien que je n’ai besoin d’aucune permission, pour rien… » J’avance alors qu’elle rebrousse chemin pour aller se servir un verre de sa réserve personnelle. J’appuie mes fesses sur le bureau et la laisse revenir à moi, verre en main. « Tu sens la défaite et la frustration jusqu’ici, combien tu as perdu ce soir ? » « Je t’emmerde. » Mon regard se fait plus sombre, je déteste quand elle me parle comme ça et elle le sait. La provocation malsaine a un effet dévastateur sur moi. « Je te demande combien de tes filles ses sont fait sauter par tes clients pervers pendant que tu étais là planquée dans ton bureau ? » Rien à voir, ok. Mais quand je me sens agressée je riposte sans réfléchir plus longtemps. C’est comme ça. « Tu pourrais aller en taule pour moins que ça. Moi je me contente de perdre un fric monstre. » J’avale le contenu de mon verre d’une traite et le pose sur le bureau dans un claquement désagréable. « T’es super heureuse de me voir, ça fait plaisir ! » Cynisme quand tu nous tiens. « J’vais aller me taper une de tes strip teaseuses moi aussi tiens. Elle sera sans doute plus encline à me baiser si j’lui file une belle liasse de billets. A moins que c’est ce que tu veux toi aussi ? » Bordel comment c’est possible d’être attirée autant par quelqu’un ? Rien que son regard sur moi me fait fondre, même si je préfère ne rien dire, ne rien laisser paraître. Surtout pas, elle pourrait le prendre pour acquis et c’est loin d’être le but.
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psychotic (charlian)
Lun 5 Mar - 16:31

« Des projets. » Elle a les boules et je l’entends jusqu’ici. Ça me fait sourire autant que ça me fait plaisir. Elle ne doit pas prendre notre relation pour acquise, comme quelque chose qu’elle a rien qu’en claquant des doigts parce que c’est elle. C’est le cas, mais ça, il n’y a que moi qui le sais et c’est bien plus sûr comme ça. J’aime l’énerver, juste assez pour que nos parties de jambes en l’air soient mémorables. Elles ont toutes les saveurs, parfois salées de larmes, parfois teintées d’humour, mais la plupart du temps, c’est le goût de la colère qu’elles ont.
Elle s’installe sur mon bureau, comme une façon inconsciente de me dire que si je compte me rasseoir à cette place, c’est pour m’occuper d’elle. « Tu sais très bien que je n’ai besoin d’aucune permission, pour rien… » « Pour me sauter, si… » Lui tendant mon verre, elle en a sans doute plus besoin que moi, et puis je lui fais remarquer qu’elle sent la défaite, et c’est sans doute la raison de sa colère. Je ne sais pas comment elle fait pour perdre autant sans se faire dégager par son mari. Elle couche bien, ça doit être un argument. « Je t’emmerde. » J’esquisse un sourire. La faire sortir de ses gonds est une foutue victoire personnelle, ne me demandez pas pourquoi mais ça a toujours la même délicieuse saveur. « Je te demande combien de tes filles ses sont fait sauter par tes clients pervers pendant que tu étais là planquée dans ton bureau ? » « Aucune parce que sinon elles dégagent, et elles le savent. » Aucune de mes filles ne couche ici, elles font ce qu’elles veulent chez elle, en dehors de ma boite, mais certainement pas ici. Je ne tiens pas une boite à pute, c’est une boite de strip, relativement différent. « Tu pourrais aller en taule pour moins que ça. Moi je me contente de perdre un fric monstre. » « Qu’est-ce-que tu t’emmerderais… Et puis je ne risque rien, tout est clean, sinon ton mari aurait déjà tout fait sauter. » Il est procureur, il n’aurait aucun mal à faire fermer ma boite, et je sais qu’il soupçonne sa femme de voir quelqu’un ici, mais certainement pas moi, un homme. Ils sont tellement incapables de voir plus loin que le bout de leur nez…
« T’es super heureuse de me voir, ça fait plaisir ! » Je soupire et la laisse claquer son verre sur le bureau en chêne. Je ne prends pas la peine de répondre, elle finira par se lasser et entamera les hostilités. « J’vais aller me taper une de tes strip teaseuses moi aussi tiens. Elle sera sans doute plus encline à me baiser si j’lui file une belle liasse de billets. A moins que c’est ce que tu veux toi aussi ? » « Non, moi je veux juste ton cul. » Je m’approche d’elle, passe une main sous sa cuisse et la rapproche de moi d’un geste sec, en capturant ses lèvres des miennes. « Si tu fermais un peu ta gueule qu’on puisse commencer ? » Nous ne sommes ni polies, ni courtoises, juste passionnées. Je lui retire son trench, et sa petite culotte sans même qu’elle ait eu le temps de dire ouf.

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psychotic (charlian)
Lun 5 Mar - 17:18
« Pour me sauter, si… » Je serre les mâchoires, je déteste cette façon qu’elle a de s’adresser à moi comme si je ne signifiais rien à ses yeux. C’est quand même pas trop demander que d’être traitée comme un être humain ? Merde ! Comme une femme surtout. Je récupère son verre et le bois d’une traite. Je lui réponds sèchement, elle m’a énervée. Je venais la voir pour me détendre et au lieu de ça je me sens encore plus en colère. Quelle conne. Alors je la menace presque, je pique là où j’aimerai que ça fasse mal mais bien sûr, elle a toujours cette carapace que rien n’atteint. Bordel mais a-t-elle seulement un coeur qui bat là dedans ? « Qu’est-ce-que tu t’emmerderais… Et puis je ne risque rien, tout est clean, sinon ton mari aurait déjà tout fait sauter. » Sur ce coup là, elle a pas tord. Mon mari a le pouvoir de faire descendre n’importe qui plus bas que terre. Et je crois que c’est un avantage pour moi, parce que Gill a plutôt intérêt de se tenir à carreaux avec moi si elle ne veut pas voir son petit commerce finir en lambeaux. En attendant, moi je trépigne, je m’énerve, je suis à la limite de l’insulte. Je demande de l’attention et elle m’offre tout sauf ça, à peine du déni, et ça me rend complètement folle. Je lui dis prévoir d’aller me taper une de ses putes puisque de toute évidence, c’est pas elle qui me fera grimper aux rideaux ce soir dans le but d’évacuer ma frustration. « Non, moi je veux juste ton cul. » « Va te faire foutre ! » Ça c’est ce qui est sorti de ma bouche, mais ma pensée disait bien autre chose, quelque chose comme ‘mon cul est à toi’. Elle s’approche d’un coup et tout mon corps entre en ébullition, une vague de chaleur m’envahit et elle vient violer carrément mes lèvres tout en ouvrant mon trench et s’attaquant à ma culotte d’un geste assuré. « Si tu fermais un peu ta gueule qu’on puisse commencer ? » Ma main vient s’écraser sur sa joue. Pas la première fois qu’on est violentes l’une avec l’autre, ce serait mentir que dire que ça ne m’excite pas. Je me saisis de sa mâchoire, paume vers le haut, pouce opposé à mes autres doigts de l’autre côté de son visage et je la fusille du regard. « Parce que tu crois que j’vais juste écarter les cuisses et te laisser me sauter comme ça ? Aussi facilement ? » Je ricane, cynique, et la pousse de ma main libre avant de descendre du bureau. C’est exactement ce que j’ai envie qu’elle fasse, évidemment, mais ce serait trop facile que de la laisser faire et m’en remettre à elle sans ouvrir ma grande gueule. « Depuis quand t’as pas joui avec quelqu’un hein ? Pas toute seule Gill... avec quelqu'un... » Gill ne s’envoie pas en l’air si souvent qu’on pourrait l’imaginer, elle est mariée à sa boîte, et je sais que mes visites sont souvent un réel échappatoire pour elle, alors j’en profite pour la faire languir un peu…
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psychotic (charlian)
Lun 5 Mar - 17:59

Je la connais bien plus qu’elle ne le croit et au fond c’est ça qui l’emmerde, que je puisse la percer à jour. Elle croit sa foutue carapace impénétrable – elle par contre, elle ne l’est pas – mais je n’y crois pas, au contraire, j’arrive à la comprendre sans doute même mieux que son propre mari. Ils n’ont plus de toute façon en commun que le pognon qu’elle lui suce. Ça et autre chose, j’espère au moins pour lui, parce que dépenser autant pour rien… Toujours est-il que je ne pose pas ce genre de question concernant son mariage sans m’être donnée avant, parce qu’il faut la chopper dans un état d’esprit particulier, ça se travaille et ça s’apprend. En même temps ça fait des années que je le fais.
« Va te faire foutre ! » « Mais je t’attends, c’est toi qui brasse de l’air là ! » Je me donne toujours cette contenance, cet air que rien n’approche et rien ne touche. Il en faut pour m’atteindre, mais je donne bien le change, parce que ça fait partie des choses que je ne laisse voir à personne. Mes failles m’appartiennent et je ne suis pas prête à me relever seule le jour où je pose le genou à terre, alors je dresse un mur entre le reste du monde et moi.
Je la somme de la fermer et en prend une. Ni la première, ni la dernière. Mais je saisi son poignet la fusille du regard, elle me le payera ça, elle le sait. Je ne comprends pas comment on peut en arriver là alors que tout ce qu’on souhaite au fond c’est faire l’amour comme si on allait crever dans l’heure qui suit.
. « Parce que tu crois que j’vais juste écarter les cuisses et te laisser me sauter comme ça ? Aussi facilement ? » « C’est pas ce que tu attends ? Alors pourquoi t’es là ? Qu’est-ce-que tu branles ici ? » Il est plus de deux heures du matin et elle vient me soudoyer dans mon bureau, pourquoi ? Elle veut la même chose que moi, elle se fait chier comme un rat mort, à ma différence, et tente de tromper l’ennui alors que je tente de tromper le manque et la douleur. Mais tout est une histoire de tromperie, que ce soit son mari ou nos ressentiments.
« Depuis quand t’as pas joui avec quelqu’un hein ? Pas toute seule Gill... avec quelqu'un... » Je lui lance un regard noir. Pour m’allonger, ce n’est pas franchement un souci, des hommes, j’en ai à la pelle, je claque des doigts et il tombe ceux que je désire. Sauf que de là à dire que je jouis… Je les laisse me passer dessus, ça fait une différence. Elle le sait la garce que je ne prends mon pied de cette façon qu’avec elle. Mais je me vexe cette fois-ci. « Et toi ? Je suis même pas sûre que tu te laisses sauter par ton mari. On se demande pourquoi il paye. Tu veux que je te dise quoi ? Que je t’attends pour vivre ? Va te faire foutre et va lever qui tu veux. Allez dégage. » Je ne lui accorde plus d’attention, blessée, elle joue comme ça ? Pas de souci. Elle a les boules parce qu’elle vient de perdre mais je ne me laisserais pas devenir son jouet, même si c’est déjà le cas. Alors je m’assieds sur mon canapé, lunettes sur le nez, tremblante de colère. « Je t’ai dit dégage ! » Ca ne marche que comme ça entre nous. Suis-moi je te fuis et fuis-moi je te suis. Par la violence et ce qui s’y rapporte.

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psychotic (charlian)
Lun 5 Mar - 19:40
psychotic (charlian) 111402504

Je lui dis d’aller se faire foutre, c’est le genre de mots d’amour qu’on adore s’échanger elle et moi. C’est comme ça qu’on communique, faut pas aller chercher plus loin. C’est comme ça qu’on s’attire, qu’on se repousse pour mieux s’aimer, à notre façon, sans jamais se le dire. Jamais. « Mais je t’attends, c’est toi qui brasse de l’air là ! » Je sens la colère qui monte en moi, elle attise ça à la perfection, personne n’arrive mieux qu’elle à me faire sortir de mes gonds, c’est quand même un truc de fou. Je lui fous une baffe, pas si forte, mais juste assez pour qu’elle pose sur moi ce regard noir qui m’excite au plus haut point. « C’est pas ce que tu attends ? Alors pourquoi t’es là ? Qu’est-ce-que tu branles ici ? » Elle sait aussi bien que moi pourquoi je suis là. Justement pour qu’on s’envoie en l’air le restant de la nuit. Mais avant ça, j’ai besoin de sentir à quel point elle me désire, autant qu’elle a envie de me tuer. Je n’ai pas simplement envie qu’elle me fasse grimper aux rideaux, je veux qu’elle en ait envie, au moins autant que moi. Et là j’ai juste la sensation qu’elle veut se débarrasser de moi. Ça ne me suffit pas. Je suis sans doute parano, mais j’en ai rien à foutre. Alors je la pousse dans ses retranchement, je la bouscule, avec des mots, durs, cyniques, juste pour la voir gronder de rage, parce que j’adore ça. « Et toi ? Je suis même pas sûre que tu te laisses sauter par ton mari. On se demande pourquoi il paye. Tu veux que je te dise quoi ? Que je t’attends pour vivre ? Va te faire foutre et va lever qui tu veux. Allez dégage. » J’esquisse un sourire, victorieuse. Voilà exactement ce que je voulais. « Mon mari me saute quand j’ai décidé. Et seulement quand j’ai décidé. » Oui parce que clairement, ce n’est pas lui qui porte la culotte dans notre couple. « Je t’ai dit dégage ! » Je frémis de sentir l’agacement et la colère dans sa voix. Je grogne presque, souriante, prédatrice. « J’adore quand tu me parles comme ça. Mais ne crois pas que je vais t’obéir chérie… » Je m’approche d’elle, féline, je sais qu’elle va essayer de me repousser, c’est comme ça qu’on marche. Mais je lui laisse pas le choix et viens me positionner rapidement à califourchon sur elle pour bloquer son corps sur le canapé, et j’attrape ses poignets pour pas qu’elle puisse se servir de ses mains pour me dégager. Elle serait capable de me morde, faut que je fasse gaffe. « Tout doux… » J’en rajoute pour qu’elle s’énerve encore plus et je jubile. Je m’approche de son oreille et viens murmurer d’une voix suave « Je sais bien que t’as tout sauf envie que je dégage. J’ai pas raison ? » mes dents se referment sur le lobe de son oreille avant d’y passer ma langue et je me redresse. « T’es calmée ? » Je penche la tête sur le côté, mutine. « J’adore quand t’es énervée. Tu m’excite. » J’arque un sourcil et déplace une de ses mains en tenant toujours son poignet, et la place juste entre mes jambes. Elle a retiré ma culotte un peu plus tôt, elle a désormais tout le loisir de sentir à quel point ce que je dis est vrai. « Y’a que toi qui arrive à ça aussi facilement… »
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psychotic (charlian)
Lun 5 Mar - 20:32
psychotic (charlian) 111402504


C’est notre façon à nous de fonctionner, on se déteste, on se désire, on crève d’envie l’une de l’autre et on se fait languir. Sans doute que nous ne sommes pas foutues de nous avouer quoi que ce soit, en tout cas pas moi. Avouer ses sentiments ? C’est la mort de tout. C’est avouer à l’autre être faible, qu’il est votre faiblesse, et je ne fais pas confiance aux autres, ils finissent toujours par vous trahir, c’est le propre de l’humain. Moi aussi je trahis quand on me fait confiance et pourtant c’est tout ce dont j’ai toujours souffert alors imaginez les autres.
Mais Charlie, autant que je pense qu’elle puisse être la seule à avoir cet effet sur moi et faire de moi presque ce qu’elle veut en me provoquant, je ne pourrais pas me montrer faible. Elle n’attend que ce moment pour me détruire, et gagner ce foutu rapport de force qui nous anime elle et moi et nous promets les émois les plus importants. Les orgasmes les plus puissants aussi.
« Mon mari me saute quand j’ai décidé. Et seulement quand j’ai décidé. » « Et ça doit pas être souvent. » Non, parce que je crois en le pouvoir du coup de bite, dis grossièrement. Mais il est clair que ce qu’elle aime au fond, ce sont les femmes, elle ne trompe son mari qu’avec des nanas, c’est bien une preuve, non ? Tous les hommes bavent sur elle et ça parvient même à me rendre jalouse. « J’adore quand tu me parles comme ça. Mais ne crois pas que je vais t’obéir chérie… » Elle me chasse, comme une proie, comme un trophée à récupérer ce soir, mais je ne suis pas son jouet, quoi que… Elle est le mien pourtant parfois. C’est tellement difficile à analyser. Mais je ne suis pas une pro des questions intérieures, je préfère m’enfumer la tête à coup de cokes, d’alcool ou je ne sais quoi plutôt que de trop penser. « Tout doux… » « Je suis pas ton chien bordel, casse-toi ! » Elle ne comprend même pas quand on gueule, moi je vais finir par abandonner, mais elle pense qu’elle peut se comporter comme elle veut parce que je n’ai pas grand-chose à perdre et pas tiré un coup depuis un moment ? Digne de ce nom en tout cas. « Je sais bien que t’as tout sauf envie que je dégage. J’ai pas raison ? » « Tu veux quoi ? Avoir le dernier mot ? Prends ce que tu veux et fous le camp. » Elle m’a foutu en l’air là ! Mais mon désir pour elle peut basculer en un quart de seconde, je passe de la haine à la passion en un battement de cil et c’est uniquement avec elle. Mais sa façon de faire me fait soupirer ou râler de rage, je ne sais pas trop, quoi qu’il en soit je sens que je ne suis plus maître de moi-même à partir du moment où elle pose les mains sur moi. « T’es calmée ? » « Va te faire mettre. » A son oreille, en gémissant tandis qu’elle s’occupe de mon cou, experte de sa langue, et j’en sais quelque-chose. « J’adore quand t’es énervée. Tu m’excite. » « Un rien t’excite Charlie, t’es tarée. » Oh depuis le temps que je lui dis, il lui manque une case à cette nana, mais c’est justement cette case vide que j’aime, parce qu’on a la même. Elle détient tout mon corps et l’entièreté des gestes qui me sont permis. La salope. « Y’a que toi qui arrive à ça aussi facilement… » Je la sens prête à tout, et surtout prête à ce qui va suivre. Je ne peux nier l’excitation que je ressens. Mon cœur bat à l’extrême et je fonds dans son cou, inspirant son parfum jusqu’à m’en faire tourner la tête tandis que je plonge entre ses cuisses. J’insère deux doigts en elle, et la sent sursauter de surprise, avant de me retirer, et de la faire languir, en tournant autour du bouton de ses plaisirs, d’une lenteur infinie, qui finira par l’agacer. « T’as quelque-chose sur toi ? » De la came, un remontant, quelque-chose. J’attends mon dealer mais il patientera, il faut que je prenne quelque-chose, c’est tout. Jamais à jeun quand on s’envoi en l’air, ça n’est que meilleur.
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psychotic (charlian)
Mer 7 Mar - 17:35
psychotic (charlian) 111402504

« Et ça doit pas être souvent. » Je sais pas ce qu’elle insinue par là, que je me fais pas sauter régulièrement, mais en fait, j’en ai bien rien à foutre de me faire sauter par mon mari, et puis vu comme il est doué, c’est pas comme ça que je vais satisfaire ma libido. Non, malheureusement il n’y a que les femmes qui arrivent à me faire jouir, et Gill est sans doute placée dans le top du classement, pour ne pas dire en première position d’ailleurs. Il se passe quelque chose de chimique entre nous, indescriptible. Mais je n’en ai pas assez, l’excitation gronde un peu plus lorsque je la sens prendre la mouche, je n’attendais que ça, et j’en joue, j’en rajoute pour la rendre encore plus folle. « Je suis pas ton chien bordel, casse-toi ! » Le grésillement dans sa gorge, dans sa voix, celui de la colère, c’est ce que j’aime le plus, ce qui me rend le plus dingue. Je retiens ses mains pas qu’elle ne m’échappe ou qu’elle décide de me frapper, sait-on jamais. « Tu veux quoi ? Avoir le dernier mot ? Prends ce que tu veux et fous le camp. » « C’est toi que je veux… » que je lui dis dans un souffle au creux de son oreille avant de glisser mes lèvres et ma langue dans son cou. « Va te faire mettre. Un rien t’excite Charlie, t’es tarée. » Je ris un peu, parce que c’est pas vraiment vrai, mais disons que c’est plutôt un rien venant d’elle qui m’excite. Sauf que je ne m’abaisserai pas à lui répondre une chose pareille. Je ne tarde pas à lui montrer à quel point elle me rend folle en glissant sa main entre mes jambes. Lorsque ses doigts entrent en contact avec mon intimité je vois ses pupilles se dilater. Une drogue, voilà ce que je suis pour elle, et ce qu’elle est pour moi. Je soupire et sursaute à l’instant où elle insinue deux doigts en moi. Le gémissement franchit mes lèvres sans que je n’ai pu avoir le temps de le retenir. Mais elle se retire aussi vite et la frustration me gagne, sans compter que je la sens joueuse, comme une envie de me faire payer ce petit jeu que je viens de jouer avec elle. Elle tourne autour du pot, me faisant me contracter chaque fois qu’elle frôle volontairement le centimètre carré le plus érogène de mon anatomie. Bordel. Mon souffle est devenu plus court, j’ai envie d’elle putain à quoi elle joue ? « T’as quelque-chose sur toi ? » Je réouvre les yeux pour la regarder. « Ton dealer est pas passé ? » Etonnant venant d’elle. Mais heureusement j’ai de quoi faire dans mon sac. J’attrape son menton pour venir lui dérober un baiser, passant peu soigneusement ma langue sur ses lèvres avant de me lever. Je me déhanche jusqu’à mon sac et en sors un petit sachet de poudre. J’ai pris l’habitude d’en consommer avec Gill, elle a définitivement une mauvaise influence sur moi - je me rassure comme je peux. « Ça t’intéresse ? » Je me hisse sur le bureau et m’y assieds, jambes croisées, jupe qui remonte sur mes cuisses pour dévoiler mes bas et mes porte-jarretelles, comme je sais qu’elle adore, j’en profite.
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psychotic (charlian)
Mer 7 Mar - 18:36
psychotic (charlian) 111402504


Nous n’avons pas de rapports sains, mais savons-nous seulement ce que c’est ? Je ne connais que les transactions de plaisir, pas forcément payées en cash mais du plaisir contre du plaisir ou autre chose. Je n’ai plus besoin de coucher pour une dose, je me le suis interdit. Je veux savoir d’où vient ce que je prends, toujours, parce que j’ai trop pris de conneries recoupées qui ont parfois failli me coûter la vie. Tout ça c’est fini. Je me sais incapable de résister à la drogue, pour autant je n’ai pas l’intention de prendre n’importe quoi. J’ai les moyens d’être exigeante, et c’est ce que je suis. J’ai trop tenté les désintox et autre pour savoir que je suis incapable de la tenir de toute façon. Pas plus de quelques semaines à peine.
« C’est toi que je veux… » Elle n’a pas le droit de la jouer comme ça, pourtant elle n’a jamais été loyale, elle ne connait pas ça. Elle prend avec les moyens du bord, à la guerre comme à la guerre et elle se fout du reste. Et ça m’excite autant que je déteste me sentir si faible. Ma drogue, en partie, alors quand je peux combiner les deux, le combo est désastreux mais tellement bon…
Mais ça ne sera pas si facile. Maintenant que je sais à quel point elle désire cet échange, je peux m’en servir à mon avantage. Elle n’a pas besoin de savoir que je suis en train de me consumer. J’adore le soupir qu’elle lâche une fois que j’entre en elle, c’est le corps qui parle et plus la tête capable de museler la vérité. Alors je la fais languir, c’est bien fait pour elle.
Mais je compte bien utiliser cet avantage au mien. « Ton dealer est pas passé ? » « Je te demanderais si c’était le cas ? » Non mais elle me prend pour qui ? Bien sûr que non il n’est pas passé, et je suis en train de me ronger. J’ai toujours quelque-chose qui traine, que je sais être pur, pour ne pas me jeter sur la première dose qu’on m’offrira mais je sais que Charlotte ne se fourni que chez les meilleurs. Elle se lève et je sais que je viens d’obtenir le salut. Enfin. « Ça t’intéresse ? » Elle se tient sur le bureau, prête à me soumettre et je me lève à mon tour, les pupilles dilatées. Je ne suis qu’une camée. Je lui prend le petit sachet des mains, le tient entre mes dents et remonte mes mains le long de ses cuisses, jouant avec les fermetures de son porte jarretelles que je rêve déjà de lui retirer. Je l’abandonne quelques instants pour disposer un peu de poudre sur le bureau, la mettre en ordre et prendre une ligne. Envoyant ma tête en arrière. Une grande inspiration plus tard, je me concentre sur l’objet de mon désir. Maintenant je suis prête. Je la pousse légèrement en arrière de façon à l’allonger sur le bureau, mes mains jouent à remonter sa jupe sur ses cuisses, un peu plus haut encore et c’est en me penchant sur son corps que je me retrouve entre ses cuisses, ma langue jouant sur son intimité, délicatement, l’aspirant, la titillant, l’excitant…
Mes mains retrouvent à leur tour le chemin de sa poitrine, au travers de son soutien-gorge et j’insiste un peu plus sur la zone la plus érogène, jusqu’à lui arracher des soupirs de plaisir. Je tiens à la remercier pour la dose, elle ne sera pas déçue…
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psychotic (charlian)
Mar 13 Mar - 13:02
psychotic (charlian) 111402504

Je suis venue pour elle, qui d’autre sinon. Je ne connais qu’elle ici, et je ne vois pas bien ce que je serais venue foutre dans son bureau si ça n’avait pas été pour venir la voir elle. Elle le sait, elle joue les surprises quand je lui dit que c’est elle que je veux, mais elle le sait mieux que quiconque. Et alors que les choses sérieuses étaient prêtes à commencer, elle se joue de ma frustration. Salope. La question est posée, elle veut autre chose, je ne lui suffis pas. Mais j’ai l’habitude et j’avais prévu le coup. Je ne prends jamais rien en dehors des moments où je suis avec elle, c’est elle qui m’a initiée, avec elle que je me défonce, c’est tout. Et vu le fric que mon mari brasse, j’ai de quoi nous acheter la meilleure came qui soit. Alors lorsque je secoue le petit sachet de poudre, je vois immédiatement ses pupilles se dilater sous l’envie, le manque, que sais-je.

Elle s’empare du sachet qu’elle coince entre ses dents et ses mains s’emparent déjà de ma peau. Je soupire et me mets à grogner lorsqu’elle se décale pour prendre sa dose. Je sais pourtant qu’elle ne me fera pas jouir sans être camée. Je ne la quitte pas des yeux, et enfin je la sens mienne, son regard me le fait comprendre. Pas trop tôt. Elle me fait m’allonger sur le bureau et je dégage tout ce qui est sur mon passage. Ma jupe remonte, mon corps devient brûlant, et sa langue sur ma féminité me fait perdre pieds. Je me cambre, gémis, glisse ma main dans ses cheveux pour l’empêcher de s’arrêter. Je pose une jambe sur son épaule, ma main sur la sienne qui a emprisonné ma poitrine au travers de mon sous-vêtement. Mon bassin ondule au rythme que je désire, elle sait exactement ce qui me rend folle et je n’attends plus que le moment où elle se servira de ses doigts pour palier à ma frustration, à mon manque, à mon désir. « Bordel Gil me fais pas attendre… » Elle sait ce que ça donne quand elle me frustre, c’est pas beau à voir. J’espère seulement qu’elle n’est pas d’humeur joueuse, parce que ce n’est pas du tout mon cas, j’ai assez perdu ce soir pour me retrouver en plus avec une femme qui me fait tourner en bourrique.
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psychotic (charlian)
Mar 13 Mar - 19:54

C’est malheureux à dire mais moi qui me revendique libre de toute contrainte, je suis pourtant l’esclave de cette poudre. Ce truc qui me fait tourner la tête, qui me dilate les pupilles rien qu’à sa vue. Charlie le sait et elle en joue. Elle a bien tenté de me le reprocher au début mais quand elle a vu ce que ça donnait quand j’étais en manque, elle a arrêté de me prendre la tête avec ça. Elle a toujours voulu détenir le contrôle sur tout ce qui l’entoure, mais j’obéis plus à cette merde qu’à mes propres sentiments. Elle ne sait pas ce que la came peut forcer à faire, elle ne l’est pas, par contre, son truc à elle, c’est le jeu et elle peut perdre des sommes incroyables en une soirée juste pour chercher à faire taire cette rage qu’elle a en elle.
Elle n’est pas à sa place dans sa vie, c’est une évidence, elle en veut au monde entier, et surtout à son mari, sa place est avec une femme, pas un homme de pouvoir qui lui fait comprendre qu’aux yeux de tous c’est lui qui détient le pouvoir.
Charlie a besoin de mener la danse, comme la partie, une fois les cartes en main, elle se transcende, elle peut parler, mais elle est aussi accro que moi. Sauf que je le fais pour oublier que je me dégoute, elle le fait pour tromper l’ennui, mais ça ne me pose pas de problème, chacun ses travers, non ?

Une fois rechargée, je me reconcentre sur son plaisir à elle, qu’elle réclame avec véhémence, qu’elle exige même. Il faut s’y faire à sa façon de tout diriger comme si elle était le PDG d’une multinationale. Je l’aurais vue bosser dans un grand bureau vitré ou encore un grand cabinet d’avocats, mais ça n’est pas la question du jour. Ma langue cherche son plaisir, mais à la faire languir aussi, c’est de bonne guerre après tout. « Bordel Gil me fais pas attendre… » « Pour l’amour de Dieu ferme-la… » Entrant en elle de mes doigts agiles. Elle retient à peine son cri de plaisir. Faire taire une femme comme elle est un défi, la faire jouir est encore moins difficile, et pourtant ce n’est pas donné à tout le monde, par contre, ça semble être une évidence pour moi. Pourquoi reviendrait-elle sinon ? C’est plus facile de s’avouer ça que de se dire qu’elle et moi on a une vraie connexion. Les questions se poseront plus tard, pour l’instant c’est son plaisir. Je me redresse et fond sur elle pour embrasser sa peau. Sa poitrine, son ventre… le temps qu’elle ne se calme. « Tu l’ouvres moins là hein ? » Souriant contre sa peau, assez fière de moi.
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